Comps (Gard)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Comps Modèle:API-fr est une commune française située dans l'est du département du Gard, en région Occitanie.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, le canal d'irrigation de Remoulins à Tarascon et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « costières nîmoises » et « le Rhône aval ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Comps est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'unité urbaine de Montfrin et fait partie de l'aire d'attraction de Beaucaire. Ses habitants sont appelés les Compsois ou Compsoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le site archéologique de Saint-Roman-d'Aiguille, inscrit en 1935.
Géographie
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Localisation
Hydrographie et relief
Comps se situe à l'embouchure du Gardon et du Rhône. C'est le dernier village qu'arrose cette rivière, non sans mal quelquefois. Le Gardon est constitué à l'origine d'une multitude de torrents descendant des Cévennes gardoises et lozériennes et qui, une fois en plaine, forment une rivière particulièrement capricieuse et même dangereuse. Lors des grandes pluies d'équinoxe d'automne, comme en 2002 ou 2003 notamment, son débit a pu dépasser 5 000 à Modèle:Unité, occasionnant de sévères dégâts. Au sud se dresse une série de collines assez escarpées. Sur la commune, le point culminant est atteint à " l'Aiguille " (non loin de l'abbaye troglodytique de Saint-Romain à Beaucaire) qui, du haut ses Modèle:Unité, domine la vallée du Rhône et possède un table d'orientation réalisée par la CNRModèle:Quoi dans les années 1960.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Meynes », sur la commune de Meynes, mise en service en 1966<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Voies de communication et transports
Axes ferroviaires
Axes routiers
Transports en commun
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref> :
- « le Rhône aval », d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>
et un au titre de la directive oiseaux<ref name= Natura/> :
- les « costières nîmoises », d'une superficie de Modèle:Unité, qui accueillait, en 2004, Modèle:Unité chanteurs, soit 60 % des mâles reproducteurs de la région et près du quart des mâles reproducteurs en France<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « Gardon aval » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et la « plaine de Manduel et Meynes » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Comps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en Modèle:Date-, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Montfrin, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beaucaire, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (41,6 %), zones agricoles hétérogènes (23,8 %), forêts (14,7 %), zones urbanisées (12,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,4 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Comps est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Gard et le canal d'irrigation de Remoulins à Tarascon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1988, 1993, 1994, 2002 et 2003<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 703 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d'Andorge, un ouvrage de classe AModèle:Note doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Toponymie
Histoire
Préhistoire
L'origine du village, il y a Modèle:Unité, est accréditée par les fouilles de la Roque<ref name="Préhist"/>. Le hameau était alors dominé par le pic de l'Aiguille, site troglodytique mais aussi point culminant permettant surtout l'observation vers le Rhône.
Antiquité
Plus tard, l'influence latine est passée par là, comme en témoignent les ruines du castrum romain au-dessus de la Roque.
Moyen Âge
Non loin de là, sur ce même massif de la Roque, se situe l'abbaye de Saint-Roman sur la commune de Beaucaire qui, avec l'épopée guerrière de Charles Martel à Théziers en l'an 736, positionne Comps ainsi que les villages environnants dans l'histoire de France.
Époque moderne
Révolution française et Empire
Au cours de la Révolution française, la commune, nommée Comps-Saint-Étienne, porte provisoirement le nom de Port-du-Gard puis reprend celui de Comps simplement<ref name=Cassini/>. C'est surtout la géographie et les humeurs du Rhône qui ont façonné l'histoire du village. Les inondations dramatiques, et les changements de lit du Rhône ont fini par prononcer la séparation en 1790 de Comps et de Vallabrègues qui constituaient autrefois une seule et même communauté.
Époque contemporaine
Aujourd'hui, le vieux Comps pittoresque et fleuri, ainsi que le nouveau village au pied des collines, se retrouvent dans le dynamisme des associations, des traditions locales et dans les moments de détente, de sport et de loisirs sur les bords du Gardon. Le site de l'Aiguille comporte une table d'orientation offerte par la CNR (Compagnie Nationale du Rhône) lors des aménagements du fleuve dans les années 1960.
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Conseil Municipal
Jumelages
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Une école élémentaire et maternelle est à Comps. C'est l'école André Massip. Par la suite le collège de rattachement est le collège Henri Pitot d'Aramon.Modèle:…
Santé
Un médecin généraliste est présent sur le village. Il y a, également, un service d'infirmières libérales.Modèle:…
Manifestations culturelles et festivités
Sports
Kayak
Sur les bords du Gardon, se trouve le Canoë-Kayak Club de Comps, l'un des 4 clubs du Gard affiliés à la FFCK qui organise chaque année le mini-marathon de Comps, épreuve du challenge régional jeunes, en septembre, et le biathlon de Comps (kayak-course à pieds) qui réunit une centaine de participants au mois de décembre<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Tennis
Il y a un club de tennis, affilié à la fédération française de tennis. Ce club municipal possède 2 courts en béton poreux. Au Tennis Club de Comps, il y a 31 adhérents pour la saison 2016 dont 16 jeunes.
Piste cyclable-voie verte
Comps dispose de 10 km de voie verte intégrée à la ViaRhôna (véloroute reliant le lac Léman à la Méditerranée). Cette voie verte permet également d'aller jusqu'à Uzès en passant par le Pont du Gard. Les voies vertes étant idéales pour pratiquer le vélo, le roller ou la course à pied en toute sécurité.
Cultes
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 75,9 % d'actifs (67,4 % ayant un emploi et 8,5 % de chômeurs) et 24,1 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Beaucaire, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 172 en 2013 et 144 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 755, soit un indicateur de concentration d'emploi de 20,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 755 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 83 travaillent dans la commune, soit 11 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 92 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 3,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
117 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Comps au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 117 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
14 | 12 % | (7,9 %) |
Construction | 22 | 18,8 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
37 | 31,6 % | (30 %) |
Information et communication | 2 | 1,7 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 2,6 % | (3 %) |
Activités immobilières | 2 | 1,7 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
19 | 16,2 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
10 | 8,5 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 8 | 6,8 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,6 % du nombre total d'établissements de la commune (37 sur les 117 entreprises implantées à Comps), contre 30 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises et commerces
Revenus de la population et fiscalité
Agriculture
Modèle:Tableau La commune est dans la vallée du Rhône, une petite région agricole occupant la frange est du département du Gard<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la viticulture<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (37 en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Emploi
Entreprises de l'agglomération
Agriculture
Artisanat et industrie
Activités de service
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
- L'aqueduc « Les Arcades », édifié entre 1892 et 1900, effondré aux deux tiers le Modèle:Date<ref>Gard : un aqueduc plus que centenaire s'effondre à Comps, lemidilibre.fr, Modèle:Date-</ref>. Si les causes ne sont pas établies<ref>Aqueduc de Comps : les causes de l'effondrement restent inconnues, lemidilibre.fr, Modèle:Date-</ref>, une délibération municipale du Modèle:Date prévenait du risque, constatant que l'aqueduc « a subi durant les ans, sous la contrainte de fuites incessantes, des détériorations, pouvant entraîner à court terme son effondrement »<ref>Gard : écroulement de l'aqueduc à Comps, une délibération de 1980 évoquait déjà le risque, midilibre.fr, Modèle:Date-</ref>, l'édifice fut détruit en Modèle:Date.
- Moulin à huile « centre village ».
Édifices religieux
- Église Saint-Étienne de Comps.
- Vestiges de l'abbaye de Saint-Roman
Patrimoine culturel
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Modèle:Autres projets Modèle:Liens
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes