Vibrac (Charente)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Vibrac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Vibracais et Vibracaises, ou les Vibracois et Vibracoises<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Géographie

Localisation et accès

Vibrac est situé à Modèle:Unité au nord de Châteauneuf-sur-Charente et Modèle:Unité à l'ouest d'Angoulême, sur la rive droite de la Charente.

Le bourg de Vibrac est aussi situé à Modèle:Unité au sud-ouest d'Hiersac, Modèle:Unité à l'est et en amont de Jarnac, Modèle:Unité au sud de Rouillac et Modèle:Unité à l'est de Cognac<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>.

La D 22 entre Jarnac et Châteauneuf qui longe la Charente par la rive droite traverse la commune et dessert le bourg, ainsi que la D 63 en direction de la route nationale 141 à Malvieille, qui passe à Modèle:Unité au nord du bourg, et Rouillac. La D 72 à l'est va vers Angoulême par Trois-Palis. Vibrac est à l'écart des grandes voies de communications mais bénéficie d'un pont sur la Charente<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.

La gare la plus proche est celle de Châteauneuf, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

Hameaux et lieux-dits

La commune ne comporte pas de hameaux.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Le sol de la commune est calcaire et appartient en grande partie au Purbeckien, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique supérieur, qui s'étendait vers l'ouest dans tout le Pays Bas et riche en gypse.

Sur la bordure orientale de la commune commence la zone du Crétacé, qui occupe toute la moitié sud du département de la Charente, ici le Cénomanien inférieur. Ce sont les premières hauteurs marquant à l'est la fin du Pays Bas.

Au sud-ouest de la route de Jarnac à Châteauneuf s'étend la vallée de la Charente, dont la partie inondable est couverte par des alluvions récentes du Quaternaire<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe

La commune occupe la vallée de la Charente sur sa rive droite. Le relief s'élève légèrement sur la limite nord-est de la commune et plus brutalement sur sa limite méridionale, où est d'ailleurs situé le point culminant à une altitude de Modèle:Unité. Le bourg, construit au bord de la Charente, est à environ Modèle:Unité d'altitude, et la partie inondable (la prée) est à Modèle:Unité d'altitude<ref name="ign"/>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Charente, le Ris, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

La Charente fait la limite sud de la commune, qui la sépare d'Angeac. Le fleuve arrose de magnifiques prairies et se divise en plusieurs bras, formant ainsi de nombreuses îles<ref name="ign"/>.

Gestion des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Climat

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. Modèle:Article connexe

Urbanisme

Typologie

Vibrac est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), zones urbanisées (16,1 %), cultures permanentes (14,8 %), forêts (11,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Vibrac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) Saintes-Cognac-Angoulême, regroupant Modèle:Nobr concernées par un risque de débordement du fleuve Charente (34 en Charente et 12 en Charente-Maritime), un des Modèle:Nobr qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de l'hiver 1779, de 1842, de 1859, du Modèle:Date- du Modèle:Date-, du Modèle:Date-, de mars-avril 1962, du Modèle:Date- et du Modèle:Date-. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr), moyen (temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr) et extrême (temps de retour de l'ordre de Modèle:Unité, qui met en défaut tout système de protection)<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:16402-Vibrac-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vibrac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 171 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

Le nom est attesté sous la forme ancienne Vibrac ou Vibraco en 1299<ref>Modèle:Ref-Ang-Livre des fiefs</ref>.

L'origine du nom de Vibrac remonterait à un nom de personne gallo-romain Vibrius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Vibriacum, « domaine de Vibrius »<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>.

Histoire

Le Fossé au Comte était un retranchement construit par les comtes d'Angoulême avant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour tenter de se protéger contre les invasions normandes. Ce fossé long de Modèle:Unité reliait la Charente en amont d'Angoulême à la Charente en aval, et allait du nord-est au sud-ouest de Montignac à Vibrac, plus exactement à son château<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name="mb">Modèle:Ref-Charente-MB</ref>,<ref>Modèle:Ref-Charente-Michon</ref>,<ref>Modèle:Ref-Angoumois-Corlieu</ref>.

Au milieu d'une île entourée par la Charente et cachée par un rideau de verdure<ref>Modèle:Géoportail</ref>, s'élève une vaste construction abandonnée. C'est l'ancien château de Vibrac, construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par les seigneurs de Mareuil. Ce château devait être très important, et pourtant, à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, il fut peu habité par ses possesseurs qui, appartenant tous à d'illustres familles, en abandonnant la garde à des intendants.

Au Moyen Âge, la terre de Vibrac appartenait à la famille de Montchaude. Hugues de Montchaude, qui possédait Vibrac au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, maria sa fille, Jovide, à Raymond de Mareuil, seigneur de Villebois, qui par ce mariage devint également seigneur de Vibrac.

Un neveu de Hugues de Montchaude avait embrassé la cause des Anglais, qui ravageaient alors la France (c'était l'époque de la guerre de Cent Ans). Le château a été pris et repris plusieurs fois durant la guerre de Cent Ans<ref>Histoire de Cognac, abbé Cousin,1882, réédition 2007, Modèle:ISBN</ref>.Pour le punir le roi Jean le dépouilla de tous ses biens en faveur de Raymond de Mareuil.

La famille de Mareuil conserva Vibrac jusque vers le milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Guy II de Mareuil fut sénéchal d'Angoumois. Ce dernier, de ses deux mariages eut, entre autres Gabrielle ; elle fut mariée, en 1541, à Nicolas d'Anjou, marquis de Mézières, qui fut gouverneur d'Angoulême ; il n'eut, lui-même qu'une fille, Renée, qui épousa, en 1566, François de Bourbon, duc de Montpensier. Leur fils unique vendit, vers 1597, Vibrac à Jean-Louis de Nogaret de La Valette, duc d'Épernon et gouverneur d'Angoumois.

Ce dernier revendit, en 1684, son duché de La Valette, les châtellenies d'Angeac et de Vibrac au maréchal de Navailles, qui mourut en 1684, laissant trois héritières ; la plus jeune, Gabrielle, prit pour époux le marquis de Pompadour, dont elle eut une fille, Françoise, qui épousa messire Philippe de Courcillon, marquis de Dangeau, gouverneur de Touraine.

Vibrac passa à ses héritiers, qui le vendirent un peu après 1784<ref name=mb/>.

Un autre petit logis, sis sur le coteau qui domine le bourg de Vibrac, les Courades, dépendait du château de Vibrac.

C'était une seigneurie qui, à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, appartenait à la famille de Lestang. Le dernier représentant de cette famille, Aymar de Lestang, mourut vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Sa fille, Marie de Lestang, épousa en 1607, Josias Mehée, sieur de La Ferrière. Par son mariage avec Isaïe Méhée, Anne le Musnier, fille du seigneur d'Ardenne, devint maîtresse des Courades. Anne, devenue veuve, se remaria avec René Méhée, seigneur d'Anqueville.

Lors du partage des biens en 1691, elle réunit les deux domaines d'Ardenne et des Courades, qu'elle transmit à son fils Pierre Méhée. Ce dernier étant mort sans enfants en 1760, la terre des Courades passa à Cyprien-Gabriel de Terrasson. En 1821, le domaine fut morcelé<ref name=mb/>.

Administration

Fichier:Vibrac2.2.JPG
La mairie de Vibrac.

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 27,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 34,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,35 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Économie

La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les moulins ont joué un grand rôle économique. Selon les sources, il y aurait eu au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle un moulin à blé et un moulin à huile ou un moulin à plâtre et deux moulins à blé<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Actuellement l'agriculture est la principale activité. Il y a aussi une importante société d'horticulture spécialisée en fleurs et quelques artisans (maçon, plombier, électricien).

Équipements, services et vie locale

Enseignement

L'école est un RPI entre Moulidars et Vibrac. Vibrac accueille l'école élémentaire et Moulidars l'école primaire. L'école communale a une classe unique. Le secteur du collège est Châteauneuf<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Autres services

Ils se trouvent dans les communes avoisinantes et surtout à Châteauneuf.

Associations culturelles et sportives

Le comité des fêtes organise une grande fête annuelle pour le Modèle:Date-.

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

Fichier:Vibrac2.8.JPG
L'église paroissiale.

L'église paroissiale Saint-Pierre a été construite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle a été remaniée d'abord au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et la petite chapelle gauche porte la date de 1594, puis au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et le portail porte la date de 1826. Ensuite elle a été restaurée en 1896<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

La chapelle Notre-Dame de Vibrac qui est mentionnée sur la carte de Cassini a disparu après la Révolution<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Elle était située sur la route de Moulidars, à côté du Fossé au Comte<ref name="mb"/>.

Patrimoine civil

Du château de Vibrac il reste des ruines dans une île de la Charente, une chapelle, un pont et des communs. Ce château fort du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle aurait été reconstruit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, puis remanié aux {{#switch: e

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}}

}}<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Il a été dessiné par Claude Chastillon, dans sa Topographie française<ref>Modèle:Ref-Charente-Châteaux</ref>.

Le logis des Courades, seigneurie ayant appartenu à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à la famille de Lestang, était une construction composée de cinq tours dont il n'en reste qu'une. Le logis, lui, date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Une maison du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle qui aurait été l'ancien presbytère, deux maisons du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, trois moulins qui existaient en 1834 forment tout un patrimoine bâti remarquable.

La commune comporte un pont datant peut-être du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, pont coudé en calcaire assez caractéristique et connu, appelé Petit Pont<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> et un du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle connu sous le nom de Pont de bois ou pont de Bouet<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Ces deux ponts traversent les deux bras principaux de la Charente.

Patrimoine environnemental

Personnalités liées à la commune

Fichier:Bonnier2.JPG
Mémorial Claude-Bonnier.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail