Théodore Agrippa d'Aubigné

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Théodore Agrippa d'Aubigné, né d’Aubigny<ref group="n">Par erreur, ce nom fut transcrit en « d'Aubigné ». Voir Victor Fouque, « Précis historique », Quatre lettres inédites de Madame de Maintenon, Châlon-sur-Saône, Édouard Dentu, 1864, p. 9.</ref> le Modèle:Date de naissance au château de Saint-Maury près de Pons, et mort le Modèle:Date de décès à Genève, est un homme de guerre, écrivain controversiste et poète baroque français. Il est notamment connu pour Les Tragiques, poème héroïque racontant les persécutions subies par les protestants.

Calviniste intransigeant, il soutient sans relâche le parti protestant, se mettant souvent en froid avec le roi Henri de Navarre, dont il fut l'un des principaux compagnons d'armes. Après la conversion de celui-ci, il rédigea des textes qui avaient pour but d'accuser Henri IV de trahison envers l'Église. Chef de guerre, il s'illustra par ses exploits militaires et son caractère emporté et belliqueux. Ennemi acharné de l'Église romaine, critique vis-à-vis de la cour de France et souvent mal disposé à l'égard des princes, il s'illustra par son attachement farouche à la France protestante.

Biographie

Jeunesse

Théodore Agrippa est né à Saint Maury près de Pons, en Saintonge. Il est le fils du juge Jean d’Aubigné, d'origine roturière<ref group="n">Les ancêtres de l'écrivain étaient établis tanneurs à Loudun.</ref>, et Catherine de L’Estang, de petite noblesse, qui meurt en lui donnant la vie. On l’appelle ainsi Agrippa<ref group="n">Aegre partus : accouchement difficile</ref>, parce qu’il a été enfanté avec peine. Agrippa est baptisé dans la religion catholique, mais est élevé dans la religion calviniste.

Son père Jean, converti au calvinisme, prend part au soulèvement protestant et participe aux opérations de la conjuration d'Amboise sous les ordres de Tanneguy du Bouchet, dit Saint-Cyr, chef militaire protestant du Poitou<ref group="n">Il deviendra le lieutenant de Saint-Cyr.</ref>. En Modèle:Date-, alors qu'il passe par Amboise avec son fils, il lui aurait fait jurer de venger la mort de ses compagnons.

Sous la férule de précepteurs calvinistes, Agrippa apprend entre autres disciplines, le latin, le grec et l'hébreu. En Modèle:Date-, pour ses études, Jean installe Agrippa à Paris chez Mathieu Béroalde. Deux mois plus tard, la guerre est déclenchée et un arrêt ordonnant l'expulsion des protestants, Agrippa quitte la ville avec son professeur. Sur le chemin, ils sont arrêtés et emprisonnés par des pillards catholiques. Mais, ils parviennent à s’échapper grâce à un complice, et gagnent Montargis, où les accueille Renée de France.

Ils séjournent ensuite à Orléans, où Agrippa est atteint de la peste, dont il guérit. Il se rompt aux armes, et assiste au siège d’Orléans au cours duquel meurt son père.

Envoyé à Genève en Modèle:Date-, Agrippa y poursuit ses études sous la protection de Théodore de Bèze. Un an plus tard, il est contraint de fuir la ville du fait de son implication dans une histoire de mœurs : il accuse son condisciple Bartholomé Tecia de tentative de « bougrerie » sur sa personne. Tecia est condamné et exécuté par noyade. Lorsque éclate la deuxième guerre de religion, en 1567, il s’engage sans hésiter dans le régiment protestant d'Asnières ou en tant qu'enseigne, il mène les enfants perdus<ref name="Susane">Modèle:Ouvrage</ref>.

Absent, à la suite d’un duel, de Paris durant la Saint-Barthélemy, il échappa au massacre, mais en garda néanmoins une rancune tenace contre la monarchie. Les Tragiques conservent la trace des visions d’horreur dont il fut le témoin.

Au service du roi de Navarre

À la cour des Valois

Quelque temps après la Saint-Barthélemy, il retourne à la cour de France où il se lie avec le roi de Navarre, futur Henri IV, et devient son écuyer (Modèle:Date-). Il a vingt-et-un ans. À cette époque, Henri de Navarre est assigné à résidence à la cour et placé sous une étroite surveillance. On ignore si, comme lui, Aubigné a feint d'être catholique. Toujours est-il qu'il participe à la tentative d'évasion de son maître lors des évènements de la conjuration des Malcontents<ref name="Lazard"/>Modèle:Rp. L'affaire échoue, et Henri de Navarre doit donner des gages de sa soumission en écartant ses serviteurs les plus suspects et en envoyant ses hommes combattre les troupes protestantes. Aubigné se retrouve alors enrôlé à plusieurs reprises dans l'armée catholique<ref name="Lazard"/>Modèle:Rp. Dans son Histoire universelle, Aubigné écrit : Modèle:Citation Guidon du seigneur de Fervaques, il combat les protestants en Normandie, puis à la bataille de Dormans, où il se lie d'amitié avec le duc de Guise<ref name="Lazard"/>Modèle:Rp.

À la cour où il côtoie les plus grands, il fait figure de courtisan accompli. Apprécié pour son intelligence et son esprit mordant, il aurait fait partie de l'Académie de musique et de poésie qui siège au Palais du Louvre. Amateur des mascarades et des joutes, il invente des divertissements de cour et se fait connaître comme expert en magie. C'est aussi un querelleur courant sans cesse après les duels<ref name="Lazard"/>Modèle:Rp. Le Modèle:Date-, il assiste, « à l’exécution du comte de Montgommery sur la place de Grève, qui le salua, lui et Fervaques avant de mourir<ref name="Garnier">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Il fait partie des compagnons du roi de Navarre lorsque ce dernier fuit la cour le Modèle:Date-.

À la cour de Nérac : entre faveur et disgrâce

Cette amitié entre le futur roi et son écuyer dure plusieurs années, Henri de Navarre lui confiant de nombreuses missions. Mais de caractère emporté et intransigeant, il se brouille à de nombreuses reprises avec son maître, auquel il reproche de ne pas être suffisamment attaché à la cause protestante, l'accusant de trop favoriser les catholiques de son entourage. Alors qu’Henri de Navarre, porté à la conciliation, ménage la cour de France, il appelle à la poursuite de la lutte. Après la signature de la paix de Poitiers qu'il condamne, il quitte une première fois son maître, en 1577. Grièvement blessé à Casteljaloux, il se retire pendant deux ans sur ses terres aux Landes-Guinemer dans le Blaisois où il se met à écrire. Selon la légende qu’il a lui-même forgée bien plus tard, c’est à Casteljaloux que, alors qu'il était entre la vie et la mort, lui seraient venues les premières « clauses » de son grand poème épique sur les guerres de religion, Les Tragiques.

Aubigné retourne à la cour de Navarre en 1579. En 1582, il est au plus mal avec la reine Marguerite de Valois qui demande à son époux de l'éloigner. Ses relations avec Diane d'Andoins, maîtresse du roi, ne sont pas meilleures<ref name="Lazard"/>Modèle:Rp. En 1588, il déconseille au roi de se séparer de son épouse légitime pour épouser sa maîtresse<ref name="Lazard">Modèle:Ouvrage.</ref>Modèle:Rp. Entretemps, il a épousé Suzanne de Lusignan de Lezay, au château de Bougouin à La Crèche, en 1583.

Les dernières désillusions

Pendant les guerres de la Ligue, il s'illustre de nouveau au combat. Il participe à la bataille de Coutras que remporte Henri sur l'armée royale en 1587. Henri de Navarre le nomme maréchal de camp en 1586, puis gouverneur d’Oléron et de Maillezais, qu’il avait conquis par les armes en 1589, puis vice-amiral de Guyenne et de Bretagne.

Après l’assassinat du duc de Guise en 1588, il reprend part aux combats politiques et militaires de son temps. Il est alors le représentant de la tendance dure du parti protestant (« les Fermes ») et voit d’un mauvais œil les concessions faites par le chef de son parti pour accéder au trône. Comme de nombreux protestants, d’Aubigné ressent l’abjuration d’Henri IV, en 1593, comme une trahison. Les divergences politiques et religieuses finissent par le séparer du roi. Il est peu à peu écarté de la cour, dont il se retira définitivement après l’assassinat d’Henri IV en 1610<ref group="n">Il tenta toutefois d'offrir ses services au nouveau roi en 1618, sans succès.</ref>. À partir de 1620, sa tête est mise à prix, il s’exile définitivement et en secret grâce à son ami d'enfance Jean d'Harambure dit le Borgne à Genève. Aubigné et Henri IV ne se doutaient pas que leurs petits-enfants respectifs, Louis XIV et Françoise d’Aubigné, s'uniraient en 1683.

Retraite et exil

Fichier:Agrippa d'Aubigné - Bartholomäus Sarburgh.jpg
Agrippa d'Aubigné en 1622, huile sur toile de Modèle:Lien, Kunstmuseum (Bâle).

En 1611, à l’Assemblée des églises protestantes de Saumur, D’Aubigné, élu pour le Poitou, ridiculise le parti des « Prudents » dans Le Caducée ou l’Ange de la paix.

Il semblerait que c’est à cette période qu’il se tourna vers l’écriture de ses œuvres, et en particulier des Tragiques. Mais ce n’est pour lui qu’un autre moyen de prendre les armes, en multipliant les pamphlets anti-catholiques et les attaques polémiques contre les protestants convertis.

De son premier mariage avec Suzanne de Lusignan de Lezay, d'une branche cadette de l'illustre maison de Lusignan, il a un fils, Constant, père de Françoise d’Aubigné, la future marquise de Maintenon, et deux filles, Louise Arthémise de Villette et Marie de Caumont d’Adde (1586-1624). Son fils Constant d'Aubigné lui causa les plus grandes déceptions de sa vie. À sa grande horreur, ce dernier abjura le protestantisme en 1618 pour mener une vie de débauche dans le château paternel de Maillezais<ref group="n">Il lui pardonnera ensuite, mais le chassera de Maillezais à cause de sa vie dissolue.</ref> et de malversation<ref group="n">Il sera jeté en prison pour faux-monnayage.</ref>, avant de tuer sa première femme<ref group="n">Anne Marchant, épousée à la Rochelle en 1608 sans le consentement de son père.</ref>, surprise en flagrant délit d’adultère dans une auberge, et de se remarier en prison à Jeanne de Cardilhac. Cette dernière donnera naissance à Françoise d'Aubigné (qui deviendra marquise de Maintenon et maîtresse puis épouse du roi de France Louis XIV)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Il le déshérita, plongeant du même coup sa belle-fille et ses petits-enfants dans la misère.

Après la mort de son épouse en 1596, d'Aubigné eut un fils naturel avec Jacqueline Chayer, Nathan d'Aubigné, ancêtre de la famille suisse des Merle d'Aubigné.

Refusant tout compromis, d’Aubigné est contraint de quitter la France, en 1620, après la condamnation de son Histoire universelle depuis 1550 jusqu’en 1601 par le Parlement. Il se retire alors à Genève, où est publié l’essentiel de ses œuvres. Il y épouse, en 1623, Renée Burlamacchi, petite-fille du Lucquois Francesco Burlamacchi, et y meurt sept ans plus tard.

Agrippa d’Aubigné meurt à Jussy le 9 mai 1630, à l’âge de 78 ans.

Hommages

Fichier:Sculpture de Theodore Agrippa D'Aubigné á Pons.jpg
Buste de Théodore Agrippa d'Aubigné à Pons.
  • Dans le Modèle:4e de Paris, une rue Agrippa-d’Aubigné, située entre le boulevard Morland et le quai Henri-IV, lui est dédiée.
  • À Genève, une promenade, située derrière la cathédrale à l’emplacement de l’ancien château épiscopal, porte aussi son nom. Terrasse Agrippa-d’Aubigné, 1204 Genève, Suisse. Modèle:Commentaire biblio
  • À La Rochelle, dans le quartier de La Genette, une rue Agrippa-d’Aubigné.
  • À Nîmes, une petite rue qui se trouve a proximité des Jardins de la Fontaine.
  • À Clermont-Ferrand, une rue qui se trouve derrière la gare.
  •  À Saintes, un collège porte le nom d'Agrippa-d'Aubigné.
  • La Tragédie humaine, pour chœur mixte et orchestre de Darius Milhaud (1958).
  • Préparatif à la mort et allégorie maritime, de Darius Milhaud (1963).

L’œuvre littéraire

Méconnu de ses contemporains, il fut redécouvert à l’époque romantique, notamment par Victor Hugo, puis par le critique Sainte-Beuve.

En 1976, dans une chanson polémique et anticolonialiste, Un air de liberté, Jean Ferrat le mentionne : Modèle:Citation Son œuvre la plus connue est son recueil Les Tragiques.

Mais d'Aubigné n’est pas l’auteur d’une seule œuvre. Le Printemps est un recueil de sonnets amoureux, de stances et d’odes qui reprend la lyrique pétrarquiste<ref>Modèle:Article</ref> sur les tons opposés de la rage du désespoir et d'une fantaisie plus légère. Le premier recueil de sonnets du Printemps, L'Hécatombe à Diane, est dédié à Diane Salviati, jeune fille qu'il aimait et qu'il n'a pas pu épouser à cause de la différence de religion<ref>{{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57841860/f6%7C{{ #if: bpt6k57841860/f6 |{{ #if: Avertissement et notice des Œuvres complètes | Avertissement et notice des Œuvres complètes | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}} publiées pour la première fois d'après les manuscrits originaux par Eug. Réaumé et F. de Caussade. Lemerre, 1873-1877 six tomes, dont les 5 premiers en ligne sur Gallica</ref>,<ref>Mémoires de Théodore Agrippa d’Aubigné publiés pour la première fois d’après le ms. de la bibliothèque du Louvre par M. Ludovic Lalanne, suivis de fragments de l’histoire universelle de d’Aubigné et de pièces inédites, Éd. Ludovic Lalanne, Paris, Charpentier, 1854 pages 22, Il devint amoureux... ; 32 Diane de Talcy assista... et p. 27 :Le chevalier Salviaty rompit le mariage sur le différend de la relligion...</ref>. À la fin de sa vie, les Petites œuvres meslees associent des Méditations sur les Psaumes et des poésies religieuses.

L’essentiel de son œuvre est polémique. D'Aubigné, engagé dans les combats de son époque, cherche ainsi à discréditer les vanités de la cour royale et la religion catholique dans la Confession du Sieur de Sancy<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Les Aventures du baron de Faeneste<ref>Modèle:Article.</ref>. Son Histoire universelle<ref>Modèle:Article.</ref> est aussi, malgré son titre, une œuvre engagée, destinée à justifier l'autonomie politique et militaire des protestants français. Il publie aussi de nombreux opuscules politiques.

Modèle:Article détaillé

Il est l'inventeur de la formule qu'il met dans la bouche d'Henri IV sur le champ de bataille d'Ivry : « Ralliez-vous à mon panache blanc », qui est ensuite complétée par Hardouin de Péréfixe puis par Voltaire.

À la fin de son existence, il écrit ses mémoires sous le titre Sa vie à ses enfants<ref>Modèle:Article.</ref> (Constant, Marie et Louise), pour leur montrer « sa gloire » et « ses fautes » et leur être par là-même un exemple profitable.

Notes

Modèle:Références <references group="n"/>

Archives

Modèle:Cite archive

Références

Modèle:Références

Œuvres

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Histoire Universelle, 1616.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Les Tragiques, Éd. Frank Lestringant, Paris, Gallimard, 1995 Modèle:ISBN.
  • Les Tragiques (1616, retravaillé sur manuscrit jusqu'en 1630), éd. Jean-Raymond Fanlo, Paris, Champions Classiques, 2006.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Les Aventures du baron de Faeneste (1617, 1619,1630), Éd. Prosper Mérimée, Nendeln, Liechtenstein, Kraus Reprint, 1972, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k276837%7C{{ #if: bpt6k276837 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
  • Petites œuvres meslées du sieur d’Aubigné (1630) Genève, Aubert, 1968, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9664081m%7C{{ #if: bpt6k9664081m |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
  • Mémoires de Théodore Agrippa d’Aubigné publiés pour la première fois d’après le ms. de la bibliothèque du Louvre par M. Ludovic Lalanne, suivis de fragments de l’histoire universelle de d’Aubigné et de pièces inédites, Éd. Ludovic Lalanne, Paris, Charpentier, 1854, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39850h%7C{{ #if: bpt6k39850h |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
  • Sa Vie à ses enfants, Paris, Nizet, 1986.Modèle:Commentaire biblio
  • Le Printemps : l’hécatombe à Diane et Les stances (1873-1892), éd. H. Weber, Paris, Presses universitaires de France, 1960.
  • Œuvres, Henri Weber, Jacques Bailbé, Paris, Gallimard, La Pléiade, 1969.
  • La Responce de Michau l’aveugle, suivie de La replique de Michau l’aveugle : deux pamphlets théologiques anonymes publiés avec des pièces catholiques de la controverse, éd. Jean-Raymond Fanlo, Paris, Honoré Champion, 1996 Modèle:ISBN.Modèle:Commentaire biblio
  • Petites œuvres meslees, Éd. Véronique Ferrer, Paris, Champion, 2004 Modèle:ISBN.
  • Écrits politiques, éd. Jean-Raymond Fanlo, Paris, Champion, 2007.

Bibliographie

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 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle

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Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

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