Saint-Martin-Lalande

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Saint-Martin-Lalande <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française, située dans le nord-ouest du département de l'Aude en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le canal du Midi, le Fresquel, le ruisseau de Bassens, le ruisseau de Tréboul, le ruisseau de Mairevieille, le ruisseau de Tiradourès.

Saint-Martin-Lalande est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary. Ses habitants sont appelés les Lalandais ou Lalandaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Martin, inscrite en 1952.

Modèle:Sommaire

Géographie

Commune de l'aire urbaine de Castelnaudary située dans le Lauragais sur une colline dominant la vallée du Fresquel, au sud du village se trouve le canal du Midi, la route ancienne nationale 113, la voie ferrée, l'autoroute A61 et au nord on trouve la Montagne Noire. Elle est à Modèle:Unité de Carcassonne et à Modèle:Unité de Toulouse.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »<ref>Modèle:Lien web</ref>, au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le canal du Midi, le Fresquel, le ruisseau de Bassens, le ruisseau de Tréboul, le ruisseau de Mairevieille et le ruisseau de Tiradourès, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

Le canal du Midi, d'une longueur totale de Modèle:Unité, est un canal de navigation à bief de partage qui relie Toulouse à la mer Méditerranée depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Le Fresquel, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Baraigne et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans l'Aude à Carcassonne, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Le ruisseau de Bassens, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Labécède-Lauragais et s'écoule vers le sud. Il traverse la commune et se jette dans le Fresquel sur le territoire communal, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Le ruisseau de Tréboul, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Mas-Saintes-Puelles et s'écoule vers le sud-est. Il traverse la commune et se jette dans le Fresquel à Villepinte, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 11,1 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnaudary », sur la commune de Castelnaudary, mise en service en 1951<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Martin-Lalande est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74 %), zones agricoles hétérogènes (11,7 %), zones urbanisées (5,8 %), forêts (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), cultures permanentes (1,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Saint-Martin-Lalande est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Glandes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 2000, 2009 et 2018<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:11356-Saint-Martin-Lalande-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Martin-Lalande.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 497 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Histoire

Préhistoire

La commune de Saint-Martin-Lalande est un ancien habitat paléolithique et néolithique. Un atelier de pierres a été repéré à la limite des bois de la Réjane, c'est-à-dire sur une terrasse exposée au midi et surplombant le Fresquel, en travaillant les terres ; on a découvert des haches de pierre qui y étaient enterrées. Puis vient la période protohistorique, l'oppidum à pic sur la vallée du Fresquel, sur la crête. L'oppidum se trouve à l'emplacement des anciennes demeures de templiers au-dessus de l'église. On a retrouvé aussi des silos creusés dans le roc qui parsèment les rues du village, mais aucune fouille systématique n'a été effectuée pour déceler d'éventuelles nécropoles.

Période gallo-romaine

De nombreuses exploitations agricoles gallo-romaines devaient parsemer le territoire de la commune, les trouvailles de tuiles à rebord sont assez fréquentes, des vestiges d'une villa rustiques ont été repérés au domaine de Belz. Une autre a été repéré au domaine d'En Payan ; quand les blés sont assez bas, on décèle les traces de ces villas. Une tombe gallo-romaine à incinération a été mise au jour en 1954 au lieu-dit les Cammazes de la Gleiyos au-dessus du domaine de Belz.

Période médiévale

Le village de Saint-Martin-Lalande a été créé au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, dans le contexte d'insécurité qui régnait à l'époque féodale. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, on trouvait la commanderie des templiers (actuellement rue du Parc). Le "castrum Sancti Martini de Landa" était défendu par des remparts, doublés au midi par des "caves" ou fossés qui avec le temps ont été comblés (actuellement la place de la salle des fêtes). Il n'y avait pas d'église intra-muros car Saint-Martin-Lalande fut au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle un haut lieu du catharisme. D'après les registres de l'inquisition, il y avait dix maisons de parfaits cathares et la plupart des habitants assistaient aux prêches des bons hommes.

En Modèle:Date-, sous les murs de Saint-Martin-Lalande, du côté du Fresquel, se déroula une grande bataille qui opposa les croisés de Simon de Montfort et Raymond VI de Toulouse comte de Foix, sous les pentes du village. Après un dur combat, Raymond Roger, comte de Foix, repoussa les Français vers le village voisin. Voyant ceci, Simon de Montfort accourt pour les dégager en prenant à revers l'armée des Occitans et remporta la bataille. C'est vers 1350 qu'au cœur du village fut construite l'église de style gothique languedocien à nef unique et aux contreforts énormes.

Renaissance

Fichier:Saint-Martin-Lalande - Maison 01.jpg
Maison ancienne près de l'église.

Il reste une maison en restauration qui a été mise en valeur en faisant réapparaître les joints des pierres dans le vieux village à côté de l'église. On retrouve tous ces emplacements sur le compoix, le cadastre actuel, datant de 1566. Puis il y a eu le passage de Catherine de Médicis et de la cour lors du voyage circulaire qu'elle a fait en France en 1566.

Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle

La commune étaient très intense au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, selon les registres de délibérations des consuls et les archives départementales une véritable prospérité due à la culture du pastel et de la garance semble avoir régné sous Louis XVI. La garance était un dérivé du pastel qui a servi à obtenir d'autres couleurs. Plusieurs constructions à cette époque et surtout la construction de l'ancienne voie royale qui est aujourd'hui nommée ancienne 113.

Période contemporaine

À l'heure actuelle, à part les anciens, personne ne distingue les différents quartiers.

Mais il y a une soixantaine d'années, les riches habitaient sur la place, le "Planan" qui était la partie centrale autour de la mairie qui constitue un quadrilatère. Les maisons ont leur façade sur les rues et sont exposées au sud pour profiter au maximum du soleil.

Les pauvres étaient dans ce que l'on appelait le quartier de pana favas [p'anɔ f'aβɔs], c'est-à-dire le quartier des voleurs de fèves.

En occitan, quelqu'un qui vole est un « panaire » [pan'ajre] du verbe « panar » [pan'a] et pour se nourrir, il était obligé de voler des fèves.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe

Fichier:Saint-Martin-Lalande - Mairie.jpg
Mairie de Saint-Martin-Lalande.

Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Ce village a souffert de l'exode rural après 1945. La population du village est tombée à 420 habitants en 1971

De 420 habitants, il est passé à 1100 en 2009 grâce à une dynamique collective, qui a permis de repeupler le village et qui est devenu une banlieue de Castelnaudary.

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 74,1 % d'actifs (66 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs) et 25,9 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castelnaudary, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 187 en 2013 et 199 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 497, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,3 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 497 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 103 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 89,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,2 % les transports en commun, 1,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

50 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Martin-Lalande au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 50
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
11 22 % (8,8 %)
Construction 4 8 % (14 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
9 18 % (32,3 %)
Information et communication 3 6 % (1,6 %)
Activités immobilières 6 12 % (5,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
7 14 % (13,3 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
7 14 % (13,2 %)
Autres activités de services 3 6 % (8,8 %)

Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 50 entreprises implantées à Saint-Martin-Lalande), contre 8,8 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • Smithers Oasis France, fabrication de produits de consommation courante en matières plastiques (Modèle:Unité)
  • Plastindustrie, fabrication de pièces techniques à base de matières plastiques (Modèle:Unité)

Agriculture

La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aude<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 36 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 26 en 2000 puis à 16 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 16 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 56 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 29 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Articles connexes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références nombreuses

Liens externes

Modèle:Autres projets

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