Waterloo (film, 1970)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox V3/Début Modèle:Infobox V3/Image Modèle:Infobox V3/Séparateur Modèle:Infobox V3/Tableau début Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau fin {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} Modèle:Infobox V3/Séparateur
Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Modèle:Infobox V3/Fin Waterloo (en Modèle:Lang-ru, Vaterloo) est un film historique soviéto-italien de Sergueï Bondartchouk tourné en anglais et sorti en 1970. Il traite de la bataille de Waterloo de 1815.
Résumé
Le film commence sur l'abdication de 1814 de l'empereur Napoléon Bonaparte, après la campagne de France de 1814 et à la restauration de la monarchie française du roi Louis XVIII. Il retrace ensuite les Cent-Jours, la bataille de Waterloo de 1815 et l’affrontement entre les deux commandants en chef, le duc de Wellington et l'empereur [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] à Waterloo en Belgique.
Fiche technique
- Titre : Waterloo
- Réalisation : Sergueï Bondartchouk
- Scénario : Sergueï Bondartchouk, Modèle:Lien, Mario Soldati, Rafael Vara
- Photo : Armando Nannuzzi
- Musique : Nino Rota, Wilfred Josephs
- Production : Thomas Carlisle, Dino De Laurentiis
- Société de production : Dino De Laurentiis Cinematografica, Mosfilm
- Sociétés de distribution : Columbia Pictures (hors États-Unis), Paramount Pictures (États-Unis)
- Budget : Modèle:Unité
- Pays de production : Modèle:URSS - Modèle:Pays
- Langue de tournage : anglais
- Genre : Drame, historique et guerre
- Date de sortie en France : Modèle:Date
- Durée : 134 minutes
Distribution
- Rod Steiger (VF : William Sabatier) : [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]]
- Christopher Plummer (VF : Gabriel Cattand) : le duc de Wellington
- Orson Welles : le roi Louis XVIII
- Virginia McKenna (VF : Sylvie Deniau) : duchesse de Richmond
- Jack Hawkins (VF : Serge Nadaud) : général Thomas Picton
- Dan O'Herlihy (VF : Yves Massard) : Maréchal Ney
- Ivo Garrani (VF : Jean Michaud) : Maréchal Soult
- Sergo Zakariadze (VF : Henri Nassiet) : Maréchal Gebhard Blücher
- Charles Millot (VF : Lui-même) : Maréchal Grouchy
- Andrea Checchi : Sauret
- Evgueni Samoïlov : Pierre Cambronne
- Vladimir Droujnikov (VF : André Valmy) : le général Maurice Gérard
- Harijs Liepiņš : August Neidhardt von Gneisenau
- Oleg Vidov : Tomplinson
- Philippe Forquet (VF : Jean-Louis Jemma) : le général de brigade Charles de La Bédoyère
- Modèle:Lien (VF : Évelyn Séléna) : Magdalene Hall
- Gianni Garko (VF : Jean Lagache) : le général Antoine Drouot
- Modèle:Lien (VF : Jean Martinelli) : le général baron Van Müffling
- Karl Lyepinsk (VF : Roger Rudel) : le général August Gneisenau
- Donald Donnelly (VF : Philippe Dumat) : le soldat O'Connor
- Rupert Davies (VF : Marcel Lestan) : le colonel Gordon
- Terence Alexander (VF : Yves Brainville) : le lieutenant-général Lord Uxbridge
- Willoughby Gray (VF : Raoul Curet) : William Ramsay, le chef d'escadron
- Vassili Livanov : l'officier anglais
- Modèle:Lien (VF : Bernard Musson) : Mulholland, un soldat du Modèle:92e régiment de fantassins
- Modèle:Lien (VF : Jean-Claude Balard) : le lieutenant-colonel Sir John Colborne
- Susan Wood (VF : Francine Lainé) : Sarah
Autour du film
La mise en scène est favorisée par la participation de Modèle:Unité de l’Armée soviétique<ref>Waterloo, article d’Arte [1], consulté le 4 juin 2007</ref>, qui permet une reconstitution très réaliste des mouvements de troupes ; bonne véracité historique pour les uniformes, les armes et les tactiques.
Columbia Pictures publia un guide illustré de 28 pages à l'occasion de la sortie de Waterloo en 1970. Selon cet ouvrage, le producteur italien Dino De Laurentiis eut des difficultés à réunir le financement pour le film, jusqu'à ce qu'il négocie avec les Soviétiques à la fin des années 1960, et ait pu trouver un arrangement avec la compagnie Mosfilm. Le film coûta finalement 12 millions de livres sterling (environ Modèle:Unité de dollars US en 1970), faisant de Waterloo, pour son époque, l'un des films les plus coûteux jamais réalisés. S'il avait dû être filmé en Europe occidentale ou aux États-Unis, les coûts auraient sans doute été multipliés par trois. Mosfilm apporta environ Modèle:Unité de livres sterling, près de Modèle:Unité de l'Armée rouge, une brigade complète de la cavalerie soviétique, et de nombreux ingénieurs et terrassiers pour préparer la reconstitution du champ de bataille dans les environs d'Oujhorod en République socialiste soviétique d'Ukraine (à l'époque partie de l'Union soviétique).
Pour recréer un champ de bataille réaliste, les Russes rasèrent deux collines, établirent 8 kilomètres de routes, transplantèrent Modèle:Unité, plantèrent des champs de blé et de fleurs sauvages et recréèrent quatre bâtiments historiques. Pour former la boue, une dizaine de kilomètres de tuyaux d'irrigation furent installés. L'essentiel de la bataille fut filmé avec cinq caméras simultanément depuis le sol, une tour d'une trentaine de mètres, un hélicoptère et une voie ferrée établie à côté du champ de tournage.
Le tournage se déroula sur 28 semaines, avec un retard de 16 jours dû essentiellement aux conditions climatiques. La plupart des scènes furent filmées durant l'été 1969, sous une chaleur étouffante. En plus des scènes de bataille en Ukraine, diverses scènes furent tournées au palais de Caserte en Italie, alors que diverses scènes d'intérieurs furent tournées dans les studios De Laurentiis à Rome. Les habits d'époque furent créés par E. Rancati, et les centaines de chaussures furent fournies par L.C.P. di Pompei.
Des mois avant que le tournage ne débute, les Modèle:Unité s'entraînèrent aux tactiques et mouvements de 1815, au maniement des sabres et des baïonnettes, aux manœuvres de canons. Modèle:Unité furent en particulier sélectionnés pour charger et utiliser les mousquets et fusils. L'armée fut logée dans un campement à proximité du champ de bataille reconstitué. Chaque matin après le petit-déjeuner, les hommes convergeaient vers le rangement des costumes, enfilaient leurs uniformes français, anglais ou prussiens et se mettaient en position quinze minutes plus tard. Les soldats étaient commandés par des officiers qui prenaient directement leurs ordres du réalisateur Sergei Bondarchuk par walkie-talkie. Pour l'aider à mener cette importante réalisation multinationale, le réalisateur avait en permanence quatre interprètes à ses côtés : un pour l'anglais, un pour l'italien, un pour le français et un pour le serbo-croate.
Ce film est un des plus gros échecs du box-office américain avec une recette de Modèle:Unité de dollars pour un budget de 25 millions de dollarsModèle:Référence nécessaire.
Des extraits du film sont projetés au centre d'accueil du champ de bataille de Waterloo, à proximité de la butte du Lion.
L'historien Jean Tulard, spécialiste de l'époque napoléonienne, a déclaré dans une interview réalisée en 2019 par Jean-Marc Raffaelli pour Corse-Matin : "À mon sens, le meilleur film sur Napoléon, c'est le Waterloo de l'Ukrainien Sergueï Bondartchouk avec Rod Steiger".
Erreurs historiques
- La présence du Maréchal Soult lors de l'abdication de Napoléon n'est pas possible puisqu'en 1814 il commande une armée française dans le Sud-Ouest de la France face à Wellington.
- Ney aurait réellement déclaré à Louis XVIII qu'il se proposait de ramener Napoléon dans une cage de fer, mais il n'y eut jamais d’affrontement entre les deux hommes sur la route de Grenoble le Modèle:Date-. Ney se ralliera à l'empereur le Modèle:Date- (déclaration de Lons-le-Saunier).
- Modèle:Référence nécessaire. Rod Steiger qui l'incarne, apparaît dans une scène le visage mal rasé, Modèle:Référence nécessaire.
- Sergueï Bondartchouk, russe, ne peut s'empêcher de prêter cette phrase à Napoléon quand ce dernier apprend l'arrivée des troupes de Blücher : « Que n'ai-je brûlé Berlin !? ». Modèle:Référence nécessaire mais Modèle:Référence nécessaire.
- On peut déplorer tout autant le bruit de bottes persistant qui accompagne les déplacements de l'Armée impériale, alors que Modèle:Référence nécessaire.
- S'il est fait mention de la bataille de Ligny, durant laquelle les Prussiens connurent la défaite face à Napoléon le Modèle:Date-, il n'est pas réellement fait référence à la bataille des Quatre-Bras qui oppose Ney à Wellington le jour même, deux jours avant Waterloo.
- Wellington, les généraux et la noblesse anglaise dansent la valse à Bruxelles avant la bataille. Peu probable en 1815. La valse, déjà bien implantée dans les Empires centraux, n'a été adoptée par l'aristocratie anglaise qu'après 1820.
Référence
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Articles connexes
- Liste de films historiques
- [[Napoléon Ier au cinéma|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} au cinéma]]
Liens externes
- napocinepedia.net Napoléon au Cinéma