Jean-Michel Beysser

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Modèle:Infobox Personnalité militaire

Jean-Michel Beysser, né le Modèle:Date de naissance à Ribeauvillé (Haut-Rhin)<ref>http://roglo.eu/roglo?lang=fr;p=jean+michel;n=beysser;oc=1</ref> et mort guillotiné le Modèle:Date de décès à Paris, est un général de brigade de la Révolution française.

Biographie

Avant la Révolution

Fils du chirurgien Ribeauvillé nommé également Jean-Michel Beysser et Marguerite Salomé Schneider, il commence sa carrière en tant que dragon dans le régiment de Lorraine de 1769 à 1778. De 1778 à 1781, il est employé dans l'armée de Bretagne, semble-t-il comme chirurgien major.

Il sert ensuite comme chirurgien major dans le régiment suisse de Meuron, aux ordres de la Compagnie des Indes néerlandaises ; il est capitaine du régiment hollandais. Il est de retour en France en 1788.

Sous la Révolution

En Modèle:Date-, il est nommé major des gardes nationaux à Lorient, puis colonel en 1790 ; il est promu capitaine de la gendarmerie du Morbihan en 1791 et connaît grâce à la guerre une promotion rapide. Il devient le Modèle:Date-, adjudant-général, colonel surnuméraire et sans appointements à l'armée des Côtes, puis le Modèle:Date-, brigadier au [[21e régiment de chasseurs à cheval|Modèle:21e à cheval]]. Le Modèle:Date-, il est nommé adjudant-général chef de brigade à l'armée des côtes de Brest, et le Modèle:Date-, il est promu général de brigade.

Envoyé à Nantes menacée par l'insurrection vendéenne, il participe à la bataille de Nantes le Modèle:Date-, aux côtés du général Canclaux et du maire de Nantes Baco de La Chapelle. Proche des girondins, il signe le manifeste fédéraliste du Modèle:Date- et se voit dans l'obligation de trouver refuge à Lorient. Le Modèle:Date-, il se présente devant la Convention qui le réintégre dans l'armée avec le même grade et le renvoie dans l'Ouest. Le Modèle:Date-, il est battu par les Vendéens à la bataille de Montaigu. Le gouvernement qui avait déjà des soupçons contre lui décrète son arrestation. Le Modèle:Date-, il est incarcéré à la Prison de l'Abbaye.

Il comparaît devant le Tribunal révolutionnaire de Paris qui le condamne à mort le 4 germinal an II (Modèle:Date-), comme complice des Hébertistes : Jacques-René Hébert, Charles Philippe Ronsin, François-Nicolas Vincent, Mazuel, Antoine-François Momoro.

Il est guillotiné le 24 germinal an II (Modèle:Date-) en même temps que Arthur de Dillon, Pierre-Gaspard Chaumette, Jean-Baptiste Gobel, Lucile Desmoulins et Marie Marguerite Françoise Hébert avec lesquels il sera inhumé au cimetière des Errancis.

Regards contemporains

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Notes et références

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Voir aussi

Bibliographie

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Articles connexes

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