Villeneuve-d'Entraunes

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Modèle:Voir homonymes Modèle:À délister Modèle:Infobox Commune de France

Villeneuve-d'Entraunes est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Villeneuvois.

Géographie

Localisation

Commune située entre Guillaumes et Saint-Martin-d'Entraunes, dans la vallée du Var, aux portes du parc national du Mercantour<ref>Les Portes du Mercantour</ref>.

Hameaux

Enaux.
Le Claous.
Bantes.

Géologie et relief

Modèle:Images

Sismicité

Commune située dans une zone de sismicité moyenne<ref>Didacticiel de la réglementation parasismique</ref>,<ref>Effets sur la vallée du Var supérieur : Séisme du 23 février 1887 en Ligurie</ref>.

Hydrographie et les eaux souterraines

Cours d'eau sur la commune ou à son aval<ref>L'eau dans la commune</ref> :

Villeneuve-d'Entraunes dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 250 équivalent-habitants<ref>Description de la station</ref>.

Climat

Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger<ref>Table climatique</ref>.

Modèle:Article détaillé

Voies de communications et transports

Voies routières

Village desservi par la Modèle:Nobr.

Transports en commun

Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Intercommunalité

Depuis le Modèle:1er janvier 2014, Villeneuve-d'Entraunes fait partie de la communauté de communes Alpes d'Azur. Elle était auparavant membre de la communauté de communes de Cians Var, jusqu'à la disparition de celle-ci lors de la mise en place du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale.

Urbanisme

Typologie

Villeneuve-d'Entraunes est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (31,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,7 %), prairies (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Économie

Entreprises et commerces

Agriculture

Tourisme

  • Hôtels, restaurants à Guillaumes, Valberg.

Commerces

  • Commerces de proximité à Guillaumes, Valberg.

Histoire<ref>La chronologie du village a été établie d’après les travaux de Paul Canestrier « Villeneuve d’Entraunes et ses environs » (NICE HISTORIQUE, 1914) et de Catherine Espeil « La vie communale de Villeneuve d’Entraunes au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle » (mémoire de l’UER des lettres et sciences humaines 1975-76), ainsi que par les recherches personnelles d'Edmond Rossi (Pays d'azur, histoire et traditions)</ref>

Ce lieu se trouve en plaine, au milieu des montagnes, distant de la présente ville (Nice) de deux jours et demi en passant dans le domaine de France par Cros (Ascros) ou Entrevaux et en passant dans les états de sa Majesté (duc de Savoie) quatre jours, ce qui toutefois n’est pas possible en hiver. Il est composé de 46 feux et Modèle:Nombre. Il touche aux territoires de Saint-Martin, Sauze, Châteauneuf et à celui de Guillaumes en France<ref>Gaspard Joanini (1754)</ref>.

Préhistoire et Antiquité

An -3000 (environ) : première occupation humaine, attestée par la découverte, au quartier du Vigna, d’une hache en pierre polie datable de cette période.

-600 (environ) : présence dans la région de la tribu ligure des Vélauni, chasseurs, pasteurs et agriculteurs se livrant au troc avec les comptoirs phocéens de la Côte. Faits attestés par la découverte d’une main en bronze gravée en grec « Signe de reconnaissance des Vélauni », objet visible au musée Borelli de Marseille.

-49 : Jules César envoie Publius Niger soumettre les vallées hostiles des Alpes. Parvenu à Nice, il remonte le Var avec 500 légionnaires et quatre catapultes, soumettant les Ligures de la région de Puget-Théniers sans parvenir plus haut dans la vallée.

-16 : Auguste « nettoie » la zone rebelle du Haut-Var et de la Tinée.

-14 : soumission définitive des Ligures de la montagne par les Romains. Après la conquête romaine (achevée en 14 av. J.-C.), Auguste organise les Alpes en provinces. Le territoire de l’actuelle commune de Villeneuve dépend de la province des Alpes-Maritimes et est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas<ref name="beaujard-22"/>.

-6 : Les Vélauni sont inscrits parmi les peuples vaincus par Auguste sur son victorieux trophée de la Turbie.

-du Modèle:S mini- au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : la paix romaine voit s’implanter sur le futur territoire de Villeneuve une première communauté agro-pastorale.

Selon Canestrier, le souvenir du dieu romain Jupiter transparaîtrait dans le nom de « Testa Jouan » donné à une colline dominant le quartier du Moulin. Cette appellation dériverait du Mont Jove.

Moyen Âge

Autour de l’an 700 : naissance du « Castrum Abusiscum », petit village fortifié<ref>Vexillologie Provençale : Alpes d'Azur Cians Var</ref>.

879 : Villeneuve d’Entraunes apparaît pour la première fois, comme un fief de la couronne provençale, le village s’accroche sur les collines du Claus et de Sainte-Marguerite. Villa nova ou nouvelle villa semble provenir de la renaissance, après destruction, d’une villa romaine (importante exploitation agricole avec aire de battage, moulin, forge, etc.) installée en ces lieux. Entraunes viendrait de Inter amnes, entre deux cours d’eau<ref>Contes et légendes de par chez nous, de Carmen Montet « la cloche du vieux manoir » de Villeneuve d’Entraunes</ref>.

983 : expulsion des Sarrasins venus de la mer et installés dans les montagnes du pays niçois.

1137 : l'évêque de Glandèves installe les Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem à Villeneuve d’Entraunes, où ils possèdent quelques biens. Ne pas confondre les Hospitaliers avec les Templiers qui n’ont jamais été présents ni à Villeneuve, ni dans la Haute-Vallée du Var selon les spécialistes de la question.

Plus tard, les religieux de l'abbaye San Dalmazzo da Pedona (Piémont) acquièrent le prieuré de Saint-Genès à Bante.

1154 : mention de Dena, l’actuel Enaux (archives de Saint-Eusèbe d’Apt). L’abbaye bénédictine de Saint-Eusèbe installe un prieuré aujourd’hui disparu, dit des « Barres de Saint Pierre » dans l’épaisse forêt des « Cordaillaous » (moines cordeliers).

1232-1244 : Enaux, Ena ou Dena apparaît dans la liste des castra (Archives Départementales des Bouches du Rhône).

1251-1252 : Mention de Dena dans l’enquête domaniale de Charles d’Anjou.

1264 : Villeneuve est citée dans «le rationnaire », sous le nom de Villeneuve d’Enaux (Villanova Dene). (Archives Départementales des Bouches-du-Rhône B 1501, Fol 115), puis en 1325, dans la Viguerie de Puget.

1289 : Charles II d'Anjou, comte de Provence, accorde à Villeneuve une charte de franchise. La communauté s’administre elle-même sous la tutelle de son seigneur Adolésio, à qui les souverains provençaux délèguent leurs pouvoirs.

1365 : par mandement du 3 mai, la reine Jeanne ordonne depuis Naples au Sénéchal de laisser Barnabé Grimaldi, seigneur de Beuil, arrêter sur ses fiefs les rebelles à ses ordres, notamment ceux du Castrum de Villeneuve d’Entraunes. La reine désirait que soient améliorées les fortifications des terres du comté pour y ramener à l’intérieur les foires et marchés, à l’abri des envahisseurs. Mais les Villeneuvois refusent d’édifier ces fortifications et de payer l’impôt, allant jusqu’à former une « association armée ».
Contestant le pouvoir, « ils commettent chaque jour des homicides pour lesquels ils restent impunis... il y aurait dans le castrum de Villeneuve plus de Modèle:Nombre bien entraînés... et animés par l’esprit de la rébellion ».
« Barnabé demande l’autorisation de s’emparer des perfides et des rebelles où qu’ils soient, dans les limites de sa juridiction, et de les punir comme ils le méritent... de rassembler ses cousins et amis sous les armes pour venger le meurtre de son écuyer Jourdain de Lieuche et Antoine Fulconis de Pierlas ».
Il demande « que personne ne donne asile aux coupables et les lui livre ». L’autorisation de poursuite est accordée par la reine mais à condition que les rebelles capturés soient emprisonnés dans la prison comtale<ref>Archives Départementales, Citta e Contado, Mazzo 17 Modèle:Numéro avec majuscule</ref>.

1388 : la communauté prête serment de fidélité à son nouveau suzerain, le duc Amédée VII de Savoie et à son représentant Jean Grimaldi Seigneur de Beuil.

1418 : la Viguerie du Puget condamne par contumace un habitant de Villeneuve à 25 livres et 15 sous d’amende pour meurtre.

1419 : Le duc de Savoie baille en emphytéose à la communauté la montagne de Pascaïret à l’ouest d’Enaux, riches pâturages dont le sous-sol recèle de l’or et de l’argent d’où les noms d’Aurent et Argenton au bas de cette vallée.

1431 : Jacques Adélosio renonce à ses droits sur Villeneuve moyennant la somme de 180 florins et une redevance annuelle de 3 sols en faveur du Duc de Savoie.

1445 : des compagnies d’aventuriers désolent les campagnes de la région, leur chef Archimbald d’Abzac installe son quartier général vers Sainte-Marguerite. Son trésor de guerre, perdu après sa capture, se cacherait au sommet de la colline dans les fondations de l’ancienne tour du château ruiné.

1446 : le comte de Provence, allié de la France contre la Savoie, engage ses troupes dans le Val d’Entraunes y commettant de cruelles dévastations.

Temps modernes

1543 : à l’occasion des luttes entre [[François Ier (roi de France)|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] et Charles Quint, le duc de Savoie prend parti pour ce dernier, Français et Espagnols occupent le Haut du Var. Ils en sont chassés, Jean de Grimaldi, seigneur d’Ascros à la tête de troupes provençales envahit à nouveau la vallée. Villeneuve se soumet. Nouvelle incursion en 1553 jusqu’à la paix de Cateau- Cambrésis en 1559.

1565 : incendie du village.

1590 : les Huguenots sont à Villeneuve, le seigneur de Sauze, Jean Faucon, les déloge à la tête de milices locales, les force jusqu’à Barcelonnette où il les assiège.

1594 et 1597 : retour plus heureux des Ligueurs qui plantent l’étendard des lys dans les villages de la vallée.

1610 : une crue avec débordement du torrent Bourdous anéantit des quartiers d’habitation. La chapelle de N.D. des Grâces avec son grand tableau ex-voto de 1638 serait consécutive à ce sinistre.

1614 : fin tragique d’Annibal Grimaldi, seigneur de Beuil et de Villeneuve en rébellion contre le duc de Savoie.

1616 : le fief de Villeneuve échoit à Annibal Badat, gouverneur du château de Villefranche.

1618 à 1648 : la Guerre de Trente Ans entre successeurs du duc de Savoie, Victor Amédée {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}, divise ses états. Le comté de Nice est envahi par les Français. Le duc d’Angoulême occupe le Val d’Entraunes qu’il quitte à la venue des Espagnols.

1621 : moyennant 1 500 ducatons, Villeneuve est libérée de l’inféodation à Badat. Elle devient commune libre ne relevant que de l’autorité des ducs de Savoie.

1640 : édification de la chapelle Sainte-Marguerite, pour « éloigner les Vents désastreux qui couchent les épis ».

1665 : un témoignage : Jean-Louis Arnaud plante la vigne dans ce qui devient le quartier du Vigna (pierre écrite en français, visite à 1 heure de marche du village dans le vallon du Bourdous).

1699 : lourd procès, à la suite des arrérages de redevances impayés au duc de Savoie. Insolvable, la communauté se voit à nouveau inféodée à un seigneur, Michel-Ange Lodi, nanti du titre de « comte de Villeneuve » en 1702.

1708 : à l’occasion de la Guerre de Succession d'Espagne, le maréchal de Tessé poste 10 bataillons français dans le Val d’Entraunes pour couper la route aux Impériaux. Il est délogé en 1710 par le comte autrichien de Thaun. Le traité d’Utrecht met fin aux hostilités en 1713.

1709 : Charles d’Hozier signale dans son Armorial, la Confrérie des Pénitents blancs de Villeneuve d’Entraunes (couverture) « D’argent à un Saint-Bernardin de carnation vêtu en religieux de Saint François au naturel, la tête couronnée d’un cercle de gloire d’or, et tenant en sa main dextre un soleil de même, accompagné de deux pénitents à genoux et confrontés affublés de leurs habits d’argent ». La communauté ne possédait pas d’autre blason.

1733 : la communauté rachète le titre comtal et devient « communauté-comtesse ».

1741-1748 : nouveaux troubles, avec la Guerre de Succession d'Autriche. Les troupes espagnoles imposent lourdement la petite communauté qui s’acquitte de 526 livres et 5 sols.

1760 : traité franco-sarde, le territoire voisin de Guillaumes, français depuis 1713, redevient savoyard. À la suite de cette modification de frontière, les pâturages et les ressources de Pascaïret, propriété de la communauté, sont devenues françaises, alors que celle-ci reste sarde. Un gros procès international où seront mêlés plus de 20 avocats et notaires aboutira à l’exemption de toute taxe de ces terres restées possession de Villeneuve.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : de cette période daterait la légende de la « Pierre du Loup », où un habitant de Bante attaqué par l’animal se sauva en grimpant sur un gros rocher en bordure du chemin conduisant à Villeneuve (La « Pierre » est toujours visible, au sortir des marnes dans le dernier tournant sur le bord de la route actuelle).

Période contemporaine

1790 : des caravanes d’émigrés, quittant la France devant la Révolution, traversent le pays. Le conseil communal jure « fidélité inaltérable » au roi du Piémont, Victor-Amédée III.

1792 : l’armée piémontaise quitte la vallée en automne, remplacée par une colonne française. Offensive des Piémontais en décembre, qui réoccupent la région, bientôt chassés par les Français qui installent leur état-major à Villeneuve : 150 lits sont réclamés à la Communauté, victime des réquisitions des deux partis en lutte.

1793 : le 4 février, le comté de Nice est annexé à la France, formant le département des Alpes-Maritimes. Villeneuve compte Modèle:Nombre. D’août à novembre, retour des troupes sardes et allemandes. Les Austro-Sardes sont délogés en décembre. De cette période trouble daterait l’occupation de la Balme du Vigna (sorte d’abri sous roche), par un prêtre réfractaire refusant de prêter serment de fidélité à la Constitution civile du clergé de la République. Des offices y auraient été célébrés en cachette des autorités (1795).

1794-1795 : les Armées françaises en campagne, s’installent dans la Haute-Vallée du Var.

1796 : le 15 mai, Victor Amédée III renonce au comté de Nice. L’insécurité s’installe avec la venue des « Barbets ». Leurs bandes, regroupant des anciens francs-tireurs favorables à la Maison de Savoie et des déserteurs, se livrent au brigandage. Abrités dans des grottes comme au Rocher d’Enaux, ils attaquent fermes et voyageurs. On en dénombre 200 dans le pays en 1797.
Une garnison venue d’Entrevaux et des primes aux habitants regroupés en milices ne viendront à bout de leurs méfaits qu’en 1801.

1814 : retour du comté de Nice à la Maison de Savoie-Piémont-Sardaigne sous l’autorité du roi Victor Emmanuel {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}.

1860 : rattachement définitif du comté de Nice à la France.

1900 : ouverture de la Route des Grandes Alpes par le col de la Cayolle : passage des premiers touristes.

1922 : ouverture d’une agence postale.

1924 : nouvel incendie du village.

1934 : deux cafés à Villeneuve, l’hôtel Rossi accueille des pensionnaires travaillant sur les routes et dans les coupes de bois.

1939 : à la suite de la déclaration de guerre, les troupes françaises de l’infanterie de montagne s’installent au village.

1943 : on vient s’y réfugier et s’y cacher depuis la Côte.

1944 : en août, la Résistance, après de durs combats dans les gorges de Daluis contre une importante colonne allemande, coupe les ponts vers Nice. Les hommes valides du village épaulent la Résistance qui libère la Haute-Vallée du Var avant la Côte.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Budget et fiscalité 2018

Fichier:La mairie de Villeneuve-d'Entraunes.JPG
La mairie.

En 2018, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 15,40 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,78 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 13,60 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.

Population et société

Démographie

Quelques chiffres illustrant l'évolution de la population :

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Établissements d'enseignements<ref>Établissements d'enseignements</ref> :

  • Écoles maternelles et primaires à Guillaumes, Entraunes,
  • Collèges à Saint-Étienne-de-Tinée, Annot,
  • Lycée à Valdeblore.

Santé

Professionnels et établissements de santé à Guillaumes<ref>Professionnels et établissements de santé</ref> :

  • Médecin,
  • Pharmacie,
  • Hôpitaux à Puget-Théniers, Saint-Étienne-de-Tinée, Valberg.

Cultes

Lieux et monuments

Fichier:Vue de l'ancienne église de Villeneuve-d'Entraunes en grimpant vers Bantes.JPG
Vue de l’église Saint-Pierre en grimpant vers Bantes.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail