Ézy-sur-Eure

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Modèle:Infobox Commune de France

Ézy-sur-Eure<ref>L'Insee utilise le nom d'Ézy-sur-Eure pour la commune</ref> est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Géographie

Localisation

La commune d'Ezy-sur-Eure est située dans la vallée de l'Eure à environ Modèle:Unité au sud-est d'Évreux dans le département de l'Eure dans l'ouest de la Normandie. Paris est à Modèle:Unité. L'Eure, qui coule à Ezy en direction du nord-est, est encaissée dans une zone de plateaux qui s'abaisse en pente assez régulière depuis le sud-ouest (171 m) vers le nord et l'est (entre 130 et 135 m).

La majeure partie de la commune se situe dans la vallée et repose sur des alluvions récentes qui correspondent à des dépôts de débordement ou de fin de crue, elles-mêmes reposant sur des alluvions anciennes composées de galets siliceux dans une matrice argilo-sableuse riche en fer.

Modèle:Communes limitrophes

Boisement

Un seul aquifère est bien connu dans la région : il s'agit celui de la craie du Crétacé supérieur dont la puissance maximum est de l'ordre de 250 à 300 mètres. La nappe phréatique est située à moins de deux mètres de profondeur.

La couverture végétale de la région d'Ezy est constituée de groupements riches en espèces calcicoles qui tendent vers un stade forestier final à chêne pubescent et à hêtre commun dans les zones à faible relief et reste au stade herbacé ou arbustif lorsque le relief est plus accentué. Compte tenu des conditions géologiques et climatiques favorables, cette région constitue un biotope où subsiste l'un des principaux foyers de peuplement de type méridional du bassin parisien occidental.

On trouve à Ezy, au lieu-dit « la Côte Blanche », des végétations très rares : quatre espèces d'orchidées déjà protégées par arrêté du Modèle:Date- et une multitude d'autres espèces dont font partie, en particulier, la scorsonère d'Autriche et l'alisier de Fontainebleau.

Hydrographie

La commune est traversée par l'Eure, affluent de la Seine.

L'Eure présente un débit régulier dû aux apports de la nappe phréatique ; sa qualité générale dans le secteur de la commune est actuellement bonne.

Fichier:Map commune FR insee code 27230.png
Carte d'Ézy-sur-Eure et des communes limitrophes.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 3,9 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bu_sapc », sur la commune de , mise en service en 1996<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Ézy-sur-Eure est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ézy-sur-Eure, une agglomération inter-régionale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (36,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (39,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,9 %), terres arables (29,8 %), zones urbanisées (27 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (3,7 %), prairies (2,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Aisiaco entre 1023 et 1033<ref>François de Beaurepaire - Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure.</ref>.

Le nom d'Ezy viendrait de Aisiacum ou Asiacum<ref group="Note">Dans le cartulaire de Saint-Père de Chartres et p. d’Évreux.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, archétype gallo-roman composé du nom d'un propriétaire gallo-romain *Asius et du suffixe bien connu -acum. Le nom de personne non attesté Asius ne semble pas avoir eu de diffusion ailleurs qu'au nord de la Gaule et on le retrouve dans les noms de communes homonymes Aizier, Modèle:Page h', Modèle:Page h', etc.

L'Eure est une rivière qui prend sa source dans la région naturelle du Perche et qui coule dans les départements de l'Orne, d'Eure-et-Loir, de l'Eure et de la Seine-Maritime.

Histoire

Avec une altitude de 124 mètres, la Butte d'Ezy, appelée aujourd'hui « la Butte à Cochon » - du nom d'un ancien commis de la forêt de Dreux, François CochonModèle:Note, devenu conservateur des Eaux et Forêts de la famille d'Orléans, qui employa les dernières années de son existence (1880/1890) à planter avec persévérance plus de 80 000 sapins en ce lieu - était un point stratégique et un excellent point d'observation de la voie romaine Lutèce-Ebrovicus (Paris-Évreux). Une redoute y était installée à l'époque féodale.

Autres témoins de l'ancien Ezy : les caves creusées dans le calcaire marneux de la colline au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour y entreposer le vin et échapper ainsi à l'octroi. Ces caves furent aussi habitées par une population hétéroclite de 1876 à 1914<ref>Lire l'article de M. Zaborowski ethnologue, intitulé « Le Sauvage d'Ezy », paru en 1897 dans la revue La Nature et dans d'autres ouvrages tels les Bulletins et Mémoires de la Société d'anthropologie de Paris, année 1897, volume 8, Modèle:Pp. 401-402, intitulé « Aux Caves d'Ezy ».</ref>.

Il ne faut pas oublier la fontaine de Saint-Germain-la-Truite et sa légende : saint Germain, de passage à Ezy, aurait rendu sa main dévorée par une truite, à une jeune fille. Un pèlerinage y avait lieu chaque année le Modèle:Date- jusqu'au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Même notre grand fabuliste Jean de La Fontaine y vint avec monseigneur de Vendôme car les eaux de la fontaine de Saint-Germain étaient réputées pour guérir certaines maladies.

Histoire du grand hyver (1709)

Modèle:Article détaillé Ce texte et les suivants sont le témoignage vécu par l'abbé Le Mercier, curé d'Ezy.

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Meurtre de la prieure Geneviève Férard de Montreuil

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L'inondation de 1711

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L’inondation de 1787

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Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexePendant longtemps, Ezy-sur-Eure a eu une tradition de gauche. Les fabricants de peignes qui dominaient la vie municipale à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et au cours de la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle étaient le plus souvent proches du radicalisme laïc tandis que leurs ouvriers ont adhéré très tôt au socialisme. Ainsi, aux élections législatives de 1885, la liste républicaine l'emporta sur la liste conservatrice dans une proportion de 9 à 1. En 1924, la liste du cartel des gauches obtint 40 %, la liste républicaine de gauche, 20 %, la liste communiste, conduite par deux ouvriers d'Ezy, 20 % et la liste de l'Entente républicaine (droite indépendante), 20 % également, alors même que dans le département de l'Eure, cette dernière liste est arrivée nettement en tête. Après la guerre, le Parti communiste s'imposa comme le premier parti de la commune. En 1951, la liste communiste (291 voix sur 995) devança la liste radicale-socialiste de Pierre Mendès-France (286) et la liste RPF conduite par Jean de Broglie (147 voix). La SFIO obtient 95 voix, les indépendants, 88 et le MRP, 28. En 1953, les radicaux et les indépendants s'associent aux élections municipales pour barrer la route aux communistes. En 1956, communistes (Plaisance) et radicaux (Mendès-France) obtinrent chacun autour de 30 % des voix. Les poujadistes, dont la tête de liste, M. Bauche était commerçant à Ezy (et conseiller municipal), un peu moins 20 %. Les indépendants (listes Laîné et de Broglie) recueillirent environ 12 %. En 1958, Jean de Broglie (CNI) devançait d'une voix Rolland Plaisance (PC) : 34,5 % chacun. Entre 1958 et 1976, la droite, sous la conduite du député Jean de Broglie, ne cessa de progresser. L'assistante de Jean de Broglie, Ysabel de Perthuis, fut pendant deux ans maire de la commune (1963-1965), la perdant de justesse en 1965, tout en demeurant au conseil municipal jusqu'en 1977. Jean de Broglie fut majoritaire aux deux seconds tours de 1967 et 1973, avec 53-54 % alors même que le Général de Gaulle n'avait obtenu que 49 % le Modèle:Date- face à François Mitterrand (40,2 % au Modèle:1er pour l'un comme pour l'autre, le général ayant une voix d'avance sur Mitterrand). Valéry Giscard d'Estaing l'emporta d'une poignée de voix en 1974 (631 contre 622) mais s'inclina de vingt voix en 1981 (725 contre 745 à François Mitterrand). La mairie était passée à gauche en 1977 ; la liste d'Henri Lecomte, directeur d'école publique, mendésiste, avait alors été entièrement élue face à liste du maire sortant Daniel Champeaux. Elle l'était demeurée de peu en 1983 ; avant de repasser à droite en Modèle:Date- à l'occasion d'une élection anticipée provoquée par la dissolution du conseil municipal par le conseil des ministres. En 1988, François Mitterrand obtint 36,5 % au Modèle:1er (un peu plus de 570 voix) ; Jacques Chirac : 20,4 % (320 voix) ; Raymond Barre : 15,9 % (250 voix) et Jean-Marie Le Pen 15,4 % (242 voix), résultats proches de la moyenne nationale, comme en 1974 et en 1981. Au Modèle:2e, François Mitterrand l'emporta par 868 voix contre 710 (55 %).

À partir de la fin des années 1980, la commune connaît une évolution similaire aux zones rurales et surtout de la couronne périurbaine de l'aire urbaine de Paris : la droite est devenue nettement majoritaire (62 % au Modèle:2e de la présidentielle de 2007) ; le Front National gagne continument des électeurs : 15 % (1988, 1989), 22 % (1992), 21 % (1995), 25 % (2002), près de 30 % (2012), 32,2 % (2017).

À l'élection présidentielle de 2017, Marine Le Pen est arrivée en tête avec 32,2 % (644 voix) devant Emmanuel Macron (19,5%; 389 voix), François Fillon (17,9%, 357 voix), et Jean-Luc Mélenchon (16,1%, 321 voix). Nicolas Dupont-Aignan (6,7%, 135 voix) devançait Benoît Hamon (3,9%, 78 voix). Au second tour, Emmanuel Macron l'emporta de justesse, par 890 voix contre 864 (50,7%). Le nombre de suffrages exprimés était passé de Modèle:Unité à Modèle:Unité, soit près de dix points de moins. Modèle:…

Liste des maires

Liste des maire de 1788 à 1944

  • 1788 François GODEFROY
  • 1792 François GODEFROY
  • 1793 CABART
  • 1800 Jean JOURDAIN
  • 1828 Jacques NOË
  • 1840 Jacques NOË
  • 1846 Nicolas BOTTIER
  • 1848 Nicolas BOTTIER
  • 1855 Eugène VACHER
  • 1855 André HÉRON
  • 1858 André JOURDAIN
  • 1870 Édouard PELTIER
  • 1871 André JOURDAIN
  • 1878 Zacharie ROUSSEL
  • 1888 Léonidas MARÉCHAL
  • 1901 Léonidas MARÉCHAL
  • 1901 Ulysse LAVERTU
  • 1919 Ulysse LAVERTU
  • 1922 Gilbert BÉNIT
  • 1925 Gilbert BÉNIT
  • 1929 Octave LENOIR
  • 1935 Octave LENOIR
  • 1940 Jules FONTAINE
  • 1944 Georges SAILLARD
  • 1944 Georges SAILLARD

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

  • Maurice-Raymond de Brossard (1909-1997), amiral français. Il a été l'un des pères de l'aéronavale française en faisant passer la Marine de son étape d'aérostier à celle de détentrice de porte-avions grâce à des idées ingénieuses et une ardeur au travail jamais démentie. Il a été « combattant, découvreur, écrivain, académicien, peintre, serviteur de la France ».
  • Louis Chavignier (1922-1972), sculpteur, réalisateur du christ <ref>Modèle:Base Palissy.</ref> de l’église d’Ezy.
  • Marc Garanger (1935-2020), photographe et cinéaste français, né à Ezy.
  • Léon Hulin (1861-1939), Pionnier de l’industrie électrolytique françaiseModèle:Refnec, fils de Félix Hulin né à Ezy (Eure) le 14 juin 1861, mort en cette même ville le 24 août 1939.
  • Abel Lefèvre (1870-1948), journaliste, imprimeur, député, sénateur. Il est à l'origine des progrès réalisés après la grande guerre dans le département de l'Eure : électrification des campagnes, adduction d'eau, etc.
  • Frédéric Passy (1822-1912), châtelain d'Ezy de 1847 à 1875, savant économiste, membre de l'Institut, homme politique, il se voua à ce qui devait être la grande idée de sa vie : « la paix par l'arbitrage entre nations », et fit de l'organisation de la paix un véritable apostolat. Suprême hommage, il reçut en 1901, le premier prix Nobel de la paix, avec Henri Dunant, fondateur de la Croix-Rouge.
  • Alfred Veillet (1882 à Ezy - 1958), artiste peintre de l'École française qui peignit notamment des paysages. Vécut à Rolleboise où il est inhumé. Un paysage de Vétheuil sous la neige fut Modèle:Refnec.
  • François-Frédéric Guy (né en 1969 à Vernon), pianiste, a passé son enfance à Ezy, où ses parents étaient professeurs au collège Claude-Monet.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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