Lèves

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 30 septembre 2023 à 03:33 par >LD AWBot (Syntaxe corrigée)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Modèle:Infobox Commune de France

Lèves est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Ses habitants sont les Lévois.

Lèves est jumelée avec la commune anglaise de Nailsworth.

Géographie

Situation

Position de Lèves (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Position de Lèves (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Carte de la commune de Lèves et des communes limitrophes

<mapframe zoom=12 latitude=48.4697222222 longitude =1.4825 height=300 width=300 align=center text=""> { "type": "ExternalData", "service": "geoline", "ids": "Q1139332", "properties": { "fill": "#fc3", "stroke": "#ac6600" }} </mapframe>

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

Le Couasnon, pont sur D339.14.
Le Couasnon, pont sur D339.14.

La commune est traversée au sud-est par la rivière l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine.

Le ruisseau Coinon, alias « Couasnon » ou « Couanon » conflue avec l'Eure après son passage en souterrain dans le centre-ville et sa réapparition en surface après la mairie de Lèves.

Hameaux, lieux-dits et écarts

  • Chavannes, Le Mousseau, Ouarville

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 3,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Lèves est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Chartres, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (43,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,1 %), zones urbanisées (34,8 %), forêts (20,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), prairies (2,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Lèves est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment le Coinon et l'Eure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995, 1999, 2018 et 2021<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:28209-Lèves-argile.png
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lèves.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 81,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1551 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Leugæ en 1031 (charte du pr. de Saint-Martin-de-Chamars), Levas en 1085 (charte du pr. de Chuisnes), Livæ en 1119 (charte du pr. de Nottonville), Leuvæ en 1150 (ch. de l’abb. de Saint-Jean-en-Vallée), Levees en 1207 (charte du chap. de Chartres), Lives en 1226 (cartulaire des Vaux-de-Cernay, p. 250), Leviæ en 1248 (ch. de l’abb. de Saint-Cheron), Saint Ladre en 1448 (reg. des contrats du chap. de Chartres), Lesves en 1490 (navig. de l’Eure)<ref name="Dico">Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.</ref>.

Du latin leuca ou leuga, mesure d'origine gauloise d'environ Modèle:Unité. Ce mot a donné la « lieue » en français.
Lèves est un village situé sur la voie romaine reliant Chartres à Dreux, à une lieue de Chartres.

Histoire

Moyen Âge

En 911, après avoir tenté en vain d'envahir Auxerre, le chef viking Rollon masse ses troupes devant Chartres. Le Modèle:Date-, il affronte les Francs et leurs alliés, conduits par Richard de Bourgogne, Ebles Ier d'Aquitaine ou encore Robert Ier, futur roi des Francs, en une bataille décisive qui a lieu entre Chartres et Lèves, et qui se solde par une victoire franque. Modèle:Unité y seraient tombés, majoritairement des Vikings. C'est le moment que choisit Charles III le Simple pour entamer une négociation avec Rollon, qui se conclue à l'automne 911 par la signature du traité de Saint-Clair-sur-Epte<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, apparaissent des seigneurs de Lèves<ref name="racineshistoire"/> du nom rorgonide de Gauzlin (Gosselin/Goslin/Josselin/Jocelin), mal connus, réputés appartenir à la puissante et prolifique famille Le Riche<ref group="Note">Pourtant le prénom Gauzlin, Modèle:Pourquoi, n'est pas répandu dans la dynastie Le Riche, sauf chez les Le Riche de Beaumont-du-Gâtinais au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, mais ils le devaient à une alliance avec les Josselin de Courtenay.</ref> qui, en Beauce, règne alors aussi sur Gallardon.

On trouve Gauzlin {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} < son fils ou petit-fils Gauzlin II (si petit-fils : Gausfred/Geoffroi {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} – autre nom rorgonide – ferait la génération intermédiaire) < Gauzlin III (Modèle:2e moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) x Eudeline/Odeline du Puiset fille d'Hugues et d'Alix de Montlhéry < Gauzlin IV (un de ses frères est l'évêque Geoffroy de Chartres, fondateur de Josaphat à Lèves en 1117) < Gauzlin V, puis son frère Milon, archidiacre et doyen de Chartres (Modèle:1re moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) < Gausfred II (Modèle:2e moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), fils de Milon et Mabile du Tremblay, x Marguerite de La Chapelle < Gauzlin IV ou VI seigneur de Lèves et de Bruyères, † vers 1236/39, x 1° Marguerite dame de Bruyères (puis 2° x Philippa de Poissy) < Thomas {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}-III seigneur de Lèves et de Bruyères, † vers 1250, x Agnès Le Riche de Beaumont < Thomas II-IV ; puis son frère cadet Jean dit de Poissy, † à Acre en 1291, seigneur de Lèves, Bruyères, Chalabre et Puivert, x Eustachie de Lévis-Mirepoix < Thomas {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}-III-V (Modèle:1re moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) x Isabelle de Melun fille d'Adam IV < Thomas II et son frère Philippe (Modèle:2e moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), d'où postérité...

Mais la famille est désormais active dans le Midi, possédant Chalabre, Puivert, Quillan ; a-t-elle gardé Lèves et Bruyères ?Modèle:Refnec

Légende du Pied de fée

Fichier:Bertha von Burgund Jauslin.JPG
Berthe de Bourgogne, représentée par Karl Jauslin.

Modèle:Section à sourcer

Le Pied de fée est une « pierre à légendes », située dans un bois à l'angle de la route de Levesville et du chemin venant du champ de tir, portant une petite dépression en forme de pied.

Voici un résumé de ce qu'a écrit l'abbé Métais sous le pseudonyme de Karl du Gondré<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Modèle:Citation bloc

Peu après, son époux mourait et elle épousait en 995 le roi de France Robert II le Pieux<ref group="Note">Il est exact que Berthe de Bourgogne a épousé Eudes de Chartres, puis Robert II le Pieux et a vécu à Chartres.</ref>. Trois ans plus tard, répudiée comme parente du roi, elle revenait à Chartres au château comtal près de l'escalier qui porte son nom. On raconte qu'elle venait contempler en secret l'empreinte de son pas et rencontrait des jeunes filles qui lui rendaient hommage qu'elle récompensait par l'or de sa charité. Elle aurait fait construire un four, franc de toute redevance, pour les pauvres, ses sujets préférés.

Époque contemporaine

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Colonel Griffith Square.</ref>) rappellent cet évènement.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article détaillé Modèle:…

Liste des maires

Fichier:Liste des maires de la Ville de Lèves.JPG
Liste des maires de la Ville de Lèves de 1837 à 2014

Modèle:ÉluDébutModèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique environnementale

Cadre de vie

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris<ref>Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section Le dernier recensement de la population de Lèves a eu lieu Modèle:Date- au Modèle:Date-.

Enseignement

Modèle:...

Manifestations culturelles et festivités

Modèle:...

Faits divers

Le 27 juillet 2022, le maire de Lèves, Rémi Martial, a été reconnu coupable de harcèlement moral à l'encontre d'une femme. Il a été condamné à 6 mois de prison avec sursis et 6 mois d'inéligibilité avec sursis<ref>Rémi Martial, maire de Lèves, condamné pour harcèlement moral à six mois de prison avec sursis et six mois d'inéligibilité avec sursis.</ref>. Modèle:Référence nécessaire

Économie

Modèle:...

Culture locale et patrimoine

Ancienne abbaye Notre-Dame de Josaphat.
Ancienne abbaye Notre-Dame de Josaphat.
L'église Saint-Lazare.
L'église Saint-Lazare.

Lieux et monuments

Ancienne abbaye Notre-Dame de Josaphat

Modèle:Article détaillé Elle fut fondée en 1117 par le chanoine Geoffroy de Lèves, évêque de Chartres<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Église Saint-Lazare

Modèle:Article détaillé Modèle:Inscrit MH<ref name=PA28000012/>. L'église, construite de 1952 à 1957, fut édifiée avec et sur les ruines de l'église du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle détruite lors des combats de la Libération de Lèves le Modèle:Date.

Sa façade occidentale présente des sculptures de Jean Lambert-Rucki, notamment la Cène et la Passion du Christ. Un mur entier est composé de dalles de verre de Gabriel Loire, dont l'atelier est situé dans cette commune.

Monument à la mémoire des Résistants fusillés au bois de Chavannes

Manoir néoclassique de Lèves

Inauguration de l'allée Madeleine Castaing.
Inauguration de l'allée Madeleine Castaing.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Articles connexes

Modèle:Autres projets

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette

Modèle:Portail