Moulidars
Modèle:Infobox Commune de France
Moulidars (prononcer Modèle:MSAPI) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont les Montliardais et les Montliardaises<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Géographie
Localisation et accès
Moulidars est une commune située à Modèle:Unité à l'ouest d'Hiersac et Modèle:Unité à l'ouest d'Angoulême.
Moulidars est aussi à Modèle:Unité au nord de Châteauneuf, Modèle:Unité à l'est de Jarnac, Modèle:Unité au sud de Rouillac et Modèle:Unité à l'est de Cognac<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>.
La commune est traversée d'est en ouest par la N 141 d'Angoulême à Cognac et Saintes, maillon occidental de la route Centre-Europe Atlantique, qui passe à Modèle:Unité au nord du bourg. La D 63, ou route Claude Bonnier, traverse du nord au sud la commune et rejoint la N 141 à Malvieille. La D 405 en direction d'Hiersac dessert le bourg<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.
La gare la plus proche est celle de Châteauneuf, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.
Hameaux et lieux-dits
La commune compte des hameaux relativement importants : Malvieille sur la route nationale, le Cluzeau juste à côté au nord, Lignolle et Cesseaux à l'ouest, la Vigerie, les Pannetiers et Chez Borgnet au sud, Rouffignac et Chez Maurin à l'est, ainsi que de nombreuses fermes<ref name="ign"/>.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Bassin aquitain comme les trois quarts ouest du département de la Charente. Elle est située sur la limite du Jurassique au nord et du Crétacé au sud.
Une grande partie nord-ouest de la commune est dans le Jurassique supérieur. On distingue le Portlandien au nord, et le Purbeckien à l'ouest, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique, début du Pays Bas à l'ouest, et riche en gypse qui a été exploité dans la commune par de nombreuses petites carrières.
Les hauteurs au sud-est où est implanté le bourg de Moulidars marquent le début de la zone crétacée, avec le Cénomanien<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe
Le relief de la commune est celui d'un bas plateau légèrement incliné vers le sud-ouest, hormis les hauteurs de la partie sud-est. Le point culminant de la commune est à une altitude de Modèle:Unité, situé à l'est du bourg près du château d'eau. Le point le plus bas est à Modèle:Unité, situé sur la limite ouest près de Cheville. Le bourg est à environ Modèle:Unité d'altitude<ref name="ign"/>, et la vue s'étend vers l'ouest sur environ une quinzaine de kilomètres.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Guirlande et le Ris, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Aucun cours d'eau important traverse la commune. Le ruisseau temporaire du Ris, qui se jette dans la Charente à Vibrac, fait la limite méridionale de la commune. À l'ouest, la Guirlande, autre ruisseau temporaire, passe en limite de commune. On trouve quelques mares ou trous d'eau dans la partie centrale de la commune<ref name="ign"/>.
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. Modèle:Article connexe
Urbanisme
Typologie
Moulidars est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (52,1 %), terres arables (19,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), forêts (11,4 %), zones urbanisées (3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Moulidars est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 66,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 219 sont en aléa moyen ou fort, soit 62 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
Les formes anciennes sont ad Montem liardi en 1117<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, Molidarno au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ref-Ang-Livre des fiefs</ref>.
L'origine du nom de Moulidars est obscure, elle pourrait être Monte Lietardo, « le mont de Lietard », d'un nom de personne germanique<ref>Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928</ref>,<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>.
Histoire
Des traces du chemin des Anglais, ancienne voie romaine puis féodale de Saintes à Limoges par Angoulême ont été retrouvées au nord de la commune<ref>Modèle:Ref-Charente-Vernou</ref>.
Le Fossé au Comte était un retranchement construit par les comtes d'Angoulême avant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour tenter de se protéger contre les invasions vikings. Ce fossé long de Modèle:Unité reliait la Charente en amont d'Angoulême à la Charente en aval, et allait du nord-est au sud-ouest de Montignac à Vibrac<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ref-Charente-MB</ref>,<ref>Modèle:Ref-Angoumois-Corlieu</ref>. Il passait dans la commune vraisemblablement par Malvieille et la D 63 à l'ouest du bourg. Quelques chemins et toponymes demeurent au nord-est<ref>Le Grand Fossé, la Combe du Fossé, voir Modèle:Géoportail</ref>. Il passait dans l'ancienne forêt de Marange<ref>Modèle:Ref-Charente-Michon</ref>.
Au Moyen Âge, il y avait deux châteaux dans Moulidars : le plus ancien, qui s'appelait la Cour de Moulidars, est aujourd'hui à peu près complètement détruit et les quelques constructions qui en subsistent forment ce qu'on appelle la Métairie du château d'Ardenne.
Le château de la Cour avait été construit vers le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et relevait de la châtellenie de Châteauneuf, alors que le château d'Ardenne, édifié deux siècles plus tard, dépendait de l'abbaye de Saint-Cybard<ref name=mb>Modèle:Ref-Charente-MB</ref>.
En 1476 le seigneur Jean de Lousme était le propriétaire du château d'Ardenne. En effet il y a saisie féodale du château d’Ardenne, par Guy de Montbrun, abbé de Saint-Cybard et évêque de Condom, son créancier<ref>AD 16, abbaye de Saint-Cybard : Copies et extraits des actes les plus précieux du trésor abbatial, par Berthé. Art. Moulidars. - Cité dans Le Château d’Ardenne - Abbé Tricoire - 1890</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En 1480, ce château fut vendu à la famille Nourrigier, qui acquirent aussi le château de la Cour. De cette époque le château d'Ardenne fut aménagé par ses propriétaires, délaissant le château de la Cour comme métairie.
Entre 1612 et 1625, Jacques Le Musnier, conseiller du roi et seigneur de Rouffignac à Moulidars, acquit l'ensemble des terres de Moulidars, sauf le château même d'Ardenne qui avait été vendu par Isaac Méhée et possédé en 1608 par Raymond de Forgues, baron des Pins, de la Rochandry, d'Audenge et de Lacanau.
C'est seulement en 1633, quatre ans après la mort de Jacques Le Musnier, que sa veuve Hippolyte de La Place, acquit de Catherine Redon, dame de Forgues, le château d'Ardenne, en échange de la seigneurie de Mosnac<ref name=mb/>.
Lors des guerres de religion, Condé, chef des protestants, mourut au château d'Ardenne des suites de ses blessures reçues à la bataille de Jarnac le Modèle:Date-<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
En 1691, lors d'un partage, la seigneurie de Moulidars passa aux mains des Méhée d'Anqueville, qui possédaient aussi le logis des Courades. Seul le domaine de Rouffignac resta en possession des Musnier jusqu'au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, où il fut morcelé et vendu.
Rouffignac était aussi une seigneurie de Moulidars, qui s'étendait sur neuf paroisses. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, elle appartenait à Henri Pelletan, écuyer, qui avait épousé une fille de Charlot de Mosnac. Elle fut vendue en 1602 à François Le Musnier, seigneur de Lartige<ref name=mb/>.
Avant le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Moulidars était aussi situé sur l'ancienne route de la Poste entre Paris et Bordeaux, directe entre Chaunay et Barbezieux par Villefagnan, Aigre et Châteauneuf, avant que celle-ci ne soit déviée pour desservir Angoulême par Turgot, intendant de la généralité de Limoges<ref>Atlas de Trudaine - 1745 ; généralité de La Rochelle - vol. II, base Mistral, Ministère de la Culture</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name="ign"/>.
Administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 32,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 21,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,75 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Économie
Agriculture
La viticulture occupe une partie importante de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Tourisme
Moulidars compte une activité de tourisme de gîtes et de chambres d'hôtes.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un RPI entre Moulidars et Vibrac. Vibrac accueille l'école élémentaire et Moulidars l'école primaire. L'école communale comporte une classe de maternelle et deux d'élémentaire<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le collège est à Châteauneuf et le transport est assuré comme dans tout le département par le Conseil général avec six arrêts sur la commune de Moulidars.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
Église Saint-Hippolyte
L'église paroissiale Saint-Hippolyte date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et sa façade romane a été classée monument historique en 1912<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
-
Vue d'ensemble.
-
Le clocher.
-
La façade.
-
Le chevet.
Patrimoine civil
Château d'Ardenne
Modèle:Article détaillé Le château d'Ardenne a été construit en plusieurs étapes, du {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXVIII
}}. La tour, construite par Richard de Montbrun, date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Le reste de l'édifice date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et a été remanié au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Les familles Nourrigier (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), Le Musnier (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), Méhée d'Anqueville, de Terrasson de Montleau (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), et Hine (célèbres négociants de cognac à Jarnac) en furent les principaux propriétaires<ref name=ch>Modèle:Ref-Charente-Châteaux</ref>.
Plusieurs de ses parties, sa façade et ses toitures, la grande terrasse sud, sa balustrade ainsi que le grand escalier, sa rampe en fer forgé et l'escalier à vis de la tour nord-ouest ont été inscrits monument historique par arrêté du Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
Le pigeonnier, qui faisait autrefois partie du domaine d'Ardenne, est construit à flanc de coteau et offre une vue magnifique vers l'ouest sur les vignobles alentour. C'était la fuie du château, et elle fut construite dans les années 1720 par Pierre Méhée alias d'Ardenne (1677-1760), mousquetaire plus connu par son surnom Modèle:Citation. Ce pigeonnier possède 850 boulins<ref name=ch/>.
En 1999, la tempête Martin qui a traversé le Sud-Ouest a abîmé la toiture et l'association "le Pigeonnier d'Ardenne" a été créée afin de restaurer l'édifice<ref name=pann>Panneau d'information sur le site</ref>. Modèle:Article détaillé
- Château d'Ardenne
-
La balustrade.
-
Les tours.
-
Le pigeonnier.
Logis de la Cour
Modèle:Article détaillé Le logis de la Cour, situé près du bourg, fut probablement le premier château de la seigneurie de Moulidars construit aux {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXIII
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}}. Il est particulièrement intéressant grâce à ses souterrains-refuges. L'actuel corps de logis est du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle car le château fut rebâti après la guerre de Cent Ans. Il deviendra par la suite la métairie du château d'Ardenne<ref>Modèle:Harvsp</ref>,<ref name=ch/>. C'est aussi un domaine viticole.
Autre patrimoine
La commune possède aussi un riche patrimoine bâti et un lavoir.
-
Ferme et vignoble.
-
Portail.
-
Lavoir.
-
Le monument aux morts devant la mairie.
-
Autre vue du bourg.
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes
Références
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Charente
- Liste des intercommunalités de la Charente
- Château d'Ardenne (Moulidars)
- Logis de la Cour (Moulidars)
- Pigeonnier d'Ardenne
Bibliographie
Liens externes
- Modèle:Site officiel de Moulidars
- Modèle:Lien web