Conques
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Ancienne commune de France
Conques (en occitan Concas) est une ancienne commune française située dans le département de l'Aveyron en Midi-Pyrénées, en région Occitanie, devenue, le Modèle:Date-, une commune déléguée de la commune nouvelle de Conques-en-Rouergue.
Pendant tout le Moyen Âge, Conques fut un important sanctuaire où étaient vénérées les reliques du crâne de sainte Foy. Elle est célèbre grâce à son église abbatiale dont l'architecture et les sculptures du porche sont remarquables, et son trésor, notamment la statue en or de Sainte Foy. Depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle a été déclarée Modèle:Citation sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle (Via Podiensis) parce qu'elle est citée dans le dernier Livre du Codex Calixtinus, pratiquement inconnu jusqu'à son édition en latin en 1882. C'est aussi un village classé par l'association Les plus beaux villages de France. Le lien supposé avec le pèlerinage à Compostelle a valu à Conques, en 1998, le classement au Patrimoine mondial de l'humanité de l'abbatiale et du pont sur le Dourdou. L'influence de Conques sur le tourisme local a été reconnue en 2008 par le Conseil Régional Midi-Pyrénées avec la reconnaissance de la commune comme l'un des Grands Sites de Midi-Pyrénées. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
La commune jouxte sur sa limite nord le département du Cantal en Auvergne, région Auvergne-Rhône-Alpes.
Le village est situé au confluent du Dourdou et de l'Ouche<ref name="geoportlConquesHydro">Modèle:Géoportail Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.</ref>.
Communes et villages voisins
Description
Les deux rivières du Dourdou et de l'Ouche forment à cet endroit une sorte de coquille<ref name="geoportlConquesHydro"/> (« Concha » en latin, « Conca » en occitan), qui aurait donné son nom au village. Au nord de Rodez, au fond d'un cirque apparaît le village médiéval de Conques tassé autour de l'abbatiale Sainte-Foy, à mi-pente sur le versant ensoleillé. Les maisons disposées en espalier tournent leurs façades principales vers le midi. Le schiste règne ici en maître et fournit non seulement la pierre à bâtir mais aussi le pavé des rues et les lauzes des toits. Il cède la place à la pierre de taille et au grès rose ou gris, plus rarement au granite, pour les encadrements des portes et des fenêtres. C'est l'association de ces pierres et du sable du Dourdou, issu de la désagrégation de roches de même origine, qui donne au patrimoine bâti de Conques ses teintes ocre aux nuances rosées en parfaite harmonie avec son environnement.
Le territoire actuel de la commune de Conques résulte de la fusion, en 1834, des communes de Conques, Montignac et Saint-Marcel.
Toponymie
Conques est un emprunt au latin concha « coquillage, coquille », lui-même d'origine grecque κο'γχη. L'indo-européen konkha transmis en grec et en latin, désigne un coquillage appelé conque et, par métaphore, un espace creux à parois solides, comme un creux accusé en montagne, un creux arrondi de rocher ou de carrière<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. En dehors du domaine occitan, l'abbaye et la ville de Conques sont dans les pays de langue d'oïl, prononcés « Conches » (deux communes en France et un district en Suisse).
Histoire
Moyen Âge
On pense que, dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, aurait existé à cet endroit une petite agglomération autour d'un oratoire consacré au Saint-Sauveur. Cet oratoire, après le passage des Sarrasins vers 730, aurait été reconstruit par les soins de Pépin le Bref, puis par Charlemagne. Vers la même époque, l'ermite Dadon y fonde un monastère qui adopte la règle de saint Benoît avant 801 sous la direction de l'abbé Medraldus, successeur de Dadon. Ainsi structurée, cette abbaye réunit progressivement d'importants domaines fonciers et constitue un îlot de prospérité dans la détresse économique du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Entre 864 et 875, événement capital, un moine de Conques, Ariviscus (ou Aronside), parvient à dérober les reliques de sainte Foy dans une église abbatiale située aux environs d’Agen, où sainte Foy avait subi le martyre à l'âge de douze ans en 303. Cette pratique est très courante au Moyen Âge ; elle est pudiquement appelée « translation furtive »<ref group="Note">Voltaire dans son dictionnaire philosophique écrivait : L'histoire ecclésiastique fait foi que les translations de reliques étaient également fréquentes en Occident et en Orient.</ref>. Ce vol pieux aurait immédiatement déclenché des miracles, ce qui provoqua la venue de nombreux pèlerins.
Pendant la même période, un tombeau attribué à l'apôtre saint Jacques est découvert à Compostelle. Vers 955-960, le comte de Rouergue [[Raymond Ier de Toulouse|Raymond {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Toulouse]] est l'un des premiers pèlerins qui se rendent en Galice pour vénérer l'apôtre. Trente ans plus tard, son fils Raimond a un enfant et est vainqueur des musulmans dans les environs de Barcelone ; en signe de reconnaissance, il fait cadeau à Conques d'une magnifique prise de guerre, une selle garnie de parements d'argent ciselé, avec lesquels les moines fabriquent une grande croix qui devient le symbole des chrétiens.
Tout au long du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sainte Foy, au nom symbolique, patronne la croisade de la Reconquista espagnole. Deux moines de Conques deviennent évêques en Navarre et en Aragon : Pierre d'Andoque à Pampelune (1083-1115), et un certain Pons en 1100 à Barbastro (Aragon) où, l'année suivante, le roi [[Pierre Ier d'Aragon|Pierre {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} d'Aragon]] fonde un monastère dédié à sainte Foy. Les deux évêques assistent à la donation de Roncevaux à l'abbaye de Conques entre 1100 et 1104.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'abbaye se renforce et atteint l'apogée de sa puissance économique. Mais elle décline aux {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XV|-| – | XV }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècle
}}, et est finalement sécularisée en 1537.
Époque contemporaine
Abandonnée depuis la Révolution, Conques est redécouverte en 1837 par Prosper Mérimée, alors inspecteur des Monuments historiques. Le trésor et le grand portail ont été conservés intacts par les habitants, mais l'église doit subir des consolidations.
En 1832, Conques absorbe Montignac et une partie de Saint-Marcel (l'autre partie étant réunie à Sénergues). En 1873, Modèle:Mgr, évêque de Rodez, s'adresse au père Edmond Boulbon, restaurateur de l'ordre canonial de Prémontré à Saint-Michel de Frigolet en Provence, pour le renouveau du culte de sainte Foy et du pèlerinage ; le Modèle:Nobr, une petite colonie de six chanoines réguliers est installée dans l'antique abbaye par l'évêque de Rodez. Les habitants de Conques, en ce début de la Troisième République, voient refleurir une époque dont ils avaient perdu jusqu'au souvenir : les cloches de l'abbatiale sonnent de nouveau matines, laudes, vêpres et complies…
En 1911, un musée est construit par les Monuments historiques pour abriter les reliques de sainte Foy. Retrouvées en 1875, elles ont été reconnues et le pèlerinage a été remis en honneur depuis 1878.
Conques, un bourg monastique
Dans un premier temps, le monastère Saint-Sauveur fondé par l'ermite Dadon ne paraît pas avoir regroupé autour de lui une population nombreuse. Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le chef-lieu de la viguerie (division territoriale de l'empire carolingien) se trouve à Montignac, héritier d'un grand domaine de l'Antiquité, aujourd'hui hameau du voisinage. Deux siècles plus tard, vers 1013-1020, Bernard d'Angers révèle dans son Livre des miracles de sainte Foy (Liber miraculorum sancte Fidis) l'existence d'un bourg (vicus) et même d'une « ville fameuse » (inclita villa<ref>Liber miraculorum sancte Fidis II, 5.</ref>) à Conques. Il cite même un certain Bernard Pourcel comme « bourgeois de cette ville » (burgensis illius ville) : c'est une mention précoce du « bourgeois » dans l'Occident médiéval<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
À Conques, les activités économiques et le courant commercial né du pèlerinage, avec sa clientèle sans cesse renouvelée, ne peuvent qu'encourager le peuplement. Ainsi le Livre des miracles se fait l'écho du commerce rémunérateur de la cire et des cierges qui se pratiquait aux portes de l'église. Il cite même l'un de ces « marchands du temple », un Auvergnat cupide installé à Conques. L’hospitalité payante chez le particulier ou l'aubergiste devient une autre source de profit, car les moines ne peuvent pas assurer la nourriture et l'hébergement de tous les pèlerins. À l'époque romane, l'ouverture des grands chantiers de construction : abbatiale, cloître, bâtiments conventuels, remparts, provoque un appel de main-d’œuvre considérable. Même si les tâches spécialisées, comme la taille des pierres ou la sculpture, sont assurées le plus souvent par des équipes venues de l'extérieur, il faut bien recruter sur place l'armée des manœuvres, des terrassiers ou des bouviers.
On ignore le nombre d'habitants au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Mais, en 1341, Conques comptait Modèle:Nobr, soit Modèle:Nombre environ, et se plaçait au septième rang parmi les villes du Rouergue. Il ne s'agit donc pas d'un simple village comme aujourd'hui, mais d'une agglomération à caractère urbain, avec ses remparts, ses quatre consuls renouvelables tous les ans, sa halle et son poids public. Elle a été construite par les moines de Conques.
Le pèlerinage de Compostelle
Sur la Via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, certains jacquets pouvaient prendre une variante<ref>Modèle:Lien web</ref> qui permettait de rejoindre Toulouse pour honorer le corps de saint Sernin, et continuer leur chemin par la Via Tolosane. Enjambant le Dourdou par le pont des « romieus », ils quittaient Conques pour gagner Aubin, et passaient par Villefranche-de-Rouergue et Gaillac. Au départ de Conques, deux itinéraires s'offraient aux pèlerins pour rejoindre le Quercy et l'abbaye de Moissac. Le plus court franchissait le Dourdou sur le vieux pont vers Aubin. Mais le plus fréquenté passait sous la Porte de La Vinzelle pour se diriger sur Grand-Vabre et Figeac au sud-est.
Dans le Guide du Pèlerin, rédigé autour de 1140, Aimery Picaud note : Modèle:Citation bloc
Selon Frédéric de Gournay, aucun document antérieur au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ne fait de Conques une étape sur la route de Compostelle : jusqu'à l'abbatiat de Bégon III de Mouret (1087-1108) et même celui de son successeur, l'abbé Boniface, Conques apparaît comme un centre de pèlerinage, qui attire les pèlerins de provenance diverse (de la Catalogne à la Normandie), et un sanctuaire jaloux de son indépendance<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. La mention d'Aimery Picaud indique une première subordination de Conques, qui devient au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle une étape sur la Via Podiensis.
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluFin
Jumelages
Population et société
Démographie
Modèle:Section démographie d'article de commune de France
Jusqu'en 1800, la population de la partie de Saint-Marcel rattachée à Conques n'est pas reprise dans le tableau.
Enseignement
Santé
Sports
Cultes
L'évêque de Rodez a confié l'accueil des pèlerins du sanctuaire de Conques et le service des paroisses de Saint Vincent du Vallon (Marcillac…) et de Saint Jacques Dourdou et Dazes (Villecomtal…) à la communauté des Prémontrés de l'abbaye de Mondaye. Le prieuré est constitué de six frères qui célèbrent quotidiennement la messe et les offices dans l'abbatiale sainte-Foy<ref>à l'abbaye.</ref>.
Manifestations culturelles et festivités
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église abbatiale Sainte-Foy
Modèle:Article détaillé Cet édifice roman a été construit aux {{#switch: XII
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}} ; les deux tours de façade datent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La partie qui fait la célébrité du lieu est le tympan. L'abbatiale conserve également un trésor comprenant des pièces d'art uniques de l'époque carolingienne. L'intérieur est décoré par des vitraux de Pierre Soulages.
Château d'Humières
C'est une bâtisse du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec des consoles sculptées, et une haute tour d'escalier. On remarque au nord-ouest une curieuse fenêtre à meneau qui épouse l'arrondi de l'angle du mur.
La rue Charlemagne
Sur l'abrupte rue Charlemagne, la porte du Barry (faubourg en occitan) est une puissante arcade romane de grès rouge. Appelée encore en 1907 rue de la Caneyra (activités liées au chanvre), cette voie était empruntée au Moyen Âge par les pèlerins qui quittaient Conques en direction du Quercy et d’Aubin. La rue relie encore le parvis de l'abbatiale au pont « romain » de Conques.
Chapelle Saint-Roch
Placée sur un éperon rocheux tout en bas du village de Conques dont elle est à l'écart et isolée parmi la verdure, à Modèle:Unité du pont sur le Dourdou, la chapelle Saint-Roch a été construite au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle à l'emplacement du château primitif de Conques dont la présence est attestée dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La chapelle a conservé deux décors peints, l’un du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et l’autre du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il y a une cavité de nature inconnue dans son soubassement<ref name="">Modèle:Lien web.</ref>. On y accède par un petit sentier pédestre depuis la rue Charlemagne.
Vieux pont dit « romain »
Au pied du village coule le Dourdou. Le chemin de Saint-Jacques le franchit grâce à ce pont, construit en 1410. En fait, il s'agit d'une mauvaise traduction de l'occitan romieus (« pèlerins »), car contrairement à d’autres régions, le mot jacquets ou jacquaire n’apparaît jamais en Rouergue, ni dans la toponymie, ni dans les textes. Le pont a été classé à l'inventaire des monuments historiques en 1930 et au patrimoine mondial en 1998. Modèle:Refnec
Tuiles décoratives
L'église Saint-Christophe de Montignac
<ref>http://www.aveyron.gouv.fr/IMG/pdf/observations_no2doc_geisser.pdf L'église Saint-Christophe de Montignac</ref>
L'église Saint-Marcel de Saint-Marcel
Galerie de photos
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Vue légèrement plongeante sur l'église abbatiale et le village. -
Vue sur l'abbatiale et le village. -
Entrée de l'abbatiale Sainte-Foy. -
Tympan de l'abbatiale. -
Sarcophages au pied de l'abbatiale. -
Vue partielle de l'abbatiale depuis le cloître. -
Bâtiment d'hébergement réservé aux pèlerins. -
Une maison fleurie du village. -
Une bien curieuse maison sur le haut du village. -
La statue de sainte Foy tenant des roses, exposée dans l'abbatiale le jour de la Sainte Foy
(octobre 2010). -
Procession lors de la fête de la sainte Foy
(Modèle:Nobr 2013).
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Panoramique en HDR, crépuscule sur Conques.
Équipements culturels
Le Centre Européen d'Art et de Civilisation Médiévale
Bâtiment contemporain semi-enterré, le Centre Européen d'Art et de Civilisation Médiévale a été inauguré en 1992 par Jacques Toubon, ministre de la culture. Lieu de colloques et de séminaires de recherche consacrés au Moyen Âge, le centre a progressivement diversifié ses actions en menant un projet culturel pluridisciplinaire : musique, cinéma, art contemporain, éducation artistique, métiers d'arts…Son premier directeur, Xavier Kawa-Topor y a notamment initié, en 1993, le festival "Cinéma et Moyen Âge" qui a notamment reçu Terry Gilliam, Otar Iosseliani, Antoine Duhamel, Gabriel Axel, Suzanne Schiffman…Le 25 septembre 1995, le Centre organise une conversation publique entre le grand historien Jacques Le Goff et le peintre Pierre Soulages à propos des vitraux créés par ce dernier pour l'abbatiale. Le texte, publié par les éditions Le Pérégrinateur, fait aujourd'hui référence sur la question de la création contemporaine dans un lieu patrimonial . En 2000, le Centre Européen de Conques produit, sous le parrainage de Jacques Le Goff et Marie-Christine Barrault, le spectacle "Le Joueur de Flûte" interprété par Modèle:Nombre de l'Aveyron, dans le cadre d'un projet éducatif et artistique mené par la metteur en scène Fabienne Castagna.
Centre culturel
Le village compte aussi un centre culturel dont les bâtiments où les matériaux traditionnels ont été mis au service d'une architecture moderne, s'intègrent parfaitement dans le site (Bibliothèque, Centre de documentation sur l'art roman et l'histoire de Conques, Manifestations culturelles diverses).
Héraldique
Bibliographie
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- Frédéric de Gournay, Étude du cartulaire de l'abbaye de Conques (actes postérieurs à 1030), mémoire de maîtrise, dactyl., université de Toulouse-le Mirail, 1988, 2 vol., 409 p.
- Frédéric de Gournay, Les Documents écrits de l'abbaye de Conques ({{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IXe{{#if:| }} }}-{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIIe{{#if:| }} }} s.), mémoire de DEA, dactyl., université de Toulouse-Le Mirail, 1992, 186 p.
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Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Articles connexes
- Abbatiale Sainte-Foy de Conques
- Liste des abbés de Sainte-Foy de Conques
- Liste des communes de l'Aveyron
- Aveyron
- Tourisme dans l'Aveyron
- Rouergue