Une jeune dame en 1866

Modèle:Titre en italique Modèle:Sous-titre Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Art Une jeune dame en 1866Modèle:Sfn, dit aussi La Femme au perroquetModèle:SfnModèle:Sfn, est un tableau du peintre français Édouard Manet, daté de 1866. La toile représente le modèle préféré de l'artiste, Victorine Meurent, vêtue d'un déshabillé rose, tenant à la main un petit bouquet de violettes et accompagnée d'un perroquet.

Lieu de conservation

Ce tableau est conservé au Metropolitan Museum of Art de New York, aux États-Unis.

Œuvre homonyme

Un tableau de Gustave Courbet, peint la même année, s'intitule aussi La Femme au perroquet, mais il s'agit d'un nu. Il est également conservé au Metropolitan Museum of Art de New York.

Un autre tableau intitulé Modèle:Lien, peint par Renoir en 1871, se trouve également à New York, mais au musée Solomon R. Guggenheim.

Réception

L'œuvre est présentée au public à Paris, avenue de l'Alma, dans une exposition intitulée « Tableaux de Modèle:M. » en Modèle:Date-. Dans le catalogue, sous le Modèle:Nobr, elle est intitulée Jeune dame Modèle:Nobr<ref>Metropolitan Museum of Art, Exhibition History.</ref>.

Au Salon de 1868, l'œuvre qui, en raison du style réaliste et de la présence du perroquet, renvoyait au tableau de Gustave Courbet qui avait fait scandale deux ans plus tôt, fut très décriéeModèle:Sfn. Par dérision, le tableau de Manet, initialement appelé La Femme en roseModèle:Sfn puis exposé sous le titre Une jeune dameModèle:Sfn ou Jeune femme Modèle:NobrModèle:Sfn, fut nommé par le public La Femme au perroquetModèle:Sfn.

C'est le premier tableau de Manet à entrer dans une collection muséale<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Boy with a Sword, site du Metropolitan Museum of Art.</ref>, en même temps que L'Enfant à l'épée.

Propriétaires successifs

Le Modèle:Langue renseigne les propriétaires successifs de la toile :

• en Modèle:Date-, Manet vend la toile au marchand d'art Durand-Ruel au prix de Modèle:Nb ;
• en 1877, Durand-Ruel la vend Modèle:Unité à Ernest Hoschedé, négociant en tissus, collectionneur et ami de Claude Monet ;
• Ernest Hoschedé la met en vente (catalogue Modèle:N°, sous le nom Femme au Perroquet) à l'hôtel Drouot ; elle est adjugée le Modèle:Date- pour Modèle:Nobr à Henri Hecht ;
• l’œuvre se retrouve à nouveau chez Durand-Ruel qui la vend en 1881 à J. Alden Weir pour le compte d’Erwin Davis ;
• Erwin Davis la met en vente sous le nom Modèle:Langue chez John Ortgies<ref group=alpha>John Ortgies (1836-1908).</ref> (New York), les 19 et Modèle:Date- (catalogue Modèle:N°), et la rachète pour Modèle:Nb ;
• Erwin Davis, par une lettre datée du Modèle:Date-, adressée au président de comité de peinture du Metropolitan Museum of Art, en fait don au musée (sous l'intitulé Modèle:Langue), en même temps que deux autres peintures, Modèle:Langue de Jules Bastien-Lepage, ainsi qu'une autre toile de Manet, Modèle:Langue (L'Enfant à l'épée)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Annexes

Bibliographie

• Modèle:Ouvrage.
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  • Réédition électronique : Modèle:Ouvrage.
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