Pont-Péan
Modèle:Voir homonymes Modèle:Voir paronymes Modèle:Infobox Commune de France
Pont-Péan est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.
Elle a été créée le Modèle:Date par détachement de la commune de Saint-Erblon<ref name="www.pontpean.fr">Histoire sur le site officiel de la commune</ref>.
Géographie
Situation
Située à 12 kilomètres au sud de Rennes, la commune de Pont-Péan s'étire de part et d'autre de l'ancienne route royale de Saint-Malo à Bordeaux, devenue route nationale 137 puis RD 837. Elle appartient au canton de Bruz et compte, en 2014, parmi les 43 communes de Rennes Métropole.
Occupation des sols
Pont-Péan a une superficie de 876 hectares, dont 95 hectares urbanisés et 241 hectares en surface agricole utile (SAU). La zone agricole s'étend essentiellement à l'est de la RD 837. L'activité qui s'y exerce est en déclin constant : en 2006, il n'existait plus que cinq exploitations, tournées vers la polyculture et l'élevage.
Une friche industrielle occupait le nord-ouest de la commune. Désormais, une ferme photovoltaïque y est installée.
Hydrographie
La commune appartient au bassin hydrographique de la Seiche, un affluent de la Vilaine qui crée une limite naturelle entre Pont-Péan et Chartres-de-Bretagne. Un ruisseau longe le territoire communal : la Douettée, à l'ouest du bourg. Un autre le traverse : le Tellé, à l'est. Ils se jettent tous deux dans la Seiche.
Les étiages de la Seiche sont sévères et les crues assez fortes. Les premiers relevés des niveaux de crues à Pont-Péan datent de 1931, le zéro de l'échelle ayant été placé à l'altitude de Modèle:Unité.
Date des crues | Modèle:Date- | Modèle:Date- | Modèle:Date- | Modèle:Date- | Modèle:Date- | Modèle:Date- | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
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Hauteur d'eau, en mètres, par rapport au zéro de l'échelle | +2,39 | +2,15 | +2,62 | +2,35 | +2,75 | +2,60 | +2,30 | >+2,75 |
Des inondations affectent la commune par suite de ces crues à montée lente de la Seiche (en Modèle:Date-, les eaux sont montées à une moyenne de 8 à Modèle:Unité), mais aussi de celles du Tellé, à montée plus rapide<ref>Dossier départemental des risques majeurs, préfecture d'Ille-et-Vilaine, 1996 & Rapport de présentation du plan local d'urbanisme de la commune de Pont-Péan, juin 2009, p. 116.</ref>.
Relief
Le relief est peu marqué ; l'altitude varie de Modèle:Unité en bordure de la Seiche à Modèle:Unité à l'est près du lieu-dit Le Tellé. Du fait de cette absence de relief, la plaine alluviale de la Seiche constitue une vaste zone inondable au nord et au nord-est du bourg.
Sous-sol
Le contexte géologique de Pont-Péan est complexe et se traduit par une grande diversité des milieux naturels. Au sud, des schistes rouges et durs culminent aux buttes de Caran, tandis qu'au nord des schistes briovériens, plus anciens, sont en partie recouverts de sédiments. Une grande partie du territoire communal présente des dépôts alluviaux peu perméables : des argiles, des sables et des calcaires formant une couche épaisse<ref name="PLU">Rapport de présentation du Plan Local d'Urbanisme de la commune de Pont-Péan, juin 2009, pp. 23-24, 59-60 et 102.</ref>.
Une faille de Modèle:Unité de long, vraisemblablement apparue il y a 290 millions d'années, borde ce dépôt de sédiments à l'ouest. Elle s'est remplie d'un mélange de substances stériles et de substances métalliques. Serti dans la faille, le filon de Pontpéan a une puissance de 12 à Modèle:Unité<ref>Les filons métalliques se présentent comme des espèces de veines, plus ou moins régulières, s’enfonçant dans l’écorce terrestre sous un angle plus ou moins grand, quelquefois voisin de la verticale et présentant une puissance, c’est-à-dire une épaisseur, variable. Les parties latérales s’appellent les salbandes, ce sont souvent les parties les plus richement minéralisées. Les parois de la fente portent le nom d’épontes. La puissance est l’épaisseur comptée perpendiculairement aux épontes. Pratiquement, dans les mines, on suppose tout le minerai contenu dans le filon concentré sur une paroi et on calcule cette épaisseur d’après la quantité de minerai extraite sur un certain nombre de mètres. C’est ce qu’on appelle la puissance réduite du filon. À Pont-Péan, les moyennes annuelles ont varié de 4,2 cm à 7,6 cm. La puissance peut varier beaucoup dans le même filon, la distribution du minerai n’étant pas uniforme. Le plus généralement certaines parties contiennent très peu de minerai et ne sont pas exploitables, d’autres sont plus riches : on les appelle colonnes et elles sont seules exploitées. À Pont-Péan, il y avait deux colonnes exploitables, celle du nord et celle du sud, séparées par un grand intervalle où le filon était à peu près stérile. (Fernand Kerforne, chargé de cours à la faculté des Sciences de Rennes, conférence sur les richesses minérales du Massif breton, faite à Rennes le 23 février 1918.)</ref>. Il est presque vertical, plongeant vers l'est en formant avec l'horizontale un angle d'environ 80°. Il est à peu près orienté nord-sud magnétique et a été exploré sur environ 3 kilomètres. Il constitue le plus important filon plombo-zincifère du Massif armoricain et l'un des plus importants d'Europe<ref name="Gasnier">Marina Gasnier, Le paysage de l'industrie en Ille-et-Vilaine, 2003, pp. 55-56.</ref>. La minéralisation comprend principalement des minerais de :
Son exploitation a, par endroits, modifié la nature et la structure du sous-sol et provoqué quelques affaissements ou effondrements très localisés et ponctuels à l'aplomb de cavités souterraines superficielles<ref>Affaissement de la chaussée en 1979, près du lieu-dit le Luzard (Dossier départemental des risques majeurs, préfecture d'Ille-et-Vilaine).</ref>. Elle est aussi à l'origine des fortes teneurs en métaux lourds constatées dans les sols de la friche industrielle, où étaient stockés les résidus du traitement des minerais<ref>H. Talbo, État des terrains situés à proximité de l'ancienne mine de Pont-Péan, BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières), 1993, Rapport BRE SP 93-01.</ref>. Une partie de ce secteur a été confinée<ref name="cudennecunvillageminier">A deux lieues de Rennes, un village minier sur le site Pont-Péan au fil du temps par Jean Pierre Cudennec.</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Transports
Desservie par la voie express Rennes - Nantes (N 137).
Desservie par les bus du réseau de service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole via les lignes 72 et 79.
Urbanisme
Typologie
Pont-Péan est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Rennes, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,2 %), zones agricoles hétérogènes (23,9 %), zones urbanisées (16,5 %), forêts (7,7 %), prairies (5,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Logement
Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Pont-Péan et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017<ref name="logement" group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="logement35" group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Pont-Péan | Ille-et-Vilaine | |
---|---|---|
Parc immobilier total (en nombre d'habitations) | 1 892 | 546 440 |
Part des résidences principales (en %) | 93,1 | 86,2 |
Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,8 | 6,9 |
Part des logements vacants (en %) | 6,1 | 6,9 |
Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) | 72,0 | 59,8 |
Morphologie urbaine
Pont-Péan dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du Modèle:Date-<ref>Un Plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) pour 43 communes, sur metropole.rennes.fr</ref>. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.
Projets d'aménagements
Toponymie
La plus ancienne forme écrite du nom du hameau est Pontpayen en 1427. On trouve ensuite Pontpéan, Pont-Péan, Le Pont Péan, Pompéan, Pontpéant, Pont-Péant, et Pont Péan (ce dernier sur la carte Cassini pré-Révolution, plans cadastraux de 1812 et 1843, et cartes IGN du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref name="cudennecunvillageminier"/>.
Payen et sa variante péan étant deux noms dérivés du latin paganus « paysan », puis « païen », le toponyme Pont-Péan peut donc signifier « pont paysan » ou « pont construit ou possédé par un dénommé Péan »<ref name="cudennecunvillageminier"/>. Hervé Abalain donne une explication similaire : Pontpayen viendrait de paen, c'est-à-dire païen au sens ancien de « paysan », Paen étant aussi un anthroponyme<ref>Hervé Abalain, Les noms de lieux bretons, 2000, p. 99.</ref>. Mais l'hypothèse la plus probable est celle-ci : au haut Moyen Âge a existé un pagus Redonicus,un pagus, c'est-à-dire une subdivision administrative de l'évêché de Rennes. La toponymie a conservé sa trace dans des noms comme Pont-Réan (Pons Redonicus) et Pont-Péan (Pons Paganus, c'est-à-dire "Pont Payen", ce dernier situé à la limite de l'archidiaconé du Désert)<ref name="Jouët & Delorme 2007">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Un personnage nommé Paganus de Breuz (Payen de Bruz), membre d'une famille influente des environs, est cité par Amédée Guillotin de Corson comme vivant au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="cudennecunvillageminier"/>.
Selon l'association Galène<ref>Association culturelle intercommunale pour la protection et la promotion du site minier et la création d'un musée vivant de la mine de Pont-Péan, créée en 1994.</ref>, le nom de la commune aurait pour origine celui d'un "seigneur de Pontpéan", qui au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, aurait possédé des terres de part et d'autre de la Seiche<ref name="www.pontpean.fr" />. Bien que cette hypothèse ait séduit la municipalité, elle gagnerait à être étayée par l'indication de sources vérifiables.
En gallo, le nom reste Pont-Péan<ref>Fiche descriptive de la ville de Pont-Péan sur Geobreizh.</ref>. La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Modèle:Langue<ref name=Ofis>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Création de la commune
La commune a été créée par l'arrêté préfectoral en date du Modèle:Date, prenant effet le Modèle:Date, à partir du territoire de Saint-Erblon<ref>Modèle:Lien web</ref>. Son nom étant inspiré du pont que devait payer les passants pour passer avec leurs marchandises. Ces derniers disaient : "Oh tiens, v'là le pont pean !"(Pont payant en patois). En effet ce pont a permis un développement économique et démographique importante à la ville grâce aux taxes imposées aux fermiers et marchands.
Lande de Tellé
La lande de Tellé (anciennement Teslé) a remplacé une grande forêt qui occupait la partie sud des environs de Rennes. Elle a été le siège des premiers peuplements sur la commune. Les premières peuplades préhistoriques y avaient édifié deux tumulus et un menhir. De cette période, seule demeure la trace d'un tumulus, transformé en motte féodale au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="www.pontpean.fr" />.
Durant la Révolution, de nombreuses rencontres entre les chouans et les bleus ont eu lieu sur la lande de Tellé. Un violent combat s'est déroulé à Pont-Péan le 28 brumaire an VIII (Modèle:Date-) faisant plusieurs victimes, parmi lesquelles le chef des royalistes de Laillé<ref>Adolphe Orain, Monographies de trois communes du canton sud-ouest de Rennes, Revue de Bretagne, 1910, tome XLIII, p. 260.</ref>.
Mine de plomb argentifère
Une mine de plomb argentifère (ou galène) fut exploitée à Pont-Péan de 1730 à 1797 et de 1844 à 1904. Elle fut concédée au riche négociant malouin Noël Danycan de l'Epine en 1730 qui fonde alors la Compagnie des Mines de Bretagne. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle constituait alors avec les mines de la région de Carhaix et de Saint-Brieuc, l'une des plus grosses entreprises de province, employant près de Modèle:Nobr personnes et pèse 80 % de la production française de plomb à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Entre 1730 et 1904 Modèle:Nobr tonnes de plomb, Modèle:Nobr tonnes de zinc et 232 tonnes d'argent sont extraites du site<ref>Modèle:Article.</ref>.
La fermeture subite de la mine en 1904 entraîna le licenciement immédiat du millier d'ouvriers qui y étaient employés, principalement des Bas-Bretons<ref>"Pont-Péan à travers le carreau", Association Galène, 1998.</ref>.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La Belle Époque
Une ligne de tramway des TIV (Transports d'Ille-et-Vilaine) allant de Rennes au Grand-Fougeray en passant par Chartres, Noyal-sur-Seiche, Pont-Péan, Orgères, Chanteloup, Le Sel, Saulnières, Pancé, Bain et La Dominelais fut construite à partir de 1909<ref>Modèle:Article.</ref> ; mise en service en 1910, la ligne était longue de 64 km ; elle ferma en 1937 ; les tramways y circulaient à environ 25 km/h<ref>http://tramways35.e-monsite.com/pages/tiv-rennes-le-grand-fougeray.html.</ref>.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Circonscriptions de rattachement
Pont-Péan appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Bruz depuis la création de la commune en 1986.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis Modèle:Date par Frédéric Mathieu (LFI-NUPES). Avant cette date, elle appartenait à la [[quatrième circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:4e circonscription]] (Redon).
Intercommunalité
La commune appartient à Rennes Métropole (anciennement Rennes District) depuis le Modèle:Date.
Pont-Péan fait aussi partie du Pays de Rennes.
Institutions judiciaires
Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le Modèle:1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 27<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.
- Conseil municipal actuel
Les Modèle:Nombre composant le conseil municipal ont été pourvus le Modèle:Date- lors du premier tour de scrutin. Actuellement, il est réparti comme suit :
Groupe | Effectif | Statut | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs| | « Nouvel élan pour Pont-Péan » (PCF-PS-EÉLV) | 21 | majorité | |||
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | | « L'Avenir avec vous » (DVG) | 6 | opposition | |||
Fichier:Pont-Péan CM2020.svg |
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article détaillé Modèle:...
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
La mairie de Pont-Péan a créé un conseil municipal des jeunes (CMJ). Ces jeunes ont le moyen, par leur statut d'élus, de monter des projets, les réaliser, donner leurs avis, et se faire entendre du conseil municipal (des adultes). Ils sont appelés des élus, car ils sont élus par les jeunes de Pont-Péan, comme le conseil municipal. Après réélections en Modèle:Date-, on compte neuf élus, trois filles et six garçons.
Jumelages
Depuis 1999, Pont-Péan est jumelée avec Muine Bheag du comté de Carlow, au sud-est de l'Irlande<ref>Site consacré au jumelage avec Muinebheag.</ref>.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Enseignement
La commune de Pont-Péan est située dans l’académie de Rennes.
L’école maternelle et primaire publique Lucie-Aubrac
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
La commune compte un seul monument historique : la mine de Pont-Péan. Le bâtiment des bureaux est inscrit depuis 1985<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Glad.</ref>.
On trouve également des monuments inventoriés. La base Glad possède 112 fiches documentaires<ref>Modèle:Glad.</ref> dont l’église Saint Melaine (ancienne chapelle de la mine)<ref>Modèle:Glad.</ref>,<ref>Modèle:Glad.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Mickaël Pagis, ancien joueur de football professionnel, réside dans la commune.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Anne-Françoise Garçon, La mine de plomb argentifère de Pontpéan au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (1827-1904), 1982, 313 p., (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 359).
- Pont-Péan à travers le carreau, Association Galène, Pont-Péan, 1998, 32 p.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
Modèle:Références Modèle:Références