Poncey-lès-Athée

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Modèle:Infobox Commune de France

Poncey-lès-Athée est une commune française située dans le canton d'Auxonne du département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

Poncey-lès-Athée se situe dans la région naturelle du Val de Saône, à Modèle:Unité d'Auxonne, chef-lieu du canton, Modèle:Unité de Dijon, chef-lieu du département de la Côte-d'Or et de la région Bourgogne-Franche-Comté, et à Modèle:Unité de Paris, capitale de la France.

Communes limitrophes

Géologie et relief

La commune de Poncey s'étend sur Modèle:Unité et se situe sur le fossé tectonique Bressan de la plaine de Saône, à une hauteur moyenne de Modèle:Unité. Les sols y sont sablo-argileux.

Hydrographie

La Saône est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Poncey.
Un étang communal et son ruisseau sont aussi présents au nord-est du village.

Climat

Le climat de Poncey est de type océanique avec étés tempérés.

Transports

La D 976 (Saint-Usage-Talmay) est la seule artère relativement importante qui dessert la commune.
L'échangeur autoroutier le plus proche est celui de l'A39, à Soirans (Modèle:Unité).
Les gares ferroviaires les plus proches sont celles de Villers-les-Pots (Modèle:Unité) et d'Auxonne-Tillenay (Modèle:Unité). La première phase (Modèle:Unité) de la LGV Rhin-Rhône (Villers-les-Pots-Petit-Croix), inaugurée en 2011, traverse le sud de la commune
Les aéroports les plus proches sont ceux de Dole-Jura, à Tavaux (Jura) et de Dijon Bourgogne, à Longvic, tous deux à une trentaine de kilomètres.

Urbanisme

Typologie

Poncey-lès-Athée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dijon, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,2 %), forêts (15,4 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), prairies (10,7 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (10,2 %), zones urbanisées (8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Poncey doit son nom au gentilice romain Pontius, d'origine osque ou ombrienne, qui lui-même le tient du nombre ordinal correspondant, soit Cinquième en français<ref>Arbois de Jubainville (d') H., "Gentilices romains d'origine non-latine dans les noms de lieu de la Gaule" dans Comptes-rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, volume 33, n°1, Paris, 1889. pp. 27-29</ref>.
Selon l'époque et les scribes, Poncey est appelé Ponticiacus (Modèle:S mini-), Poncey sur Soone (Modèle:S mini-), Pontcey (Modèle:S mini-), et Poncey les Athée (à partir du Modèle:S mini-)<ref>Roserot A., Dictionnaire topographique de la Côte d'Or, imprimerie nationale, Paris, 1924. p. 304</ref>.

Histoire

Du Moyen Âge à la Révolution, Poncey est une dépendance de la seigneurie d'Athée. Les chanoines de la Sainte-Chapelle de Dijon y détiennent le pouvoir temporel, et l'évêque de Chalon le pouvoir spirituel<ref name=courtepee>Courtépée C., Description générale et particulière du duché de Bourgogne, volume 2, Causse, Dijon, 1777. p. 269</ref>.

En 1469 et 1870, deux incendies ravagent le village. Ces catastrophes marquantes sont rappelées sur les armoiries de la commune<ref name="bp1">Caramanian P., Article "Poncey-lès-Athée, que d'eau, que d'eau !", dans Le Bien Public - Les Dépêches, consulté le 19 juin 2013.</ref>.

En 1735, le bourgeois Nicolas Verdelet fonde, près de la Saône, la chapelle, placée sous le vocable de la Vierge, succursale de l'église Notre-Dame-de-la-Nativité d'Athée<ref name="courtepee" />.

Au cours des années 1930, 1950, 1970 et 1980, pas moins de 104 puits, soit une capacité de captage totale de 80 000 mModèle:3/jour, sont forés, en bord de Saône, afin d'alimenter en eau une partie de la ville de Dijon<ref name=bp2>Article "Alimenter Dijon en eau potable" dans Le Bien Public-Les Dépêches, consulté le 19 juin 2013.</ref>.

En 1995, une usine de traitement de l'eau potable, d'une capacité de 60 000 mModèle:3/jour, gérée par la Lyonnaise des Eaux, est mise en service. Elle permet l'élimination des sels de fer et du manganèse, naturellement présents dans les eaux du Val de Saône<ref name="bp2" />.

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

La commune a la particularité de ne pas avoir d'église.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune L'inscription 1467-1870, en chef, fait référence aux deux années où se sont déclarés des incendies ravageurs, représentés, en pointe, par deux pointes ondoyantes suggérant les flammes<ref name="bp1" />.

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

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