Queyssac
Modèle:Infobox Commune de France
Queyssac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Le village est connu pour sa remarquable église romane.
Géographie
Généralités
Au sud du département de la Dordogne, en Bergeracois, la commune de Queyssac se trouve en limite du Landais. Elle fait partie de l'aire urbaine de Bergerac.
Traversé par la route départementale (RD) 21E1, le village de Queyssac est établi dans le vallon de la Marie, un affluent de la Seyze. Il se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres au nord-est de Bergerac.
Le territoire communal est bordé au sud-est par la route nationale 21 (axe Périgueux - Bergerac) et à l'ouest par la RD 107.
Communes limitrophes
.
En 2019, Queyssac est limitrophe de quatre autres communes.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Queyssac est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5e, date du Modèle:Nobr, des calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres. La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> au sud-est, là où la Seyze quitte la commune et entre sur celle de Lembras, et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> à l'ouest, au nord du lieu-dit Pinceguerre, en limite de la commune de Maurens<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Seyze, la Marie et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Seyze (ou Galinat dans sa partie amont), d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source à Montagnac-la-Crempse et se jette dans le Caudeau en rive droite à Lembras, face à Creysse<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle arrose le territoire communal à l'est sur près de quatre kilomètres, lui servant de limite naturelle sur près de trois kilomètres, face à Campsegret et Lamonzie-Montastruc.
Son affluent de rive droite la Marie prend sa source près du lieu-dit Corail, dans l'ouest de la commune, passe dans le bourg et baigne le territoire communal sur quatre kilomètres.
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La Seyze en limite de Queyssac et Lamonzie-Montastruc.
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La Marie au bourg de Queyssac.
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Réseaux hydrographique et routier de Queyssac.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Queyssac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58 %), zones agricoles hétérogènes (26,8 %), prairies (12,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Queyssac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Queyssac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 59,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988 et 1999, par la sécheresse en 1989, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
L'origine du nom de Queyssac correspond au domaine d'un propriétaire gallo-roman nommé soit Cassius<ref>Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages de Dordogne, éd. Bordessoules, 2009</ref>,<ref name=lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>, soit Cursus<ref name=lieux/>.
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Caissac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Histoire
L'occupation ancienne en divers points du territoire communal est attestée par quelques gisements préhistoriques remontant au Paléolithique<ref name=lieux/> (le Bos Nègre, les Peynauds et Peyrot<ref name=Cartogip>Données culturelles en Aquitaine sur le site de la Plateforme de l'information géographique mutualisée en Aquitaine (PIGMA), consulté le 23 avril 2013.</ref>) ou au Néolithique (les Peynauds et le Réclaussou<ref name=Cartogip/>).
L'église a été construite aux {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXII
}}
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| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
}}
}}<ref name=lieux/> mais les premières mentions connues du lieu n'apparaissent qu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sous la forme « Corssac » puis à la fin du siècle suivant sous celle de Quayssacum.
Plusieurs cluzeaux (le Bourg, les Archets, les Boissières, Floyrac, le Mas et la Mouthe) ont été aménagés au Moyen Âge<ref name=Cartogip/>.
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Queyssec<ref>Modèle:Géoportail.</ref>.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Queyssac a, dès 1790, été rattachée au canton de Liorac qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton de Bergerac dépendant de l'arrondissement de Bergerac. En 1973, le canton de Bergerac est scindé en deux et Queyssac est désormais rattachée au canton de Bergerac-2<ref name="Cassini"/>.
Intercommunalité
En 2001, Queyssac intègre la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au Modèle:Date- et remplacée au Modèle:Date- par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au Modèle:Date- pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et Modèle:Unité au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 9 novembre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin
Équipements et services publics
Justice
Dans le domaine judiciaire, Queyssac relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Manifestations culturelles et festivités
- Fête communale début août<ref>Jean-Luc Chanteau, « Lancer de haches, saut d'obstacles… Chacun a trouvé son compte à la fête », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date, Modèle:P..</ref>.
- Festival des arts à la fin de l'été (Modèle:13e en 2019 avec une quarantaine d'artisans d'art<ref>« Modèle:13e des arts », Sud Ouest édition Dordogne, 29 août 2019, Modèle:P..</ref>.
Sports
- Début octobre, trail solidaire en course, randonnée ou VTT (Modèle:12e en 2023)<ref>Jean-Luc Chanteau, « Le trail solidaire, c'est dimanche », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date, Modèle:P..</ref>.
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Queyssac (24345) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 15 décembre 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 46,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-deux) a fortement augmenté par rapport à 2010 (douze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,1 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte vingt-sept établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont douze au niveau des commerces, transports ou services, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quatre dans la construction, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et deux dans l'industrie<ref>Dossier complet - Commune de Queyssac (24345) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 15 décembre 2018.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre-ès-Liens, romane de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name=guide>Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref> qui a conservé son chœur d'origine.
- Le « pigeonnier » de Queyssac est en fait un silo à grains du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Mairie de Queyssac sur le site du Pays de Bergerac, consulté le 20 janvier 2014.</ref>.
- Plusieurs gisements préhistoriques<ref name=guide/>.
- Nombreux cluzeaux<ref name=guide/>, dont ceux de La Mouthe 1 et 2, qui se font face et présentent chacun une salle unique de petite taille dont l'accès se fait par une petite galerie<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
-
L'église Saint-Pierre-ès-Liens. -
La nef. -
Piliers du silo à grains. -
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Adrien Bayssellance, né le Modèle:Date- à La Négrie, commune de Queyssac - mort le Modèle:Date-, est un ingénieur français spécialisé dans le Génie maritime, passionné d'alpinisme, qui fut maire de Bordeaux de 1888 à 1892.
Pour approfondir
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
- Sentier de grande randonnée 654
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes