Péguilhan
Modèle:Autre4 Modèle:Infobox Commune de France
Péguilhan (Peguilhan en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
C'est depuis le Modèle:Date- une commune nouvelle après sa fusion avec Lunax, devenue commune déléguée<ref name=legi>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Sommaire
Péguilhan est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année. Ses habitants sont appelés les Péguilhanais ou Péguilhanaises.
Géographie
Modèle:Cartes interactive et OpenStreetMap/Haute-Garonne
Commune située dans le Comminges à Modèle:Unité au Nord de Saint-Gaudens. C'est une commune limitrophe avec le département du Gers par la Gimone.
Communes limitrophes
Modèle:Carte communes limitrophes
Depuis 2017, la commune touche Saint-Blancard à la suite de l'absorption de Lunax.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Gimone, la Gesse, le ruisseau de Larjo, le ruisseau de Barran, un bras de la Gesse, le ruisseau de Biouent, le ruisseau de Couas, le ruisseau de Gouarast, le ruisseau de Naudin, le ruisseau des Baraques, le ruisseau des Carretès, le ruisseau de Soulagnet, le ruisseau des Pevrères, le ruisseau des Picharottes, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Géoportail</ref>.
La Gimone, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Saint-Loup-en-Comminges et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelferrus, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
La Gesse, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune d'Arné (65) et s'écoule vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Save à Espaon (32), après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le ruisseau de Larjo, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Mondilhan et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Gesse à Molas, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, dans le département du Gers, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Péguilhan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Péguilhan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gesse et le ruisseau de Larjo. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 175 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1993, 2003 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de la Gimone sur la Gimone (départements de la Haute-Garonne et du Gers). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Toponymie
Péguilhan vient de Puy Guilhem, c'est-à-dire : "Puy Guillaume".
Histoire
Des vestiges romains attestent un habitat de cette époque hypothétiquement du début de l'ère chrétienne.
Le village de Péguilhan fut au Moyen Âge la première baronnie de Comminges et plus tard un comté.
Le premier seigneur connu de Péguilhan est Astorg de Péguilhan né vers 1125. La branche initiale de ces premiers seigneurs de Péguilhan s'est éteinte au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. À cette époque, la terre de Péguilhan était possédée en indivision par le comte de Comminges et par les seigneurs de Montpezat et de Coarraze.
Lors de son mariage en 1380 avec Belle de Cédons, c'est Bernard de Coarraze - également co-seigneur d'Encausse - qui est cité comme seigneur de Péguilhan. Son fils Raymond-Garcie de Coarraze meurt avant lui.
C'est la fille de Raymond-Garcie de Coarraze - Jeanne de Coarraze - qui transmet en 1420 par contrat la terre de Péguilhan à son mari Aymery V de Comminges. Il est vraisemblable qu'il s'agit de la dot de Jeanne de Coarraze.
C'est un descendant d'Aymery V de Comminges - Roger de Comminges - qui fit ériger en 1613 la terre de Péguilhan en comté par lettres patentes.
Modèle:Référence nécessaire. Cette illustre famille se distingua au cours des croisades. Ses racines remontent au Modèle:S mini ou Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle
Avant la Révolution, le village actuel de Saint-Ferréol faisait partie de Péguilhan. C'est pour cela qu'une partie de la population vivant aujourd'hui en Péguilhan, au quartier des Lurines, est administrativement de Péguilhan mais toujours inhumée à Saint-Ferréol.
C'est depuis le Modèle:Date- une commune nouvelle après sa fusion avec Lunax, devenue commune déléguée<ref name=legi/>.
Chapelle Sainte-Germaine
C'est dès l'origine sainte Camellie, qui imprime au quartier son nom de Camelle. La Révolution française la fit détruire presque entièrement et la renomma Notre-Dame-de-la-Gimone. Ce fut vers 1860 que sa reconstruction fut acquise dans l'élan conjugué de la canonisation de sainte Germaine de Pibrac, et fut définitivement dédiée et connue en Sainte Germaine. Elle est ouverte au culte et des cérémonies y sont célébrées à la demande.
Politique et administration
Le Modèle:Date- la commune a fusionné avec Lunax<ref name=legi/>.
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes du Boulonnais et du canton de Saint-Gaudens (avant le redécoupage départemental de 2014, Péguilhan faisait partie de l'ex-canton de Boulogne-sur-Gesse et avant le Modèle:Date- elle faisait partie de la communauté de communes du Boulonnais).
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section Modèle:Section démographie d'article de commune de France
Les archives communales attestent que la population de Péguilhan, au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dépassait les 800 habitants. On note, pour cette période, quelques cas d'émigration vers l'Espagne ou l'Amérique du Sud. source = INSEE<ref>Péguilhan sur le site de l'Insee</ref>.
Économie
Elle est essentiellement rurale. L'agriculture et l'élevage constituent un fort potentiel d'activité pour de jeunes agriculteurs qui maintiennent des exploitations ancestrales, nécessairement mécanisées pour être compétitives. Cultures céréalières, pâturages, élevages bovins, ovin. De nouvelles orientations attestent d'un engagement vers des modes de production biologiques. La volonté municipale soutenue par la population a permis de créer une zone artisanale au fort potentiel de salariés. L'habitat ancien qui avait été abandonné, fut peu à peu acquis par de nouveaux venus du nord de l'Europe. Ce regain de population et de cultures différentes revitalise le pays et fait naitre aujourd'hui des projets de constructions nouvelles. C'est la vocation du PLU - Plan Local d'Urbanisme - en cours d'élaboration. Grâce au partage consenti entre agriculture, petites industries et artisanat, s'insère la zone artisanale géographiquement à mi-chemin entre Toulouse et Tarbes, deux grands pôles économiques de Midi-Pyrénées. Diverses activités y ont été créées, à savoir :
- Transports Barrère,
- Garage réparations automobiles,
- Station de lavage,
- Centrale à béton,
- Entreprise S.A.T.O.B. spécialisée dans le concept de maisons et structures à ossatures bois,
- CUMA des Coteaux, Silos UAC.(antenne de Péguilhan)
Enseignement
Péguilhan fait partie de l'académie de Toulouse.
Santé
Manifestations culturelles et festivités
Sur le site de la chapelle Sain- Germaine, l'association "CAMEL'ARTS" génère, sur ce lieu bucolique, d'importantes activités culturelles et artistiques (renseignements à la mairie). Les mois de juillet et août, tous les week-ends, les amateurs d'arts, (peinture, sculpture, décoration et autres) tout comme ceux qui aiment la musique et le chant, viennent proposer leurs talents et savoir-faire. C'est là le cadre d'activités culturelles estivales canton en juillet et août, tous les week-ends.
Sports
Écologie et recyclage
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Au nord du village se dresse le château de Bonrepos Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, ayant appartenu à l'ancienne famille de Saint Pastou. L'antique demeure est aujourd'hui restaurée par son nouveau propriétaire ;(privé).
Au centre du bourg est un autre château du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle avoisinant de l'église, dit le château de Villeneuve (privé). fut la résidence des Haget et puis celle des de Villeneuve. trois membres de cette famille furent maires de Péguilhan. Pons de Villeneuve fut également préfet de la Corrèze et des Hautes-Pyrénées.
- L'Église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge de Péguilhan fut remaniée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. La voûte à croisées d'ogives est entièrement décorée sur le thème de la feuille d'acanthe sur fond bleu marial. Cette commande de la fabrique fut, très probablement exécutée par les frères Pedoya, spécialistes de ce style que l'on retrouve dans bien d'autres églises de la région.
- Fonts baptismaux en pierre (classés Monument historique décoré de figures humaines et animalières curieuses. La grande cuve, à huit pans coupés, est posée sur le socle d'un autel votif romain trouvé dans le village voisin. Les trois personnages sculptés figurent la famille.
- Fresques modernes dans le chœur, réalisées en 1951<ref group=Note>Voir inscription derrière l'autel.</ref>. Vierge en pied peinte par Jacques Fauché. L'église est dédiée à la Nativité de la Vierge Marie, et c'est en cela que la fête patronale du village est toujours fixée au premier dimanche de septembre. Autre peinture latérale dans le chœur représentant l'Arbre de Jessé en son entier, fresque exceptionnelle dans ses dimensions et par l'exhaustivité du récit biblique, exécutée par Pierre Igon, Jacques Fauché et Pierre Saint-Paul<ref group=Note>Voir signatures sur la fresque.</ref>. Ils sont tous trois fraichement sortis des Beaux Arts de Toulouse, par la suite Jacques Fauché y sera professeur puis directeur. Ces trois peintres, de l'école toulousaine des années 50, ont réalisé à Péguilhan leurs plus grandes fresques<ref group=Note>C'est un peu faux pour Pierre Saint-Paul, puisqu'il avait déjà travaillé avec Nicolas Greschny et par la suite avec Jean Lurçat. À noter, que durant cette période, il signait parfois "Patrice Sicre".</ref>.
- Église Sainte-Marguerite de Lunax.
- Chapelle castrale avec vitraux armoriés du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dont celui de la famille de Villeneuve dont le château est contigu. Un autre vitrail nous présente le blason du pape Pie IX.
- Chapelle Sainte-Germaine de Péguilhan.
- Chapelle dite de Bétis d'Ambrosi.
- Autel votif en marbre blanc des Pyrénées conservé à Péguilhan à la chapelle de Bétis (propriété privée).
- Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle il fut réutilisé et creusé en manière de bénitier pour la dite chapelle. La dédicace de ce dieu des « chars » (en patois local un char se dit car, transporter se dit « caréjar ») peut être assimilée au fameux "Saint-Christophe" tombé en désuétude.
- Au cimetière, chapelle funéraire de la famille de Villeneuve. Il s'agit en fait du chœur, inachevé, de la première église du village église. Bel autel en pierre de Péguilhan. Piliers latéraux et colonnes engagées donnent à penser que le projet était vaste et grandiose pour un petit village. La commune possédait une carrière de pierre qui servit à édifier de nombreuses constructions dans le village, comme aussi l'église de Boulogne-sur-Gesse ou la chapelle de Saint-Sabin à Escanecrabe.
Autres pièces remarquables : Pietà en bois peint, probablement du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (IMH) (propriété privée), ainsi que le fragment d'autel votif dit "le bénitier de Bétis". Il s'agit de la partie haute d'un autel romain dont on a modifié et réutilisé en manière de bénitier, placé à l'entrée de la dite chapelle de Bétis (privée) au hameau d'Ambrosi. Ce petit bloc de marbre de Saint-Béat, porte la dédicace "Carpinto Deo". Les moines de l'abbaye de Nizors, près de Boulogne, possédaient dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle les fermes des Busquets à Péguilhan. BUSQUET-d'EN-HAUT et BUSQUET-d'EN-BAS.
- Moulin à eau sur la Gesse, origine {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIVe{{#if:| }} }}. Il possédait une scierie, et du Modèle:S mini- au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle il possédait une boulangerie. Le moulin à vent au nord-est du village fut détruit au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Au centre du village un ancien local possède un grand four à pain qui ferait suite au four banal du Moyen Âge.
- La carrière de la "Houme" exploitée par la famille Benac après 1880, connut une forte activité avec plus de 25 employés.
- Au quartier de la Camelle, la famille Escoubas, fit prospérer une tuilerie qui connut un essor d'une cinquantaine d'années, seulement, dans la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Lac de la Gimone.
Personnalités liées à la commune
- Aimeric de Peguilhan (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle), célèbre troubadour,
- Famille Comminges Péguilhan,
- Saint Pastou, chanoine constructeur de la cathédrale de Saint-Bertrand-de-Comminges,
- Le chevalier César de Péguilhan, capitaine et gouverneur de Montfort-L'Amaury, vers 1650, époux d'Isabeau d'Astorg, vicomtesse de Larboust.
- Famille de Villeneuve Arifat,
- Antoine de Villemur et de Boubon,
- Felix de Bertrand-Pibrac. Chef d'escadron, fut maire de Péguilhan de 1919 à 1920. Il présida à l'édification et à l'inauguration du monument aux morts du village. Il fut propriétaire du château des Villeneuve.
- Abbé Magre, écrivit l'histoire de la Chatellenie de l'Isle-en-Dodon.
- Celestin Bénac, propriétaire de la carrière de la Houme. Entrepreneur et sculpteur de petits édicules à Péguilhan.
- Raoul Cammas. Né en 1905 à Montans dans le Tarn et prit sa retraite à Péguilhan. Il mourut en 1987. Amateur éclairé il consacra son temps libre à parcourir la campagne pour rassembler une imposante collectes d'objets, silex, ivoires, outils de la préhistoire. Il est l'inventeur de la « mandibule de Montmaurin », fossile pré-néandertalien mis au jour en 1949 et daté de Modèle:Nb à Modèle:Nb ans ; et a travaillé sur plusieurs des grottes de Montmaurin.
- Maison de Bourbon-Lavedan
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
- Liste des communes de la Haute-Garonne
- Liste des communes nouvelles créées en 2017
- Dieux pyrénéens voir = Carpentus ou Carpinto. CAR = char, charette.
Liens externes
Notes et références
Notes
Notes de type "Carte "
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