Emilio Prados
{{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Infobox Écrivain
Emilio Prados Such, né le Modèle:Date de naissance à Malaga et mort à Mexico le Modèle:Date de décès, est un poète espagnol appartenant à la génération de 27.
Biographie
Modèle:... Ses premiers poèmes, Modèle:Lang (1925) et Modèle:Lang (1926), s'inspirent directement du Modèle:Lien andalou, tandis que Modèle:Lang (1925) et Modèle:Lang (1936) appartiennent au surréalisme. Prados est membre de la Génération de 27.
En 1926, il fonde avec Manuel Altolaguirre la revue Litoral.
La guerre d'Espagne le pousse à composer des poèmes sociaux et combatifs réunis dans Modèle:Lang (1937) et Cancionero menor para los combatientes (1938).
De sa production en exil on détache Modèle:Lang, Modèle:Lang et Modèle:Lang, écrits entre 1940 et 1956. Œuvres dans lesquelles l'intrigue amoureuse est le seul élément qui sauve le poète de la solitude, la mort et le désespoir.
Œuvre
- Première étape
- 1925 à 1928. Il cherche les correspondances entre la nature et l'altérité de l'être. Il fonde certaines éléments avant-gardistes et surréalistes avec ses racines arabo-andalouses et la poésie pure et néopopulariste de l'époque.
- Tiempo (1925)
- Veinte poemas en verso
- Seis estampas para un rompecabezas (1925)
- Canciones del farero (1926)
- Vuelta (1927)
- El misterio del agua (1926-27, publié en 1954, dans Antología)
- Cuerpo perseguido (1927-28, publié en 1946)
- Deuxième étape
- 1932 à 1938. Il se consacre à la poésie sociale et politique avec un langage surréaliste.
- La voz cautiva (1932-35)
- Andando, andando por el mundo (1931-35)
- Calendario completo del pan y del pescado (1933-34)
- La tierra que no alienta
- Seis estancias
- Llanto en la sangre (1933-37)
- El llanto subterráneo (1936)
- Tres cantos
- Homenaje al poeta Federico García Lorca contra su muerte
- Romances
- Romancero general de la guerra de España
- Cancionero menor para los combatientes (1938)
- Destino fiel (compilation de toute sa poésie de guerre) — Prix national de Poésie 1938
- Troisième étape
- 1939 à 1962 : exil au Mexique. Poésies qui émanent d'un profond sentiment de déracinement et de solitude. À la fin de son séjour, la trajectoire de Prados se dirige vers une poésie toujours plus dense et philosophique, vers un concept de vie nouvelle, de solidarité et d'amour ; il s'affirme ainsi dans son indépendance et dans sa vision ouverte et avant-gardiste qu'a toujours défendu la génération de 27.
- Memoria del olvido (1940)
- Jardín cerrado (1940-46)
- Mínima muerte (1944)
- Penumbras
- Dormido en la yerba (1953)
- Río natural (1957)
- Circuncisión del sueño (1957)
- La piedra escrita (1961)
- Signos del ser (1962)
- Transparencias (1962)
- Cita sin límite (édition posthume en 1965)
- ¿Cuàndo volveran? (1636 y 1939)
Notes et références
Annexes
Bibliographie
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Patricio Hernández Pérez, Emilio Prados : La memoria del olvido, Zaragoza, PUZ, 1988. 2 vols.
- Jeanne Marie, Los caminos del alma / Les Chemins de l’âme - memoria viva de los poetas del 27’ mémoire vive des poètes de la Génération de 1927, éditions Paradigme Orléans