Saint-Sulpice-de-Mareuil
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Ancienne commune de France
Saint-Sulpice-de-Mareuil est une ancienne commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
Au Modèle:Date-, elle fusionne avec huit autres communes pour former la commune nouvelle de Mareuil en Périgord.
Géographie
Généralités
Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, la commune déléguée de Saint-Sulpice-de-Mareuil se situe dans la partie centrale de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord. Elle s'étend sur Modèle:Unité. Elle est bordée au nord sur plus de six kilomètres par la Lizonne, ici appelée Nizonne, qui marque la limite avec la commune de Rudeau-Ladosse.
L'altitude minimale avec Modèle:Unité se trouve localisée à l'extrême nord-ouest, là où la Nizonne quitte la commune déléguée et sert de limite entre Puyrenier et Rudeau-Ladosse. L'altitude maximale avec Modèle:Unité est située au sud, près du lieu-dit l'Age<ref>Modèle:Géoportail.</ref>. Sur le plan géologique, le sol se compose principalement de calcaires du Crétacé au nord, et de sables, argiles ou graviers pléistocènes au sud, avec des alluvions holocènes dans la vallée de la Nizonne<ref>Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.
Traversé par la route départementale (RD) 708, le bourg de Saint-Sulpice-de-Mareuil est situé, en distances orthodromiques, cinq kilomètres à l'est-nord-est du bourg de Mareuil et quatorze kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Nontron.
Le territoire communal est également desservi par la RD 93.
Communes limitrophes
En 2016, année précédant la création de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord, Saint-Sulpice-de-Mareuil était limitrophe de cinq autres communes, dont Mareuil au sud-ouest sur une centaine de mètres.
Milieux naturels et biodiversité
Parc naturel
La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin<ref>Parc Naturel Régional Périgord - Limousin, DREAL Aquitaine, consultée le 16 octobre 2019.</ref> depuis la création de celui-ci en 1998<ref>Décret 98-150 du 9 mars 1998 sur Légifrance, consulté le 16 octobre 2019.</ref>, adhésion renouvelée en 2011<ref>Décret 2011-998 du 24 août 2011 sur Légifrance, consulté le 16 octobre 2019.</ref>.
ZNIEFF
La vallée de la Nizonne est protégée dans sa traversée du territoire communal au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « Vallée de la Nizonne »<ref>Modèle:Pdf Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 16 octobre 2019.</ref>,<ref>Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 16 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».</ref>.
Sa faune est constituée d'environ Modèle:Nombre dont trente sont considérées comme déterminantes :
- vingt mammifères, dont la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola) et dix-huit espèces de chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Murin de Daubenton (Myotis daubentonii), le Murin de Natterer (Myotis nattereri), la Noctule commune (Nyctalus noctula), la Noctule de Leisler (Nyctalus leisleri), l'Oreillard gris (Plecotus austriacus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), le Petit murin (Myotis blythii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), la Pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- sept insectes dont quatre papillons : l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), et trois libellules : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- deux amphibiens, la Rainette verte (Hyla arborea) et le Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- un reptile : la Cistude d'Europe (Emys orbicularis).
Sa flore est également constituée de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).
La ZNIEFF de type I « Coteaux calcaires des bords de la Nizonne et de la Belle » présente des pelouses calcaires<ref>Modèle:Pdf Coteaux calcaires des bords de la Nizonne et de la Belle, INPN, consulté le 18 octobre 2019.</ref>,<ref>Carte de localisation de la ZNIEFF 720020065, INPN, consulté le 18 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».</ref> où s'épanouissent plus de Modèle:Nombre dont plusieurs sont considérées comme déterminantes : la Cardoncelle (Carduncellus mitissimus), l'Euphorbe de Séguier (Euphorbia seguieriana), le Fumana à tiges retombantes (Fumana procumbens), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), la Laîche humble (Carex humilis), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa) et le Thésium couché (Thesium humifusum), et dix-huit espèces d'orchidées terrestres : la Céphalanthère rouge Cephalanthera rubra, l'Homme-pendu (Orchis anthropophora), le Limodore à feuilles avortées (Limodorum abortivum), la Listère à feuilles ovales (Neottia ovata), l'Orchis bouc (Himantoglossum hircinum), l'Orchis bouffon (Anacamptis morio), l'Orchis brûlé (Neotinea ustulata), l'Orchis guerrier (Orchis militaris), l'Orchis mâle (Orchis mascula), l'Orchis moucheron (Gymnadenia conopsea), l'Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis), l'Orchis pourpre (Orchis purpurea), l'Ophrys abeille (Ophrys apifera), l'Ophrys araignée (Ophrys sphegodes), l'Ophrys bourdon (Ophrys fuciflora), l'Ophrys brun (Ophrys fusca), l'Ophrys mouche (Ophrys insectifera) et la Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha). Sur Saint-Sulpice-de-Mareuil, cette ZNIEFF est limitée à une zone d'environ quatre hectares à l'est du château de Lavergne.
Une mince bande d'une trentaine d'hectares, le long de la Nizonne, fait partie d'une ZNIEFF de Modèle:Nobr « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »<ref>Modèle:Pdf 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF 720020064, INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref> dans laquelle ont été recensées douze espèces déterminantes d'animaux : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cistude (Emys orbicularis), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii), la Loutre d'Europe (Lutra lutra), la Rainette verte (Hyla arborea), le Triton marbré (Triturus marmoratus) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq espèces déterminantes de plantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sagittaire à feuilles en flèche (Sagittaria sagittifolia) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis). Par ailleurs, Modèle:Unité espèces animales et Modèle:Unité espèces végétales y ont été répertoriées.
Natura 2000
La vallée de la Nizonne est aussi une zone Natura 2000 avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive habitats de l'Union européenne<ref>Modèle:Pdf FR7200663 Vallée de la Nizonne, INPN, 31 mai 2019, consulté le 25 octobre 2019.</ref>,<ref>Carte de localisation de la zone Natura 2000 FR7200663, INPN, consulté le 25 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».</ref> :
- dix espèces de mammifères dont huit chauves-souris (Barbastelle d'Europe, Grand murin, Grand rhinolophe, Minioptère de Schreibers, Murin à oreilles échancrées, Murin de Bechstein, Petit murin et Petit rhinolophe), ainsi que la Loutre d'Europe et le Vison d'Europe (Mustela lutreola) ;
- parmi les insectes, le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), plus six espèces déjà protégées dans la ZNIEFF du même nom, hormis l'Azuré de la croisette ;
- la tortue Cistude d'Europe ;
- le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri).
Urbanisme
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Saint-Sulpice-de-Mareuil proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits<ref>Saint-Sulpice-de-Mareuil, Géoportail, consulté le 14 novembre 2016.</ref> : Modèle:Liste horizontale
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu est notée dans un pouillé du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sous la forme Sanctus Sulpitius, arch. de Vet. Marolio (« Saint Sulpice, archiprêtré de Vieux-Mareuil »), suivi de Eccl. Sancti Sulpicii super Dronam dans un cartulaire de l'abbaye de La Sauve-Majeure<ref name=Gourgues>Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Saint-Sulpice-de-Mareuil », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 22 octobre 2019.</ref>. Le nom se réfère à saint Sulpice, archevêque de Bourges au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, qui selon la légende serait né près d'Excideuil<ref name=lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>. La seconde partie du nom correspond à Mareuil, dont le bourg n'est distant que de cinq kilomètres.
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Lang<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Soplesís de Maruelh sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 20 septembre 2021.</ref>.
Histoire
L'église Saint-Sulpice est mentionnée dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name=Gourgues/>,<ref name=lieux/>.
Au Modèle:Date-, Saint-Sulpice-de-Mareuil fusionne avec huit autres communes pour former la commune nouvelle de Mareuil en Périgord dont la création a été entérinée par l'arrêté du 26 septembre 2016, entraînant la transformation des neuf anciennes communes en communes déléguées<ref name=commune-nouvelle>Modèle:Lien web</ref>.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Saint-Sulpice-de-Mareuil est rattachée au canton de Mareuil qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton est rattaché à l'arrondissement de Nontron<ref name=Cassini/>.
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015<ref name="Décret2014">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme, renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.
Intercommunalité
Fin 1995, Saint-Sulpice-de-Mareuil intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Mareuil-en-Périgord. Celle-ci est dissoute au Modèle:Date- et remplacée au Modèle:Date- par la communauté de communes Dronne et Belle.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et Modèle:Unité au recensement de 2011, onze conseillers municipaux ont été élus en 2014<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 3 décembre 2016.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 3 décembre 2016.</ref>. Seuls quatre d'entre eux siègent au conseil municipal de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord, jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020<ref name=commune-nouvelle/>.
Liste des maires puis des maires délégués
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Les habitants de Saint-Sulpice-de-Mareuil se nomment les Sulpiciens<ref>Fiche commune Saint-Sulpice-de-Mareuil, Union des maires de la Dordogne, consultée le 22 novembre 2016.</ref>.
En Modèle:Dernière population commune de France, dernière année en tant que commune indépendante, Saint-Sulpice-de-Mareuil comptait Modèle:Nombre. À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les recensements des communes de moins de Modèle:Unité ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014 pour Saint-Sulpice-de-Mareuil<ref>Modèle:Lien web</ref>). Depuis 2006, les autres dates correspondent à des estimations légales.
Au Modèle:Date-, la commune déléguée de Saint-Sulpice-de-Mareuil compte Modèle:Nobr<ref>Modèle:Pdf Populations légales 2020 à compter du Modèle:Date- - Fichier Dordogne, Modèle:P. sur le site de l'Insee, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Modèle:Tableau population d'article de commune de France
Modèle:Graphique population d'article de commune de France
Économie
Les données économiques de Saint-Sulpice-de-Mareuil sont incluses dans celles de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
- Château de la Faye, {{#switch: XVIII
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}}, ancien fief de la famille de Maillard<ref>Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.
- Château de la Vergne, ou de Lavergne, {{#switch: XVII
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}}<ref>Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>, et son pigeonnier.
- Château de Beaurecueil, autrefois Bon Recueil<ref>Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>, dès le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ancienne maison de forge avec un pigeonnier. Actuellement centre équestre et chambres d'hôtes.
- Pigeonnier de Piacaud.
-
Le château de la Faye. -
Le château de la Vergne. -
Le pigeonnier de la Vergne. -
Le château de Beaurecueil lors d'une crue de la Nizonne. -
Le pigeonnier de Beaurecueil. -
Le pigeonnier de Piacaud.
Patrimoine religieux
- À l'entrée du parc du château de la Faye, croix du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle inscrite au titre des monuments historiques depuis 1948<ref>Modèle:Base POP Mérimée, consultée le 21 octobre 2019.</ref>.
- Église Saint-Sulpice, ou de la Translation-des-reliques-de-Saint-Sulpice<ref>Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>, romane des {{#switch: XIII
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}}, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1948<ref>Modèle:Base POP Mérimée, consultée le 21 octobre 2019.</ref>.
-
Croix à l'entrée du parc du château de la Faye. -
L'église Saint-Sulpice. -
Son portail. -
L'archivolte et les modillons. -
Détail des sculptures de l'archivolte du portail. -
La nef. -
Croix de mission devant l'église.
Personnalités liées à la commune
- Alcide Dusolier, (1836-1918), écrivain, journaliste et homme politique, est décédé à Saint-Sulpice-de-Mareuil.
Héraldique
Voir aussi
Articles connexes
- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des anciennes communes de la Dordogne
- Liste des châteaux et demeures de la Dordogne
Liens externes
- Saint-Sulpice-de-Mareuil sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Saint-Sulpice-de-Mareuil sur le site de la communauté de communes Dronne et Belle