Saint-Séverin (Charente)
Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Séverin (Sent Severin en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine.
Ses habitants sont les Saint-Séverinois et les Saint-Séverinoises<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Géographie
Localisation et accès
Saint-Séverin est une commune du Sud Charente limitrophe avec le département de la Dordogne, faisant partie du canton d'Aubeterre-sur-Dronne, située à Modèle:Unité au nord-est d'Aubeterre et Modèle:Unité au sud d'Angoulême, sur la rive droite de la Lizonne et de la Dronne et à leur confluent.
Le bourg de Saint-Séverin est aussi situé à Modèle:Unité au sud-ouest de Verteillac, Modèle:Unité au nord-ouest de Ribérac, Modèle:Unité au sud-est de Montmoreau, Modèle:Unité au nord-est de Chalais, Modèle:Unité au sud de Villebois-Lavalette et Modèle:Unité à l'ouest de Périgueux<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>.
Saint-Séverin est traversé par la D 709, ancienne nationale de Montmoreau à Ribérac et Bergerac, que croise la D 17, route de Villebois-Lavalette à Aubeterre qui longe la Lizonne, puis la Dronne. La D.709 traverse la Lizonne, limite départementale<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.
Hameaux et lieux-dits
L'habitat est dispersé et la commune comporte de nombreux petits hameaux : le Cuq à l'ouest, le Marchais et sa papeterie au sud-est, l'Oume et la Jarrige, le Breuil au nord, l'Épine à l'est, la Brousse au sud, etc. ainsi que de nombreuses fermes<ref name="ign"/>.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le sol est en très grande partie constitué d'un calcaire crayeux du Campanien commun à tout le Sud Charente (Crétacé supérieur) et qui convient bien au vignoble pour la production des eaux de vie de cognac, classé ici dans la zone d'appellation des Bons Bois, à la limite de celle des Bois ordinaires et Bois communs, se trouvant de l'autre côté de la Dronne, dans le canton de Saint-Aulaye, en Dordogne.
Au nord-ouest de la commune, la colline boisée du Peyrat est couverte de dépôts du Tertiaire ou Cénozoïque, sables argileux et galets. Les vallées (Lizonne à l'est et Dronne au sud), sont occupées par des alluvions récentes du Quaternaire, limon mais aussi tourbe<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe
Le relief est assez vallonné, comme tout le Sud Charente. Le point culminant de la commune est à une altitude de Modèle:Unité, situé au Peyrat près du château d'eau. Le point le plus bas est à Modèle:Unité, situé en limite sud-ouest au confluent de l'Auzonne et de la Dronne. Le bourg, construit sur une légère hauteur surplombant la vallée de la Lizonne, est à Modèle:Unité d'altitude<ref name="ign"/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Dronne, la Lizonne, un bras de la Lizonne, l'Auzonne, la Cendronne, le canal d'Alliger, le canal de la Pude et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La commune de Saint-Séverin a la particularité géographique d'être le site de deux lieux de confluence. Tout d'abord, elle domine lcelui de la Dronne et de la Lizonne. Ces deux rivières lui servent à l'est et au sud de limite administrative avec le département de la Dordogne tandis que, dans le sud du finage communal, l'Auzonne, venant de l'ouest, se jette aussi dans la Dronne<ref name="ign"/>.
-
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Séverin.
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L'Auzonne au pont de la Modèle:Nobr.
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. Modèle:Article connexe
Milieux naturels et biodiversité
ZNIEFF
À Saint-Séverin, les vallées de la Dronne et de son affluent la Lizonne font partie de la ZNIEFF de Modèle:Nobr nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »<ref name="Vallées">Modèle:Pdf - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>.
Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées<ref name="Vallées"/> :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptères : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prés (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées<ref name="Vallées"/>.
Natura 2000
Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée<ref>Carte du site FR7200663, INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref> font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à [[Directive habitats#Annexe II|Modèle:Nobr]] de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne<ref>Modèle:Pdf FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref> :
- sept insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- dix mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et huit chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Petit murin (Myotis blythii) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Urbanisme
Typologie
Saint-Séverin est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), prairies (7,3 %), forêts (6,6 %), zones urbanisées (4,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Séverin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par ruissellement et coulée de boue, notamment la Dronne, la Lizonne et l'Auzonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1992, 1999 et 2021<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 519 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS"/>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
Le nom est attesté sous la forme ancienne en latin Sanctus Severinus en 1271<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Saint Séverin fut évêque de Bordeaux au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Il mourut vers 420<ref>Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928</ref>. Son nom est à l'origine de plusieurs communes dans la région, en particulier des Modèle:Page h et Modèle:Page h (Charente-Maritime, Dordogne, Gironde)<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>.
Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Séverin-Lizonne<ref>Modèle:Ref-Charente-Toponymie-Révolution</ref>.
Limite dialectale
La commune est dans le domaine occitan (dialecte proche du limousin), et marque la limite avec la langue d'oïl (domaine du saintongeais) à l'ouest<ref>Modèle:Ref-Charente-Michon</ref>. Elle se nomme Sent Severin en occitan<ref name=oc>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
Histoire
Les plus anciens registres paroissiaux remontent aux premières années du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
Sous l'Ancien Régime, Saint-Séverin était le siège d'une châtellenie qui a successivement appartenu aux familles de Jambes de Saint-Gelais et de Chauveron aux {{#switch: e
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}}<ref name=mb/>.
Saint-Séverin a une longue tradition de moulins à papier, situés sur la Lizonne<ref>Modèle:Ref-Charente-Bordessoules</ref> :
- moulin de la Barde, quelques vestiges du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>
- moulin de l'Épine, moulin à papier construit en 1838, puis scierie à partir de 1987<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>
- moulin du Petit-Marchais, construit en 1837 sur un ancien moulin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'industrie était représentée par les papeteries du Marchais (Chauveau et frères) et l'Épine (M.Daguerre), et l'exploitation des tourbières.
Aucune voie ferrée ne traversait la commune, mais la station la plus proche était celle de Petit-Bersac, en Dordogne.
Des foires se tenaient au bourg le deuxième mardi du mois<ref name=mb/>.
Le Modèle:Date, une météorite tombe en partie sur la commune. On en retrouvera huit fragments, répartis d'est en ouest entre Villetoureix et Saint-Séverin pour un total de Modèle:Unité, le bloc le plus important (113 kg) étant retrouvé entre le lieu-dit le Marchais et le bourg de Saint-Séverin<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Il s'agit d'une chondrite ordinaire pauvre en fer (type LL6).
Administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
- Modèle:Jumelage, voir Nandrin {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}<ref>Site web de Nandrin</ref>.
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 24,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 39,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,13 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Remarques
Par sa population, Saint-Séverin est la commune la plus peuplée de son canton et figure parmi les deux communes du canton d'Aubeterre-sur-Dronne à compter plus de 500 habitants, la deuxième étant Saint-Romain.
Économie
Agriculture
La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »<ref>Modèle:Lien web</ref> et de l'AOP Noix du Périgord<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Industrie
Saint-Séverin doit sa relative forte population grâce à son industrie papetière où fonctionne la papeterie Ahlstrom (groupe finlandais) qui y occupe 140 personnes<ref>Le canton d'Aubeterre-sur-Dronne dans France, le trésor des régions</ref>.
Commerces
La commune compte des petits commerces et services de proximité.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un RPI entre Pillac et Saint-Séverin. Pillac accueille l'école élémentaire et Saint-Séverin l'école primaire. L'école de Saint-Séverin, située rue des Écoles, comprend une classe de maternelle et deux classes d'élémentaire. Le secteur du collège est Montmoreau<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église paroissiale Saint-Séverin est une église à coupole qui date initialement du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name=mb>Modèle:Ref-Charente-MB</ref>.
- La salle des fêtes.
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L'église.
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La salle des fêtes.
Personnalités liées à la commune
- Philippe Marmissolle-Daguerre (1921-1977), résistant français, compagnon de la Libération, né dans la commune.
Héraldique
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes