Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>
Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 4,3 j
Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
La Chevallerais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (73,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), zones urbanisées (7,9 %), prairies (7,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Le nom de la localité est attesté sous la forme La Chevalleraie au {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVIIIe{{#if:| }} }} siècle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le nom de Chevallerais remonterait au Moyen Âge et fait référence au patronyme Chevalier dont elle est la propriété (le terminal « -ais » signifie « propriété de »). Ce patronyme renvoie à un ancien noble déchu ou montant à cheval<ref>
Modèle:Ouvrage.</ref>.
Selon le site de mairie, le nom de la commune viendrait du fait qu'elle était un lieu de leurs rendez-vous des chasseurs qui venait traquer le gibier dans la forêt environnante. Ces derniers, appartenant à la noblesse, se considéraient comme des chevaliers<ref name="Histoire">Histoire de la Chevallerais</ref>.
Autrefois, le territoire était une forêt qui rejoignait celles de la Groulaie et de Saffré<ref name="Histoire"/>.
La construction d'une chapelle, dite « chapelle du Vœu », premier élément figurant dans les archives de Saffré, daterait de 1620. Elle aurait été consécutive à un accident de chasse dont l'auteur involontaire aurait promis cette construction dédiée à Notre-Dame-de-Bonnes-Nouvelles, si sa victime guérissait de ses blessures. La chapelle fut incendiée en 1794 par les patriotes du district de Blain. La statuette de Notre-Dame-de-Bonnes-Nouvelles fut miraculeusement sauvée par une fillette à qui un des soudards la confia. Cette statuette polychrome fait toujours partie du patrimoine paroissial<ref name="Histoire"/>.
La Chevallerais obtint le statut de paroisse en 1842, mais faisant partie de la commune de Puceul depuis la Révolution<ref name="Histoire"/>.
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 42,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 11,4 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,65 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
La « Fête des Battages et des métiers anciens » se tient le dernier dimanche de juillet. Le dimanche 31 juillet 2022, le comité des fêtes fêtera le 50ème anniversaire de la Fête des Battages.
Fichier:Fête des assos 2022.jpgConcert du groupe The Agaçants lors de la fête des assos 2022Une fête des assos a été mise en place en juin 2022. Elle a rassemblé plus de 500 personnes dans la soirée.
L'association théâtrale ATC programme chaque année en février et mars une dizaine de représentations d'un vaudeville à la salle du théâtre, complet pour l'occasion.
L'association de pétanque organise deux grands tournois, en juin et septembre, qui réunissent plusieurs centaines de pratiquants.