Grindcore

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 18 octobre 2023 à 10:46 par >Hypermassacre57140
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Modèle:Sources à lier {{#invoke:Infobox|build|nom=Musique (style)}}Modèle:Infobox en Lua

Le grindcore ({{#ifeq:1|0|/ˈɡɹaɪnd.kɔː/|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}) est un genre musical dérivé du punk hardcore (précisément du thrashcore et du crust punk) et du metal extrême. Le grindcore est une musique extrêmement directe, rapide et brutale dans laquelle les vocaux gutturaux ou criés côtoient les Modèle:Lang de batterie et les riffs de guitare relativement simples et ultra rapides directement influencés par le punk hardcore et le crust punk. Aujourd'hui, le grindcore est principalement considéré comme un sous-genre du metal.

Au départ, le grindcore est associé à un engagement politique. Les thèmes abordés par les textes sont orientés vers les idées telles que l'anticonsumérisme, la déforestation ou encore le végétarisme et aux droits des animaux (pour Nasum ou Agathocles entre autres). Le grindcore est une conséquence directe du punk hardcore et du metal extrême. Une seconde génération du grindcore apparaît avec des textes plutôt ironiques, gores et pornographiques avec un second degré polémique (Anal Cunt, Agoraphobic Nosebleed). Par la suite, de plus en plus de projets ont exploité le côté parodique ou volontairement Modèle:Citation tel que les français de Purulent Excretor ou Gronibard. D'autres, tels que le groupe français Sublime Cadaveric Decomposition, jusqu'à leur troisième album, n'articulaient pas de paroles dans leur musique.

Le grindcore est parfois confondu avec le brutal death metal (évolution du death metal, avec des groupes tels que Suffocation, Dying Fetus, Mortician) ou le powerviolence.

Caractéristiques

Le grindcore est un mélange initial de thrash metal et de punk hardcore. Le nom est dérivé du mot anglophone Modèle:Lang, un terme britannique de Modèle:Lang et emprunte le suffixe -core de hardcore<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le grindcore utilise l'instrumentation classique du punk hardcore et du heavy metal : guitare électrique, basse et batterie<ref name=amg/>. Cependant, le grindcore modifie les pratiques habituelles du metal ou du rock dans sa structure et sa tonalité<ref name=amg/>. Le style vocal Modèle:Citation Les paroles sont souvent incompréhensibles.

Certains morceaux de grindcore contiennent une Modèle:Citation qui dure seulement quelques secondes. En 2001, le Livre Guinness des records récompense Brutal Truth dans la catégorie de Modèle:Citation pour sa chanson sortie en 1994 Modèle:Lang (qui dure seulement quatre secondes). En 2007, la vidéo de la chanson Modèle:Lang de Napalm Death établit un nouveau record dans cette catégorie avec une durée de 1,3 seconde<ref name="OCW">Modèle:Lien web.</ref>. Hormis la microchanson, le grindcore se caractérise généralement par sa courte durée ; par exemple, le premier album de Carcass, Modèle:Lang (1988), se compose de 22 chansons d'une durée moyenne d'une minute et 48 secondes. Certains albums de grindcore sont de très courte durée comparés aux autres genres, et se composent d'une large liste de titres mais d'une durée totale moyenne de 15 à 20 minutes. Certains groupes de grindcore utilisent des guitares down-tuned<ref name=johnson200704>Johnson 2007, page 04.</ref>.

Blast beat

Le blast beat est une technique de batterie caractérisant le grindcore dans toutes ses formes<ref name=macgregor>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Adam MacGregor, Dusted, 11 juin 2006. Agoraphobic Nosebleed review, consulté le 2 octobre 2008.</ref>, bien que très peu utilisée. Selon la définition d'Adam MacGregor, Modèle:Citation Les blast beats sont définis comme de Modèle:Citation Napalm Death utilise pour la première fois ce terme<ref name=greenway/>, bien que ce style de batterie ait été déjà pratiqué auparavant par d'autres groupes. Daniel Ekeroth explique que le blast beat a été initialement utilisé par le groupe de D-beat Asocial dans leur démo publiée en 1982<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ekeroth, p. 22.</ref>. D.R.I. (Modèle:Lang)<ref name=macgregor/>, S.O.D. (Modèle:Lang)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Stormtroopers of Death, 1985, track 11.</ref>, Sarcófago (Modèle:Lang)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Sarcófago</ref>, Sepultura (Modèle:Lang)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Sepultura, 1986, track 10.</ref>, et Repulsion<ref name=repulsion/> ont également utilisés cette technique bien avant l'arrivée de Napalm Death dans la scène.

Paroles

Les paroles du grindcore sont militantes et/ou provocantes. Un nombre de musiciens de grindcore s'engagent politiquement et éthiquement, portant généralement des revendications considérées d'extrême gauche, en lien avec les racines punk du grindcore<ref name=gs46>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Grindcore Special, p. 46.</ref>. Par exemple, les chansons de Napalm Death se concentrent sur des thèmes anarchistes, dans la tradition anarcho-punk. Ces thèmes incluent l'anti-racisme, le féminisme, l'antimilitarisme, et l'anticapitalisme. D'autres groupes de grindcore, comme Cattle Decapitation et Carcass, expriment leur dégoût de la nature humaine, de la maltraitance animale, et sont dans certains cas végétariens ou véganes<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} NME.com. Carcass biography, consulté le 28 avril 2009.</ref>. Les chansons de Carcass en particulier sont considérées comme à l'origine du style goregrind, qui se concentre sur des thèmes Modèle:Citation<ref name="Widener">Modèle:Ouvrage.</ref>. Des groupes qui se concentrent plus sur des thèmes sexuels que corporels, comme Gut et les Meat Shits, sont classés dans la catégorie pornogrind<ref name="passion book">Modèle:Ouvrage.</ref>. Les paroles de Seth Putnam, chanteur d'Anal Cunt, sont notées pour leur humour noir<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Eduardo Rivadavia, Anal Cunt bio, Allmusic. [[[:Modèle:Allmusic]]], consulté le 25 avril 2009.</ref>, leur contenu choquant et politiquement incorrect, tandis qu'un groupe comme The Locust utilise un humour satirique inspiré par William S. Burroughs<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} The Locust: Catching Up with J.P., 17 octobre 2007</ref>.

Histoire

Précurseurs

La première scène grindcore est liée à un réseau international d'échanges entre particuliers et de la production DIY<ref name=grind44>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Grindcore Special, p. 44.</ref>. Les premiers précurseurs connus du son grindcore sont Siege<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Steven Blush, Boston Not L.A., American Hardcore, Feral House, p. 171.</ref>, groupe de punk hardcore, et Repulsion, groupe de death metal<ref name=repulsion>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Matthew Widener, Scared to Death: The Making of Repulsion's Horrified, Decibel no. 46, août 2008, p. 63-69.</ref>. Siege, originaire de Weymouth, dans le Massachusetts, s'inspire du punk hardcore américain classique (Minor Threat, Black Flag, Void) et de groupes britanniques tels que Discharge, Venom et Motörhead<ref name=Siege>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Mudrian 2004, p. 50.</ref>. Siege voulait jouer à un rythme effréné : Modèle:Citation, comme l'explique le batteur Robert Williams<ref name=Siege/>.

Repulsion, originaire de Flint (Michigan), dit s'être inspiré de groupes de street punk comme Discharge et Charged GBH, de crossover thrash comme les Dirty Rotten Imbeciles et Corrosion of Conformity, de thrash metal comme Slayer, Metallica, Celtic Frost<ref name= blush36/>, Sodom, et Venom, et de death metal (Possessed), de punk hardcore comme Black Flag, et d'anciens groupes de hard rock<ref name=repulsion/>. Le groupe est souvent crédité pour avoir inventé le classique blast beat grind (joué à 190 BPM) et sa tonalité<ref name=repulsion/>. Shane Embury, en particulier, considère le groupe comme à l'origine des dernières innovations de Napalm Death<ref name=repulsion/>. Kevin Sharp de Brutal Truth déclare que Modèle:Citation

D'autres groupes de la scène grindcore, comme Heresy et Unseen Terror, s'inspirent du punk hardcore américain de groupes comme Septic Death, et le D-beat suédois<ref name=grind43>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Grindcore Special, p. 43.</ref>. Sore Throat explique s'être inspiré de Discharge, Disorder, de groupes D-beat et thrash metal, comme Hellhammer<ref name=autogenerated1>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Grindcore Special, p. 45.</ref> et de groupes américains comme Poison Idea et DRI<ref name=autogenerated1 />. Le japanese hardcore, en particulier GISM, est également mentionné par les premiers groupes du style<ref name=grind52>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Grindcore Special, p. 52.</ref>. D'autres groupes notables sont cités par les anciens membres et les membres actuels de Napalm Death comme Discharge<ref name=recollections>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Dark Recollections: Napalm Death, Scum, Terrorizer, issue 183, mai 2009, p. 84-85.</ref>, Amebix<ref name= knac2003>Modèle:Lien web.</ref>, Throbbing Gristle<ref name=mudrian3104>Mudrian 2004, page 31.</ref> et les Dirty Rotten Imbeciles<ref name=mudrian3104 />. Les groupes de post-punk, comme Killing Joke<ref name=recollections/> et Joy Division<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Interview with Mick Harris, DVD half of Napalm Death's Scum 20 year anniversary (réédition).</ref> sont également cités comme les premiers ayant inspiré Napalm Death.

Royaume-Uni

Fichier:Napalm Death, Lemon Tree, Aberdeen, 16th August 2007.jpg
Les pionniers du grindcore Napalm Death, en 2007.

Le grindcore, comme tel, se développe au milieu des années 1980 au Royaume-Uni grâce à Napalm Death, groupe originaire de la scène anarcho-punk de Birmingham, en Angleterre<ref name="Glasper 2009, p. 11">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Glasper 2009, p. 11.</ref>. Leurs chansons étant initialement dans la veine de Crass<ref name="Glasper 2009, p. 11"/>, elles seront finalement associées à la scène crust punk<ref name=crust>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Crustgrind, Grindcore Special, part 2, p. 46.</ref>. Le groupe commence ensuite à reprendre des éléments en provenance du thrashcore, post-punk, et du power electronics<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Glasper 2009, p. 12.</ref>. Le groupe effectue également des changements chez ses membres<ref name="Glasper 2009, p. 14">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Glasper 2009, p. 14.</ref>. Un changement majeur de style s'effectue à l'arrivée de Mick Harris à la batterie<ref name="Glasper 2009, p. 14"/>. Le rédacteur Ian Glasper indique que Modèle:Citation Albert Mudrian suggère que le terme Modèle:Citation ait été utilisé pour la première fois par Harris. Ce dernier indique que Modèle:Citation

D'autres sources contredisent les propos de Harris. Dans un article publié par le magazine Modèle:Lang, Steven Blush déclare que Modèle:Citation pour avoir nommé le style grindcore s'appelle Shane Embury, bassiste de Napalm Death depuis 1987. Embury offre sa propre définition du Modèle:Citation grindcore : Modèle:Citation

Le fondateur du label Earache Records, Digby Pearson, soutient Embury, expliquant que Napalm Death Modèle:Citation Pearson, cependant, explique que le grindcore Modèle:Citation Modèle:Citation

Amérique du Nord

Fichier:Seth with AxCx at Relapse Festival 1993 crop.jpg
Seth Putnam d'Anal Cunt au Relapse Festival, 1993.

Le journaliste Kevin Stewart-Panko divise l'origine du grindcore américain des années 1990 en trois sources : le grindcore britannique, les précurseurs américains, et le death metal<ref name=usgrind>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Kevin Stewart-Panko, Altered States, Grindcore Special, part 2, p. 42-43.</ref>. Les premiers albums de Napalm Death n'étant publiés dans leur intégralité aux États-Unis, des groupes américains s'inspirent de leurs dernières chansons comme Modèle:Lang<ref name=usgrind/>. Les groupes américains utilisent souvent des riffs en provenance du crossover thrash ou du thrash metal<ref name=usgrind/>. Les premiers groupes grind incluent Terrorizer et Assück<ref name="vonhavoc">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Felix von Havoc. Maximum Rock'n'Roll #198, consulté le 28 juin 2008.</ref>. Anal Cunt, groupe particulièrement dissonant dépourvu de basse, est une influence pour la scène<ref name=usgrind/>. Leur style est souvent considéré comme du Modèle:Citation ou Modèle:Citation, décrit par Giulio des Cripple Bastards comme Modèle:Citation

Brutal Truth devient le groupe le plus populaire de la scène au début des années 1990<ref name="vonhavoc"/>. Cependant, Kevin Sharp indique qu'ils s'inspirent plus du thrash metal de Dark Angel que des groupes britanniques<ref name=autogenerated2 />. Discordance Axis détenait un style plus technique dans son jeu comparé à la plupart de ses prédécesseurs<ref name=usgrind/>.

Europe

Des groupes européens, tels qu'Agathocles, de Belgique<ref name="vonhavoc"/>, Patareni, de Croatie, Rotten Sound, de Finlande, Nasum, de Suède, et Fear of God, de Suisse, sont les plus imposants du style<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Grindcore Special, p. 54.</ref>. Filthy Christians, signé au label Earache Records en 1989, intronise le style en Suède<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ekeroth, p. 262.</ref> tandis que Cripple Bastards s'établit dans la scène italienne du grindcore<ref name=grind43 />. En France, Blockheads est un bon exemple de grindcore.

Influence sur d'autres genres

Le groupe japonais de noise rock Boredoms emprunte des éléments de grindcore<ref name=amg>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} AllMusic. [[[:Modèle:Allmusic]] Grindcore], consulté le 16 septembre 2008.</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Brad Jones, Denver Westword, 5 juillet 1994. Bore None, consulté le 16 août 2008.</ref> et part en tournée avec Brutal Truth en 1993<ref>Modèle:Lien archive, Andrew Parks, Theme Magazine, issue 7, 2006. consulté le 16 août 2008.</ref>. Gore Beyond Necropsy formé en 1989, collabore par la suite avec le musicien bruitiste Merzbow<ref>Modèle:Lien web</ref>. Naked City, mené par le saxophoniste John Zorn, joue une forme avant-gardiste de jazz punk orientée grindcore<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Bagatellen, 21 avril 2004 Slave to the Grind, consulté le 16 août 2008.</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Christopher Thelen, 17 août 1998 Daily Vault, consulté le 16 août 2008.</ref>. Zorn forme plus tard Painkiller avec le producteur ambient dub Bill Laswell à la guitare basse et Mick Harris à la batterie<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui collabore avec Justin Broadrick<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Cosmo Lee, 15 mai 2006. Stylus Magazine, consulté le 16 août 2008.</ref>.

Powerviolence

Le powerviolence est un sous-genre agressif et dissonant du punk hardcore<ref name=terrorizer>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Powerviolence: The Dysfunctional Family of Bllleeeeaaauuurrrgghhh!!. Terrorizer no. 172, juillet 2008. pages 36-37.</ref>,<ref name=decibel>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Anthony Bartkewicz. Screwdriver in the Urethra of Hardcore. Decibel Magazine, juillet 2007, consulté le 17 novembre 2008.</ref>. Le style est lié au thrashcore<ref name=terrorizer/> et similaire au grindcore. Bien que le powerviolence s'inspire de Napalm Death et d'autres premiers groupes de grindcore, les groupes du genre évitent les éléments du heavy metal<ref name= powervio>Modèle:Lien archive.</ref>.

Musique industrielle et électronique

Fichier:The Locust.jpg
Justin Pearson de The Locust, à l'origine du cybergrind.

Parmi d'autres influences, Napalm Death inspire la scène de la musique industrielle<ref name=mudrian3104/>. De ce fait, l'ancien guitariste de Napalm Death, Justin Broadrick, se lance dans le metal industriel avec Godflesh<ref name=recollections/>. Mick Harris, dans son groupe post-Napalm Death, Scorn, expérimente brièvement le style<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Christian Genzel, Scorn, AllMusic, [[[:Modèle:Allmusic]] Stealth review], consulté le 24 juin 2008.</ref>. Scorn joue également du hip-hop industriel<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} David E. Flick, Scorn, Re:Gen Magazine, 18 janvier 2008 'Stealth, consulté le 24 juin 2008.</ref> et du dark ambient<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Simon Reynolds, Artforum, janvier 1995. Chill: the new ambient., consulté le 24 juin 2008.</ref>. Fear Factory<ref name= fear>Modèle:Lien vidéo.</ref>, groupe de metal industriel, est également cité dans le groupe s'inspirant du grindcore.

Le digital hardcore est initialement un mélange de punk hardcore et techno hardcore<ref name=dhr>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Interview with J. Amaretto of DHR, WAX Magazine, issue 5, 1995. Included in liner notes of Digital Hardcore Recordings, Harder Than the Rest!!! compilation CD.</ref>. Agoraphobic Nosebleed et The Locust sollicitent des remixes de producteurs digital hardcore et de musique bruitiste<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Whitney Strub, 26 juillet 2007. Stylus Magazine. Agoraphobic Nosebleed review, consulté le 18 juin 2008.</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} The Locust Biography, consulté le 18 juin 2008.</ref>, James Plotkin, Dave Witte, et Speedranch participent au projet Phantomsmasher, qui mélange grindcore et digital hardcore. Alec Empire, d'Atari Teenage Riot, groupe iconique du digital hardcore, collabore avec Justin Broadrick sur le premier album de Curse of the Golden Vampire<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ipecac Records, The Curse of the Golden Vampire., consulté le 18 juin 2008.</ref> et avec Gabe Serbian, de The Locust, sur scène au Japon<ref name=ae>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Indymedia Ireland, 28 décembre 2006 Alec Empire Interview: People Are Organized But Political Music Is Not Really Being Made, consulté le 18 juin 2008.</ref>. La personnalité du japanoise Merzbow participe également au show Empire/Serbian<ref name=ae/>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle assiste au développement de l'Modèle:Citation (ou Modèle:Citation)<ref name=egrind>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Kevin Stewart-Panko, Shock Tactics, Grindcore Special, part 2, p. 52-53.</ref>,<ref name=egrind2>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Andrew Childers, Grind and Punishment, 15 mars 2010, The Body Electric, consulté le 18 juin 2008.</ref> joué par The Berzerker, Body Hammer, Gigantic Brain et Genghis Tron qui intègre des éléments de musique électronique<ref name=lilker>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Lilker</ref>. Ces groupes s'inspirent des chansons d'Agoraphobic Nosebleed, Enemy Soil et The Locust, et d'autres groupes de metal industriel<ref name=egrind/>. The Berzerker s'approprie également le kick de type Roland TR-909 distordu du gabber<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Liz Ciavarella, "The Berzerker: Sonic Discontent, " Metal Maniacs, vol. 26, no. 2, février 2009, p. 80-81.</ref>. Les récents groupes de cybergrind sont caricaturés par leur connexion hipster<ref name=egrind/>.

Metalcore

Le metalcore est un genre mêlant metal extrême et punk hardcore, s'inspirant à l'époque du groove metal<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Blood Runs Deep: 23 Bands Who Shaped the Scene, page 110, Alternative Press, 7 juillet 2008.</ref>. Comme le grindcore, le metalcore peut inclure des breakdowns et des passages intenses menant au moshing<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} The best part of every metalcore song is the breakdown, the part where the drums drop out and the guitars slow their frantic gallop to a devastating, precise crunch-riff and everyone in the moshpit goes extra nuts. - Tom Breihan. Status Ain't Hood. The Village Voice, Daily Voice. 11 octobre 2006. Live: Trivium, the Jackson 5 of Underground Metal, consulté le 21 juin 2008.</ref>. Au milieu des années 1990, certains groupes de metalcore commencent à s'inspirer du développement du grindcore. Par exemple, des groupes de mathcore<ref name="Steve Carlson 2008">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Steve Carlson, Blog Critics, 19 octobre 2006. Hell Songs review, consulté le 21 juin 2008.</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} San Diego Reader, consulté le 21 juin 2008.</ref> comme The Dillinger Escape Plan<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Contemporary grindcore bands such as The Dillinger Escape Plan [...] have developed avant-garde versions of the genre incorporating frequent time signature changes and complex sounds that at times recall free jazz. Keith Kahn-Harris (2007), Extreme Metal, Berg Publishers, Modèle:ISBN, p. 4.</ref>, Some Girls<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Corey Apar, AllMusic. [[[:Modèle:Allmusic]] Heaven's Pregnant Teens review], consulté le 21 juin 2008.</ref> et Daughters<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Joe Davenport, 24 août 2006. Hell Songs review, Delusions of Adequacy, consulté le 21 juin 2008.</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Stewart Mason, AllMusic. [[[:Modèle:Allmusic]] Daughters biography], consulté le 21 juin 2008.</ref>. Ces groupes incluent également des éléments de post-hardcore<ref name="Steve Carlson 2008"/>.

Certains premiers groupes de screamo<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Another interesting sub-sub-genre [sic?] was this strange crossover of first-generation emo and grind. Bands like Reversal of Man or Orchid may not have stood the test of time, but it was a pretty cool sound at the time and one that was pretty uniquely American. - Greg Pratt, Altered States, Grindcore Special part. 2, page 43.</ref> comme Circle Takes the Square et Orchid<ref name=RB>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ryan Buege. Metal Injection, 15 juin 2008. Circle Takes the Square is in the Studio, consulté le 21 juin 2008.</ref> sont associés au grindcore par certains rédacteurs.

Notes et références

Modèle:Références

Bibliographie

  • Albert Mudrian, Choosing Death, L'Histoire du death metal et du grindcore (éditions Camion Blanc) Modèle:ISBN.
  • Fabien Hein, Hard rock, Heavy metal, metal. Histoire, culture et pratiquants Modèle:ISBN.
  • Modèle:Article
  • Modèle:Article
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ekeroth, Daniel (2008). Swedish Death Metal. Bazillion Points Books. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Glasper, Ian (2009). Trapped in a Scene: UK Hardcore 1985-1989. Cherry Red Books. Modèle:ISBN
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Grindcore Special (2009), Terrorizer, 180, 41–56, et 181, 41–56.
  • Modèle:Article.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Lilker, Danny (2007). A User's Guide to Grindcore. Grind Your Mind: A History of Grindcore [CD]. Liner notes. Mayan Records, MYNDD056.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Mudrian, Albert (2004). Choosing Death: The Improbable History of Death Metal and Grindcore. Los Angeles, CA: Feral House.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Sarcófago. (1986). Satanas. On Warfare Noise [CD]. Belo Horizonte, MG: Cogumelo Records. (2007).
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Sepultura (1986). Antichrist. On Morbid Visions [CD]. New York: Roadrunner Records. (1997).

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail