Saint-Symphorien-de-Thénières
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Symphorien-de-Thénières est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église, inscrite en 1927.
Géographie
Généralités
Dans le quart nord-est du département de l'Aveyron, en Viadène (ou Bedène), la commune de Saint-Symphorien-de-Thénières s'étend sur Modèle:Unité. Elle est bordée sur environ trois kilomètres au nord-ouest par la Truyère, face aux communes de Brommat et de Lacroix-Barrez, essentiellement dans la partie amont de la retenue du barrage de Couesques. Au nord, un affluent de la Truyère, le ruisseau des Ondes marque la limite avec la commune nouvelle d'Argences en Aubrac sur environ neuf kilomètres. Saint-Symphorien-de-Thénières est arrosée au sud par un autre affluent de la Truyère, le ruisseau des Vergnes, qui est retenu au barrage de Montézic dont le réservoir, dans sa partie nord-est, se trouve sur le territoire communal.
L'altitude minimale, Modèle:Unité, se trouve à l'ouest, dans la retenue du barrage de Couesques. L'altitude maximale avec Modèle:Unité est localisée au nord-est, au lieu-dit Thénières.
À l'intersection des routes départementales (RD) 233 et 504, le bourg de Saint-Symphorien-de-Thénières est situé, en distances orthodromiques, onze kilomètres au nord-ouest de Laguiole.
La commune est également desservie par la RD 111.
Communes limitrophes
Saint-Symphorien-de-Thénières est limitrophe de six autres communes.
Hydrographie
La commune est drainée par la Truyère, le ruisseau des Ondes, le Sévignou, le ravin de Feyt, le ravin du Serre, le ruisseau de la Plane, le ruisseau de Sibadou, le ruisseau des Vergnes et par divers petits cours d'eau<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>.
La Truyère, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Monts-de-Randon (48) et se jette dans le Lot à Entraygues-sur-Truyère, après avoir arrosé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le ruisseau des Ondes, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune d'Argences en Aubrac et se jette dans la Truyère à Saint-Symphorien-de-Thénières, après avoir arrosé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Deux lacs complètent le réseau hydrographique :
- Le lac de Couesques est un lac de retenue lié au barrage de Couesques. Il s'étend sur Modèle:Unité et Modèle:Unité de longueur. Outre les communes de Campouriez et Saint-Hippolyte, la retenue baigne également quatre autres communes : Brommat et Lacroix-Barrez en rive droite, ainsi que Saint-Gervais et Montézic en rive gauche. Elle est alimentée par la Truyère et son affluent le ruisseau de Gouzou, ainsi que par une trentaine de petits ruisseaux, et sert à alimenter par pompage-turbinage la retenue du barrage de Montézic via la centrale de Montézic<ref name="Couesques">Modèle:Lien web</ref>.
- Le réservoir de Montézic, complète le réseau hydrographique. Il est formé par les digues de l'Étang et de Monnès, la seconde étant pour moitié située sur la commune de Saint-Symphorien-de-Thénières<ref name="Montézic">Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
|
La commune bénéficie d’un « climat semi-continental », ou de marge de montagne, selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'est et le sud-est aveyronais, constitue une transition entre les climats de montagne et le climat océanique altéré<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Aurillac, qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau de la commune<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional de l'Aubrac, créé par décret le Modèle:Date<ref>Modèle:Légifrance</ref> et d'une superficie de Modèle:Unité sur Modèle:Unité, dont 24 dans l'Aveyron, 12 dans le Cantal et 26 dans la Lozère. Région rurale de moyenne montagne, l’Aubrac possède un patrimoine encore bien préservé. Son économie rurale, ses paysages, ses savoir-faire, son environnement et son patrimoine culturel reconnus n'en demeurent pas moins vulnérables et menacés et c'est à ce titre que cette zone a été protégée<ref name="PNRAubrac">Modèle:Lien web</ref> ,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Sites Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles<ref name="MEDDE-Natura1">Modèle:Lien web</ref>.
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref> :
- la « Haute vallée du Lot entre Espalion et Saint-Laurent-d'Olt et gorges de la Truyère, basse vallée du Lot et le Goul », d'une superficie de Modèle:Unité sur Modèle:Unité, dont 31 dans l'Aveyron et 7 dans le Cantal, comprend une partie de la vallée du Lot ainsi que deux de ses affluents : la Truyère et le Goul. Le site est remarquable d'une part du fait de la présence de deux espèces d'intérêt communautaire, la Loutre d'Europe et le Chabot, et de plusieurs habitats aquatiques et forestiers d'intérêts communautaires qui se rapportent aux trois entités paysagères du site<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
et un au titre de la « directive Oiseaux »<ref name= Natura/> :
- les « Gorges de la Truyère », d'une superficie de Modèle:Unité sur Modèle:Unité du département, où douze espèces de l'annexe 1 se reproduisent régulièrement sur le site, parmi lesquelles huit espèces de rapaces<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Saint-Symphorien-de-Thénières comprend trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> :
- les « Gorges de la Truyère de Rueyres au Trébuc » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
- les « Rivières de la Truyère et du Goul » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 9 dans l'Aveyron et 2 dans le Cantal<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
- les « Zones humides des Ondes » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/>, la « Vallée de la Truyère, du Goul et de la Bromme » (Modèle:Unité), qui s'étend sur Modèle:Unité dont 12 dans l'Aveyron et 6 dans le Cantal<ref>Modèle:Lien web</ref>.
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Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
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Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Symphorien-de-Thénières est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,3 %), zones agricoles hétérogènes (32,8 %), prairies (24,7 %), eaux continentales (3,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
Planification
La commune avait engagé en 2017 l'élaboration d'un plan local d'urbanisme<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Symphorien-de-Thénières est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon<ref name="DDRM-liste">Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible<ref name="DDRM-incendie">Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles<ref name="DDRM-liste"/>, conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques<ref name="RG">Modèle:Lien web</ref>
Risques technologiques
Sur le département de l’Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des Modèle:Unité susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Saint-Symphorien-de-Thénières est classée à risque moyen à élevé<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>. Un décret du Modèle:Date- a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique<ref name="R1333-29">Modèle:Lien web</ref> et a été complété par un arrêté du Modèle:Date- portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref name="Arr2018">Modèle:Lien web</ref>.
Histoire
Modèle:… Autrefois couramment appelée Saint Symphorien-Bédène, d'après le nom de son terroir. Sous l'Ancien Régime, cette paroisse devait être particulièrement pauvre car on retrouve certains de ses habitants migrant dans tout le Sud-Ouest du Cantal, l'Est du Lot et le Nord-Aveyron. Il s'agit de la commune la plus représentée parmi les rares migrants que l'on trouvait à l'époque dans la région<ref>Recherches généalogiques dans les registres paroissiaux de toute la région.</ref>.
En 1833, la commune de Saint-Gervais fusionne avec Saint-Symphorien-de-Thénières et le territoire communal de la commune d'Aurières est réparti entre Montézic et Saint-Symphorien-de-Thénières<ref name=Cassini/>.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Saint-Symphorien-de-Thénières est membre de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène<ref name="meta2" group=I/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Laguiole. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie<ref group=I name="meta2">Modèle:Lien web.</ref>. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aubrac et Carladez pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015, et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.
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Saint-Symphorien-de-Thénières dans l'intercommunalité en 2020<ref group=Note>Le périmètre de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène est identique à celui du canton d'Aubrac et Carladez.</ref>.
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Saint-Symphorien-de-Thénières dans le canton d'Aubrac et Carladez en 2020 (périmètre identique à celui de la carte précédente).
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Saint-Symphorien-de-Thénières dans l'arrondissement de Rodez en 2020.
Élections municipales et communautaires
Élections de 2020
Le conseil municipal de Saint-Symphorien-de-Thénières, commune de moins de Modèle:Unité, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours<ref>Article Modèle:Légifrance du Code électoral</ref> avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage<ref>Modèle:Lien web</ref>. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. Sur les douze candidats en lice<ref>Modèle:Lien web.</ref>, onze sont élus dès le premier tour, le Modèle:Date-, correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %<ref>Modèle:Lien web</ref>. Robert Rispal, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le Modèle:Date-<ref name="RNE-3sep2020">Modèle:Lien web</ref>.
Dans les communes de moins de Modèle:Unité, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire<ref>Modèle:Lien web</ref>. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 80,2 % d'actifs (76,6 % ayant un emploi et 3,6 % de chômeurs) et 19,8 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 61 en 2013 et 61 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 85, soit un indicateur de concentration d'emploi de 72,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,4 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 85 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 56 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 65,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,4 % les transports en commun, 5,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 25,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
20 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Symphorien-de-Thénières au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 45 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 20 entreprises implantées à Saint-Symphorien-de-Thénières), contre 17,7 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
La commune est dans l'Aubrac, une petite région agricole occupant le nord du département de l'Aveyron<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 46 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 30 en 2000 puis à 23 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 21 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église de Saint-Symphorien-de-Thénières datant des {{#switch: XVI
| e | er | = {{#switch: XVI
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}} est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1927<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Elle possède une nef de trois travées accompagnée de bas-côtés et terminée par un chœur polygonal avec abside à trois pans.
- Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais de Saint-Gervais.
- Le château de Thénières appelé aussi le château de Tinières.
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Le clocher-mur de l'église. -
Le domaine de la Bouscarie à Saint-Gervais. -
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes