César de la meilleure affiche
Le César de la meilleure affiche est une ancienne récompense cinématographique française décernée par l'Académie des arts et techniques du cinéma de 1986 à 1990.
Cette récompense a disparu car il était extrêmement difficile de distinguer donc de récompenser le "véritable créateur" : celui ou celle qui a eu "l'idée" (souvent de nombreuses personnes), celui ou celle qui réalise (agence de publicité, studio de création, affichiste indépendant...)<ref>https://next.liberation.fr/images/2020/04/10/esthetes-d-affiches_1784902</ref>.
Par ailleurs, de nombreuses affiches sont importées (films étrangers et américains en particulier). Donc souvent une impossibilité d'attribuer nommément une affiche à une « personne précise », ce qui n'était pas le cas jusqu'à la fin des années 70 où de grands affichistes (René Ferracci, Jean Mascii...) interprétaient l'œuvre cinématographique (sans avoir forcément vu le film, mais à partir du scénario), on parlait alors « d'art parallèle au Modèle:7e Art » (Kouper).
Palmarès
Parmi les cinq films primés<ref>Site vodkaster.com, page "César de la meilleure affiche", consulté le 6 décembre 2020.</ref>, quatre n'ont reçu que cette récompense lors de la cérémonie des César : 37°2 le matin Modèle:Incise, Tandem<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, La Petite Voleuse<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Cinema Paradiso<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Années 1980
- 1986 : Michel Landi pour Harem
- 1987 : Christian Blondel pour 37°2 le matin<ref>Site grazia.fr, article de Sabine Maida sur le film 37°2 le matin, consulté le 9 décembre 2020.</ref>.
- 1988 : Stéphane Bielikoff et Sadi Nouri pour Tandem<ref>Site e-tribune.fr article de Laure Ostwalt "De l'écrit à l'écran : toute la jeunesse de ce Tandem...", consulté le 9 décembre 2020.</ref>.
- 1989 : Annie Miller, Luc Roux et Stéphane Bielikoff pour La Petite Voleuse