Amnesty International

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Amnesty International (francisé Amnistie internationale au Canada) est une organisation non gouvernementale internationale qui promeut la défense des droits de l'Homme et le respect de la Déclaration universelle des droits de l'Homme<ref>Modèle:Site officiel.</ref>. L'organisation milite notamment pour la libération des prisonniers d'opinion, le droit à la liberté d'expression, l'abolition de la peine de mort et de la torture et l'arrêt des crimes politiques, mais aussi pour le respect de l'ensemble des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels<ref name="amnestyfr">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="amnesty">Modèle:Lien web.</ref>.

Mandat

Enregistrée comme organisation internationale à caractère non gouvernemental, Amnesty International entretient des sections dans plus de 80 pays et se voit reconnaître le caractère d'organisme à voix consultative auprès du Conseil économique et social des Nations unies, de l'UNESCO, de l'Union européenne et de l'Organisation des États américains<ref name="amnestyfr1">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="amnesty1">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Lien web</ref>. Elle jouit également d'un statut d'observateur auprès de l'Union africaine. Amnesty International tire la presque totalité des fonds dont elle dispose des collectes réalisées par ses membres. Elle regroupe plus de trois millions d'adhérents et de donateurs dans plus de 150 pays et territoires. Son siège se trouve à Londres, au Royaume-Uni.

Afin de s'assurer de l'exacte observation des règles de droit international par les tribunaux qui ont à juger d'affaires politiques, afin d'enquêter sur les conditions d'internement et les allégations de torture, Amnesty International entreprend chaque année de nombreuses missions : ses envoyés sont présents comme observateurs lors de procès dont l'issue est présumée critique. Ils établissent des communiqués et des rapports sur ces procès et recueillent sur place des informations concernant les personnes emprisonnées pour leurs opinions. De telles missions sont habituellement composées de juristes faisant figure d'experts distingués, de diplomates ayant quitté leurs fonctions ou de spécialistes reconnus.

Amnesty International publie chaque année un rapport rendant compte de la situation des droits de l'homme et de leurs violations dans l'ensemble des pays du monde<ref name="lobs">Modèle:Lien web</ref>. Elle publie également un certain nombre de rapports importants et documentés dénonçant les incarcérations politiques pratiquées par les gouvernements de divers pays<ref name="rfiinfo">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="letempsdalgerie">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="liberation">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="liberation1">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="lemonde">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="lemonde1">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="elle">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="lefigaro">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="liberation2">Modèle:Lien web</ref>.

Ces différents rapports fournissent à l'opinion mondiale des renseignements chiffrés, des références aux textes et aux juridictions d'exception utilisés par les gouvernements et révèlent l'emplacement des prisons, des camps de travail, etc. Depuis la fondation d'Amnesty International, des dizaines de milliers de prisonniers ont été libérés à la suite de son intervention.

Création et historique

Fichier:Amnesty International.svg
Bougie et barbelés Amnesty International

Le Modèle:Date, l'avocat britannique Peter Benenson lit un article concernant deux étudiants portugais condamnés à sept ans de prison pour avoir porté un toast à la liberté. Il pense aussitôt à une pression internationale qui mobiliserait l'opinion publique en faveur des prisonniers d'opinion : Amnesty International est née<ref name="courrierinternational">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="livedeuxtimes">Modèle:Lien web</ref>.

L'appel que publie Benenson, intitulé The Forgotten Prisoners<ref name="amnesty2">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>,<ref name="livedeuxtimes1">Modèle:Lien web</ref>, est diffusé dans la presse le Modèle:Date<ref name="lefigaro1">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="theguardian">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Lien web</ref>, et l'idée d'une campagne internationale pour la défense des droits de la personne suscite immédiatement plus de Modèle:Nombre offres de soutien<ref name="lemonde2">Modèle:Lien web</ref>.

Le but affiché n'est pas le seul but de Benenson. Le 5 janvier 1961, dans un mémorandum interne, il explique que son véritable objectif est de « trouver un socle commun sur lequel les idéalistes du monde entier pourront coopérer. » À terme il importe plus, ajoute-t-il, de canaliser l'enthousiasme des bénévoles que de libérer les prisonniers politiques, d'autant plus que les vrais saints sont aussi bien en prison qu'ailleurs. Sa conclusion est qu'Amnesty doit « avant tout libérer ceux qui sont enfermés dans le cynisme et le doute »<ref>Modèle:Article</ref>.

À la fin de la première année, la nouvelle organisation a envoyé des délégués chargés d'intervenir en faveur des prisonniers dans quatre pays et elle a pris en charge 210 dossiers. Les membres d'Amnesty International créent des instances nationales dans sept pays.

Dès le départ, les principes d'impartialité et d'indépendance strictes sont établis. Les interventions doivent couvrir l'ensemble des blocs géopolitiques. L'accent est clairement mis sur la protection internationale des droits de la personne et l'aide aux victimes.

Face à l'extension alarmante de la torture, pratique à laquelle on recourt de par le monde comme instrument de gouvernement et arme de pression politique, Amnesty International lance, en 1972, une grande campagne pour l'abolition de la torture. Une conférence internationale sur la torture se tient à Paris en décembre 1973, au terme de laquelle son président, Sean MacBride, reçoit le prix Nobel de la paix en 1974. Puis en 1977, c'est au tour de l'organisation elle-même de recevoir le prix, les jurés d'Oslo entendant témoigner, par cette double récompense, de l'attention qu'ils portent à la protection internationale des droits de l'homme. Puis en 1978, Amnesty International a reçu le Prix des droits de l'homme des Nations unies<ref>Modèle:Article</ref>.

Principes et objectifs

Fichier:Faroe stamp 132 amnesty international.jpg
Timbre émis par les Îles Féroé en 1986.

Modèle:Citation bloc Amnesty International œuvre en faveur des personnes emprisonnées pour des raisons de conscience, hommes ou femmes, auxquels leurs croyances, leur origine ethnique ou leur appartenance religieuse ou politique leur valent de se voir privés de leur liberté (aide et assistance ne leur étant toutefois apportées que sous réserve qu'ils n'aient jamais usé de la violence ou invoqué son recours).

Amnesty International s'oppose également et sans réserve à toutes les formes de torture et à la peine de mort<ref name="lefigaro2">Modèle:Lien web</ref>.

Elle soutient les droits des femmes, des enfants et des minorités opprimées (réfugiés, malades atteints du SIDA, personnes LGBT<ref name="lepoint">Modèle:Lien web</ref>, peuples autochtones...).

L'organisation lutte contre l’enrôlement d'enfants soldats et demande l'abrogation de toutes les lois anti-avortement<ref name="lepoint" />.

Elle œuvre à l'application par les gouvernements des règles définies par l'ONU en matière de traitement des prisonniers, notamment dans les Conventions de Genève. L'organisation leur demande aussi de respecter instamment la primauté du droit, ainsi que de ratifier et d'appliquer les textes relatifs aux droits de l'homme.

En 2001, lors de son Conseil international à Dakar (Sénégal), Amnesty International redéfinit et élargit ses objectifs. Ils se définissent comme suit : Modèle:Citation bloc

Méthodes

Fichier:Amnesty in action1990.jpg
À Rotterdam en 1990.
Fichier:Inscrire1.JPG
À Brême en 2008.

L'organisation fonctionnelle d'Amnesty International peut varier d'un pays à l'autre. Au Canada, il existe différentes sections comme un réseau « LGBT », un réseau « femmes » et un réseau « économie et droits de l'homme ».

L'un des points sur lesquels Amnesty International mène également des actions est l'aide et l'assistance apportées aux familles des prisonniers pour lesquels elle intervient et à ces prisonniers mêmes : elle fournit les médicaments spéciaux requis par l'état de tel ou tel prisonnier, donne les livres nécessaires aux étudiants dont l'arrestation a interrompu les études, adresse des subsides aux familles des victimes pour leur permettre de subvenir aux dépenses en vêtements, nourriture et frais de scolarité et aide enfin les prisonniers libérés à trouver un emploi.

L'association remet depuis 2003 le Prix Ambassadeur de la conscience à un ou plusieurs individus ou groupes pour distinguer ceux « qui ont montré la voie en matière de défense des droits humains et qui ont fait preuve d'un courage exceptionnel pour les défendre<ref name="amnestyfr3">Modèle:Lien web</ref>.

Organisation

Secrétaires généraux

Fichier:Irene Khan 2003.jpg
Irene Khan, secrétaire générale entre 2001 et 2010.
Fichier:Salil Shetty - World Economic Forum Annual Meeting 2012.jpg
Salil Shetty, secrétaire général entre 2010 et 2018.
Fichier:Kumi Naidoo - World Economic Forum Annual Meeting 2011 crop.jpg
Kumi Naidoo, secrétaire général entre 2018 et 2019.
Fichier:Agnès Callamard - Global Conference for Media Freedom (48249126867) (cropped).jpg
Agnès Callamard, secrétaire générale depuis 2021.
Année Nom
1961-1966 Modèle:Drapeau Peter Benenson<ref name="lemonde3">Modèle:Lien web</ref>
1966-1968 Modèle:Drapeau Eric Baker
1968-1980 Modèle:Drapeau Martin Ennals
1980-1986 Modèle:Drapeau Thomas Hammarberg
1986-1992 Modèle:Drapeau Modèle:Lien
1992-2001 Modèle:Drapeau Pierre Sané
2001-2010 Modèle:Drapeau Irene Khan<ref name="lepoint1">Modèle:Lien web</ref>
2010-2018 Modèle:Drapeau Salil Shetty
2018-2019 Modèle:Drapeau Kumi Naidoo<ref>Modèle:Lien web</ref>
2019-2021 Modèle:Drapeau Julie Verhaar (intérim)
Depuis 2021 Modèle:Drapeau Agnès Callamard<ref>Modèle:Lien web</ref>

Financement

Amnesty International déclare ne solliciter ni accepter aucune aide financière des gouvernements (sauf pour des exceptions limitées, telles que des projets d’éducation aux droits humains). Les centaines de milliers de dons qui font vivre le mouvement proviennent de ses membres, du public et d’organisations diverses telles que des fondations ou des entreprises.

Critiques

Harcèlement et racisme sur le lieu de travail

Amnesty International est à plusieurs reprises touché par des scandales de harcèlement et de racisme visant ses employés et bénévoles.

Le suicide en Modèle:Date- de Gaëtan Mootoo, chercheur d'Amnesty International chargé de l'Afrique de l'Ouest, conduit à la réalisation d'une enquête interne qui met en lumière les bouleversements récents du fonctionnement de l'organisme au profit de la communication et de la recherche de financement, et au détriment du travail de terrain<ref>«Mort de Gaëtan Mootoo : le rapport d’enquête pointe « des défaillances » au sein d’Amnesty», Le Monde, 4 décembre 2018.</ref>. En Modèle:Date-, l'équipe de direction d'Amnesty International propose de démissionner<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>(cinq des sept membres de la direction générale)<ref>«Amnesty International : plusieurs dirigeants quittent l'ONG après une enquête révélant un environnement de travail "toxique"», France Info, 28 mai 2019.</ref> après qu'un rapport indépendant a révélé ce qu'il appelle une « culture toxique » d'intimidation sur le lieu de travail. Des preuves d'intimidation, de harcèlement, de sexisme et de racisme ont été découvertes après deux enquêtes sur des suicides en 2018 : celle du vétéran d'Amnesty, Gaetan Mootoo, âgé de 65 ans, à Paris en Modèle:Date- (qui a laissé une note citant des pressions au travail), et celle de la stagiaire Rosalind McGregor, âgée de 28 ans, à Genève en Modèle:Date-<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

L’indemnité « généreuse » de licenciement des cinq des sept membres de la direction générale a suscité la colère, tandis que près de cent autres travailleurs d'Amnesty perdent leur emploi en raison d'une crise financière dans l'organisation<ref>Modèle:Article.</ref>.

En avril 2021, huit employés d'Amnesty International (anciens et actuels) issus de minorités ethniques rapportent avoir été victimes de façon répétée de discrimination raciale de la part des cadres de l'organisation, consistant notamment en des comportements inappropriés ou vexatoires<ref>https://www.theguardian.com/world/2021/apr/20/amnesty-international-has-culture-of-white-privilege-report-finds</ref>.

Salaires et indemnités de départ

Les indemnités de départ versées à la septième secrétaire générale d'Amnesty International, Irene Khan, ont été dénoncées dans un article du Canard enchaîné daté du Modèle:Date-. Cette dernière a touché 533 000 livres sterling, obligeant ainsi l’ONG à justifier cette somme dans un communiqué par le versement d’une prime de départ (Modèle:Unité), de ses trois derniers mois de salaires (Modèle:Unité), d’arriérés de divers paiements (Modèle:Unité), d’une augmentation rétroactive (Modèle:Unité), d’indemnité de déménagement (Modèle:Unité), et d’une prime non versée (Modèle:Unité)<ref name="amnestyfr4">Modèle:Lien web</ref>.

Prises de position

Selon un site américain « pro-vie », la section britannique d'Amnesty International aurait pris position en Modèle:Date- en faveur d'une décriminalisation de l'avortement<ref name="lifenewscom">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Lien web</ref>, dans le cas de viols ou de mise en danger de la vie de la mère, « dans la mesure où elles sont directement liées à son action pour le droit à la santé et contre la violence faite aux femmes ». Cette prise de position a été condamnée par le Vatican par la voix du cardinal Renato Martino, président du Conseil pontifical Justice et Paix, qui a demandé à tous les catholiques et à toutes les institutions catholiques de ne plus accorder de soutien financier à ce mouvement<ref name="lexpress">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="lemonde4">Modèle:Lien web</ref>, quelques semaines avant le Congrès annuel de l'association qui devait débattre de cette question. Amnesty International a rappelé qu'elle ne recevait pas d'argent du Vatican, car elle n'accepte de fonds d'aucun État, et que sa position ne consistait « pas à promouvoir l'avortement en tant que droit universel (…). Elle considère comme un droit humain le droit des femmes à ne subir ni terreur, ni menace ni contrainte quand elles font face aux diverses conséquences d'un viol ou d'autres violations graves des droits de l'homme<ref name="lobs1">Modèle:Lien web</ref>.

À la suite de la publication de son rapport sur les troubles au Tibet en mars 2008<ref name="amnesty4">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Lien web</ref> elle a été accusée par la Société chinoise pour l'étude des droits de l'homme de s'être fait l'écho de la « clique du Dalaï Lama »<ref name="agencechinenouvelle">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="agencechinenouvelle1">Modèle:Lien web.</ref>.

En 2010, Amnesty International milite aux côtés de quatre hommes et femmes politiques belges de gauche et de la Ligue des droits de l'homme pour que des soins soient apportés au belgo-marocain Oussama Atar détenu dans des geôles irakiennes<ref name="rtbf">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="septsursept">Modèle:Lien web</ref>. L'homme, condamné pour participation à une organisation terroriste, serait atteint du cancer et aurait besoin de soins urgents, non disponibles dans sa prison irakienne. Libéré en 2012, avec l'appui des Affaires étrangères, il rentre en Belgique et disparaît dans la nature. En 2016, il apparaît que l'homme se livre à des activités de terrorisme islamiste et serait un des mentors derrière les attentats de Paris et de Bruxelles. La NVA exprime son incompréhension et le député Alain Destexhe demande alors une enquête sur le rôle joué par Amnesty International ainsi que les députés Zoé Genot, Jamal Ikazban et Ahmed El Khannouss dans cette libération<ref name="levif">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="lalibrebe">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="lalibrebe1">Modèle:Lien web</ref>.

En 2014, une étude de l'AEGE, une association d'étudiants et d'anciens étudiants de l'École de guerre économique, dirigée par Christian Harbulot, analyse la provenance des financements de l'ONG, qu'il soupçonne de collusion avec le gouvernement des États-Unis de l'époque. Il questionne, ainsi que d'autres auteurs, la partialité de l'ONG quant au choix des cibles de ses campagnes et de ses positions politiques<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>.

Fonctionnement

Pour Jean-Paul Besset Amnesty à évoluée vers une professionalisation au détriment du volontarisme. Tandis que l'ONG tend a abandonner le ton modéré et feutré, elle s'engage dans une communication plus accrocheuse, directe et rapide qu'il compare à une campagne de publicité<ref>Besset, J. (1991). Amnesty International la conspiration de l’espoir: trente ans au service des droits de l’homme (0 ed.). DU FELIN</ref>. L'ONG est également critiquée pour avoir des penchants dogmatiques, en particulier concernant les valeurs libérales occidentales, tel que l'individualisme<ref>Vincent, R. J. (1986). Human Rights and International Relations. Cambridge University Press. </ref>. Pour certaines critiques, la fragmentation du mouvement entraîne une partialité concernant les choix de campagnes<ref>Bradley, M. P. (2018). The World Reimagined: Americans and Human Rights in the Twentieth Century (Human Rights in History) (Reprint). Cambridge University Press.</ref>. Elle est aussi critiquée pour un manque d'impartialité et une négligence de sa base légale et morale<ref>A State Beyond the Pale: Europe's Problem with Israel, Robin Shepherd </ref>,<ref>Quigley, J. (2021). The Legality of a Jewish State: A Century of Debate over Rights in Palestine. Cambridge University Press.</ref>.

Critiques

Dans une interview exclusive accordée à la chaîne Al Jazeera le 22 mars 2023, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a déclaré que l'organisation devrait défendre les jeunes enfants palestiniens emprisonnés dans les prisons israéliennes au lieu de critiquer la politique de l'Algérie en matière de liberté de la presse<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Dans la culture populaire

  • Dans la série 24 heures chrono, saison 4, épisode 18 ; un avocat d'Amnesty Global, caricature d'Amnesty International, est envoyé à son insu par Habib Marwan, terroriste islamiste voulant faire sauter une tête nucléaire sur le sol américain, afin de retarder la cellule anti-terroriste dans ses interrogatoires et les empêcher de déjouer l'attentat nucléaire<ref name="lefigaro4">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="lobs2">Modèle:Lien web</ref>.
  • Dans la série Scrubs, saison 3, épisode 12 ; le docteur Christopher « Turk » porte un T-shirt gris arborant le logo Amnesty International en noir et blanc.
  • Dans la série Scream Queens, saison 1, épisode 1 ; Brad Radwell ou « Chad Radwell en français, s’adonne à son activité préféré à savoir « chasser les hippies » en tirant une balle de golf dans la jambe d’un membre d’Amnesty International.

Honneurs et distinctions

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Modèle:Autres projets

Bibliographie

En français

  • Hugues Kéraly, Enquête sur un organisme au-dessus de tout soupçon : Amnesty International, Itinéraires, 1980, 215 p. Modèle:ISBN
  • Aimé Léaud, Amnesty International : Un combat de l'homme pour l'homme, Librairie des Libertés, 1983, 192 p. Modèle:ISBN
  • Amnesty International, Les disparitions, Babel, 1994, 136 p. Modèle:ISBN
  • Jean-Paul Besset, Amnesty International : La conspiration de l'espoir, Trente ans au service des droits de l'homme, Le Félin, 1991, 195 p. Modèle:ISBN
  • Aimé Léaud, Amnesty International : Le parti des droits de l'homme, Seuil, 1993, 245 p. Modèle:ISBN
  • Amnesty International, Algérie, le livre noir, La Découverte, 1997, 239 p. Modèle:ISBN
  • Amnesty International, Mettre fin à la violence contre les femmes : Un combat pour aujourd’hui, EFAI, 2004, 156 p. Modèle:ISBN
  • Amnesty International, Droits humains en Russie : Résister pour l'état de droit, Éditions Autrement, 2010, 142 p. Modèle:ISBN
  • Marc Girot, Amnesty International, Enquête sur une organisation génétiquement modifiée, Éditions du Cygne, 2011, 244 p. Modèle:ISBN
  • Aurine Crémieu et Philippe Lefait, Amnesty International a 50 ans, Le Cherche Midi, 2011, 303 p. Modèle:ISBN
  • Amnesty International, Réfugiés, un scandale planétaire : 10 propositions pour sortir de l'impasse, Éditions Autrement, 2012, 201 p. Modèle:ISBN
  • Gaël Turine, Le mur et la peur : Inde-Bangladesh, Actes Sud Éditions, 2014, 144 p. Modèle:ISBN

En anglais

  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Jonathan Power, Amnesty International: The Human Rights Story, McGraw-Hill, 1981, 128 p. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ann Marie Clark, Diplomacy of Conscience: Amnesty International and Changing Human Rights Norms, Princeton University Press, 2001, 183 p. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Jonathan Power, Like Water on Stone: The Story of Amnesty International, Northeastern, 2001, 332 p. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Kirsten Sellars, The Rise and Rise of Human Rights, Sutton Publishing Ltd, 2002, 256 p. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Elizabeth Keane, An Irish Statesman and Revolutionary: The Nationalist and Internationalist Politics of Sean MacBride, I. B. Tauris, 2006, 264 p. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Steven Hopgood, Keepers of the Flame: Understanding Amnesty International, Cornell University Press, 2006, 272 p. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Irène Khan, The Unheard Truth: Poverty and Human Rights, W. W. Norton & Company, 2009, 272 p. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Dana Gluckstein, Dignity : In Honor of the Rights of Indigenous Peoples, Power House Books, 2010, 144 p. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Samuel Moyn, The Last Utopia: human rights in history, Harvard University Press, 2012, 352 p. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Aryeh Neier, The International Human Rights Movement: A History (Human Rights and Crimes against Humanity), Princeton University Press, 2013, 392 p. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Terry Garza, The Latest In Amnesty International - 96 Facts, Emereo Publishing, 2015, 72 p. Modèle:ISBN

Articles connexes

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Liens externes

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