Saint-Mézard

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Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Mézard (Sent Mesard (Canton de Leitora) en gascon) est une commune française située dans le nord du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Gers, le ruisseau de Cazaux, le ruisseau de Maurens et par divers autres petits cours d'eau.

Saint-Mézard est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1846. Ses habitants sont appelés les Saint-Mézardais ou Saint-Mézardaises.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Saint-Mézard est une commune du canton de Lectoure au nord du département du Gers, située à 16 km de Lectoure, 21 km de Condom, 120 km de Toulouse et 25 km d'Agen. C'est une commune limitrophe du département de Lot-et-Garonne.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Modèle:... Saint-Mézard se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)<ref>Plan séisme</ref>.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Mézard.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Gers, le ruisseau de Cazaux, le ruisseau de Maurens, la Rigole, le ruisseau de Grave, le ruisseau de la montée, le ruisseau de la Pisse, le ruisseau de l'Arrouquet, le ruisseau de Révignan, le ruisseau des Combes et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

Le Gers, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Layrac, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 8,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Laplume », sur la commune de Laplume, mise en service en 1999<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, dans le département de Lot-et-Garonne, mise en service en 1941 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Mézard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,1 %), zones agricoles hétérogènes (22 %), forêts (0,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Saint-Mézard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gers. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIe{{#if:|  }} }} Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:32396-Saint-Mézard-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Mézard.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 141 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2002, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

Modèle:...

Histoire

Le Modèle:Date, la répression des protestants reprend à Saint-Mézard : le gouverneur de Guyenne, le maréchal de Monluc, exécute quelques paysans<ref>Modèle:Guerres de Religion-Miquel, p 226</ref>.

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 79,5 % d'actifs (74 % ayant un emploi et 5,5 % de chômeurs) et 20,5 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 44 en 2013 et 50 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 98, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,5 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 98 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 31 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 85,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

16 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Mézard au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 16 entreprises implantées à Saint-Mézard), contre 27,7 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Agriculture

La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 41 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 25 en 2000 puis à 20 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 23 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 44 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 33 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Saint-Mézard - Chapelle Notre-Dame-d'Esclaux -2.JPG
Chapelle Notre-Dame-d'Esclaux
  • Église Saint-Côme-et-Saint-Damien. Elle date du 15e siècle comme en témoigne le portail sud richement sculpté. L'église est à nef unique terminée par un chevet à trois pans coupés. Une chapelle est accolée au nord et une sacristie au nord-est. Le clocher-mur occupe un emplacement original, sur le mur sud, au-dessus du portail. Le choeur, la sacristie et la chapelle nord semblent avoir été reconstruits au 19e siècle. L'église est à nef centrale et chœur pentagonal. Elégante porte sud Renaissance, retable en bois sculpté et doré du 17e siècle, cuve baptismale en pierre.
  • Chapelle Notre-Dame-d’Esclaux : La chapelle origine (chapelle de campagne dédiée aux pèlerinages) date du 16e siècle. Détruite par les protestants, elle fut reconstruite en 1662 puis à nouveau détruite en 1864. La chapelle actuelle, de type néo-gothique, date de 1869 avec un clocher édifié ultérieurement en 1875 par l'architecte Dubarry. L'ensemble a été restauré en 1969. Une légende raconte qu'un berger vit un jour un bœuf s'agenouillant obstinément près d'un taillis de la plaine d'Esclaux ou des Clos qui appartenait à M. d'Esparbès de Lussan, seigneur de Saint-Mézard. S’étant approché, il découvrit une petite statue de la Vierge. On fit édifier la chapelle de Notre-Dame-d’Esclaux à cet endroit et une source vint à sourdre à proximité. On ne connaît pas la date de l'origine de ce culte. le plus ancien texte sur la chapelle d'Esclaux date du Modèle:Date- quand, après la ruine due aux guerres de religion, la famille fondatrice décide de la restaurer. Les récits de miracles ont attiré de nombreux pèlerins du diocèse d'Auch. Le pèlerinage a repris après la Révolution française<ref>Léonce Couture, Notre-Dame d'Esclaux, Modèle:P., Revue de Gascogne, 1866, tome 7 (lire en ligne)</ref>.
  • Fontaine et Vierge de la Chapelle : L’eau de la fontaine a la réputation de soigner les furoncles appelés aussi “clous”. Elle sourd sous la chapelle par une canalisation souterraine, amène l’eau à l’intérieur d’un bassin en pierre et en ressort par la face avant. En avant du bassin se trouve une colonne sur laquelle est posée une statue de la Vierge dont la couronne repose directement sur une longue chevelure ondulée.
  • Les meules de moulins : à côté de la chapelle sont entreposées sept meules percées, en calcaire blanc, qui auraient été déposées là par l'abbé Gauran, provenant peut-être de moulins à huile à manège.
  • Le Bois de cyprès de la Chapelle constitue un site inscrit aux Monuments Historiques (arrêté du 24/02/1943). Il abrite également de majestueux cèdres centenaires, un chemin de croix et un calvaire.
  • Château de Feuga : Vaste demeure du 18e siècle édifiée sur l'emplacement d'une ancienne construction féodale, reconstruite en 1818, élégamment restaurée en 2004, avec un parc et de superbes jardins. Corps de logis oblong à deux niveaux accolé de deux tours carrées et d'un donjon carré à mâchicoulis et créneaux et tourelles. Propriété privée.
  • Pont de L'Ourtiguet sur le Gers. Le Pont et ses abords constituent un site inscrit aux Monuments Historiques (arrêté du 09/03/1943).

Personnalités liées à la commune

Modèle:...

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

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Autres sources

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Modèle:Portail