Chanson de Roland
Modèle:Titre en italique Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Livre La Chanson de RolandModèle:Note est un poème épique et une chanson de gesteModèle:Note du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle attribuée parfois, sans certitude, à Turold (la dernière ligne du manuscrit dit : Modèle:Langue). Neuf manuscrits nous sont parvenus, dont un, le manuscrit d'Oxford du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le plus ancien et le plus complet, est en anglo-normand. Ce dernier, identifié en 1835, est considéré par les historiens comme le manuscrit d'autorité. C'est donc lui que l'on désigne quand on parle sans autre précision de la Chanson de Roland.
La Chanson de Roland comporte quatre mille deux vers (dans sa version la plus ancienne ; elle en compte neuf mille dans un manuscrit de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) en ancien français répartis en laisses assonancées, transmises et diffusées en chant par les troubadours et jongleurs. Elle s'inspire, trois siècles après, du combat fatal dans les Pyrénées du chevalier Roland, préfet de la Marche de Bretagne et de ses compagnons d'armes contre une force toujours identifiée avec difficulté, possiblement des Basques.
Fondement historique
Historiographie franque
Les Annales du Royaume des Francs (Modèle:Langue), chroniques de l'époque, ne mentionnent sciemment aucune défaiteModèle:Sfn, seulement une expédition victorieuse en EspagneModèle:Sfn. C'est une vingtaine d'années après qu'est ajoutée une embuscade, à l'initiative des Basques, dans laquelle des personnes de haut rang périssent sans qu'elles soient nomméesModèle:Sfn. Éginhard est plus précis dans sa Vita Karoli Magni, il évoque lui aussi les Basques et une description plus fournie des évènements lors de la traversée des Pyrénées : Modèle:CitationModèle:Sfn. Quelques années plus tard, dans la Vita Hludovici de L'Astronome, le combat est rapporté, mais les protagonistes restent anonymes : Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>,Modèle:Sfn.
Historiographie arabe
Les sources arabes écrites sont assez rares sur l'événement, et sont issues de chroniques postérieures d'au moins deux cents ans à l'expédition franqueModèle:Sfn,Modèle:Sfn.
Approche contemporaine
Plusieurs historiens contemporains s'accordent à dire qu'à la bataille de Roncevaux les chevaliers carolingiens n'auraient pas affronté l'armée sarrasine mais la milice basqueModèle:Sfn,Modèle:Sfn.
Composition et mise à l'écrit
Contexte
En pleine époque de reconquista en péninsule Ibérique et de conquêtes en Orient, il apparaît que la Chanson de Roland ait été composée avec en trame de fond l'évocation et le soutien aux croisades et à la guerre sainte<ref>Modèle:Lien web.</ref>,Modèle:Sfn.
De même la féodalité, déjà initiée à l'époque carolingienne mais accomplie dans les années de composition et d'écriture de la Chanson tient elle aussi une place prépondérante dans le texte (par exemple à travers les nombreuses occurrences de la mention du mot « vassal »Modèle:Sfn) et s'imbrique tout au long de l'œuvre avec la dimension religieuseModèle:Sfn.
Hypothèses sur la composition
La thèse « individualiste »
Joseph Bédier a émis l’hypothèse dite « individualiste » qui suppose que la chanson serait le fruit d'une collaboration entre moines et jongleurs qui récitaient, sur les routes de Saint-Jacques-de-Compostelle, des fragments aux lieux de halte. L'inspiration de l'auteur dans un contexte favorable aurait permis à la Chanson de naître telle quelleModèle:Sfn,Modèle:Sfn.
La thèse « traditionaliste »
Gaston Paris, une cinquantaine d'années avant Joseph Bédier, proposa comme théorie, connue sous le nom de « traditionaliste », que la Chanson de Roland serait issue de cantilènes composées après la bataille, d'où certains anachronismes persistants dans la ChansonModèle:Sfn. Les siècles passés et l'évolution feraient qu'ils se fixent dans la forme de la chanson de geste que l'on connaît.
La thèse « néo-traditionaliste »
Les idées de Gaston Paris se trouvent appuyées et développées dans les années 1950 - 1960 par les travaux de Jean Rychner dans son ouvrage La chanson de geste. Essai sur l'art épique des jongleurs et par la théorie « néo-traditionaliste » de Ramón Menéndez PidalModèle:Sfn lequel, dans la continuité des recherches de Ferdinand Lot initiées dès les années 1920Modèle:Sfn,Modèle:Sfn, propose que la Chanson est l'aboutissement d'une longue série d'œuvres, que ce soit des textes ou des œuvres transmises de manière orale, probablement créées après la bataille et sans cesse transforméesModèle:Sfn, en opposition avec la théorie de Joseph BédierModèle:Sfn. Le terme même de « néo-traditionalisme » souligne bien l'idée de la lointaine lignée de l'ouvrage, provenant d'une tradition très ancienneModèle:Sfn.
Synthèse actuelle
L'amalgame entre l'hypothèse de Gaston Paris et les ajouts introduits par Ramón Menéndez Pidal (de même que des emprunts aux propositions de Joseph Bédier) forme un corpus communément admis désormaisModèle:Sfn,Modèle:Sfn, admettant que le Roland d'Oxford est l'aboutissement d'une tradition ancienneModèle:Sfn, notamment oraleModèle:Sfn,Modèle:Sfn, mais aussi de ce qui est appelé les « pré-textes »Modèle:Sfn qui ne sont pas tous liés à la Chanson mais qui démontrent la construction d'une épique écrite tels la Chanson de Walther (milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)Modèle:Sfn, le Fragment de La Haye (début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) ou la Nota Emilianense (dernier quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), cette dernière comportant déjà nombre des personnages et le combat de RoncevauxModèle:Sfn. Selon Douglas Owen, une version de la Chanson de Roland était déjà en usage en 1067 et l'évêque d'Amiens y aurait fait référence. L'assertion de Guillaume de Malmesbury racontant (dans un ouvrage en 1125) qu'avant la bataille d'Hastings (1066) fut entonné Modèle:Citation n'apparaît donc plus infondée<ref name=":0" />,<ref>Modèle:Article</ref>.
Chronologie de la mise par écrit
André Burger pense que cette œuvre aurait été rédigée entre 1087 et 1095 (à la veille de la première croisade)<ref name=":0">Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
La date d'écriture du manuscrit d'Oxford est elle aussi inconnue, le consensus la situant généralement dans la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècleModèle:Sfn, les estimations allant de 1098Modèle:Sfn aux années 1125 - 1150Modèle:Sfn. Écrit en anglo-normandModèle:Sfn, c'est le texte le plus ancien de la Chanson et il est considéré comme celui qui fait autoritéModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn.
Il existe six autres manuscrits, ou neuf en comptant ceux qui n'incluent que des parties du texteModèle:Sfn, dont le contenu, bien qu'assez similaire concernant le récit, soit changeant dans la formeModèle:Sfn. Le plus récent, nettement plus long avec environ Modèle:Unité, date de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècleModèle:Sfn. Une des retranscriptions de l'épopée est réalisée autour de 1140 par un ou plusieurs moines, peut-être de Saint-Denis, dans ce qui constitue le Modèle:Nobr rom du Codex Calixtinus : l'Modèle:Langue, appelée Pseudo-TurpinModèle:Sfn.
Découverte de la Chanson
En 1832, Henri Monin fit la découverte dans la Bibliothèque du roi d'un poème nommé « La chanson de Roland ». Il n'existe au début des années 1830 que deux manuscrits connus de la Chanson, ceux de Paris et ChâteaurouxModèle:Sfn. Francisque Michel donne en 1837 une première édition du texte qui était fondée sur un autre manuscrit conservé à la bibliothèque d'Oxford en AngleterreModèle:Sfn, version qu'il avait découverte en 1835Modèle:Sfn. D'autres manuscrits seront retrouvés ensuite à Venise, à Versailles, à Lyon et à Cambridge.
