José Manuel Durão Barroso

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique

José Manuel Durão Barroso Modèle:MSAPI<ref>Prononciation en portugais du Portugal retranscrite selon la norme API.</ref>, né le Modèle:Date à Lisbonne (Portugal), est un homme politique portugais, président de la Commission européenne entre le Modèle:Date et le Modèle:Date.

Depuis Modèle:Date-, il est président non exécutif du conseil d'administration de la banque Goldman Sachs<ref>J-L. Clergerie, L'Europe de la dernière chance..., BoD, 2018, p.60</ref>.

Situation personnelle

Origines

Comme il est d'usage au Portugal et dans les pays lusophones, José Manuel Durão Barroso porte deux noms de famille (le maternel : Durão, suivi du paternel : Barroso). Cependant, dans la vie courante et les médias, il est coutume d'omettre le prénom des personnes jouissant d'une certaine notoriété ; ainsi, on le désigne régulièrement par ses seuls noms de famille : Durão Barroso. En revanche, cet usage n'a pas été repris par les grands médias internationaux et il est appelé José Manuel Barroso en dehors du Portugal.

José Manuel Durão Barroso est le fils de Luís António Saraiva Barroso et de son épouse Maria Elisabeth de Freitas Gomes Durão.

En 1980, il a épousé Maria Margarida Pinto Ribeiro de Sousa Uva (décédée d'un cancer de l'utérus en 2016, à l'âge de 60 ans), avec laquelle il a eu trois enfants : Luís, Guilherme et Francisco.

Formation

José Manuel Durão Barroso est un juriste universitaire et un diplomate portugais. Lors de la révolution des Œillets en 1974, il se situe à l'extrême gauche radicale de l'échiquier politique comme président des étudiants maoïstes (MRPP), à l'époque seul parti d'opposition actif, avec le Parti communiste portugais. En 1979, il fonde l'Association universitaire d'études européennes. Il obtient une licence de littérature à l'âge de 25 ans<ref>Modèle:Lien brisé.</ref> ; il s'est ensuite formé notamment à l'université de Genève, à l'Institut universitaire d'études européennes où il a obtenu un diplôme en 1985<ref>Liste des mémoires de Master de l'Institut Universitaire d'Etudes européennes de Genève.</ref> et où il fut assistant du professeur Dusan Sidjanski<ref>Un ancien élève de l'Institut européen de Genève président de la Commission, université de Genève.</ref>. Il y découvre la pensée de Denis de Rougemont. Il séjourne aux États-Unis pour parfaire sa formation à l'université de Georgetown.

Parcours politique

Montée en puissance au sein du centre droit

Son parcours politique commence en 1980, lorsqu'il devient membre du Parti social-démocrate (PPD/PSD), un parti de centre-droit. Élu député à l'Assemblée de la République six fois, il entame sa carrière gouvernementale en 1985, au poste de secrétaire d'État adjoint au ministère de l'Administration interne, sur recommandation de Pedro Santana Lopes. Deux ans plus tard, il est nommé secrétaire d'État aux Affaires étrangères et à la Coopération. Au cours de son mandat de cinq ans, il est le principal promoteur des accords entre l'Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola et le Mouvement populaire de libération de l'Angola, qui mettent fin à la guerre civile en Angola.

Il est promu ministre des Affaires étrangères le Modèle:Date, à trente-six ans seulement, et s'attache alors à faire connaître la cause du Timor oriental. À la suite des législatives de 1995, le PPD/PSD est renvoyé dans l'opposition, et lui-même retourne siéger comme député au Parlement, dont il présidera la commission des Affaires étrangères.

À l'occasion du Modèle:21e du PSD, organisé à la fin du mois d'Modèle:Date à Coimbra, il est élu président du parti. Il devient de facto le chef de l'opposition au socialiste António Guterres.

Premier ministre : atlantisme et rigueur budgétaire

Fichier:Bush with Barroso.jpg
À la Maison-Blanche, en compagnie du président des États-Unis George W. Bush, en 2003.

Après avoir remporté les élections législatives de mars 2002, il est chargé de former le gouvernement portugais et de trouver une majorité pour le soutenir. Le Parti social-démocrate (PPD/PSD)de centre droit et libéral ayant obtenu 40,12 % et 105 sièges sur 230, devra cependant s'allier avec le Parti populaire (CDS/PP), une formation de droite qui a obtenu 8,75 % des voix et 14 sièges.

