Escornebœuf
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Escornebœuf (Escòrnabueu en gascon) est une commune française située dans l'est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gimoès, un petit territoire autour de Gimont, traversé en son milieu par la Gimone.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Gimone, la Marcaoue, le Sarrampion, le ruisseau d'en Béjon, le ruisseau d'en Bon et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Escornebœuf est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Escornebeuvois ou Escornebeuvoises.
Les habitants d'Escornebœuf se nomment les Escornebovois, conformément à l'étymologie.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la chapelle Saint-Jean de Las Monges, inscrite en 1981.
Géographie
Localisation
Escornebœuf est une commune située en Gascogne au nord-est de Gimont.
Communes limitrophes
Escornebœuf est limitrophe de huit autres communes. Modèle:Carte communes limitrophes
Géologie et relief
La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Escornebœuf se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)<ref>Plan séisme</ref>.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Gimone, la Marcaoue, le Sarrampion, le ruisseau d'en Béjon, le ruisseau d'en Bon, un bras de la Marcaoue, le ruisseau d'Ayguebère, le ruisseau de Borde Vieille, le ruisseau de la Clède, le ruisseau d'en Carrignan, le ruisseau d'en Sarrade, le ruisseau du Tachon et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Gimone, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Saint-Loup-en-Comminges et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelferrus, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
La Marcaoue, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Simorre et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Gimone à Touget, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le Sarrampion, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Monferran-Savès et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gimone à Maubec, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste-Anne », sur la commune de Sainte-Anne, mise en service en 1995<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : les « prairies inondables de Gimont » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et les « prairies inondables de la Marcaoue à En Saguens » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont cinq dans la Haute-Garonne, 37 dans le Gers, une dans les Hautes-Pyrénées et 17 dans le Tarn-et-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Escornebœuf.
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Escornebœuf est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), prairies (1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Voies de communication et transports
Accès avec les routes départementales D 12, D 120 et D 249. Ainsi que par la gare de Gimont-Cahuzac sur la ligne SNCF Toulouse - Auch.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Escornebœuf est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 254 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1989, 1995, 1999, 2009 et 2018. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 1994, 2003, 2011 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de la Gimone, un ouvrage de classe AModèle:Note disposant d'une retenue de 25 millions de mètres cubes. La fiche réflexe du PPI définit le temps d'arrivée de l'onde et la zone d'accueil selon la position des habitants concernés par rapport à la Gimone (rive droite ou gauche)<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref name=barrage>Modèle:Lien web.</ref>. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>,<ref name=barrage/>.
Toponymie
Attestation anciennes
Le nom est attesté anciennement sous la forme Escornabou au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Cartulaire de l'abbaye de Gimont, 1905: version numérisée de la BNF [1]</ref>, identique à Écornebœuf (Dordogne, Escornabou 1163; Scornaboue 1192; Descornabus Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). La forme Scornebœuf apparait dans des cartes du Modèle:S mini- (Hubert Jaillot)<ref>« Diocèse de Toulouse », Alexis-Hubert Jaillot, 1695</ref> et Modèle:S mini- (carte de Cassini)<ref>« Toulouse Nouvelle Edition N° 38 », César-François Cassini de Thury, BNF Ge CC707 (19G)</ref> siècles.
Étymologie
Même nom qu'Écornebœuf avec maintien de Es- initial à la place de É- (résultant régulièrement de l'évolution phonétique de Es- en français) et ce, conformément à l'étymologie et à la phonétique occitane.
Il s'agit d'un nom de lieu composé avec le nom du bœuf (occitan moderne buou), comme les noms du type Tombebœuf et Écorchebœuf. C'est un composé métaphorique « écorne bœuf » signifiant « endroit où souffle un vent à décorner.. les vaches »<ref>Albert Dauzat, DELF.</ref>,<ref>Ernest Nègre, TGF.</ref> ou peut-être « abattoir » (cf. Tombebœuf, Tubœuf et Écorchebœuf).
Le nom est retrouvé, proche ou à l'identique, dans :
- Une rivière du pays agenais : l'Escornebœuf
- Un lieu-dit près de Saint-Geours-de-Maremne, sur la RN 124 : Escornebéou
- Un monument en la ville de Le Dorat, Limousin : la porte d'Escornebœuf
- Un lieu-dit près de Périgueux, Dordogne, siège d'un oppidum gaulois sur le coteau d'Escornebœuf.
Entre autres, c'est aussi celui d'un village de Catalogne : Vilanova d'Escornalbou à propos duquel Joan Coromines écrit : « Escornalbou: Compost de 'escorna el bou', en el sentit de 'lloc abrupte on els bous que pastegen, cauen i es trenquen les banyes'. Del verb 'escornar', derivat de 'corn' »<ref>(OnoCat, IV, p. 105)Modèle:Source insuffisante.</ref>.
Histoire
L'occupation des lieux est ancienne comme le prouvent les céramiques sigillés présentées au musée de Gimont.
L’implantation d'établissements romains, sur ou à proximité de la commune, est démontrée par la trouvaille d'amphores et d'une statue de Jupiter<ref>Bulletin Archéologique du Gers, 1973, pp 5-23</ref>.
À l’époque romaine, la frontière entre la Narbonnaise et la Novempopulanie passait dans les parages des rivières Save, Gimone et, peut-être, la Marcaoue.
Au Moyen Âge, la frontière du comté de Toulouse serpente aussi dans les environs mais avec une orientation plutôt nord-ouest/sud-est.
Escornebœuf est traversée par la voie romaine et le chemin de Saint-Jacques de Compostelle. Ce village faisait partie du Pays de Rivière-Verdun, ancienne paroisse du consulat de Gimont transformée en commune indépendante par l'ordonnance du comité départemental du Modèle:1er avril 1791 et associée à l'administration cantonale de Gimont pendant les dernières années de la Révolution.
Dans le supplément de l’un de ses ouvrages l’abbé J.J. Monlezun<ref>« Histoire de la Gascogne des temps les plus reculés », Tome Supplémentaire, 1850 : version numérisée de la BNF.</ref> nous donne une description d’un blason qu’il associe au nom du village sans préciser aucunement sa source : "d'azur à trois corbeaux de sable becqués et membrés de gueules".
Il n'y a pas d'habitat ancien groupé à Escornebœuf. L'ancien village (église et cimetière compris) a été complètement détruit au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle car trop souvent inondé par les crues. Ne reste que la croix de la pierre tombale de l'abbé Sudre mort en 1773 et frère de l'avocat gimontois, Théodose Sudre, qui défendit Calas.
Le nouveau village présente un caractère éclaté.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et Modèle:Unité, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze<ref>Modèle:Légifrance.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes des Coteaux Arrats Gimone et du canton de Gimone-Arrats (avant le redécoupage départemental de 2014, Escornebœuf faisait partie de l'ex-canton de Gimont) et avant le Modèle:1er janvier 2017 elle faisait partie de la communauté de communes de l'Arrats-Gimone.
Elle fait aussi partie du Pays Portes de Gascogne.
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Escornebœuf fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture et festivités
Activités sportives
Écologie et recyclage
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 77,1 % d'actifs (72,4 % ayant un emploi et 4,8 % de chômeurs) et 22,9 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 87 en 2013 et 94 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 235, soit un indicateur de concentration d'emploi de 23,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,1 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 235 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 34 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 90,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 3,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
31 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Escornebœuf au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 31 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
11 | 35,5 % | (12,3 %) |
Construction | 1 | 3,2 % | (14,6 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
4 | 12,9 % | (27,7 %) |
Information et communication | 2 | 6,5 % | (1,8 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
8 | 25,8 % | (14,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
3 | 9,7 % | (12,3 %) |
Autres activités de services | 2 | 6,5 % | (8,3 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35,5 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 31 entreprises implantées à Escornebœuf), contre 12,3 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 34 lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note et la surface agricole utilisée de Modèle:Nobr<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Chapelle Saint-Jean-de-Las-Monges près de la Gimone, édifice du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- La chapelle Saint-Jean-de-Las-Monges
-
La chapelle. -
Vue opposée. -
La chapelle dans son environnement. -
Rassemblement devant la chapelle.
- Église paroissiale Sainte Quitterie, datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Escornebœuf sur le site de l'Institut géographique national
- Site de l'Office de Tourisme de la Communauté de communes Arrats-Gimone
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes