A Saucerful of Secrets (album)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Musique (œuvre) Modèle:Lang (appelé parfois Saucerful ou S.O.S. par les fans) est le second album studio du groupe Modèle:Lang britannique Modèle:Lang. Il est enregistré entre 1967 et 1968 dans les Modèle:Lang et sort le Modèle:Date sur le label Columbia, la production est assurée par Modèle:Lang.
En Modèle:Date- Nick Mason, le batteur du groupe, reprend le nom de cet album pour monter un groupe live intitulé Nick Mason's Saucerful of Secrets qui reprend tout le répertoire des Pink Floyd avant l'album The Dark Side of The Moon.
Historique
C’est la dernière participation, et de manière limitée, de Modèle:Lang à Modèle:Lang. Dès le milieu de 1967, il est sous l’emprise des nombreuses drogues qu’il absorbe quotidiennement, notamment le LSD : il n’arrive plus à jouer en groupe, a de plus en plus peur de se produire en concert et ses absences répétées fragilisent la cohésion du groupe. Les autres musiciens cherchent alors un autre guitariste pour, dans un premier temps, épauler Modèle:Lang, puis éventuellement le remplacer. Le premier nom à circuler est celui de Modèle:Lang, on a aussi pensé à Modèle:Lang des Modèle:Lang qui a déjà remplacé Barrett en concert, mais c'est finalement Modèle:Lang, originaire comme les quatre autres de Modèle:Lang et ami d'enfance de Modèle:Lang, qui devient le nouveau membre de Modèle:Lang. Modèle:Lang joue sur les chansons Modèle:Lang, Modèle:Lang et Modèle:Lang. Selon Modèle:Lang : Modèle:Citation
Analyse musicale
C'est un album de transition dans l’œuvre de Modèle:Lang car l’influence créative de Modèle:Lang s’atténue avant de disparaître définitivement au profit de celle de Modèle:Lang et de Modèle:Lang, qui écrivent à eux deux la plupart des titres de l’album. Le jeu de guitare de Modèle:Lang est particulièrement propice aux atmosphères des compositions de Modèle:Lang. Modèle:Lang glisse du psychédélisme vers le Modèle:Lang<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et devient l'un des groupes majeurs de la scène internationale.
Modèle:Lang
C'est le titre qui ouvre l'album. Entièrement composé par Modèle:Lang, il débute avec un Modèle:Lang de basse. La voix des couplets est celle de Modèle:Lang, suivie du refrain par celle de Modèle:Lang. La chanson se termine par un solo de guitare de Modèle:Lang. Le titre de la chanson semble être une parodie de la phrase biblique Modèle:Lang (« Que la lumière soit »). Elle évoque également les derniers mots de Modèle:Lang : Modèle:Lang (Plus de lumière! ). La chanson raconte l'arrivée d'extra-terrestres sur terre ; à la fin elle fait référence à la chanson des Modèle:Lang, Modèle:Lang, For there revealed in glowing robes was Lucy in the sky.
Modèle:Lang
Composé et chanté par Modèle:Lang, le titre devait initialement paraître sur le premier album Modèle:Lang. La guitare est assurée par Syd Barrett. Le producteur Modèle:Lang assure la batterie et les chœurs.
Modèle:Lang
Écrit et chanté par Modèle:Lang, à partir d'un recueil de poésies chinois de la dynastie Tang. Modèle:Lang (« Mets le cap sur le cœur du soleil ») autre traduction proposée : « Règle les commandes du coeur du soleil » se décompose de façon classique selon la formule « deux couplets, un instrumental, troisième et dernier couplet ». La mélodie, simple et linéaire, est orientalisante et hypnotique. L'instrumental central, quant à lui, se divise en deux parties : un Modèle:Lang où l'orgue Farfisa, pratiquement seul au départ, se laisse peu à peu submerger par la guitare, jusqu'à une explosion sonore qui débouche sur une simple ligne d'orgue qui marque le début de la deuxième partie. Ce sont alors des Modèle:Lang d'orgue et des Modèle:Lang de guitare qui créent une ambiance spatiale, rejoints par la basse et la batterie, avant de revenir au thème avec le dernier couplet qui s'évanouit dans d'ultimes glissades d'orgue. Le groupe l'interpréta en concert dès 1967, et jusqu'en 1973. La chanson figure dans le disque live Modèle:Lang, ainsi que dans Modèle:Lang et sur divers Modèle:Lang. Modèle:Lang la reprendra plus tard lors de ses tournées en solo, dans une version revue sur le plan des arrangements, guitare et saxophone notamment. Le Modèle:Date- Roger Waters fait une apparition surprise durant un concert de Nick Mason's Saucerful of Secrets pour interprėter Set The Controls For The Heart of The Sun.
Modèle:Lang
Chanson écrite par Modèle:Lang avec Modèle:Lang à la guitare, au chant et au kazoo. L'inventeur du kazoo s'appelait Thaddeus von Clegg, qui porte le même nom que le caporal de la chanson. Modèle:Lang chante les couplets : Modèle:Citation étrangère<ref>Confirmé dans une émission de radio, Modèle:Lang, en 1992.</ref>. C'est l'une des rares chansons sur laquelle la voix du batteur du groupe apparait, avec Modèle:Lang, dans laquelle il récite la phrase One of these days, I will cut you into little pieces, et Modèle:Lang, une composition inédite de Modèle:Lang. Modèle:Lang est la première composition antimilitariste de Modèle:Lang. Il évoque la Seconde Guerre mondiale, durant laquelle meurt son père : elle évoque l'oubli dans lequel est tombé le caporal Clegg, qui perdit sa jambe au combat sans pour autant être honoré (sa seule médaille, il l'a « trouvée au zoo »), et l'alcoolisme apparent de son épouse (Modèle:Lang).
Modèle:Lang
Ce sont les parties deux et trois de Nick's Boogie, œuvre collective de 1966, qui ont servi de canevas à ce morceau. On y retrouve toute l'inventivité de Barrett qui semble bien être la source de création de ce genre d'improvisation hasardeuse. À l'époque Gilmour imitait le jeu de Barrett.
Il s'agit d'une suite en trois mouvements - le Modèle:3e étant divisé en deux parties - de 12 minutes, première œuvre conceptuelle de Modèle:Lang. Elle décrirait la mise en musique d'une bataille : préparatifs dans une atmosphère oppressante, l'affrontement et une oraison funèbre finale<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Modèle:Lang (« Quelque chose d'autre ») : très calme au début, section d'orgue et crescendo dramatique ; l'ambiance angoissante ferait référence aux œuvres de Modèle:Nobr chères à Modèle:Lang<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> (0 min - 3 min 57 s);
- Modèle:Lang (« Modèle:Lang syncopé ») : violentes boucles de batterie, déflagrations de guitare, gong puissant, Modèle:Lang. (3 min 57 s – 7 min 7 s)
- Modèle:Lang (« signal d'orage ») : clochettes et grondements d'orgue ; cette partie courte est une transition vers la suivante. (7 min 7 s - 8 min 30 s)
- Modèle:Lang (« voix célestes ») : partie passacaille, en contraste total avec les parties précédentes qui évoquent le chaos ; elle commence avec un thème de 15 accords sur 8 mesures à l'orgue, sur lequel se greffent ensuite la guitare (en Modèle:Lang de Modèle:Lang), la basse, la batterie, la guitare (au médiator) et la voix de Modèle:Lang. Elle donne un aspect euphorique à l'ensemble du morceau ; cette partie a été reprise seule lors de plusieurs concerts où elle clôturait une suite nommée Modèle:Lang ; une version d'une longueur exceptionnelle (9 reprises du thème) en a été exécutée au Modèle:Lang en 1969 avec grand orgue, cuivres et chœurs ; une autre dans un concert au Modèle:Lang d'Amsterdam, la même année. Modèle:Lang reçoit alors le nom de Modèle:Lang. (8 min 30 s - fin).
Modèle:Lang
Chanson composée et chantée par Modèle:Lang avec l'utilisation du mellotron qui préfigure le Modèle:Lang progressif du futur Modèle:Lang.
Modèle:Lang
Avec cette composition, Modèle:Lang signe une sorte de testament où il fait référence à son éviction du groupe (Modèle:Lang) et de sa folie (Modèle:Citation). Lors de l'enregistrement il fait venir à l'improviste plusieurs musiciens de l'Armée du salut qui se produisaient dans la rue et leur demande de jouer selon leur envie. Deux versions seront enregistrées, l'une improvisée selon la volonté de Modèle:Lang (la version de l'album) et une autre à la demande de Modèle:Lang.
Jugband Blues figure à la fin de l'album en forme d'hommage du groupe envers Modèle:Lang. Elle faisait initialement partie (avec les inédits Modèle:Lang et Modèle:Lang) d'une série de chansons envisagées comme nouveau single du groupe, après Modèle:Lang ; c'est finalement Modèle:Lang qui avait été choisi.
Pochette
La pochette de l’album est la première collaboration entre le groupe et Modèle:Lang avec son agence de graphisme Hipgnosis. Celui-ci s'est inspiré d'un dessin de Marie Severin issu de Strange Tales #158 (1967) mettant en scène le Dr Strange, héros psychédélique de Marvel. On y distingue la silhouette du personnage sur la droite de la pochette<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Citations
Liste des titres
Le morceau crédité à Modèle:Lang est composé par Modèle:Lang, Modèle:Lang, Modèle:Lang et Modèle:Lang. Modèle:Pistes Modèle:Pistes
Musiciens
- Modèle:Lang : piano, orgue Farfisa Combo-Compact duo, orgue Hammond M-102 Spinet, Mellotron M400 Mark II, vibraphone, pipeau sur Jugband Blues, chant
- Modèle:Lang : guitare sur Modèle:Lang, guitare acoustique et slide sur Modèle:Lang, guitare et chant sur Modèle:Lang
- Modèle:Lang : guitares sauf sur Modèle:Lang et Modèle:Lang, kazoo sur Corporal Clegg, chant
- Modèle:Lang : basse, chant
- Modèle:Lang : batterie sauf sur Remember a Day, percussions, chant sur Corporal Clegg
Musiciens additionnels
- Modèle:Lang : batterie et chœurs sur Modèle:Lang
- 7 membres de l'Armée du salut (Modèle:Lang) sur Modèle:Lang :
- Modèle:Lang et Modèle:Lang : cornet à pistons
- Modèle:Lang et Modèle:Lang : trombone
- Modèle:Lang et Modèle:Lang : tuba
- Modèle:Lang : euphonium (ou tuba ténor)
Charts et certifications
- Charts
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- Certifications
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Notes et références
- Richard Wright Gear A Saucerful of Secrets : http://sparebricks.fika.org/sbzine28/WrightGear-rev156.pdf