Résumé
Les quatre parties de la Chanson
1. La trahison de Ganelon : Ganelon, beau-frère de Charlemagne et beau-père de Roland, jaloux de la préférence de Charlemagne envers son neveu auquel l'empereur a confié l'arrière-garde de ses armées, cherche à se venger et, ce faisant, trahit la France et son suzerain. Il intrigue avec Marsile, roi de Saragosse, pour s’assurer de la mort de Roland en livrant l'arrière-garde à l'armée ennemie. Cette partie va des laisses 1 à 79 dans la chanson.
2. La bataille de Roncevaux : Roland et son compagnon le chevalier Olivier, ainsi que toute l'arrière-garde de l'armée de Charlemagne, meurent dans la bataille en emportant avec eux une grande partie de leurs assaillants. Cette partie va des laisses 80 à 176.
3. La vengeance de Charlemagne sur les Sarrasins : Roland avait sonné du cor pour alerter Charlemagne, mais trop tard et quand le reste des armées arrive pour secourir l'arrière-garde, le comte est déjà mort. Charlemagne venge alors son neveu en battant les Sarrasins avec l'aide de Dieu. Cette partie va des laisses 177 à 266.
4. Le jugement de Ganelon : Après la bataille, Charlemagne fait juger Ganelon qui est condamné à mourir écartelé. Cette partie va des laisses 267 à 291.
Résumé
Marsile, roi Maure souhaitant épargner sa ville Saragosse de l'avancée de l'armée des Francs, convient d'un traité de paix avec Charlemagne. Ce dernier se demande qui sera envoyé comme émissaire à Marsile, qui a une grande réputation de traîtrise. Celui qui sera envoyé courra donc un grand danger. L'empereur refuse que ses chevaliers préférés prennent ce risque. On décide enfin, sur la proposition de Roland, d'envoyer Ganelon. Mais ce dernier, corrompu et haineux envers Roland, décide de trahir Charlemagne et propose un plan à Marsile. Marsile fera semblant de conclure la paix avec Charlemagne, qui se retirera. Roland commandera l'arrière-garde. Les Sarrasins attaqueront alors par surprise l'arrière-garde isolée. Une fois Roland, le plus vaillant des chevaliers de Charlemagne, tué, Ganelon considère que l'armée de Charlemagne ne vaudra plus rien. Marsile approuve le plan. Ganelon rejoint Charlemagne, qui se retire avec son armée. Roland prend comme prévu la direction de l'arrière-garde, tandis que Ganelon reste en compagnie de l'empereur.
Les Sarrasins attaquent Roland dans le défilé de Roncevaux. Le preux Olivier, ami et confident de Roland, signale une large troupe sarrasine approchant l'arrière-garde. Il demande à Roland de sonner du cor (ou olifant) pour avertir Charlemagne. Roland préfère mourir en guerrier plutôt que de se déshonorer en appelant à l'aide (il avait un dicton qui disait : il faut toujours avancer et jamais reculer). Les hommes de Roland se battent contre une force (commandée par Marsile) vingt fois supérieure à la leur, et malgré la bravoure de ses hommes, l'arrière-garde de Charlemagne est exterminée. Lorsqu'il ne reste plus que soixante combattants, et après qu'Olivier est tombé, Roland fait sonner son olifant tellement fort qu'il « explose » (ses veines éclatent). Charlemagne, quant à lui, continue à s'éloigner avec le gros de l'armée, persuadé par Ganelon que le son du cor, qu'il entend, n'est pas un appel à l'aide.
Mais Charlemagne finit par soupçonner le pire et chevauche vers le lieu de l'embuscade. Pendant ce temps, tous les chevaliers de l'arrière-garde meurent, mais Roland et l'archevêque Turpin, blessés, arrivent à faire fuir l'armée maure avant de s'effondrer tous les deux.
Roland a encore la force d'essayer de briser son épée Durandal contre un bloc de marbre pour éviter qu'elle ne tombe entre les mains de l'ennemi, sans succès : la lame luit et flamboie sans s'ébrécher. Il s'allonge face à l'Espagne pour mourir et c'est alors que saint Michel, Chérubin et saint Gabriel emportent son âme vers le paradis.
Quand Charlemagne rejoint son arrière-garde, il est trop tard, Roland est mort et la bataille est terminée. L'armée de Marsile a subi de lourdes pertes, mais elle est renforcée par une immense armée représentant l'ensemble des peuples musulmans. Cette armée affronte l'armée de Charlemagne au cours d’une seconde bataille, littérairement moins célèbre que la première, au cours de laquelle Charlemagne détruit l'armée sarrasine avant de retourner à Aix-la-Chapelle, où il doit apprendre la triste nouvelle à la belle Aude, sœur d'Olivier et fiancée de Roland, qui meurt sur le coup à cette annonce. Le jugement de Ganelon peut alors commencer. Le Conseil de Charlemagne le juge d'abord innocent et finalement son sort est remis à Dieu sous la forme d'un duel judiciaire : son champion étant vaincu, Ganelon est déclaré coupable, écartelé et sa famille pendue pour avoir pris son parti.
Personnages
- Aude, fiancée de Roland et sœur d'Olivier.
- Baligant, émir de Babylone ; Marsilion engage son aide contre Charlemagne.
- Basan, baron franc, assassiné alors qu'il est ambassadeur de Marsile
- Bérengier, un des douze paladins tué par les troupes de Marsile ; il tue Estramarin et est tué par Grandoyne.
- Besgun, cuisinier en chef de l'armée de Charlemagne ; il garde Ganelon après la découverte de sa trahison.
- Blancandrin.
- Bramimund, reine de Saragosse ; capturée et convertie par Charlemagne après la chute de la ville.
- Briou, monseigneur de Courtechapelle, aide Ganelon
- Charlemagne, empereur des Francs et des peuples germaniques ; son armée combat les Sarrasins en Espagne.
- Ganelon, seigneur traître qui encouragea Marsile à attaquer les Français.
- Geboin, garde les Francs morts ; devient chef de la seconde colonne de Charlemagne.
- Godefroy, barbier de Charlemagne ; frère de Thierry, défenseur de Charlemagne contre Pinabel.
- Grandoyne, combattant pour Marsile ; fils du roi cappadocien Capuel ; tue Gerin, Gerier, Bérengier, Guy Saint Antoine, et le duc Astorge ; tué par Roland.
- Hamon, commandant de la huitième division de Charlemagne.
- Lorant, commandant d'une des premières divisions contre Baligant ; tué par Baligant.
- Marsile, roi maure de Saragosse ; Roland le blesse mortellement.
- Milon, garde les morts francs pendant que Charlemagne poursuit les Sarrasins.
- Ogier, un Danois qui mène la troisième colonne contre les forces de Baligant.
- Olivier, ami de Roland ; mortellement blessé par Marganice.
- Othon, garde les morts francs pendant que Charlemagne poursuit les sarrasins.
- Pinabel, combat pour Ganelon dans le combat juridique.
- Roland, le héros de la Chanson, neveu de Charlemagne. Il se trouve à l'arrière-garde des troupes franques.
- Thierry, combat pour Charlemagne dans le combat juridique.
- Turpin, archevêque de Reims.
- L'ange Gabriel, ange commettant de nombreux miracles pour les Francs.
Postérité
Postérité littéraire
La Chanson de Roland inspira très tôt plusieurs poèmes en Europe. Elle fut traduite dès 1170 en haut allemand par le père Conrad (« Rolandslied »). Des traductions en gallois, vieux norrois (dans la Karlamagnús saga), moyen anglais et néerlandais ont été écritesModèle:Sfn. Le poète Matteo Maria Boiardo composa un Roland amoureux au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; L'Arioste en fit une suite, sous le titre de Roland furieux (« Orlando furioso »), publié en 1516, qui à son tour inspira divers opéras, dont celui de Jean-Baptiste Lully, Roland (1685). Plus près de nous, Luigi Dallapiccola composa en 1946 une œuvre pour chant et piano, « Rencesvals » (Roncevaux), d'après trois fragments du texte original.
Wace termine son Roman de Brut comme se termine le manuscrit d'Oxford de la Chanson de Roland : Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
Adaptation au cinéma
Le cinéaste français Frank Cassenti réalise en 1978 La Chanson de Roland, librement inspiré de l'épopée, dans lequel des pèlerins et des comédiens récitent l'épopée devant divers publics au cours de leur trajet de pèlerinage vers Saint-Jacques-de-Compostelle<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Légende locale
En Catalogne, où son nom apparaît beaucoup dans la toponymie, Roland (Rotllà, Rutlan) est un puissant géant mythique. Au Pays basque, à Itxassou et dans le département du Nord existent deux lieux nommés Pas de Roland. Si en Pays basque il s'agit d'un trou dans la roche, rond et vertical, qui résulte selon la légende d'un coup de sabot donné par le cheval de Roland qui lui ouvrit un passage pour fuir les Vascons, dans le Nord il désigne un lieu censé être une immense trace de sabot du destrier.
A la frontière entre la France et l'Espagne, au cœur du cirque de Gavarnie, une formation rocheuse curieuse porte le nom de brèche de Roland, il s’agit d'une trouée naturelle large de 70m et haute de 40m entre deux falaises qui selon la légende aurait été formé par un coup d'épée de Roland.
En Auvergne, il existe aussi une formation géologique portant le nom de "Brèche de Roland", c'est une discontinuité de 150m qui se situe sur une crête longue de 4km reliant le Puy Mary au Peyre-Arse<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Portée historique
À Hastings, le jongleur Taillefer, combattant aux côtés de Guillaume le Conquérant, aurait entonné la Chanson de Roland ou une de ses versions primitives Modèle:Incise pour galvaniser les troupes normandesModèle:Sfn. D'après de nombreux historiens, tout au long du {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et du|-| – | et du }}Modèle:S mini- siècle
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}}, les troupes françaises auraient régulièrement déclamé ce chant avant de livrer bataille. On raconte aussi que le roi Jean demanda un jour à ses soldats : « Pourquoi chanter Roland s'il n'y a plus de Roland ? » Ce à quoi un homme répondit : « Il y aurait encore des Roland s'il y avait des Charlemagne. ».
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Bibliographie
Ouvrages
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- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.
Articles
Articles connexes
- Chanson de geste
- Le Chant d'Altabiscar
- Orlando furioso
- Bataille de Roncevaux
- Littérature anglo-normande
- Brèche de Roland
- Durandal
- Veillantif
- Cathédrale Saint-Pierre d'Angoulême
- Chevaux de la Chanson de Roland
- Douze preux de Charlemagne
Liens externes
- Modèle:Autorité
- Modèle:Dictionnaires
- Modèle:Bases
- Écouter un document sonore de France Culture enregistré par Henri Van Lier intitulé « De Roland à Iseult » dans Une histoire langagière de la littérature
- Le manuscrit d'Oxford sur Wikisource
- Version complète et annotée en français moderne
- le manuscrit de la chanson de Roland à la Bodleian Library
- La Chanson de Roland (BIBLIOTHECA AUGUSTANA)
- Le Rolandslied du Père Conrad
- La Chanson de Roland : de la défaite à la geste sur historia-nostra.com
- La Chanson de Roland : les passages-clefs sur d-t-x.com
- Aperçu du manuscrit de la Chanson de Roland à la bibliothèque de Châteauroux
- Glossaire de la Chanson de Roland, en ligne, Joseph Bédier, 1927