Son principal souci est de sortir le Portugal du marasme économique dans lequel il se trouve en Modèle:Date- avec des Modèle:Citation sur les principaux indicateurs économiques : inflation à 1,5 % (2001), prévisions de croissance de 1,8 % à 2,8 % pour 2002 et déficit budgétaire de 2,2 %. Mais, il imprime au gouvernement un vigoureux tournant atlantiste. Il se range ainsi en Modèle:Date- aux côtés des Américains et Britanniques pour déclencher la deuxième guerre en Irak allant jusqu'à organiser un sommet aux Açores (portugaises) des chefs de gouvernement pro-intervention (George W. Bush, Tony Blair, José María Aznar). Il annule également la participation du Portugal au programme de construction de l'avion militaire européen, Airbus A400M. Un retrait suivi par l'Italie qui coutera à l'avionneur européen près de 2 milliards d'euros<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Fonctions européennes

Le Modèle:Date, Durão Barroso est nommé président désigné de la Commission européenne, choisi à l'unanimité par les exécutifs des Modèle:Nobr de l'Union européenne, lors d'un Conseil européen extraordinaire, les vingt-cinq États membres n'ayant, quelques jours auparavant, en effet pas réussi à se mettre d'accord sur un candidat parmi les noms qui circulent, notamment celui du Premier ministre de Belgique Guy Verhofstadt et celui du britannique, Chris Patten, commissaire européen sortant. Barroso est finalement choisi lors d'un « second tour » ; il est fermement soutenu par le gouvernement britannique qui refuse Guy Verhofstadt, candidat du couple franco-allemand, trop fédéraliste aux yeux de Londres<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Le Parlement européen donne son aval à cette nomination le Modèle:Date- avec 413 voix sur 711 (251 contre et 44 abstentions, 3 nuls)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sa présidence ne devient effective que le Modèle:Date-, et non le Modèle:Date- comme initialement prévu. Il est remplacé à son précédent poste par Pedro Santana Lopes qui sera Premier ministre du Modèle:Date- au Modèle:Date-.

Attaché au libéralisme économique, il est très critiqué par une partie de la presse européenne de gauche ; pourtant, sa vision de la politique européenne se révèle en pratique très indécise selon le journaliste Jean Quatremer<ref>Modèle:Harvsp.</ref> qui parle de Modèle:Citation<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Ainsi Martin Schulz, le président Parlement européen, déclare-t-il : Modèle:Citation.

Il doit affronter en 2005 le non à la Constitution européenne des Français et Néerlandais<ref>Modèle:Harvsp.</ref> ; il déclare néanmoins peu après ces votes négatifs ne pas Modèle:Citation<ref>Discours de José Manuel Durão Barroso sur le bilan de la présidence luxembourgeoise du Conseil de l'Union européenne, Bruxelles, 22 juin 2005, CVCE, Centre virtuel de la connaissance sur l'Europe.</ref>.

Il soutient la proposition de Nicolas Sarkozy de faire un traité modifié (traité de Lisbonne), mais récuse le terme de « traité simplifié ».

En Modèle:Date-, les chefs d'État et de gouvernement le nomment pour un second mandat. Cette nomination est approuvée par le Parlement le Modèle:Date- (382 voix pour, 219 voix contre et 117 abstentions)<ref>Un second mandat pour le président Barroso, site de la commission européenne.</ref>.

Fichier:EPP Dublin Congress, 2014 (12977083735).jpg
Barroso avec le Néerlandais Sybrand van Haersma Buma, en 2014 à un sommet du Parti populaire européen.

Il passe la main fin Modèle:Date- à son successeur à la tête de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, qui entre en fonction le Modèle:Date. À l'heure du bilan, Quentin Dickinson fait un état très critique des dix années passées à ce poste, assénant que Durão Barroso s'est Modèle:Citation. Il met à son actif, lors de son premier mandat, le référendum constitutionnel européen Modèle:Citation à cause de l'intervention du plombier polonais, engendré par Modèle:Citation du président de la Commission qui est un des promoteurs fervents de la directive Bolkestein. Il l'accuse également d'un manque de pertinence dans sa gestion de la crise financière mondiale, laissant partir l'initiative aux pays membres plutôt que de mettre en place une politique coordonnée à l'échelle européenne, l'Europe étant là cantonnée à un Modèle:Citation. En limitant le nombre de textes législatifs portés à l'examen du Parlement européen afin de calmer le jeu avec les capitales européennes, il se met le Parlement à dos. Dickinson est moins négatif sur le second mandat, mais en mettant à l'actif des commissaires les plus actifs, dont Michel Barnier, ses principales réussites.

Reconversion dans le secteur bancaire

Depuis son retrait de la vie politique, José Manuel Durão Barroso est professeur invité à l'université de Princeton<ref>Modèle:Lien web.</ref> et à l'Institut de hautes études internationales et du développement et à l'université de Genève<ref>Modèle:Lien web.</ref>, qui cependant renonce à prolonger son engagement après qu'il a été embauché par la banque d'investissement américaine Goldman Sachs.

En Modèle:Date-, il est annoncé que Durão Barroso est embauché par la banque d'investissement américaine Goldman Sachs comme conseiller<ref name=a/> et qu'il prend la présidence non exécutive du conseil d’administration de sa filiale Goldman Sachs International<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Rapidement, cette annonce est critiquée par certains hommes politiques<ref name=a/> dont notamment Jean-Claude Juncker, qui lui a succédé à la tête de la Commission européenne, puis François Hollande, président de la République française, qui déclare dans son entretien du Modèle:Date- que cette décision est Modèle:Citation<ref name="14 Juillet">Modèle:Lien web.</ref>. Toutefois, l'article 339 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne interdit la divulgation d'information concernant les activités des commissaires durant leur période à la Commission et ce, même après avoir mis fin à leur fonction<ref>Modèle:TFUE, TFUE.</ref>, mais autorise légalement Barroso à prendre de telles responsabilités après son mandat. Ainsi, les anciens commissaires ne peuvent pas exercer de telles fonctions dans les 18 mois suivant la fin de leur fonction<ref name=a>Modèle:Harvsp.</ref>,<ref>« Barroso : ce que dit le droit de l'Union européenne », Médiapart.</ref>, considérant que la pertinence de l'information et son caractère confidentiel s'efface avec le temps. Certains responsables politiques jugent cependant ce délai bien trop court<ref name="La France demande à Barroso"/>.

Controverses

Liens avec le groupe Latsis

Il a notamment nommé conseiller spécial à la commission Dusan Sidjanski, président du Centre européen de la culture, financé par le groupe Latsis de Modèle:Lien. Le groupe Latsis a été plusieurs fois avantagé par la commission, avant l'arrivée de Barroso, comme pour les financements européens en Grèce via la filiale Modèle:Lien et cinq autres contrats divers entre 1999 et 2004. Ce groupe est montré du doigt par certains parlementaires pour son manque de transparence en Grèce et dans les Balkans<ref>Le Canard enchaîné Modèle:N°.</ref>. Une motion de censure a été déposée en 2006 par 77 députés européens à propos des liens entre le président Barroso et ce groupe.

Frais de représentation

En 2010, le service de la Commission chargé de l’exécution des paiements pour frais de missions dévoilait que le coût pour le contribuable européen des « frais de représentation » et « missions » du président de la Commission européenne était de Modèle:Unité pour la seule année 2009, les frais de représentation des 26 autres membres de la Commission s'échelonnant entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref>« En 2009, Barroso a dépensé Modèle:Unité en déplacements » sur liberation.fr.</ref>.

Embauche chez Goldman Sachs

L'annonce de l'embauche de Durão Barroso dans la banque d'affaires Goldman Sachs juste après la fin de son mandat européen a soulevé une vague d'indignation dans toute l'Europe et au-delà<ref name="Pluie">Modèle:Lien web.</ref>.

Plusieurs personnalités politiques françaises y ont vu une faute morale grave, et l'ont appelé à renoncer à cette prise de fonction. Dans un communiqué, les eurodéputés du PS français ont jugé Modèle:Citation ce Modèle:Citation ; Modèle:Citation<ref name="Pluie"/>. Le secrétaire d’État aux affaires européennes de la France, Harlem Désir, a pour sa part déclaré publiquement que cette embauche était Modèle:Citation<ref name="La France demande à Barroso">Modèle:Lien web.</ref>. Le président François Hollande a renchéri, déclarant cette décision Modèle:Citation<ref name="14 Juillet"/>. De son côté, Marine Le Pen a estimé sur Twitter que la nouvelle n'avait Modèle:Citation<ref name="Pluie"/>.

Au Portugal, le chef de file de la gauche portugaise au pouvoir Modèle:Lien a déclaré que Modèle:Citation.

Face au scandale public, le nouveau président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a publié un communiqué indiquant qu'il allait saisir le comité d’éthique ad hoc de la Commission européenne au sujet de cette embauche<ref name="comité d’éthique">Modèle:Harvsp.</ref>.

En Modèle:Date-, la presse portugaise publie des courriers confidentiels autorisant à penser que Durão Barroso a entretenu des liens particuliers avec la banque lorsqu'il était président de la Commission, évoquant des visites officieuses chez elle et des suggestions de la part de la banque d'affaires sur les politiques européennes<ref>« Barroso déjà très proche de Goldman Sachs pendant son mandat », bfmbusiness.bfmtv.com, 25/09/2016.</ref>. Selon le journal portugais Público, les dirigeants de Goldman Sachs Modèle:Citation<ref name="Figaro.fr contact Goldman">« Barroso en contact étroit avec Goldman Sachs durant son mandat ? », lefigaro.fr avec AFP, mis à jour le 25/09/2016 à 18:06. Publié le 25/09/2016 à 18:01.</ref>. D'autre part, M. Barroso aurait fait une visite discrète au siège de Goldman Sachs à New York, visite qui ne figure ni dans son agenda officiel, ni dans les archives de la Commission.

En Modèle:Date- à Bruxelles, une pétition contenant plus de Modèle:Unité signatures a été présentée par un collectif d'employés des institutions européennes. Elle dénonce la décision de Barroso de rejoindre la banque et réclame plus de morale aux dirigeants des dites institutions<ref name="">Modèle:Lien web.</ref>.

En Modèle:Date-, plusieurs ONG spécialisées dans la lutte anti-corruption, unies au sein de la coalition Alter-EU<ref>Modèle:Lien web.</ref>, lui reprochent d'effectuer des activités de lobbying auprès du vice-président de l'exécutif européen Jyrki Katainen, chargé de la compétivité, de la croissance et de l'emploi.Il l'avait rencontré dans un hôtel situé à 50 m de l'ancien bureau de Barroso.Jyrki Katainen ne mentionna pas ce rendez-vous dans le registre de transparence de l'U.E.Il fut contraint postérieurement de le faire citer dans son listing d'activités ,ce qu'il fit de mauvaise grâce puisqu'il omit dans un premier temps d'y faire écrire le nom de Barroso, sa mauvaise volonté ne faisant que renforcer les soupçons de collusion et de lobbying de Barroso auprès de la Commission européenne <ref>Modèle:Article.</ref>.


Barroso est désormais Président du board du GAVI, l'alliance pour les vaccins<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Post Bruxelles

Barroso est professeur à l'Université catholique portugaise depuis 2015. Il enseigne à l'Institut d'études politiques, à la Catholic Global School of Law et à la Catholic Lisbon School of Business and Economics, et dirige le Centre d'études européennes de la même institution<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En février 2015, il est nommé professeur invité à l'Université de Genève et enseigne à l'Institute of Global Studies<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Prises de position

Chine

En Modèle:Date-, concernant l'attribution du prix Nobel de la paix au Chinois Liu Xiaobo, il déclare :

Modèle:Citation<ref>Le Figaro des 9 et 10 octobre 2010 : « Un prix historique pour un homme courageux », page 8.</ref>.

Exception culturelle européenne

Le Modèle:Date-, à la suite de l'exclusion du secteur de l'audiovisuel de la négociation du traité de libre échange entre les États-Unis et l'Union européenne, il déclare, au sujet des opposants au libre échange des contenus culturels : Modèle:Citation<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Indiquant dans le même temps qu'il est favorable à la protection de la diversité culturelle en Europe, il critique la position de la France visant à défendre l'exception culturelle (qui vise à différencier la culture de tout autre bien marchand).

Autres

Langues

Outre sa langue maternelle, il parle couramment le français. Il parle aussi anglais et espagnol, et a suivi un cours pour acquérir une connaissance de base de l'allemand<ref>Entretiens du président Barroso en français, anglais et espagnol. Les vidéos du président Barroso, Commission européenne.</ref>.

Groupe Bilderberg

Il participe à la réunion du Groupe Bilderberg de 2013, 2015, 2016, 2017 et 2019<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

Distinctions

En 2014, Quentin Dickinson liste les distinctions qu'a reçues Durão Barroso du temps de son exercice, trente-et-une décorations honorifiques, trente-deux doctorats honoris causa, cinquante-deux prix et médailles et la citoyenneté d'honneur de six villes, termine par ironiser en le qualifiant de Modèle:Citation<ref name=franceculture>Modèle:Harvsp, chronique de Modèle:Heure.</ref>.

Sociétés savantes

Décorations

Il a obtenu au moins 31 décorations de par le monde : Modèle:Colonnes

Doctorat Honoris Causa

Il a reçu plus de 32 doctorat honoris causa : Modèle:Colonnes

Prix

En 2006, José Manuel Durão Barroso a été épinglé par les associations écologiques qui lui ont décerné le prix Tuvalu du dérèglement climatique pour son double discours en faveur du développement durable et l'absence de volonté pour sa mise en pratique<ref name=ref1>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Date il reçoit de la part de la Modèle:Lang le prix européen Charles-QuintModèle:Sfn et

Publications

Ouvrages de sciences politiques et relations internationales

  • Le système politique portugais face à l'intégration européenne (Lisbonne et Lausanne, 1983)
  • Les processus de démocratisation politique : quelques éléments pour leur analyse à partir du cas portugais (Genève, 1985)
  • Uma Certa Ideia de Europa (1999)
  • Mudar de Modelo (2002)
  • Reformar : Dois Anos de Governo (2004)

Sources

Références

Modèle:Références

Bibliographie

Modèle:Bibliographie sur l'Union européenne

Compléments

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

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