Saint-Sauvy
Modèle:Infobox Commune de France Saint-Sauvy (Sent Sauvi en gascon) (et "Montagne sur l'Arrats" son ancien nom) est une commune française située dans l'est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Auch, un territoire céréalier et viticole qui s'est également constitué en pays au sens aménagement du territoire en 2003.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats, un bras de l'Arrats, le ruisseau de Lucvielle, le ruisseau d'en Siguès, le ruisseau du Courneron et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Sauvy est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1846. Ses habitants sont appelés les Saint-Sauviens ou Saint-Sauviennes.
Géographie
Localisation
Saint-Sauvy est une commune de Gascogne située sur l'Arrats.
Communes limitrophes
Modèle:Carte communes limitrophes Modèle:Communes limitrophes
Géologie et relief
Modèle:... Saint-Sauvy se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)<ref>Plan séisme</ref>.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Arrats, un bras de l'Arrats, le ruisseau de Lucvielle, le ruisseau d'en Siguès, le ruisseau du Courneron, un bras de l'Arrats, le ruisseau de Labach, le ruisseau de la Grue, le ruisseau de Larié, le ruisseau de la Toupate, le ruisseau de Matichard, le ruisseau d'en Dauzet, le ruisseau d'en Hillos et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
L'Arrats, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste-Anne », sur la commune de Sainte-Anne, mise en service en 1995<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « cours de l'Arrats » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 22 dans le Gers et huit dans le Tarn-et-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Sauvy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,5 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), forêts (1,5 %), prairies (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Sauvy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 190 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 1998, 1999, 2002, 2011 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
Histoire
Le site de Saint-Sauvy a certainement été peuplé dès la Préhistoire. Lors des travaux de construction d'une ligne électrique, au lieu le Moulin, une pierre polie ayant pu servir à une herminette a été retrouvée sur les lieux. L'époque gallo-romaine a fourni des vestiges plus abondants. Catherine Petit, archéologue, a repéré une quinzaine de sites où elle a relevé des morceaux de tuiles et de poteries de cette époque. Des restes de mosaïques et d'enduits peints d'une villa ont aussi été retrouvés.
Saint-Sauvy est mentionné pour la première fois dans un document ecclésiastique en 960 et dépend de l'abbaye de Saint-Orens d'Auch aujourd'hui disparue ; elle avait installé une prévôté dans le village et nommé le curé. Politiquement et juridiquement, Saint-Sauvy dépendait du comte d'Armagnac.
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, pour diverses raisons, et en particulier pour fixer la population, les princes décidèrent d'accorder de nouveaux droits aux habitants des villages, et en particulier le droit de s'administrer eux-mêmes par l'intermédiaire de représentants élus. Ainsi naquirent les bastides, nom d'origine provençale formé sur le verbe "bastir"=bâtir. En effet, on a bâti beaucoup lors de création des bastides. Les conditions de fondations de celle de Saint-Sauvy nous sont connues par deux documents importants :
- L'acte de paréage, document notarié, daté du Modèle:Date-.
- Les coutumes, document notarié daté du Modèle:Date, ratifié le Modèle:Date- par le comte d'Armagnac et par un représentant de l'administration anglaise (à cette date, la Gascogne était sous la tutelle anglaise), l’abbesse et les représentants du monastère de Goujon, copropriétaire avec le comte d'Armagnac des terres de Saint-Sauvy, ratifièrent l'acte le Modèle:Date-.
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle saint Orens succéda aux dames de Goujon.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Saint-Sauvy, un nouveau village entouré de murailles a été construit, avec pour accès deux portes fortifiées, une place centrale, des rues à angles droits, une église, depuis lors plusieurs fois reconstruite ou restaurée. Après l'exécution du comte d'Armagnac par l'armée de Louis XI, au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Saint-Sauvy devient domaine royal, dans l'Armagnac.
Pendant les guerres de Religion, une troupe protestante réussit à faire une brèche dans la muraille et à mettre le feu à l'église. Les morts et les armes sont enterrés à l'entrée du chemin de la Boubée sous un tertre encadré par deux gros chênes et surmonté d'une croix.
En 1789, Saint-Sauvy a rédigé un cahier de doléance. La période révolutionnaire semble s'être passée sans incident grave, sauf peut-être pendant la vente des biens nationaux. Lors de la période 1793-94, on a remplacé le nom de Saint-Sauvy par Montagne de l'Arrats, tout au moins sur les documents officiels ; la famille de Lherm dut émigrer. A Lucvielle, par contre, des incidents violents ont eu lieu entre les propriétaires du château et les nouveaux tenants du pouvoir issus de la Révolution.
Saint-Sauvy a payé un lourd tribut aux combats de la guerre 1914-1918 : 21 de ses enfants sont tombés sur les champs de bataille.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Saint-Sauvy a accueilli des réfugiés alsaciens, lorrains, belges ; Modèle:Refnec. Une vingtaine de jeunes soldats ont été retenus prisonniers en Allemagne pendant quatre ans. La guerre d'Algérie a été aussi une période difficile pour ceux qui durent y participer... Le Modèle:Date-, le clocher du village s'effondra aux environs de midi. Il fut reconstruit avec des moyens plus économiques. Après la reconstruction du clocher, celui-ci était moins haut que celui de Puycasqieur, ce qui attira une certaine jalousie du côté des villageois de Saint-Sauvy. La construction fut confiée à un architecte de Gimont et les travaux furent terminés en 1913.
Voila ce qui se disait aux environs de 1910 à Saint-Sauvy : " Pycasqué, pétito bilo, gran clouqué ; quant le clouqué ï plèn de pailho, laï gents soun de canalho ; quant le clouqué ï plén de hén, laï gents que balen pas rén!" Traduction: "Puycasquier, petite ville, grand clocher ; quand le clocher est plein de paille, les gens sont des canailles ; quand le clocher est plein de foin, les gens ne valent rien!"
Héraldique
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 77,8 % d'actifs (73,6 % ayant un emploi et 4,2 % de chômeurs) et 22,2 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 54 en 2013 et 48 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 156, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,1 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 156 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 87,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 3,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
21 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Sauvy au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,8 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 21 entreprises implantées à Saint-Sauvy), contre 27,7 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant l'est du département du Gers<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 42 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 35 en 2000 puis à 21 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 18 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 57 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 36 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Des anciennes murailles défensives qui entouraient autrefois le village, il ne reste plus que des ruines réutilisées pour des murs de la rue nord et une base de tour.
- L'église Saint-Salvy date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, elle était jadis accolée à la muraille.
- L'église de Lucvielle.
- À la sortie du village à 150m sur la gauche on aperçoit la chapelle Saint Roch restaurée par son propriétaire.
- En face de ce bâtiment se dresse le château de St Sauvy, construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par la famille Daguzan.
- Sur la place de mairie, il reste encore une partie des allées couvertes, jadis celles-ci faisaient le tour et abritaient les marchands les jours de foires.
- En descendant par la route de Gimont, devant un atelier de mielerie passe un petit chemin qui mène au lieu-dit le Touron ;
- une source intarissable alimente un bassin circulaire où les lavandières venaient battre et rincer le linge.
Sur l'ancienne route de Mauvezin, à droite, un étroit chemin conduit jusqu'au cimetière, entouré d'un mur surmonté d'un fanal percé d'une lucarne autrefois éclairée au mois de novembre. Au sous-sol se trouve une chapelle voutée avec deux anciens sarcophages en marbre : l'un servait autrefois d'autel. Sur le mur subsistent des fresques très endommagées et au sol la tombe d'un ancien prêtre du village, datant de 1890.
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Façade est de l’église. -
Le haut du clocher. -
Le foyer rural. -
Aperçu du château. -
Le stade. -
L'église de Lucvielle.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Saint-Sauvy sur le site de l'Insee
- Site de l'Office de Tourisme de la Communauté de Communes Arrats-Gimone
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes