Saint-Armel (Ille-et-Vilaine)

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Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Armel est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année, légale en {{#expr:Modèle:Population de France/dernière année+3}}.</ref>.

Ses habitants sont les Arméliens et les Arméliennes.

Géographie

Localisation

Saint-Armel est située à Modèle:Unité au sud de Rennes. La ville fait partie du canton de Janzé et de Rennes Métropole.

Modèle:Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 35250.png
Carte de la commune de Saint-Armel.

Hydrographie

Le ruisseau de Prunelay coule du sud au nord, passe à l’est du bourg et se jette dans la Seiche. Celle-ci forme la limite nord de la commune<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Transports

Réseau routier

La quatre voies de Rennes à Angers (ancienne route nationale 163 et actuellement route départementale 163) passe à l’ouest du bourg et forme une partie de la limite ouest de la commune.

Saint-Armel est desservie par le Service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole via les lignes 73 (62 les vendredis et samedis soir et les dimanches et jours fériés) et 173ex.

Réseau ferré

La gare de Saint-Armel sur la ligne de Châteaubriant à Rennes est desservie par le TER.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 3,5 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Armel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,3 %), terres arables (26,8 %), prairies (7,6 %), zones urbanisées (7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Les formes anciennes attestées sont Bochod (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), Sancto Ermagero (1152), Sancti Armagilli (1516)<ref name=Ofis>Modèle:Lien web.</ref>.

Son nom vient de Saint-Armel des Boschaux, moine d'origine galloise venu en Bretagne au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Le nom breton de la commune est Modèle:Langue<ref name=Ofis/>.

Histoire

Modèle:Section à sourcer Modèle:Passage évasif que le village tire son nom de saint Armel, comme Ploërmel et Saint-Armel dans le Morbihan. Ce célèbre saint du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle terrassa selon la légende locale un dragon dans une forêt voisine. Il fonda un monastère au lieu-dit les Boschaux, sur le territoire de l'actuelle commune, et c'est là qu'il mourut à une date sur laquelle les sources ne sont pas accordées, en 552 ou 570.

Traditionnellement, le dragon représente pour la chrétienté le paganisme. On peut donc supposer que cet acte de la mise à mort du dragon tient au fait que saint Armel a largement œuvré pour la christianisation de la commune et par la même provoqué le recul de la croyance païenne.

Une autre légende fondatrice mentionne le rôle que saint Armel joua durant la plus grave sécheresse connue de l'histoire de la commune. Une fois l'intégralité des puits asséché et l'ensemble des récoltes dévastée, la population désespérée supplia le saint de la délivrer de ses tourments. Saint Armel planta alors un bâton dans le sol et pria. L'eau se mit alors à jaillir abondamment de ce point pour, selon le saint, mettre éternellement à l'abri de la sécheresse la population. Cette fontaine miraculeuse existe toujours et est visitée chaque année par de nombreux chrétiens en quête de ses vertus miraculeuses. La voie qui y mène, le chemin de la Fontaine, commence devant la mairie de la commune.

On trouve d'ailleurs encore aujourd'hui dans l'église une relique, la mâchoire du saint.

Sur le territoire de la commune se trouve le château de Chambières, érigé en vicomté en décembre 1642 pour François Loaisel, président à mortier au parlement de Bretagne (en 1635), et unie ensuite (mars 1660) à son marquisat de Brie<ref>Éric Thiou, Dict. des Titres... (2003), pages 87 (Chambières) et 77 (Brie).</ref>.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Circonscriptions de rattachement

Saint-Armel appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Janzé depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle était rattachée au canton de Châteaugiron.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la cinquième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis Modèle:Date par Christine Le Nabour (RE). Elle appartenait à la circonscription de Rennes sous le Second Empire puis à la deuxième circonscription de Rennes sous la [[Troisième République (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} République]] et enfin à la [[Deuxième circonscription d'Ille-et-Vilaine|Modèle:2e circonscription]] (Rennes-Sud) de 1958 à 1986.

Intercommunalité

Le Modèle:Date, la commune intègre Rennes Métropole (anciennement Rennes District). Avant cette date, Saint-Armel était ce qu'on appelle une commune isolée, c'est-à-dire n'appartenant à aucune structure intercommunale.

Saint-Armel fait aussi partie du Pays de Rennes.

Institutions judiciaires

Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le Modèle:1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

Administration municipale

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article détaillé Modèle:...

Liste des maires

Fichier:Saint-Armel35 mairie.jpg
La mairie.

Modèle:Article connexe

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Démographie

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Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Économie

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Lieux et monuments

L’église Saint-Armel est le seul monument historique protégé de la commune ; elle a été inscrite en 1988<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Elle renferme un chemin de croix de style art déco, réalisé par le peintre breton Louis Garin en 1932, en plâtre moulé peint faux bois et doré. signé en creux dans l'angle inférieur gauche.

Il y a Modèle:Nobr d’inventaire pour la commune.

Monuments aux morts

Le monument aux morts se situe sur la place de l'Église. Il a été commandé par la municipalité en hommage à la mémoire de ses enfants morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale. Par la suite, les noms de ceux morts pendant la Seconde Guerre mondiale ont été ajoutés<ref group="Note">La liste des noms de ces deux guerres se trouve sur le site MemorialGenWeb</ref>.

Activité et manifestations

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Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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Voir aussi

Modèle:Autres projets

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail