Saint-Beauzély

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Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Beauzély est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Son territoire constitue une partie du parc naturel régional des Grands Causses ; il se développe sur le versant sud des monts du Lévézou, sur la rive droite de la Muze et sur le causse Rouge en rive opposée.

Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre immeubles protégés au titre des monuments historiques : le prieuré de Comberoumal, inscrit en 1929, les sanctuaires des Basiols, inscrits en 1992, l'ancienne église Saint-Jacques de Salsac, inscrite en 1995, et le château, inscrit en 1998.

Modèle:Sommaire

Géographie

Description

Fichier:Saint-Beauzély bourg.jpg
Vue du bourg.

Au sud du Massif central, dans le quart sud-est du département de l'Aveyron, la commune de Saint-Beauzély est située à l'intérieur du parc naturel régional des Grands Causses. Le territoire communal, qui s'étend sur Modèle:Unité, est arrosé par la Muze, un affluent du Tarn. Sa vallée, de direction nord-sud, délimite les deux ensembles distincts qui composent le territoire communal : à l'ouest le massif ancien du Lévézou et à l'est le causse Rouge.

L'altitude minimale, avec 541 ou Modèle:Nobr<ref group=Note> Deux valeurs différentes pour l'IGN, Modèle:Nobr sur la carte et 549 sur son ancien site.</ref>, se trouve localisée à l'extrême sud, près du lieu-dit Moulibez<ref>Modèle:Géoportail.</ref>. L'altitude maximale avec Modèle:Unité est située dans le nord-ouest, sur le Lévézou, en limite de la commune de Curan.

Situé à l'intersection des routes départementales (RD) 30 et 96, le bourg de Saint-Beauzély est situé, en distances orthodromiques, douze kilomètres au nord-ouest du centre-ville de Millau et trente-sept kilomètres au sud-est de Rodez.

La commune est également desservie par les RD 170, 171, 529 et 911.

Au sud, le territoire communal est parcouru sur huit kilomètres par le sentier de grande randonnée GR 62 qui traverse le bourg de Saint-Beauzély et passe devant l'ancien prieuré de Comberoumal. Modèle:Article connexe

Communes limitrophes

Saint-Beauzély est limitrophe de six autres communes.

Au nord-ouest, son territoire est distant de moins de Modèle:Nobr de celui de Vézins-de-Lévézou.

Fichier:Map commune FR insee code 12213.png
Carte de Saint-Beauzély et des communes avoisinantes.

Hydrographie

Fichier:Beauz4.jpg
La vallée de la Muze.

Saint-Bauzély est drainé par plusieurs ruisseaux qui y confluent dans la Muze (affluent du Tarn), un affluent du Tarn et donc un sous-affluent du fleuve la Garonne.

Urbanisme

Modèle:...

Lieux-dits, hameaux et écarts

Hameaux

  • Alaret, hameau situé sur les flancs de la montagne du Lévézou.
  • Azinières est un hameau important de la commune situé sur un flanc de colline du causse Rouge.

L'église Saint-Roch fut bâtie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle en remplacement de l'église de Salsac. Ancienne tour dont l'origine et son utilisation nous sont inconnues.

  • Barruques, hameau important situé sur un flanc du causse, en aplomb de la Muse, près des anciennes carrières de pierre.
  • La Bastisou, maison située à l'extrémité de la commune, à quelques mètres du village de Mauriac dans la commune de Saint-Laurent-du-Lévézou. Avant la Révolution, La Bastisou était dans la paroisse d'Estalane. Elle appartenait à une famille de riches paysans, les Suquet, qui transmettaient systématiquement le prénom Géraud au fils aîné.
  • La Baume, ancien domaine.
  • La Baumette, ancien domaine devenu centre aéré pour les enfants de la ville de Millau.
  • Boulsayret, ancien domaine ou métairie, appartenant à la famille Salgues, puis Fabre, puis De Bonnefous (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). À la Révolution française, le fermier du domaine, Gaven, en devient propriétaire<ref name="bjy">Bou Jean-Yves, La Tacherie, La Devèze et Boulsairet, dans Bulletin du Cercle Généalogique du Rouergue, Modèle:N°, avril 2005, Modèle:P..</ref>.
  • Le Colombier, maison ancienne à la sortie du chef-lieu en direction de Bouloc.
  • Comberoumal, ancien prieuré de moines grandmontains (ordre religieux fondé par Étienne de Muret en 1076), magnifiquement conservé et restauré.
  • La Devèze, ancien domaine ou métairie, appartenant à la famille de Courtines (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle - 1735), puis Poujade notaire de Saint-Beauzély<ref name="bjy" />.
  • Les Gardies, hameau proche du chef-lieu. Sa partie ancienne suivait un plan en T, dont la barre supérieure était le long du chemin de Saint-Laurent. Il s'agissait d'un fief noble longtemps possédé par la famille de Grégoire des Gardies originaire des environs de Millau qui s'éteignit en 1780 dans la famille de Dax d'Axat<ref>Armorial de la noblesse de Languedoc, Généralité de Montpellier, volumes 1 et 2, Paris, Félix Seguin, 1860, vol. 1, page 246, n° 268, lire en ligne.</ref>. La famille Alric, dynastie de notaires, y avait sa maison. La barre "verticale" est un curieux alignement de petites maisons à "balat" (escalier et terrasse en façade) dans une rue en impasse.
  • Gaverlac, hameau qui sous l'ancien régime était dans la communauté et seigneurie de Saint-Beauzély et dans la paroisse de Saint-Laurent.
  • La Lande, ancien domaine de la riche famille Combettes, devenue pépinière d'officiers de l'administration d'Ancien Régime.
  • Muzettes (Musettes), hameau proche du chef-lieu, composé de très belles maisons en pierres de taille, dont certaines sont directement bâties sur le roc.
  • Le Pont de Saint-Beauzély, hameau situé en dessous du chef-lieu, autour du pont en pierre qui franchit la Muse à l'emplacement du passage de l'ancienne voie romaine, restée route principale jusqu'en 1840, quand une autre route et un autre pont furent construits pour éviter les fortes pentes du trajet précédent. Le premier pont aurait construit avec l'argent de la dot d'Alix de Lévézou, mariée en 1228 avec Bernard d'Arpajon. Les armes d'Arpajon sont encore visibles sur le tablier du pont. Ce hameau est composé de deux parties où l'on trouve de très belles maisons anciennes. Sur la rive droite, à l'aplomb du ruisseau, un groupe de maisons formant un carré autour d'une cour, comme un ancien domaine éclaté entre héritiers. Sur la rive gauche, les maisons s'alignent le long du ruisseau, avec en amont les vestiges de l'ancien moulin haut, propriété de la famille Olier, du Modèle:S mini- au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
  • Roquecanude, ancien domaine, carrière.
  • Salsac, lieu où se trouvait une église paroissiale Saint-Jacques, édifice d'origine gallo-romaine, transformé en église préromane au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, puis remanié en style roman au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>

Modèle:Ouvrage </ref>. Le service paroissial fut transféré en 1732 à Azinières où se trouvaient les deux tiers des paroissiens. L'ancienne église sert aujourd'hui de garage et menace ruine. Le domaine agricole dépendait du prieuré de Comberoumal.

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 361, alors qu'il était de 352 en 2013 et de 337 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.

Parmi ces logements, 68,7 % étaient des résidences principales, 20,1 % des résidences secondaires et 11,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 90,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,7 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Beauzély en 2018 en comparaison avec celle de l'Aveyron et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (20,1 %) supérieure à celle du département (17,4 %) et très supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,5 % en 2013), contre 69,3 % pour l'Aveyron et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le logement à Saint-Beauzély en 2018.
Typologie Saint-Beauzély<ref name="LogT2" group="I"/> Aveyron<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>
Résidences principales (en %) 68,7 71,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 20,1 17,4 9,7
Logements vacants (en %) 11,2 10,8 8,2

Toponymie

Le nom de Saint-Beauzély vient de saint Baudile, patron de la paroisse fêté le Modèle:Date-. Temporairement, au cours de la période révolutionnaire, du 7 germinal an II au 26 brumaire an III, Saint Bauzéli de Lévésou adopta le nom de Libre-Muse, en référence à la Muze, cours d'eau principal de la commune. Symboliquement, l'arbre de la liberté fut planté à l'extérieur des remparts. Cet arbre remarquable au centre de la place portant son nom, la place du Marronnier, garde le témoignage de cette période mouvementée.

En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Lang.

Histoire

Modèle:Article détaillé

Occupé très anciennement, ce territoire était traversé par une voie romaine (au sujet du Grand chemin et ses variantes<ref>Vaissière Marc, Pays et paysans du Rouergue, seigneuries et tenanciers de la terre sous l’Ancien Régime, éditions del Monsénher, 2008, Modèle:P.</ref>). Ce n’est toutefois qu’au Moyen Âge que fut bâti et loti le bourg fortifié. Devenu chef-lieu de seigneurie et de paroisse, riche de la production agricole environnante, de sa spécialisation dans l’extraction et le travail de la pierre et comme village-étape sur un axe important, il fut prospère du Moyen Âge au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il obtint le statut de chef-lieu de canton en 1790, ce qui confirma son rôle administratif. Mais la construction, dès la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, d’un axe routier majeur détournant la circulation de la commune (la « route des intendants », actuelle RD 911) et la marginalisation progressive des productions économiques locales contribuèrent à la perte de vitalité et de population de la commune et de son chef-lieu, aux {{#switch: XX

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}}. Cependant, depuis quelques décennies, Saint-Beauzély se développe de nouveau, comme « banlieue » résidentielle de Millau, dans le cadre de la rurbanisation, avec l’installation de jeunes couples qui permettent aux services publics ruraux et à quelques commerces de se maintenir.


Politique et administration

La commune instituée par la Révolution française absorbe entre 1820 et 1834 celles de Castelmus et de Castelnau-Pégayrols. En 1834, Castelnau-Pégayrols est recréé et intègre le hameau de Castelmus<ref name="Cassini"/>.

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Millau du département de l'Aveyron.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Saint-Beauzély<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Tarn et Causses Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Aveyron. Modèle:Article détaillé

Intercommunalité

Penvénan est membre de la communauté de communes de la Muse et des Raspes du Tarn, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 sous le nom de « communauté de communes du Tarn et de la Muse », et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Nobr fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nobr. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Table En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nobr, parmi lesquelles on compte 76 % d'actifs (68,4 % ayant un emploi et 7,6 % de chômeurs) et 24 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Millau, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Nobr en 2018, contre 126 en 2013 et 119 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 255, soit un indicateur de concentration d'emploi de 51,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,8 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 255 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 91 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 81,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,4 % les transports en commun, 3,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

61 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Beauzély au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 61 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
10 16,4 % (17,7 %)
Construction 12 19,7 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
14 23 % (27,5 %)
Information et communication 2 3,3 % (1,5 %)
Activités financières et d'assurance 2 3,3 % (3,4 %)
Activités immobilières 4 6,6 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
4 6,6 % (12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
10 16,4 % (12,7 %)
Autres activités de services 3 4,9 % (7,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 61 entreprises implantées à Saint-Beauzély), contre 27,5 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

Agriculture

La commune est dans les Grands Causses, une petite région agricole occupant le sud-est du département de l'Aveyron<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Table

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 21 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 17 en 2000 puis à 16 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 17 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 19 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 74 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Témoignages du passé préhistorique de la région, sur le territoire communal ont été répertoriés quatre dolmens : ceux d'Azinières<ref>Dolmen d'Azinières, Mégalithes du monde, consulté le 26 juin 2020.</ref>, de Barruques<ref>Dolmen de Barruques, Mégalithes du monde, consulté le 26 juin 2020.</ref>, de Bonneviale<ref>Dolmen de Bonneviale, Mégalithes du monde, consulté le 26 juin 2020.</ref>, et de la Tâcherie<ref>Dolmen de la Tâcherie, Mégalithes du monde, consulté le 26 juin 2020.</ref>.
  • Les sanctuaires des Basiols, du {{#switch:
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}}, sont inscrits depuis 1992<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 25 juin 2020.</ref>.

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}}

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}}

}}, est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1998<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 25 juin 2020.</ref>.

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}}, est inscrite depuis 1995<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 25 juin 2020.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune Modèle:Article connexe

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Modèle:Légende plume

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail