Jacques Andrieux
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité militaire
Jacques Andrieux (Lorient, Modèle:Date de naissance - Saint-Georges-de-Didonne, Modèle:Date de décès) est un militaire français, Compagnon de la Libération. Aviateur refusant la défaite en 1940, il s'enfuit en Angleterre et combat pendant toute la guerre dans la Royal Air Force, remportant plusieurs victoires en combat aérien. Après le conflit, il exerce diverses fonctions au profit de l'Armée de l'air puis, après sa retraite militaire, occupe des postes de direction et d'administration de sociétés civiles.
Biographie
Jeunesse et engagement
Jacques Andrieux naît le Modèle:Date- à Lorient dans le Morbihan d'un père médecin-militaire qui disparaîtra en Allemagne en déportation pour résistance lors de la Seconde Guerre mondiale<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>. Après avoir obtenu son baccalauréat au collège Jésuite de Vannes, il décide de s'engager dans l'Armée de l'air en 1937<ref name=":2">Modèle:Ouvrage</ref>.
Seconde guerre mondiale
En 1939, lorsque débute la guerre, il est sous-officier pilote<ref name=":1">Modèle:Ouvrage</ref>. Après l'armistice du 22 juin 1940, refusant la défaite, il cherche à fuir la Bretagne. Il y parvient le Modèle:Date- en appareillant à Camaret-sur-Mer à bord d'un langoustier et en débarquant à Penzance en Angleterre<ref name=":0" />. Après avoir été promu sous-lieutenant et suivi l'entraînement des pilotes de la Royal Air Force, il est affecté au Modèle:Lien avec lequel il prend part à la bataille d'Angleterre puis à des opérations dans le ciel européen<ref name=":2" />. Enchaînant les missions de protection de bombardiers, d'attaques de navires et de destruction d'infrastructures ennemies, il s'illustre également en combat aérien en abattant deux Focke-Wulf Fw 190 et un Messerschmitt Bf 109 durant l'année 1943<ref name=":3">Modèle:Lien web</ref>. Cette même année, il est promu lieutenant et muté au Modèle:Lien avec lequel il abat à nouveau un Fw-190 et un Bf-109<ref name=":1" />. Passé capitaine, il prend le Modèle:Date- le commandement du Groupe de chasse Alsace après la mort en combat aérien de son chef, Jacques-Henri Schloesing<ref name=":2" />. Continuant la lutte à la tête de cette unité jusqu'à la fin des hostilités, il se distingue encore en combat aérien, totalisant pendant toute la guerre Modèle:Unité homologuées et Modèle:Unité<ref name=":3" />. Il a également détruit deux navires et gravement endommagé deux appareils allemands<ref name=":2" />. Il termine la guerre comme instructeur à l'Operationnal Training Unit Modèle:N° avec le grade de Wing Commander<ref name=":1" />. Il totalise alors plus de Modèle:Unité de vol<ref name=":0" />.
Après-guerre
Le conflit terminé, il prend le commandement du Centre d'Instruction de la Chasse sur la Base aérienne 708 Meknès où il forme les jeunes pilotes de chasse français jusqu'en 1950<ref name=":2" />. Il est ensuite commandant en second de la [[2e escadre de chasse|Modèle:2e escadre de chasse]] à Dijon puis de la Modèle:4e brigade aérienne en Allemagne<ref name=":1" />. Alors qu'il commande la [[12e escadre de chasse|Modèle:12e escadre de chasse]] à Cambrai, il est promu lieutenant-colonel en 1954 puis il prend la tête du poste de commandement de l'air à Batna et Nementcha de 1956 à 1957 pendant la guerre d'Algérie<ref name=":2" />. De retour en France, il commande la Modèle:12e brigade aérienne avant d'être attaché au chef d'état-major de l'armée de l'air<ref name=":0" />. En 1959, il étudie à l'Institut des hautes études de Défense nationale puis en 1961 au Collège de défense de l'OTAN<ref name=":2" />. Nommé général de brigade aérienne en 1966, il est détaché auprès de la commission de défense de l'Assemblée Nationale en tant qu'expert militaire Air<ref name=":1" />. En 1971, Jacques Andrieux est admis en [[Officier général#En france|Modèle:2e section des officiers généraux]]<ref name=":0" />. Passé dans le civil, il devient successivement directeur de Garonor, secrétaire général de Vibrachoc, directeur-général de la société Rellmitt Inter et administrateur du journal L'Aurore<ref name=":0" />. Il est également membre du conseil de l'Ordre national du Mérite. Jacques Andrieux meurt le Modèle:Date- à Saint-Georges-de-Didonne en Charente-Maritime où il est inhumé<ref name=":0" />.
Décorations
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Publications
Hommages
- Des rues portent son nom à Saint-Georges-de-Didonne<ref>Modèle:Lien web</ref> où il est mort, ainsi qu'à Pluguffan et Carhaix-Plouguer dans le Finistère<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Références
Bibliographie
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