Roussillon (Isère)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Roussillon est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

Situation et description

Roussillon est située dans l'unité urbaine de Vienne, dans la vallée du Rhône à équidistance (Modèle:Unité) de Lyon et de Valence, à Modèle:Unité de Vienne et à quelques kilomètres des départements de la Loire, de l'Ardèche, du Rhône et de la Drôme.

La commune est séparée de son voisin Le Péage-de-Roussillon par l'autoroute A7, qui passe en plein cœur de la zone habitée.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Parmi les sept communes limitrophes, trois d'entre elles forment une agglomération urbaine avec Roussillon : Saint-Maurice-l'Exil, Le Péage-de-Roussillon et Salaise-sur-Sanne. Cette petite conurbation de quatre communes représente une population approximative de Modèle:Nombre. Roussillon est aussi le centre de l'aire urbaine de Roussillon.

Géologie

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Climat

Modèle:Article connexe La région de Roussillon se situe dans la vallée du Rhône, secteur géographique ouvert vers le nord et le sud et qui connaît le phénomène bien connu du Mistral, vent du nord accéléré par effet de tuyère et de couloir entre le Massif central d'un côté et les collines rhodaniennes et des Alpes, de l'autre.

Les précipitations sont généralement assez intenses avec des orages en été et en automne et de la neige en hiver.

Hydrographie

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Voies de communication

On peut accéder au centre de la commune en empruntant l'autoroute A7 depuis Vienne-sud (au nord) ou Chanas (au sud).

La route nationale 7 (RN7) traverse le territoire de la commune.

Urbanisme

Typologie

Roussillon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Vienne, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roussillon, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Parmi les enjeux principaux à Roussillon on trouve la pollution de l'air et la nuisance sonore liées à la présence de l'autoroute. Des mesures pour étudier et limiter les nuisances sonores sont adoptées<ref>Lutte contre le bruit, www.ville-roussillon-isere.fr, accès le 18 mars 2017.</ref>,<ref>Suivi des niveaux de polluants atmosphériques sur le Pays Roussillonnais en 2014, www.air-rhonealpes.fr, accès le 18 mars 2017.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (45,1 %), zones urbanisées (32 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), forêts (8,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques

Risques sismiques

La totalité du territoire de la commune de Roussillon est situé en zone de sismicité Modèle:N°, dite modérée (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique<ref>Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité</ref>.

Terminologie des zones sismiques<ref name="Légifrance_2010">Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance</ref>
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Risques d'inondation

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Toponymie

Noms du lieu

Roussillon (français), Roussillon (arpitan).

Historique du nom

de Russilione, {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:|  }} }} s.<ref name=":0">A. Dauzat & Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Guénégaud, Paris, 1978</ref> (DR).

Interprétation et étymologie

Ce nom fait partie d’un groupe de toponymes comprenant : Rossillon (Ain), de Rossellione, v. 1130<ref name=":0" /> ; Roussillon (Saône-et-Loire), anciennement Blain<ref name=":1">Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1, 2, 3, Droz, Genève,1990-1</ref> ; Roussillon (Vaucluse), de Rossilione, 989<ref name=":0" />. Une première tentative d’explication fait de Roussillon un dérivé de l’ancien français rossel, « roseau »<ref>Auguste Vincent, Toponymie de la France, Librairie Générale, Bruxelles, 1937</ref>, mais les quatre communes ainsi que les 59 lieux-dits recensés portant ce nom<ref name=":2">Liste des lieux-dits de France, https://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/terr-lieux-list1.php</ref> sont tous dans des zones de langue occitane ou arpitane et le français rossel ne peut donc pas convenir. Une autre proposition associe à un suffixe -onem un nom d’homme latin présumé *Russilius ou *Roscilius<ref name=":0" /> ou bien *Rusticelius<ref name=":1" />. Cette piste hypothétique est contredite par les 24 lieux-dits recensés portant le nom le Roussillon<ref name=":2" />, la présence d’un article indiquant clairement que roussillon est un nom de chose. Cette chose est *ruscellionem, associant au suffixe -onem à l’accusatif, ruscelli au génitif, diminutif tardif du mot latin classique ruscum, désignant le « fragon épineux » (Ruscus aculeatus, L.)<ref>Félix Gaffiot, Dictionnaire latin-français, Hachette, Paris, 1934</ref>, puis à l’époque tardive toute sorte de broussailles avec une valeur péjorative<ref>Du Cange & al., Glossarium mediæ et infinæ latinatis, L. Favre, Niort, 1883-1887</ref>. Un roussillon est donc un endroit « broussailleux ».

Histoire

Modèle:Article connexe

Fichier:Louis de Bourbon-Roussillon.jpg
Louis de Bourbon-Roussillon.
Fichier:Roussillon, bénédiction de la nouvelle croix de Jeuzot le 14 décembre 1911, 1911, p178 de L'Isère les 533 communes.jpg
Bénédiction de la nouvelle croix de Jeuzot le 14 décembre 1911.

Modèle:Section à sourcer Au Moyen Age, Roussillon (cf. la tour de Roussillon, sur les hauteurs de la ville) appartenait à une grande famille féodale du Viennois qui en prit le nom et régna aussi sur Annonay. Humbert VII de Thoire-Villars († v. 1423/1424) en hérite par son mariage (en 1350 ; sans postérité) avec Alix de Roussillon († v. 1367), puis l'abandonne à sa Modèle:3e épouse Isabelle/Isabeau d'Harcourt (mariée en 1383 ; † en avril ou juin 1443), fille de Jean VI, comte d'Harcourt, et de Catherine de Bourbon. Par son testament de novembre 1441, Isabelle lègue Roussillon à sa famille maternelle, les Bourbons, en la personne du duc [[Charles Ier de Bourbon|Charles {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] (1401-1456) (alors qu'Annonay et Thoire-et-Villars passent aux Lévis-Lautrec-(ensuite Ventadour), issus du mariage en 1372 entre Eléonore de Villars, sœur d'Humbert VII, avec Philippe III de Lévis).

Cette terre devint alors un comté appartenant à une branche bâtarde de la Maison capétienne de Bourbon issue de [[Charles Ier de Bourbon|Charles {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Bourbon]], qui eut :

Louis de Bourbon (né v. 1450-+1487), comte de Roussillon en Dauphiné (1467), comte de Ligny (1481), amiral de France, qui épouse en 1466 Jeanne de Valois, dame de Mirebeau (+1515/1519), fille naturelle de Louis XI, roi de France, d'où :

  • Charles de Bourbon (+1510) comte de Roussillon et de Ligny (1487), sans postérité de son mariage en 1506 avec Anne de La Tour-Montgacon (+1530) ;
  • Suzanne de Bourbon (1466 ou 1473-1531), comtesse de Roussillon et de Ligny,
    • mariée 1° à Jean de Chabannes, comte de Dammartin<ref>Modèle:Lien web</ref> (né v. 1462-† 1503) : Postérité,
      • leur fille (sans doute aînée) Antoinette de Chabannes, dame de St-Fargeau (née v. 1489/1492 plutôt qu'en 1498-† 1519 plutôt qu'en 1527/1529), femme de René d'Anjou-Mézières (1483-† v. 1521), d'où entre autres enfants :
        • Françoise d'Anjou-Dammartin (née v. 1505/1510-† ap. 1547), mariée 1° (en octobre 1516, encore enfant) à Philippe III de Boulainvilliers ci-dessous (d'où Philippe IV de Boulainvilliers-Dammartin), puis 2° 1538 à Jean III de Rambures (Postérité des deux lits), comtesse de Dammartin et dame de Courtenay en 1516 (donation de sa tante Avoie à l'occasion de son Modèle:1er mariage) ;
        • Nicolas d'Anjou (1518-après 1568), qui continue les sires de Mézières et de St-Fargeau (sa fille Renée d'Anjou transmet à son mari François de Bourbon-Montpensier, épousé en 1566), comte de Roussillon pour moitié le 28 février 1530 par don de sa grand-mère Suzanne de Bourbon, part qu'il vend pour 25 000 livres le 7 janvier 1542 au cardinal François de Tournon (1489-1562 ; frère de Blanche ci-dessous, et déjà maître de l'autre moitié de Roussillon depuis 1538), qui élève le nouveau château ; son neveu Just II de Tournon († v. 1563), fils de son frère [[Just Ier de Tournon|Just {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], reçoit le comté de Roussillon dès 1548 ;
      • leur fille (sans doute cadette) Avoye/Avoie de Chabannes (née v. 1493 ou 1490-94-† v. 1543), dame de Toucy, Courtenay, comtesse de Dammartin en 1503-1516, comtesse de Roussillon pour moitié le 28 février 1530 par don de sa mère Suzanne de Bourbon, sans postérité de ses trois époux (voir l'article Antoine). Elle cède le Modèle:Date- (1532 ancien style) sa part de Roussillon pour 25 000 livres à Blanche de Tournon († 1538 ; fille de Jacques II de Tournon et sœur du cardinal François ci-dessus : ce dernier sera son héritier en 1538), alors que Toucy reste à la famille de son Modèle:1er mari, les de Prie ;
    • puis Suzanne de Bourbon épouse Modèle:2e v. 1510/1518 et sans postérité Charles, seigneur de Boulainvilliers (+1529) : cf. l'article Henri. Charles et sa Modèle:1re femme Catherine Havart, vicomtesse de Dreux en héritage des Châteauneuf, avaient eu pour fils aîné Philippe III de Boulainvilliers († 1536 à Péronne), Modèle:1er époux en 1516 de Françoise d'Anjou ci-dessus et père de Philippe IV de Boulainvilliers.
  • Anne de Bourbon (1467-1507), dame de Mirebeau, mariée en 1492 à Jean III d'Arpajon : Postérité.

En 1564, Catherine de Médicis, en voyage pour présenter le royaume à son fils Charles IX séjourne chez le petit-neveu du cardinal de Tournon, Just III de Tournon († v. 1571 ; fils aîné de Just II). C'est là qu'elle modifiera le projet du texte qui doit être présenté au Parlement et que naît le 9 août 1564 l'édit de Roussillon.

En 1673, le comté est acquis par François de Clermont-Chaste sur les Lévis-Ventadour qui étaient les héritiers des Tournon pour Tournon et Roussillon depuis 1644/1660, et étaient par ailleurs les seigneurs d'Annonay comme on l'a vu plus haut<ref>Charles de Baschi, marquis d'Aubais, Pièces fugitives, pour servir à l'histoire de France, Tome I, 1759.</ref>.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Administration municipale

Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du conseil municipal de Roussillon :

Groupe Président Effectif Statut
PCF - PS Patrick Bédiat 7 Opposition
DVD Robert Duranton 22 Majorité

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Manifestations culturelles et festivités

La Fête de l'Édit, le 9 août commémore la signature de l'Édit de Roussillon qui fixe le début de l'année civile au premier janvier.

Enseignement

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Équipements sportifs et culturels

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Médias

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère (Vienne), un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes

La communauté catholique et l'église (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint-Pierre en pays roussillonais qui recouvre plusieurs autres communes. Cette paroisse est rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne<ref>Site de Paroisse St Pierre en Pays Roussillonnais, page d'accueil, consulté le 4 janvier 2022.</ref>.

Économie

C'est sur cette commune que se situait la célèbre usine Rhône-Poulenc, au sein d'un complexe d'entreprises, parmi trois usines importantes du groupe Rhône-Poulenc S.A. (ancienne Société chimique des usines du Rhône ou SCUR devenue Rhône-Poulenc en 1928 par fusion avec la société parisienne Poulenc), créée à Lyon en 1916 pour produire des phénols pour les explosifs (mélinite produite à Feyzin, tolite et naphtalène produits à Neuville-sur-Saône par une ancienne filiale de BASF) pour alimenter les violents conflits de la Première Guerre mondiale. Le groupe aura longtemps un quasi-monopole sur la production de phénols et nombreux sous-produits en France<ref name="Rochette">René Rochette, Un exemple d'implantation industrielle dans la vallée du Rhône : L'agglomération de Roussillon In: Revue de géographie alpine. 1964, tome 52 no 2. Modèle:P. (En ligne sur Persée).</ref> ;

Ce complexe industriel bénéficiera de son éloignement du front, et des besoins de la grande guerre ; il contribuera à la « chimie de guerre » en produisant à la fois le phénol nécessaire aux explosifs, l’acétate de cellulose utilisée comme vernis ininflammable pour l’aéronautique et une part importante des "gaz de combat" très utilisés durant ce conflit<ref>La chimie de Guerre dans la région / 9 : 1914-1918</ref>, dont l'ypérite produit à Roussillon (par des femmes surtout) et chargé dans les obus à raison d'environ Modèle:Nobr de "gaz" par jour (en 1918).

Le site chimique est maintenant divisé en plusieurs entreprises.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Modèle:Article détaillé

Le château, de type Renaissance italienne, fut construit à la demande du cardinal de Tournon, probablement par l'architecte Jean Vallet sur des plans a priori donnés par l'architecte italien Sebastiano Serlio.
En 1564 Catherine de Médicis, en voyage pour présenter le royaume à son fils Charles IX, séjourne chez le neveu du cardinal de Tournon. C'est là qu'elle modifiera le projet du texte qui doit être présenté au parlement et que naît le Modèle:Date- l'édit de Roussillon.
La légende veut aussi que Shakespeare y ait séjourné et s'en inspira pour son Tout est bien qui finit bien.
Le couvent, fondé à l'instigation de Just de Tournon, fut construit sur le site de l'ancienne église paroissiale mentionnée depuis la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
  • Vestiges de l'ancien bourg fortifié<ref name="Tasset693">Modèle:Ouvrage.</ref>
Une portion des remparts du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle construits en galets disposés en arête-de-poisson subsiste dans le vieux village, sur une longueur d'environ Modèle:Nobr, percée par la porte de Givret avec son arc en ogive au-dessus de la rue Halle vieille.

Patrimoine culturel

L'office de tourisme de Roussillon a obtenu la marque « Qualité Tourisme »<ref>DGE, L'offre « Qualité Tourisme » : Pays Roussillonnais Tourisme, accès le 27 janvier 2015.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

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