Chaudes-Aigues

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Modèle:Infobox Commune de France

Chaudes-Aigues [{{#ifeq:1|0|ʃodzaj|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}]<ref>Modèle:Pierret.</ref>,<ref>Cette prononciation descend directement de l'occitan local qui possède la particularité de réaliser /g/ intervocalique en /j/. Cette particularité phonétique se retrouve notamment dans le nom de la commune de Laguiole prononcé localement /lajɔl/.</ref> est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes. C'est une station thermale réputée depuis l'Antiquité pour ses eaux chaudes. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Chaudes Aigues est à proximité de l'A75 à l'est à Modèle:Unité de Saint-Flour, Modèle:Unité d'Aurillac, Modèle:Unité de Mauriac, Modèle:Unité de Brioude, Modèle:Unité du Puy, Modèle:Unité de Clermont-Ferrand et vers l'ouest à Modèle:Unité de Saint-Chély-d'Apcher, Modèle:Unité de Mende, Modèle:Unité de Millau et Modèle:Unité de Béziers.

La commune est située dans le département du Cantal (Massif central), dans la partie de l'Aubrac cantalien. Elle est bordée au nord par les gorges de la Truyère dans lesquelles est établi le barrage de Lanau, et traversée par son affluent, le Remontalou.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géothermie et thermalisme

Fichier:Source du Par.jpg
La source du Par.

Chaudes-Aigues possède une trentaine de sources d'eau chaude naturelles dont la température est comprise entre Modèle:Tmp et Modèle:Tmp et dont le débit total avoisine les Modèle:Unité par jour (Modèle:Unité).

La plus renommée est la source du Par avec des eaux de Modèle:Tmp – soit l'une des plus chaudes d'Europe – dont le débit est voisin de Modèle:Unité ; elle fournit à elle seule la moitié de la production d'eau de la ville. Le nom de cette source vient du fait que les cochons y était « parés », c’est-à-dire nettoyés, épilés grâce à l'eau chaude<ref name="villesdeaux2">Modèle:Pdf « Amélioration de la connaissances des ressources en eau souterraine des sites thermaux en Auvergne », site de Chaudes-Aigues. P. Bérard, M. Loizeau, collaborateurs D. Rouzaire & P. Vigouroux. Étude réalisée dans le cadre des opérations du service public du BRGM 02-ETM-102. Modèle:Date-.</ref>. L'eau servait aussi à parer les pieds et têtes de veau, et à dégraisser la laine de mouton<ref name="villesdeaux">Chaudes-Aigues – Inventaire du patrimoine thermal. Association Route des villes d’eaux du Massif Central, Modèle:P..</ref>.

Fichier:Cascade1caleden cp.tif
Les thermes.

Un réseau de chauffage par géothermie, partagé parmi les habitants, a été mis en place dès 1332. Le rez-de-chaussée d'une quarantaine de maisons était chauffé par différentes sources. Un système de canalisations partageait la chaleur suivant la taille de la maison (conduite en I pour les petites, en L pour les moyennes et en M pour les grandes). Ce chauffage était gratuit pour les habitants le long de ces cours d'eau chaude souterrains, ils devaient cependant se charger de l'entretien (détartrage) des conduites.

Ce système était en place jusqu'à la décision du conseil municipal de construire le Centre thermal CALEDEN<ref>Caleden - Complexe thermal et thermoludique, sur le site caleden.com, consulté le Modèle:Date-.</ref> et de requérir l'eau chaude des sources publiques pour l'établissement thermal, ouvert en 2009, qui soigne les rhumatismes et l'arthrose. Ainsi on coupa l'eau chaude à la plupart des maisons pour le tourisme. Aujourd'hui seules les maisons sur des sources privées sont encore chauffées comme avant. Du côté public, l'on chauffe en été l'eau de la piscine (indirectement) et en hiver l'église (directement) avec le surplus de la source du Par.

Urbanisme

Typologie

Chaudes-Aigues est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en Modèle:Date-, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à Modèle:Unité, le lac du Barrage de Sarrans, est également une commune littorale au sens de la loi du Modèle:Date-, dite loi littoral<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des Modèle:Nb, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,1 %), prairies (34,6 %), zones agricoles hétérogènes (13 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,3 %), terres arables (3,5 %), zones urbanisées (0,5 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 872, alors qu'il était de 868 en 2013 et de 823 en 2008<ref name="LogCom" group="I"/>.

Parmi ces logements, 43,9 % étaient des résidences principales, 41,6 % des résidences secondaires et 14,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 67,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 32,1 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chaudes-Aigues en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (41,6 %) supérieure à celle du département (20,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,2 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le logement à Chaudes-Aigues en 2018.
Typologie Chaudes-Aigues<ref name="LogCom" group="I">Modèle:Lien web.</ref> Cantal<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref>
Résidences principales (en %) 43,9 67,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 41,6 20,4 9,7
Logements vacants (en %) 14,5 11,9 8,2

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée De Calide Aquis en 1130 et sous sa forme occitane ancienne Chadasaygas en 1303<ref name="Nègre">Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Modèle:Nobr romains, Librairie Droz 1991. Modèle:P..</ref>. Le nom occitan actuel est Chaldas Aigas<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

La forme moderne Chaudes-Aigues repose sur une francisation des mots nord-occitans chaldas aigas « eaux chaudes ». Ils correspondent aussi à l'occitan languedocien caudas aigas donnant Caudesaigues, nom d'un hameau de Caylus dans le Tarn-et-Garonne<ref name="Nègre"/>.

Histoire

Une station thermale antique

Chaudes-Aigues était sous l'Empire romain une ville thermale. Vers l'an 450, Sidoine Apollinaire reconnait la qualité thérapeutique des eaux de Chaudes-Aigues, qu'il nomme Calentes Baioe, pour la phtisie et les maladies hépatiques.

Les alentours de la fontaine du Par ont livré aux fouilles deux grottes contenant des vestiges de thermes, deux baignoires romaines en lave volcanique, une piscine et des monnaies romaines. Les invasions barbares passent et ne laissent que les sources.

Chaudes-Aigues au Moyen Âge

Le seigneur Bodon, qui possède la villa du Par sous Charles le Gros et sous son fils Charles, la donne en 886 au chapitre de Saint-Julien-de-Brioude avec toutes ses dépendances rurales. Au Moyen Âge, Chaudes-Aigues inclut plusieurs maladreries et des couvents possédant des étuves et des piscines. Les gens du peuple côtoient la bourgeoisie dans la piscine publique du quartier du Par. En 1332, des particuliers s'approprient les sources pour chauffer les maisons<ref name="villesdeaux2"/>. Après la défaite de Modèle:Souverain3 (1396 - 1450), Modèle:Souverain2 vend la baronnie au duc Jean de Bourbon, qui la vend en 1443 au mercenaire Jean Salazar, qui la revend à nouveau en 1450 à Modèle:Souverain3.

Anciennes familles

  • Famille Babut. On trouve dans un manuscrit de Charles d’Hozier conservé à la Bibliothèque nationale<ref>Cabinet d’Hozier, dossier 22, folio 498</ref> une "Généalogie ou filiation de la maison de Babute qui a pris son tour dès l’an 811 et depuis firent bâtir une forte et belle tour près de Chaudes-Aigues en Auvergne, en l’an 994, au temps de Hugues Capet, laquelle a subsisté jusqu’au temps… et du voyage de Godefroid de Bouillon et a été possédé par plusieurs du nom de Babute jusqu’à Raoul de Babute qui vivait en l’an 1002 et se nommait… la maison ou baronnie de Babute"<ref>Généalogie des familles Babut du Marès et apparentées.</ref>.

Seigneurs

La ville possède un château. En 1283, le marquis de Canilhac, à qui il appartenait, en rendit hommage au prieur de Saint-Flour. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le châtelain était Amauri de Sévérac, maréchal de France sous Modèle:Souverain-, et à sa mort ce fut son frère Charles de Bourbon.

Chaudes-Aigues à l'époque moderne

En 1495, il passa par don à Charles de Bourbon-Malause, fils naturel de Modèle:Souverain- et de Louise d'Albret d'Estouville. Resté dans la famille jusqu'en 1744, il revint à la couronne en 1778<ref name="revuedeparis">Revue de Paris, Modèle:4e, tome 7. Ch. Nodier et Taylor. 1832. Modèle:P..</ref>.

Le château de Couffour surplombe la ville au sud. On trouve aussi dans les environs le château de Montvallat, possédé par le chevalier Guillaume de Montvallat en 1364. Ce château a été pris par les huguenots en 1593 après un siège<ref name="revuedeparis"/>.

Modèle:Référence nécessaire.

L'hydrologue Jean Blanc en 1618 qualifie les sources de très chaudes, sulfurées et bitumineuses (cette dernière qualité sera infirmée par des analyses modernes). En 1671, Du Clos reconnaît la présence dans l'eau du nitre antique. Après une baisse de fréquentation pendant la Révolution, la ville voit un regain d'activité thermale pendant l'Empire<ref name="villesdeaux2"/>.

En 1676, une maison de religieux de Notre-Dame a été fondée. Il y avait aussi un chapitre et un hôpital fondé par Guillaumette de Fontanges, dame de Saint-Juéry. À l'origine simple communauté de prêtres, les chanoines furent plus tard érigés en chapitre collégial<ref name="revuedeparis"/>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Modèle:...

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Première Guerre mondiale

Modèle:... Extraction de minéraux pour créer de la poudre à canon pour les Allemands, avant la fermeture de la mine en 1912

L'Entre-deux-guerres

En 1935, la commune de Chaudesaigues change de nom pour Chaudes-Aigues.

Seconde Guerre mondiale et période contemporaine

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Chaudes-Aigues a été un centre de la Résistance intérieure française, plus précisément l’un des trois réduits du groupe Auvergne du groupement du Massif Central<ref>A Anterrieux mais pas à chaudes aigues, beaucoup de Famille de chaudes aigues ont dénoncé des Juifs en 1940 et ont hérité 80 %des bâtiments présents dans la ville. Environ 75000 personnes de confession juives ont été deportées."Le centre de résistance de la Truyère, l’un des réduits du groupe Auvergne du groupement du Massif Central", LE LIEN Modèle:N°, Modèle:P.</ref>. Ce réduit s'appuie sur le maquis constitué d'une quarantaine d'anciens militaires, implantés dès la dissolution de l’armée d'armistice en Modèle:Date- dans la commune voisine des Deux-Verges. Il est commandé par Henri Crevon alias Pasteur.
Prévu pour recevoir l’effectif de cinq bataillons, ce réduit a pour mission d’intervenir éventuellement en direction de celui du mont Mouchet. Le Modèle:Date-, l’effectif du réduit est de Modèle:Nombre armés, articulés en 14 compagnies. La mission Freelance du SOE (capitaine John Farmer) assure les liaisons avec Londres. Elle dispose de cinq terrains de parachutage situés non loin de Jabrun et du Pont Rouge.
Après s'être découvert dans une série d'attaques notamment les 10 et Modèle:Date- sur Lorcières et Clavières, le réduit est attaqué avec violence les 20-Modèle:Date-, par l’action convergente de trois unités de la Wehrmacht appuyées par une artillerie et par un appui aérien efficaces : - au nord ouest de Pierrefont, au Pont de Tréboul, par le Modèle:1000e d’infanterie motorisé, - à l’est de Saint-Chély-d'Apcher, à Fournels, par la Légion azerbaïdjanaise, - au nord est de Garabit, à Fridefont, par la Légion des Tatars de la Volga. Devant l'évidente disproportion des forces et des puissances de feu, l’ordre de décrochage est donné dans la soirée du Modèle:Date-. Les pertes sont limités à 120 morts parmi les maquisards et la population, mais de nombreux blessés doivent être évacués par des volontaires, parfois par chars à bœufs, sous la menace permanente de l’aviation allemande, pour rejoindre le réduit du Lioran.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Chaudes-Aigues est membre de l'intercommunalité Saint-Flour Communauté<ref name="meta2" group=I/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Saint-Flour. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Flour, à la circonscription administrative de l'État du Cantal et à la région Auvergne-Rhône-Alpes<ref group=I name="meta2">Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Neuvéglise-sur-Truyère pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta2" group=I/>, et de la deuxième circonscription du Cantal pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2020, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 20,4 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (26,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (48,2 %) est supérieur au taux départemental (36,3 %).

En 2020, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 50,61 % de femmes, inférieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Manifestations culturelles et festivités

Festival du Tatouage à Chaudes-Aigues

Modèle:Article détaillé Les 6 et 7 juillet 2013, s'est tenu à Chaudes-Aigues le premier Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues organisé par Stéphane Chaudesaigues. La convention réunissait environ cent quarante tatoueurs de tous styles qui ont réussi à attirer Modèle:Nombre personnes dans la petite ville.

Économie

Productions

Fichier:Couffour restaurant Vieira.jpg
Le château de Couffour.

Les produits du terroir tels que la viande d’Aubrac, la fouace, l’aligot, le tripou ou encore le pounti sont sur les cartes des restaurants.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Chaudes-Aigues-Lavoir.JPG
Le lavoir d'eau chaude.
  • Le château de Couffour ;
  • Le château de Montvallat ;
  • L'église Saint-Martin-et-Saint-Blaise fut donnée par Aymeri, évêque d'Auvergne, au monastère de Sauxillange en 1131<ref name="revuedeparis"/> ;
  • La chapelle Notre-Dame-de-Pitié ;
  • Les huit petits oratoires suspendus et renfermant les saints protecteurs de la ville<ref>Petit patrimoine</ref> :
    • Saint Jean le pauvre
    • Saint Roch
    • Saint Jacques
    • Saint Jean le Riche
    • Saint Joseph
    • Sainte Élisabeth, mère de saint Jean
    • Notre-Dame d'Août
    • Notre-Dame de l'Annonciation

Une des particularités de cette petite cité thermale, la seule station thermale du Cantal, est aussi de posséder pour chaque quartier un oratoire, appelés niche, dédié au saint patron du quartier. On en dénombre huit au total : saint Jean le pauvre, saint Roch, saint Jacques – Chaudes-Aigues se trouve sur un chemin de Compostelle –, Saint Jean le Riche, Saint Joseph, sainte Élisabeth, Notre-Dame d'Août (ou de l'Assomption), Notre-Dame de l'Annonciation.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Bibliographie

  • Suzanne Ardourel, Les Eaux hyperthermales de Chaudes-Aigues, Université de Montpellier, 1964 (thèse de médecine)
  • H. Bellon et J. P. Gibert, « Datations absolues du contexte géologique de l'aire d'émergence des eaux hyperthermales de Chaudes-Aigues, Cantal, France », C.R Acad. Sc., Paris, Modèle:T., (D) 1975, Modèle:P.
  • G. Bertrand, J. P. Gibert et R. Laugier, « Caractères physiques et modalités d'émergence des eaux thermales de Chaudes-Aigues (Cantal) », C.R Acad. Sc., Paris, Modèle:T., (D), 1977, Modèle:P.
  • P. Cailleaux, C. Fouillac, G. Michard et C. Ouzounian, « Étude géochimique des sources thermales de Chaudes-Aigues (Cantal). Conséquences géochimiques », C.R Acad. Sc., Paris, Modèle:T., (D), 1976, Modèle:P..
  • Pierre Chassang, Chaudes-Aigues : une description, une histoire, Éditions Gerbert, 1982, Modèle:Nb p.
  • Alphonse Chevallier, Essai sur Chaudes-Aigues, département du Cantal, et analyse chimique des eaux minérales-thermales de cette ville, 1828, réédité en facsimile sous le titre Les Eaux de Chaudes-Aigues, Res universis, Paris, 1991, Modèle:Nb p. Modèle:ISBN
  • A. Dupis et J. P. Gibert, « Apport de la magnétotellurique de faible profondeur aux études hydrogéologiques : exemple de l'aire d'émergence d'eaux hyperthermales de Chaudes-Aigues », C.R Acad. Sc., série D, 1977, Modèle:P..
  • J. P. Gibert et Serge Paul, « Télédétection aérienne et phénomènes géothermiques : bilan des recherches technologiques et méthodologiques sur le site naturel de Chaudes-Aigues », Cahiers géologiques, 1983, Modèle:N°
  • Christian Marchi, Le Cantal, Éditions de Borée, 1995, Modèle:P. Modèle:ISBN
  • G. Vasseur, G. Michard et C. Fouillac, « Contraintes sur la structure profonde et le fonctionnement du système hydrothermal de Chaudes-Aigues (France) », Hydrogéologie, 1997, Modèle:N°, Modèle:P..

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Saint-Flour Communauté Modèle:Palette Stations thermales de France par régions Modèle:Portail