Gaugeac
Modèle:Méta bandeau de note Modèle:Infobox Commune de France
Gaugeac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Communes limitrophes
Gaugeac est limitrophe de huit autres communes dont une, Parranquet, dans le département de Lot-et-Garonne, par un quadripoint. Au nord, le territoire communal est distant d'une cinquantaine de mètres de celui de Lavalade.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Gaugeac est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4b-c, date du Santonien moyen à supérieur, composée de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac), faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref> et 14 sous-unités<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Dropt et le Soulauret, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Le Dropt, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Capdrot et se jette en rive droite de la Garonne en limite de Caudrot et de Casseuil, face à Barie<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Il traverse la commune du nord-est à l'ouest sur trois kilomètres et demi dont un kilomètre en limite de Vergt-de-Biron.
Son affluent de rive gauche le Soulauret arrose le sud du territoire communal sur plus de deux kilomètres.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dropt ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lacapelle-Biron-Pailloles », sur la commune de Lacapelle-Biron, mise en service en 1986<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Gaugeac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,5 %), prairies (31,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Gaugeac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Dropt. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1997, 1999, 2003 et 2008<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Gaugeac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 83,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Gaujac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Histoire
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et Modèle:Unité au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 4 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 28 octobre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Équipements et services publics
Justice
Dans le domaine judiciaire, Gaugeac relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Les habitants de Gaugeac se nomment les Gaujacois<ref>Fiche commune Gaugeac, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.</ref>.
Modèle:Population de France/section
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Gaugeac (24195) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 2 novembre 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quarante-trois personnes, soit 36,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinq) a augmenté par rapport à 2010 (un) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,6 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte onze établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois au niveau des commerces, transports ou services, un dans la construction, un dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif<ref>Dossier complet - Commune de Gaugeac (24195) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 2 novembre 2018.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Saint-Germain. Ce château, fortin avancé du très puissant château de Biron, permettait de contrôler la circulation dans la vallée étroite du Dropt. Le château fête ses 900 ans en 2022, mais le corps actuel du bâtiment date principalement du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, avec des modifications aux Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Il est inscrit et contient des éléments classés à l'inventaire des Monuments Historiques.
- Château de Bonneville. Ce château appartenait aux Dufau à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En 1680, le château est acheté par Étienne de Laval aux Dufau de Fontanelle grâce à la dot de son épouse, Françoise d'Escayrac. Cette dernière étant catholique et Étienne de Laval protestant, il s'est converti au catholicisme pour pouvoir se marier en 1685<ref group=Note>La famille de Laval de la Loubrerie est originaire du Quercy (L. Esquieu, Essai d'un armorial quercynois. Additions et corrections, dans Bulletin de la Société des études littéraires, scientifiques et artistiques du Lot, 1909, Modèle:P. lire en ligne). Une branche des Laval s'était établie à Monpazier à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Géraud de Laval avait dû s'établir dans la « marchandise » pour assurer la subsistance des siens et déroger à la noblesse.
Son petit-fils, argentier du maréchal de Biron a pu rétablir la situation de la famille et s'est marié à Marie de Canolle d'une importante famille bourgeoise de Sarlat.
En 1623, Louis XIII a donné des lettres de réhabilitation de noblesse aux Laval de Monpazier. Ils étaient « sieur de Faure » (Note, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1914, Modèle:P. lire en ligne).
À la fin du règne de Louis XV, un Étienne de Laval de Bonneville, qui a été capitaine au régiment Dauphin-infanterie et chevalier de l'ordre de Saint-Louis, est maire de Monpazier. En l'absence d'hôtel de ville à Monpazier, le corps de ville et les magistrats se réunissent dans les maisons des particuliers, dont celle de M. de Laval qui donnait sur les remparts, près de la porte du Paradis (Éric Mousson-Lestang, Les bâtiments publics de la ville de Monpazier sous l'Ancien Régime, dans Les Cahiers du Groupe archéologique de Monpazier, Modèle:N° lire en ligne). Maintenu dans ce poste au début de la Révolution, il démissionne en 1791.
Il s'est marié avec Pétronille de Constantin de Castelmerle dont il a eu Pierre de Laval (1754-1824) (Paul Montarlot, Les Emigrés de Saône-et-Loire, Première partie, dans Mémoires de la Société Éduenne, 1924, Modèle:P. lire en ligne) qui a été sous-préfet de Bergerac de 1811 à 1814, Marc de Laval (†1825), Honorée de Laval.
Dans l'article "Un Monpaziérois dans les Cours d'Europe", dans 'Les Cahiers du Groupe archéologique de Monpazier", Modèle:N° (lire en ligne), Éric Mousson-Lestang a écrit que Modèle:Lien (1761-1846) est le fils d'Étienne de Laval de Bonneville. D'autres articles le disent fils et petit-fils de banquiers à Montauban puis à Marseille qui seraient issus d'une branche des Laval de la Loubrerie ayant dérogé à la noblesse, né à Marseille en 1761 (Revue des études napoléoniennes, notes Modèle:P. lire en ligne). Ayant émigré en Russie, Jean Charles François de Laval est nommé en 1801 par le tsar chambellan de la Cour. Il a alors reçu du tsar des terres au bord du lac Ladoga. Après l'assassinat du tsar, remplacé par [[Alexandre Ier (empereur de Russie)|Alexandre {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]], il a conservé une position importante à la cour. La tsar a favorisé son mariage en 1799 avec une riche héritière, Alexandra Grigorievna Kozitskaya (1772-1850), fille de Grigorii Kozitsky (1724-75), secrétaire de Catherine II, ayant des biens importants dans l'Oural. Le tsar l'a nommé conseiller d'État et l'a admis dans la noblesse russe avec le titre de comte en 1817. Le tsar est intervenu auprès de Louis XVIII pour valider ce titre de comte en France, en 1823. Il a fait construire un palais à Saint-Petersbourg (Saint-Petersbourg : L'hôtel particulier de Laval) au Modèle:N° quai des Anglais.</ref>. - Tour hexagonale du hameau de Péchalvès probablement construite en 1598 d'après une inscription dans la tour. La maison de Péchalvès a appartenu à la famille Pourquery du {{#switch: au
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle
}}. Daniel Pourquery est le premier consul de Monpazier en 1594, avocat au parlement, pendant la première révolte des Croquants qui s'appelaient eux-mêmes les Tards Avisés<ref>Michel Coste, Monpazier, les clés d'une bastide, Librairie du château, 2002, Modèle:P. Modèle:ISBN.</ref>.
- Église Saint Pierre-ès-Liens.
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Bibliographie
- Élisée Cérou, La commune de Gaugeac, dans Cahier du Groupe archéologique de Monpazier, Modèle:N° (lire en ligne)
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée 36
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes