Jegun
Modèle:Infobox Commune de France Jegun Modèle:API-fr (nommée également Jégun non officiellement; Jigun en gascon) est une commune française située dans le centre du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Auch, un territoire céréalier et viticole qui s'est également constitué en pays au sens aménagement du territoire en 2003.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baïse, l'Auloue, la Loustère, le ruisseau de Lahontan, la Coulègne, le ruisseau Larranchélan et par divers autres petits cours d'eau.
Jegun est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Jegunois ou Jegunoises. La devise historique « on craint déguin à Jeguin ».
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le pigeonnier-porche de Puntis, inscrit en 1973, et la chapelle Saint-Michel de Tremblade, inscrite en 1979.
Géographie
Localisation
Jegun est une bastide située entre la départementale D930 et l'Auloue, entre Auch et Castéra-Verduzan.
Communes limitrophes
Modèle:Carte communes limitrophes Modèle:Communes limitrophes
Géologie et relief
Modèle:... Jegun se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)<ref>Plan séisme</ref>.
Voies de communication et transports
La ligne 951 du réseau liO relie la commune à la gare d'Auch et à Condom.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Baïse, l'Auloue, la Loustère, le ruisseau de Lahontan, la Coulègne, le ruisseau Larranchélan, un bras de la Loustère, un bras de l'Auloue, le Pontic, le ruisseau de la Couderle, le ruisseau de Larriouau, le ruisseau de Magret, le ruisseau de Masca, le ruisseau d'en Bordes et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Baïse, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
L'Auloue, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Saint-Jean-le-Comtal et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Baïse à Valence-sur-Baïse, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
La Loustère, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Castin et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Auloue à Castéra-Verduzan, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le ruisseau de Lahontan, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Castillon-Massas et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Loustère sur le territoire communal, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaucaire », sur la commune de Beaucaire, mise en service en 1973<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Jegun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en Modèle:Date-, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,3 %), zones agricoles hétérogènes (36,9 %), prairies (11,7 %), zones urbanisées (1,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Jegun est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Baïse, l'Auloue, la Loustère et le ruisseau de Lahontan. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIe{{#if:| }} }} Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1993, 1999 et 2009<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 580 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 2003, 2011, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
Histoire
Les origines de la bastide sont mal documentées, mais la ville offre une parfaite régularité: quatre rues parallèles dans le sens de la longueur la découpent en cinq îlots. Il n'y a pas de place proprement dite, mais dans l'îlot central se trouve la halle. Autre particularité: il n'y a aucune église, car la ville neuve est venue s'insérer dans le bourg ecclésial qui comportait une église romane dédiée à sainte Candide<ref>B. Cursente, G. Loubès: "Villages Gersois" (Publication de la Chambre d'Agriculture du Gers, 1991)</ref>.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:...
Administration municipale
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section |
Enseignement
La ville de Jegun a une école primaire qui accueille des enfants de la toute petite section au CM2.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 77,9 % d'actifs (69,1 % ayant un emploi et 8,7 % de chômeurs) et 22,1 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 278 en 2013 et 337 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 466, soit un indicateur de concentration d'emploi de 52,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 466 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 120 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 87,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
107 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Jegun au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 107 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
14 | 13,1 % | (12,3 %) |
Construction | 30 | 28 % | (14,6 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
25 | 23,4 % | (27,7 %) |
Information et communication | 1 | 0,9 % | (1,8 %) |
Activités financières et d'assurance | 4 | 3,7 % | (3,5 %) |
Activités immobilières | 4 | 3,7 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
10 | 9,3 % | (14,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
12 | 11,2 % | (12,3 %) |
Autres activités de services | 7 | 6,5 % | (8,3 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28 % du nombre total d'établissements de la commune (30 sur les 107 entreprises implantées à Jegun), contre 14,6 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises et commerces
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Charpente Menuiserie Gersoise, travaux de charpente (Modèle:Unité)
- Barrieu Freres, travaux de charpente (Modèle:Unité)
Agriculture
La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 68 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 48 en 2000 puis à 39 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 33 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 51 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 38 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Sainte-Candide<ref>Pierre Dubourg-Noves, Sainte-Candide de Jegun, Modèle:P., dans Congrès archéologique de France. Modèle:128e. Gascogne. 1970, Société française d'archéologie, Paris, 1970</ref>
Autrefois connue sous le nom de "collégiale Sainte-Candide de Jegun". Le premier document la mentionnant est une bulle du pape Modèle:Souverain2 datant de 1193.
L'évêque de Couserans accorde des lettres d'indulgences en 1249 aux fidèles qui contribueraient à la poursuite de la construction de l'église. Il précise que le corps de sainte Candide se trouve dans l'église.
L'archevêque d'Auch, Guillaume de Flavacourt, demande au chapitre de chanoines réguliers, le Modèle:Date-, de mener une vie conventuelle. Cet acte indique que les chanoines sont au nombre de 7.
Modèle:Souverain2, comte d'Armagnac fait, en 1373, un don à Sainte-Candide de Jegun.
Des destructions nécessitent des reconstructions à partir de 1430. En 1440, la porte principale est réalisée au midi.
Une consécration de l'église a lieu le Modèle:Date, en présence de Pierre Henri, évêque in partibus de Modèle:Lien et vicaire général de l'archevêque d'Auch, François de Savoie.
- Église Saint-Jean-Baptiste de Lézian.
- Chapelle Saint-Michel de Tremblade. La chapelle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1979<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Chapelle de Lapeyrette.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Modèle:Autres projets Modèle:Liens
- Site de la Communauté d'Agglomération Grand Auch Cœur de Gascogne
- Office de tourisme Grand Auch Cœur de Gascogne
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes