Vieux-Mareuil
Modèle:Infobox Ancienne commune de France
Vieux-Mareuil est une ancienne commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
Au Modèle:Date-, elle fusionne avec huit autres communes pour former la commune nouvelle de Mareuil en Périgord.
Géographie
Généralités
Au nord-ouest du département de la Dordogne, la commune déléguée de Vieux-Mareuil se situe dans la partie centrale de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord. Elle est arrosée par la Belle qui traverse le bourg, situé sur la route départementale 939 (l'ancienne route nationale 139), à une quarantaine de kilomètres au nord-ouest de Périgueux.
Communes limitrophes
En 2016, année précédant la création de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord, Vieux-Mareuil était limitrophe de six autres communes. Au nord-ouest, son territoire était distant d'environ cent mètres de celui de Puyrenier.
Urbanisme
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Vieux-Mareuil proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits<ref>Vieux-Mareuil, Géoportail, consulté le 14 novembre 2016.</ref> : Modèle:Liste horizontale
Toponymie
La forme latine Vetus (« Vieux ») Marolium apparaît au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, époque où est édifiée l'église<ref name="lieux">Modèle:Ouvrage</ref>, puis Marolium en 1243 et Marollium en 1364<ref name="Gourgues">Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Mareuil », 1873, sur guyenne.fr, consulté le Modèle:Date-.</ref>. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, apparaît l'opposition entre Mareul-Neuf (« Mareuil-Neuf ») et Vielh-Mareulh (« Vieux-Mareuil »), le même toponyme désignant deux lieux qu'il faut différencier<ref name="lieux"/>. La forme occitane Vielh-Mareulh apparue au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle est ensuite francisée en Vieux-Mareuil.
Le mot Mareuil, d'origine gauloise, est composé de °maro (« grand ») et de °-ialo qui désignait un espace découvert, une clairière<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, signifiant donc « grande clairière ». On le trouve au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle dans le cartulaire d'Uzerche<ref name="Gourgues"/> sous deux formes : Maroll en 1109 et Maroill en 1151<ref name="lieux"/>.
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Lang<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Vielh Maruelh sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 21 août 2023.</ref>.
Histoire
Légende
Vieux-Mareuil tirerait son nom de Lucius Marullus, un des dix fonctionnaires romains qui résidaient à la tour de Vésone à Périgueux. Durant l'été, cet illustre personnage habite la villa Marulla, construite selon sa volonté au bord de la Belle. Peu à peu, pour être protégés par la troupe, les hommes qui vivent dans les cluzeaux et dans les bois (Chanet, la Salle,...) s'installent autour de la villa. Ainsi se constitue le village, composé d'une villa romaine entourée de cabanes de bois.
Le nom de Marulla se transforme par la suite en Mareuil. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le seigneur de Mareuil s'établit à cinq kilomètres du village, en aval de la rivière. Il construit un nouveau château, à proximité du village de Saint-Priest, à l'origine de l'actuelle commune de Mareuil.
Éléments historiques
Bien avant les Gaulois, le territoire était habité par les hommes du Magdalénien (17 000 à 10 000 ans avant le présent, époque de Lascaux) qui ont laissé leurs traces dans la grotte de Fronsac. Le bourg est bâti sur l'emplacement d'une villa gallo-romaine. Les fouilles effectuées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ont mis au jour une mosaïque déposée au musée du Périgord et disparue depuis.
La paroisse existait déjà en l'an 800<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Elle devait, par la suite, être divisée en trois nouvelles paroisses : Saint-Pardoux, Saint-Priest et Saint-Sulpice. Jusqu'à la Révolution, Vieux-Mareuil est le siège d'un archiprêtré dont dépendent les paroisses d'alentour. Après le concordat de 1801, Mareuil, chef-lieu du canton, devient le siège du doyenné et Vieux-Mareuil n'est plus qu'une simple commune.
Sous l'Ancien Régime, Vieux-Mareuil appartient à la baronnie de Mareuil. Il n'a jamais constitué une seigneurie. En 1789, la baronnie de Mareuil appartient à la famille de Talleyrand. M. de Talleyrand y avait un droit de justice, délégué au juge des paroisses de la baronnie et percevait la moitié des dîmes. Le bénéfice de Vieux-Mareuil n'était pas important.
Le Modèle:1er janvier 1828, le village de Puyréal qui dépendait jusqu'alors de Vieux-Mareuil est rattaché à Monsec. En 1867, la section de Saint-Laurent est réunie à la commune de Mareuil.
Au Modèle:Date-, Vieux-Mareuil fusionne avec huit autres communes pour former la commune nouvelle de Mareuil en Périgord dont la création a été entérinée par l'arrêté du 26 septembre 2016, entraînant la transformation des neuf anciennes communes en « communes déléguées »<ref name=commune-nouvelle>Modèle:Lien web</ref>.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Vieux-Mareuil est rattachée au canton de Mareuil qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton est rattaché à l'arrondissement de Nontron<ref name=Cassini/>.
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015<ref name="Décret2014">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme, renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et Modèle:Unité au recensement de 2011, onze conseillers municipaux ont été élus en 2014<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 3 décembre 2016.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 3 décembre 2016.</ref>. Seuls neuf d'entre eux siégeront au conseil municipal de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord, jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020<ref name=commune-nouvelle/>.
Liste des maires puis des maires délégués
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
{{#invoke:Démographie|demographie}}
En Modèle:Dernière population commune de France, dernière année en tant que commune indépendante, Vieux-Mareuil comptait Modèle:Nombre. À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les recensements des communes de moins de Modèle:Unité ont lieu tous les cinq ans (2007, 2012 pour Vieux-Mareuil<ref>Modèle:Lien web</ref>). Depuis 2006, les autres dates correspondent à des estimations légales.
Au Modèle:Date-, la commune déléguée de Vieux-Mareuil compte Modèle:Nobr<ref>Modèle:Pdf Populations légales 2020 à compter du Modèle:Date- - Fichier Dordogne, Modèle:P. sur le site de l'Insee, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Modèle:Tableau population d'article de commune de France
Modèle:Graphique population d'article de commune de France
Économie
Les données économiques de Vieux-Mareuil sont incluses dans celles de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Abri du Roc de Rappe (cluzeau),
- Grotte préhistorique de Fronsac, inscrite aux monuments historiques, fermée au public,
- Vestiges gallo-romains et mérovingiens,
- Église Saint-Pierre-ès-Liens, église romane du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, classée monument historique. Église-forteresse à file de coupoles. Trace de mâchicoulis et bretèche. Clocher carré (rebâti à la suite d'un incendie dû à la foudre, en 1940).
- L'église
-
L'église. -
Face sud avec échauguette. -
Église sur file de coupoles. -
La place.
Demeures anciennes
- Château de Marafy (ou Maraffy), Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- Château de Chanet, (tour crénelée Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; logis Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; chapelle Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), inscrit au titre des monuments historiques<ref>Modèle:Mérimée consultée le 4 mai 2011.</ref> ;
- Château de Chaveroche ({{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXVII
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| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}} avec vestiges médiévaux)
-
Le château de Maraffy. -
Le château de Chanet. -
Le manoir de Fronsac.
Autres curiosités
- Nombreuses croix de mission
- Lavoirs et fontaines
-
La croix des Cagouilles. -
La croix de Pontalanche.
Patrimoine naturel
Parc naturel
La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin<ref>Parc Naturel Régional Périgord - Limousin, DREAL Aquitaine, consultée le 7 novembre 2019.</ref> depuis la création de celui-ci en 1998<ref>Décret 98-150 du 9 mars 1998 sur Légifrance, consulté le 7 novembre 2019.</ref>, adhésion renouvelée en 2011<ref>Décret 2011-998 du 24 août 2011 sur Légifrance, consulté le 7 novembre 2019.</ref>.
ZNIEFF
En tant qu'affluent de la Nizonne, la vallée de la Belle est protégée au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « Vallée de la Nizonne »<ref>Modèle:Pdf Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 7 novembre 2019.</ref>,<ref>Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 7 novembre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>.
Sa faune est constituée d'environ Modèle:Nombre dont trente sont considérées comme déterminantes :
- vingt mammifères, dont la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola) et dix-huit espèces de chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Murin de Daubenton (Myotis daubentonii), le Murin de Natterer (Myotis nattereri), la Noctule commune (Nyctalus noctula), la Noctule de Leisler (Nyctalus leisleri), l'Oreillard gris (Plecotus austriacus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), le Petit murin (Myotis blythii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), la Pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- sept insectes dont quatre papillons : l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), et trois libellules : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- deux amphibiens, la Rainette verte (Hyla arborea) et le Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- un reptile : la Cistude d'Europe (Emys orbicularis).
Sa flore est également constituée de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).
Sous-ensemble de la ZNIEFF précédente, la vallée de la Belle est une ZNIEFF de type I<ref>Modèle:Pdf Vallée de la Belle, INPN, consulté le 7 novembre 2019.</ref>,<ref>Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008183, INPN, consulté le 7 novembre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>. Deux espèces déterminantes y ont été identifiées, un mammifère : le Vison d'Europe, et une plante : la Fritillaire pintade.
Une autre ZNIEFF de type I « Coteaux calcaires des bords de la Nizonne et de la Belle » présente des pelouses calcaires<ref>Modèle:Pdf Coteaux calcaires des bords de la Nizonne et de la Belle, INPN, consulté le 7 novembre 2019.</ref>,<ref>Carte de localisation de la ZNIEFF 720020065, INPN, consulté le 7 novembre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».</ref> où s'épanouissent plus de Modèle:Nombre dont plusieurs sont considérées comme déterminantes : la Cardoncelle (Carduncellus mitissimus), l'Euphorbe de Séguier (Euphorbia seguieriana), le Fumana à tiges retombantes (Fumana procumbens), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), la Laîche humble (Carex humilis), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa) et le Thésium couché (Thesium humifusum), et dix-huit espèces d'orchidées terrestres : la Céphalanthère rouge Cephalanthera rubra, l'Homme-pendu (Orchis anthropophora), le Limodore à feuilles avortées (Limodorum abortivum), la Listère à feuilles ovales (Neottia ovata), l'Orchis bouc (Himantoglossum hircinum), l'Orchis bouffon (Anacamptis morio), l'Orchis brûlé (Neotinea ustulata), l'Orchis guerrier (Orchis militaris), l'Orchis mâle (Orchis mascula), l'Orchis moucheron (Gymnadenia conopsea), l'Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis), l'Orchis pourpre (Orchis purpurea), l'Ophrys abeille (Ophrys apifera), l'Ophrys araignée (Ophrys sphegodes), l'Ophrys bourdon (Ophrys fuciflora), l'Ophrys brun (Ophrys fusca), l'Ophrys mouche (Ophrys insectifera) et la Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha). Sur Vieux-Mareuil, les coteaux de la Belle concernés par cette ZNIEFF sont morcelés en une douzaine de sites qui représentent au total environ un kilomètre carré.
Personnalités liées à la commune
- Pierre-Philippe Niocel (1833-1909), né à Vieux-Mareuil est un nstituteur et érudit périgourdin, auteur de deux livres de mathématiques publiés chez Larousse à la fin du Second Empire.
- Paul Brégeat, né le 12 novembre 1909 à Vieux-Mareuil. Ce professeur de médecine, spécialiste en ophtalmologie de grande renommée occupa la chaire de Clinique ophtalmologique du C.H.U. Cochin-Port-Royal à Paris. Il est mort le 5 octobre 1989 à Périgueux où il avait été hospitalisé. Ses parents étaient instituteurs à Vieux-Mareuil, son grand-père y était menuisier et son arrière grand-père tisserand. Une rue du village porte son nom<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Interview</ref>.
- Raymond Boucharel, né le 9 mars 1907 en Corrèze, épousa Lili Eléon fille de commerçants de Vieux-Mareuil. Ce couple d’instituteurs fit l’école aux enfants de Champeaux jusqu’à ce que la guerre éclate. Le capitaine Boucharel est fait prisonnier en 1940, il s’évade quatre mois plus tard. Réputé franc-maçon, le gouvernement de Vichy le « démissionne d’office ». Il rejoint la résistance début 1942 et devient un des chefs du maquis nontronnais. Très attaché à Vieux-Mareuil, il sera le conseiller général du canton de Mareuil de 1945 à 1958. Une rue de Nontron et une autre à Mareuil portent son nom. Décédé le 23 janvier 1993 à Périgueux, il est inhumé à Vieux-Mareuil<ref>Raymond Boucharel "Rébecca" </ref>.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Ch. Tanet et T. Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Fanlac, 2000
- A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Modèle:2e, Librairie Guénégaud
- G. Florenty, Paroisses et communes de France -Dordogne, CNRS Editions, 1996
- A. Higounet Nadal, Histoire du Périgord, Privat,1983
- B. Lachaise, Histoire du Périgord Fanlac, 2000
Articles connexes
- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des anciennes communes de la Dordogne
- Liste des châteaux et demeures de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée GR 36
Liens externes
- Nouvelles de Vieux-Mareuil
- Vieux-Mareuil sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Vieux-Mareuil sur le site de la communauté de communes Dronne et Belle