Villerouge-Termenès
Modèle:Infobox Commune de France Villerouge-Termenès Modèle:API-fr (en occitan, Vilaroja de Termenés) est une commune française, située dans le centre du département de l'Aude en région Occitanie. Ses habitants sont les Villerougeois et Villerougeoises.
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Libre, le ruisseau du Rémouly, le ruisseau de Cayrote, le ruisseau de Rouanel, le ruisseau du Bac du Four et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « Corbières orientales » et les « Corbières occidentales ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Villerouge-Termenès est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1836. Ses habitants sont appelés les Villerougeais ou Villerougeaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Étienne, classée en 1913, la Maison Azalbert, inscrite en 1952, le château de Villerouge-Termenès, classé en 1976, et le Socle de croix, inscrit en 1926.
Géographie
Localisation
La commune des Corbières est située au pied du mont Tauch sur le terroir Corbières (AOC), à environ Modèle:Unité au sud-est de Carcassonne.
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
L'accès principal est par l'ancienne route nationale 613. Le col de Villerouge (Modèle:Unité) se trouve sur cette voie en direction de Talairan.
Géologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »<ref>Modèle:Lien web</ref>, au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Libre, le ruisseau du Rémouly, le ruisseau de Cayrote, le ruisseau de Rouanel, le ruisseau du Bac du Four, le ruisseau de Gournel, le ruisseau de la Garrigue, le ruisseau de Menou, le ruisseau de Roche Grise, le ruisseau des Olivières et le ruisseau des Youies, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Le Libre, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Palairac et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Orbieu à Saint-Martin-des-Puits, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le ruisseau du Rémouly, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Palairac et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Nielle à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lagrasse », sur la commune de Lagrasse, mise en service en 1970<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive oiseaux<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref> : :
- les « Corbières orientales », d'une superficie de Modèle:Unité, correspondant à la partie la plus orientale du massif des Corbières audoises. Ce site inclut, dans sa partie la plus orientale, le couloir de migration majeur du littoral languedocien, d'où la présence régulière d'espèces en étape migratoire<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les « Corbières occidentales », d'une superficie de Modèle:Unité, présentant des milieux propices à la nidification des espèces rupicoles : des couples d'Aigles royaux occupent partagent l'espace avec des espèces aussi significatives que le Faucon pèlerin, le Grand-duc d'Europe ou le Circaète Jean-le-Blanc<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : la « clape de Termes et pech Sec » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et le « ruisseau du Libre » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : les « Corbières centrales » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 54 dans l'Aude et 2 dans les Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Villerouge-Termenès.
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Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Villerouge-Termenès est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (49,1 %), forêts (35,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), cultures permanentes (2,7 %), prairies (2,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Logement
En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 137.
Parmi ces logements, 56,9 % étaient des résidences principales, 40,9 % des résidences secondaires et 2,2 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 67,9 %<ref group=I name="insee">Statistiques officielles de l’INSEE (version nov 2016).</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Villerouge-Termenès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Glandes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1992, 1995, 1996, 1999, 2005, 2009 et 2018<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 35,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 116 sont en aléa moyen ou fort, soit 82 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Villerouge-Termenès est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Histoire
Guillaume Bélibaste, dernier "parfait cathare" hérétique, y fut brûlé en 1321.
Modèle:Date : Villerouge devient Villerouge-Termenès.
Héraldique
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 73,9 % d'actifs (53,3 % ayant un emploi et 20,7 % de chômeurs) et 26,1 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.
La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 26 en 2013 et 38 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 52, soit un indicateur de concentration d'emploi de 51,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,3 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 52 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 84,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 3,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
14 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Villerouge-Termenès au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35,7 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 14 entreprises implantées à Villerouge-Termenès), contre 32,3 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises
Revenus de la population et fiscalité
Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 74 représentant Modèle:Nombre et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de Modèle:Euro<ref name="insee" group=I/>.
Agriculture
Modèle:Tableau La commune est dans la « Région viticole » de l'Aude, une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, également dénommée localement « Corbeilles Minervois et Carcasses-Limouxin »<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (38 en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Emploi
En 2014, le nombre total d’emploi dans la zone était de 23, occupant Modèle:Nombre résidants (salariés et non salariés).
Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 68,6 % contre un taux de chômage (au sens du recensement) de 32,2 %. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : étudiants et stagiaires non rémunérés 3,5 %, retraités ou préretraités 14 %, autres inactifs 14 %<ref name="insee" group=I/>.
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d’établissements actifs était de 17 dont 6 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 2 dans l'industrie, 5 dans le commerce-transports-services divers et 4 étaient relatifs au secteur administratif.
Cette même année, 1 entreprise a été créée par un auto-entrepreneur<ref name="insee" group=I/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Au cœur d'un village médiéval se trouve un château se développant selon un plan quadrangulaire marqué par quatre fortes tours d'angle ; c'est là que fut brûlé le dernier Parfait cathare en 1321, (Guilhem Bélibaste).
Autrefois enclos dans ses remparts, Villerouge-Termenès a préservé en son centre le château de l'archevêque de Narbonne, seigneur du lieu au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
Aujourd'hui, le corps du château abrite une exposition permanente divisée en trois registres : au rez-de-chaussée, Bélibaste ; au premier étage, l'archevêque de Narbonne ; au deuxième étage, le château et son village. En 1997, une rôtisserie médiévale a ouvert ses portes dans l'enceinte du château et propose de véritables mets du Moyen Âge au grand public.
- L'église Saint-Étienne. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1913<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le Retable du maître-autel est classé au titre objet des monuments historiques en 1907<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- La croix de chemin de Villerouge-Termenès.
- Le village est inscrit au titre des sites naturels depuis 1942<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Guilhem Bélibaste, dernier parfait cathare occitan.
- Olivier de Termes (1200-1274), seigneur de Termes et coseigneur de Villerouge.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes
Références
Site de l'Insee
Autres sources
Voir aussi
Sources et bibliographie
- Jacques-Michel Ducros - "Le Cœur des Corbières et son Patrimoine" - 2012 - Modèle:ISBN - pages 359 à 378.
Articles connexes
- Liste des communes de l'Aude
- Liste des sites inscrits de l'Aude
- Château de Villerouge-Termenès
- Pélardon