Épinay-sous-Sénart
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Épinay-sous-Sénart (prononcé Modèle:MSAPI <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune française située à vingt-deux kilomètres au sud-est de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Spinoliens<ref>Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 17/07/2008.</ref>.
Géographie
Bordée par l’Yerres et la forêt de Sénart, proche de grands axes de communication, Épinay-sous-Sénart est une ville de plus de Modèle:Nombre située dans le département de l’Essonne. Modèle:Section à sourcer Épinay-sous-Sénart rassemble une population hétéroclite, près d’une centaine d’associations et des entreprises qui bénéficient de la zone franche urbaine qui rassemble les quartiers de la Croix Rochopt, les Petits sanceaux, le Clos Guillaume, Le Pré aux agneaux, le Gué Mandres, et les grands ensembles de la Plaine 1 (Région Française), la Plaine 2 (les Écrivains), la Plaine 3 (les Musiciens) et les Cinéastes ainsi que la zone Industrielle de la Foret, dans le vieil Épinay-sous-Sénart.
Situation
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 30,6 % | 109,50 |
Espace urbain non construit | 10,7 % | 38,20 |
Espace rural | 58,8 % | 210,47 |
Source : Iaurif MOS 2008<ref name=":1">Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 11/11/2010.</ref> |
Épinay-sous-Sénart est située à vingt-deux kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame<ref>Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, point zéro des routes de France, neuf kilomètres au nord-est d'Évry<ref>Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, dix kilomètres au nord-est de Corbeil-Essonnes<ref>Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, dix-neuf kilomètres au nord-est de Montlhéry<ref>Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, vingt et un kilomètres au sud-est de Palaiseau<ref>Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, vingt-trois kilomètres au nord-est d'Arpajon<ref>Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, vingt-six kilomètres au nord-est de La Ferté-Alais<ref>Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, trente-trois kilomètres au nord-est de Milly-la-Forêt<ref>Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, trente-neuf kilomètres au nord-est d'Étampes<ref>Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>, quarante et un kilomètres au nord-est de Dourdan<ref>Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.</ref>. Modèle:…
Hydrographie
La commune est traversée par la rivière l'Yerres, rivière affluent de la Seine. Modèle:…
Relief et géologie
Le point le plus bas de la commune est situé à trente-sept mètres d'altitude et le point culminant à quatre-vingt-sept mètres<ref>Modèle:Géoportail.</ref>. Modèle:…
Communes limitrophes
Climat
Modèle:Article connexe Épinay-sous-Sénart, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé aux hivers frais et étés doux, avec des précipitations régulières sur l'ensemble de l'année. En moyenne annuelle, la température s'établit à Modèle:Unité, avec une moyenne maximale annuelle de Modèle:Unité et une moyenne minimale de Modèle:Unité. Le record de température la plus basse fut établi le Modèle:Date avec Modèle:Unité. La moindre densité urbaine explique une différence négative de deux à trois degrés relevée entre Brunoy et Paris. L'ensoleillement totalisant 1 798 heures est comparable à l'ensemble des régions au nord de la Loire mais moindre qu'au nord du département par la présence fréquente de nappe de brume à proximité de l'Yerres et de la vaste forêt de Sénart. Enfin, les précipitations s'établissent à Modèle:Unité annuels, avec une moyenne mensuelle proche de cinquante millimètres et une pointe à soixante-trois millimètres en mai.
Voies de communication et transports
La ville d'Épinay-sous-Sénart peut être accessible en transports en commun. En effet, les lignes de bus C et 91.01 du réseau de bus Val d'Yerres Val de Seine desservent la ville, ces dernières partant de la gare de Boussy en passant par la gare de Brunoy, desservies par les trains de la ligne D du RER.
Lieux-dits, écarts et quartiers
Une dizaine de quartiers compose la ville, la Plaine 1, la Plaine 2, la Plaine 3, les Cinéastes, la Croix Rochopt, les Petits Sanceaux, le Clos Guillaume, le Pré aux Agneaux, le Gué Mandres et le Vieil Épinay avec la zone industrielle de la Forêt<ref>Cartes de zonage d'Épinay-sous-Sénart sur le site de l'Insee. Consulté le 26/02/2011.</ref>.
Néanmoins plusieurs quartiers ont été rattachés afin de créer le quartier prioritaire et la zone franche urbaine de la Plaine-Cinéaste. En 2018, il compte Modèle:Unité habitants, soit plus de la moitié de la population de la ville<ref>Quartier Prioritaire : Plaine - Cinéastes sur sig.ville.gouv.fr</ref>.
Urbanisme
Typologie
Épinay-sous-Sénart est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
La commune est au delà du seuil de HLM fixé par la loi SRU, puisqu'elle était à 43% en 2021 (https://actu.fr/societe/dans-quelles-villes-de-l-essonne-y-a-t-il-le-plus-de-logements-sociaux_46670962.html).
Toponymie
Spinolium en 637, Espinolium en 1298, Espinoletum Sae Genovefae au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Epiney<ref>Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.</ref>.
La commune fut créée en 1793 sous le nom d'Épinay-sous-Sénart, le nom actuel fut introduit par le Bulletin des lois en 1801<ref name="Cassini"/>.
Histoire
Histoire des Cinéastes
Modèle:Section à sourcer Les Cinéastes, autrefois Gerbeaux, sont sortis de terre en 1967.
Alors qu’Épinay-sous-Sénart est encore un village, l’actuel quartier des Cinéastes fait partie des terres fertiles de la ville grâce à leur proximité avec l’Yerres. Puis avec les années soixante, du village naît une ville. En 1967, un lot de 810 logements est mis en chantier, baptisé résidence les Gerbeaux en l’honneur du passé rural d’Épinay-sous-Sénart, les numéros vont de 1 à 36. À partir de 1969, au fur et à mesure des installations, près de 4 000 Spinoliens vont vivre dans ces petits immeubles bordés de rosiers dont certains ouvrent leurs fenêtres sur la prairie et sur l’Yerres. Les enfants jouent sur le terrain d’aventure la Plaine Robinson situé derrière la Résidence. Pour accueillir ces nouveaux habitants deux groupes scolaires, Gerbeaux 1 et Gerbeaux 2, sont réalisés en Modèle:Date- et Modèle:Date-.
Vingt ans passent. Avec le temps, les logements vieillissent et le cadre de vie de la résidence des Gerbeaux est dégradé. En 1987, une rénovation-réhabilitation du quartier est envisagée et avec elle, le désir de la municipalité de l’époque, de lui donner une nouvelle identité. La résidence des Gerbeaux devient le quartier des Cinéastes par la délibération du Modèle:Date-. Les 16, 17, 18 et 19 résidence les Gerbeaux deviennent les 5, 6, 7 et 8 allée François-Truffaut. Le même jour le groupe scolaire Gerbeaux I prend le nom de Georges-Brassens tandis que Gerbeaux II devient le groupe scolaire Jacques-Brel. Une maison de quartier est créée : le centre social Jean-Monnet.
En 1990, le quartier des Cinéastes est inscrit dans le contrat de plan État-Région en site développement social des quartiers.
En 1994, le désenclavement des Cinéastes est amorcé par la réalisation de la voie reliant la rue Jean Paul-Sartre à la rue de l’Ile-de-France puis en 1998, avec la voie Hitchcock / Daudet, les Cinéastes sont reliés à la Plaine I.
Histoire du collège la vallée
Modèle:Section à sourcer À la rentrée 1969, un établissement neuf ouvre ses portes : le collège 600.
En hommage au comédien, la municipalité émet le vœu de l’appeler le CES Gérard-Philippe.
Très vite l’établissement s’avère trop petit. Le collège devient lycée et prend le nom de Maurice-Eliot le Modèle:Date-. La construction d’un nouvel établissement, plus grand, débute en 1973. D’une superficie de Modèle:Unité, le CES 900 accueille ses premiers élèves le Modèle:Date- et prend le nom de collège La Vallée en Modèle:Date-.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du Modèle:Date-<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son Arrondissement de Corbeil après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.
Pour l'élection des députés, la ville fait partie de la neuvième circonscription de l'Essonne.
Elle faisait partie de 1806 à 1919 du canton de Boissy-Saint-Léger, année où elle intègre le canton de Villeneuve-Saint-Georges, puis, en 1964, celui de Canton de Brunoy du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de l'Essonne, elle devient le chef-lieu du canton d'Épinay-sous-Sénart<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est étendu, passant de 4 à huit communes (plus une partie de celle de Brunoy).
Intercommunalité
La ville adhérait depuis 2002 à la communauté d'agglomération du Val d'Yerres.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du Modèle:Date-, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le Modèle:Date- un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération Sénart Val de Seine, de la communauté d'agglomération du Val d'Yerres et extension du nouveau regroupement à la commune de Varennes-Jarcy<ref>Modèle:Lien web.</ref> », jusqu'alors membre de la communauté de communes du Plateau Briard. Celle-ci, après une consultation de ses habitants<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui s'est tenue en Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref>, intègre néanmoins la communauté de communes de l'Orée de la Brie le Modèle:Date-, de manière à ne pas être concernée par la Métropole du Grand Paris<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Les communes de Sénart Val de Seine s'opposent à la création, et le maire de Draveil, Georges Tron, organise un référendum dans sa ville, qui aboutit à un rejet de la fusion par 98,3 %, mais avec une participation limitée à 23 % des électeurs<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
La création de la nouvelle communauté d'agglomération est néanmoins créée par arrêté préfectoral du Modèle:Date- « portant création d’un établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion des communautés d’agglomération Sénart Val de Seine et Val d’Yerres », dénommée communauté d'agglomération Val d'Yerres Val de Seine.
Tendances et résultats politiques
- Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours
- Élection présidentielle de 2002 : 85,54 % pour Jacques Chirac (RPR), 14,46 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 71,07 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.</ref>.
- Élection présidentielle de 2007 : 59,68 % pour Ségolène Royal (PS), 40,32 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 83,78 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.</ref>.
- Élection présidentielle de 2012 : 66,62 % pour François Hollande (PS), 33,38 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 75,39 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 08/05/2012.</ref>.
- Élection présidentielle de 2017 : 76,37 % pour Emmanuel Macron (LREM), 23,63 % pour Marine Le Pen (FN), 69,60 % de participation.
- Élections législatives, résultats des deuxièmes tours
- Élections législatives de 2002 : 51,32 % pour Georges Tron (UMP), 48,68 % pour Florence Léon-Ploquin (PS), 48,44 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.</ref>.
- Élections législatives de 2007 : 53,57 % pour Thierry Mandon (PS), 46,43 % pour Georges Tron (UMP), 50,56 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.</ref>.
- Élections législatives de 2012 : 69,87 % pour Thierry Mandon (PS), 30,13 % pour Georges Tron (UMP), 46,18 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 21/06/2012.</ref>.
- Élections législatives de 2017 : 62,30 % pour Marie Guévenoux (LREM), 37,70 % pour Véronique Carantois (LR), 30,88 % de participation.
- Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores
- Élections européennes de 2004 : 28,76 % pour Harlem Désir (PS), 11,85 % pour Patrick Gaubert (UMP), 39,26 % de participation<ref>Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.</ref>.
- Élections européennes de 2009 : 19,69 % pour Michel Barnier (UMP), 18,50 % pour Harlem Désir (PS), 31,40 % de participation<ref>Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.</ref>.
- Élections européennes de 2014 : 18,70 % pour Aymeric Chauprade (FN), 17,86 % pour Dominique Jamet (DLR), 32,84 % de participation<ref>Résultats de l'élection européenne 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/10/2014.</ref>.
- Élections européennes de 2019 : 17,86 % pour Nathalie Loiseau (LREM), 15,45 % pour Jordan Bardella (RN), 41,30 % de participation.
- Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores
- Élections régionales de 2004 : 59,43 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 30,44 % pour Jean-François Copé (UMP), 63,31 % de participation<ref>Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.</ref>.
- Élections régionales de 2010 : 69,93 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 30,07 % pour Valérie Pécresse (UMP), 39,85 % de participation<ref>Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 30/03/2010.</ref>.
- Élections régionales de 2015 : 52,16 % pour Claude Bartolone (PS), 30,24 % pour Valérie Pécresse (LR), 46,38 % de participation.
- Élections cantonales et départementales, résultats des deuxièmes tours
- Élections cantonales de 2004 : 59,38 % pour Richard Messina (PS), 40,62 % pour David Nadeau (UMP), 63,29 % de participation<ref>Résultats de l'élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.</ref>.
- Élections cantonales de 2011 : 73,60 % pour Romain Colas (PS), 26,40 % pour Jean Legangneux (FN), 36,16 % de participation<ref>Résultats de l'élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 01/04/2011.</ref>.
- Élections départementales de 2015 : 68,42 % pour Damien Allouch et Annick Dischbein (PS), 31,58 % pour Olivia Le Roux et Laurent Stillen (FN), 41,19 % de participation.
- Élections municipales, résultats des deuxièmes tours
- Élections municipales de 2001 : 36,54 % pour Christine Scelle-Maury (PS), 32,23 % pour David Nadeau (DVD), 57,89 % de participation<ref>Résultats de l'élection municipale 2001 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.</ref>.
- Élections municipales de 2008 : 51,54 % pour Christine Scelle-Maury (PS) élue au premier tour, 35,59 % pour David Nadeau (UMP), 59,83 % de participation<ref>Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/01/2013.</ref>.
- Élections municipales de 2014 : 39.22 % pour Georges Pujals (DVD), 25.07 % pour Pascal Michelangeli (PS), 60,19 % de participation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Élections municipales de 2020 : 56,25 % pour Damien Allouch (PS), 43,75 % pour Georges Pujals, maire sortant (DVD), 50,10 % de participation<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Référendums
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 80,92 % pour le Oui, 19,08 % pour le Non, 26,05 % de participation<ref>Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 22/07/2009.</ref>.
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 60,27 % pour le Non, 39,73 % pour le Oui, 63,73 % de participation<ref>Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/07/2009.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
Modèle:Début de carte[[Image:Modèle:Géolocalisation/Europe|300px|Localisation des villes jumelées avec Épinay-sous-Sénart.]] Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:Fin de carte
Épinay-sous-Sénart a développé des associations de jumelage avec :
- Modèle:Jumelage, située à Modèle:Unité<ref>Fiche du jumelage Épinay-sous-Sénart - Isernhagen sur le site du ministère français des Affaires étrangères. Consulté le 08/01/2013.</ref> ;
- Modèle:Jumelage, située à Modèle:Unité<ref>Fiche du jumelage Épinay-sous-Sénart - Peacehaven sur le site du ministère français des Affaires étrangères. Consulté le 08/01/2013.</ref>.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 47,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 15,9 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 52,80 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
Les élèves d'Épinay-sous-Sénart sont rattachés à l'académie de Versailles. La commune dispose des écoles primaires du Pré-aux-Agneaux, Alphonse-Daudet, Jacques-Brel, Georges-Brassens et de la Croix-Rochopt<ref name=":0">Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 14/09/2010.</ref>, du collège de la Vallée et du lycée général et technologique Maurice-Eliot<ref>Liste des établissements du second degré de l'Essonne sur le site de l'Académie de Versailles. Consulté le 04/10/2010.</ref>.
Culture
Modèle:Section à sourcer La La Maison des Arts et de la Cultureest un lieu pluridisciplinaire, regroupant différents espaces d'expression, de diffusion, de soutien à la création artistique et d'action éducative et culturelle : Ma MAC a ouvert ses portes le Modèle:Date-. Elle comprend notamment :
- la salle de spectacle Eugène-Ritt (400 Places assises et 700 debout)
- la Galerie d'exposition dite « Nef » de Modèle:Unité
- le studio de musique Jacques-Ysaebert
- l'atelier de sculpture Jacques Froment-Meurice
- l'atelier de dessin et peinture Maurice-Eliot
- l'atelier de théâtre et cirque Déborah Lukumuena
- la salle information Enzo-Schott
- le studio de danse Jocelyn-Lux-Preux et Jean-Claude Preux
- un espace Café avec terrasse sur le parvis
- un espace Micro Folie qui est un espace numérique déployé par le parc de La Villette et le ministère de la culture en partenariat avec 12 institutions culturelles (musée du Louvre, Centre Pompidou, RMN- Grand Palais, Versailles, Musée Picasso, etc.) intègre également un Fab Lab, un espace scénique et un café folie.
Santé
Modèle:Section à actualiser Un centre de la protection maternelle et infantile<ref>Fiche du centre de PMI d’Épinay-sous-Sénart sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 14/01/2013.</ref> et un centre de planification familiale<ref>Fiche du centre de planification familiale d’Épinay-sous-Sénart sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 16/01/2013.</ref> sont implantés dans la commune.
Sports
Épinay-sous-Sénart est une ville sportive: un club de football qui réunit plus de 400 licenciés, près de 2 000 Spinoliens sont licenciés dans un club, les clubs de karaté et de kung-fu sont parmi Modèle:Référence nécessaire.
Autres services publics
Modèle:Section à actualiser La commune dispose sur son territoire d'un bureau de poste<ref>Coordonnées de l'agence postale d'Épinay-sous-Sénart sur le site de La Poste. Consulté le 15/05/2011.</ref>.
Lieux de culte
La paroisse catholique d'Épinay-sous-Sénart est rattachée au secteur pastoral de Brunoy-Val d'Yerres et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Damien de Veuster<ref>Fiche de la paroisse sur le site officiel du diocèse. Consulté le 30/10/2009.</ref>. La communauté musulmane dispose dans la commune d'une mosquée. La communauté juive dispose d'une synagogue. Le séminaire orthodoxe russe<ref>Site officiel du séminaire orthodoxe russe en France. Consulté le 15/11/2012.</ref> a été installé à Épinay-sous-Sénart en 2009, dans la maison Sainte-Geneviève qui appartenait auparavant aux sœurs auxiliatrices du purgatoire.
Médias
L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Économie
Un marché se tient les mercredis et samedis matin<ref>Annuaire des marchés sur le site Marchés de France. Consulté le 25/04/2011.</ref>. Modèle:…
Emplois, revenus et niveau de vie
Modèle:Section à actualiser En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Unité, ce qui plaçait Epinay-sous-Sénart au 16 710e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Épinay-sous-Sénart | 0,2 % | 6,9 % | 13,7 % | 25,9 % | 29,9 % | 23,3 % |
Zone d'emploi de Créteil | 0,2 % | 5,4 % | 17,6 % | 27,3 % | 30,3 % | 19,3 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Épinay-sous-Sénart | 0,3 % | 9,0 % | 6,5 % | 12,4 % | 8,8 % | 7,7 % |
Zone d'emploi de Créteil | 0,7 % | 9,4 % | 7,1 % | 14,4 % | 13,9 % | 7,2 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee<ref>%5CCOM%5CDL_COM91215.pdf Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. Consulté le 25/05/2010.</ref>,<ref>%5CDL_ZE19901135.pdf Rapport statistique de la zone d'emploi de Créteil sur le site de l'Insee. Consulté le 25/05/2010.</ref>,<ref>Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.</ref> |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Les berges de l'Yerres et la portion communale de la forêt de Sénart ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne<ref>Carte des ENS d'Épinay-sous-Sénart sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 03/2019.</ref>.
Personnalités liées à la commune
Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Épinay-sous-Sénart :
- Paul-Romain Chaperon (1808-1876), pionnier<ref>Auguste Perdonnet, Notions générales sur les chemins de fer: suivies Des biographies de Cugnot, Séguin et George Stephenson; d'un mémoire sur les avantages... et d'une bibliographie raisonnée, E. Lacroix, 186?, Modèle:P.56 %A9n%C3 %A9rales+sur+les+chemins+de+fer&hl=fr&ei=MvHjTvOcFMS78gPuvrCKBA&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CDUQ6AEwAA#v=onepage&q=Perdonnet%20Notions%20g%C3 %A9n%C3 %A9rales%20sur%20les%20chemins%20de%20fer&f=false intégral (consulté le 22 mai 2011).</ref> du chemin de fer, ingénieur de la ligne de Strasbourg à Bâle y est mort.
- Eugène Ritt (1817-1898), directeur de théâtre et directeur de l'Opéra de Paris. En 1869, il achète une magnifique propriété à Epinay et y fit construire une maison, actuellement la mairie. En 1884, il est élu conseiller municipal d’Epinay-sous-Sénart, où il réside de très nombreuses années.
- Maurice Eliot (1862-1945), artiste peintre et lithographe français, ayant vécu et peint rue de Quincy dans cette ville (son grand'père maternel, Jean-Louis Bouret, en fut maire de 1860 à 1865) où il est mort.
- Jean-Baptiste Mendy (1963-2020) champion du monde de boxe y vécut
- Richard Akiana (1969-), footballeur y vécut et y fut licencié.
- Claude Makelele (1973-), footballeur y vécut.
- Darcel Yandzi (1973-), judoka y vécut et y fut licencié.
- Jason Mayele (1976-2002), footballeur y est enterré.
- Mickaël Tavares (1982-), footballeur y fut licencié.
- Ibrahima N'Diaye (1983-), footballeur y fut licencié.
- Jacques Faty (1984-) et son frère Ricardo Faty (1986-) footballeurs y furent licenciés.
- Tanguy Ndombele (1996-), footballeur sélectionné en équipe de France.
- Yoane Wissa (1996-), footballeur y fut licencié.
- Tanguy Kouassi (2002-), footballeur y fut licencié.