Unités de mesure de la Rome antique

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Le système des unités de mesure de la Rome antique est influencé par le Modèle:Lien. Il utilise largement la division par 12. Il se répand dans toute la méditerranée au fil des conquêtes de Rome. Des étalons conservés au capitole assurent l'uniformité du système, qui périclite cependant sous le Bas-Empire<ref name="Jed76"/>.

Mesures de longueur

Généralités

Les noms des plus petites mesures de longueur de l'antiquité romaine correspondent à des parties du corps humain. Beaucoup d'entre elles ont un équivalent grec, par exemple le degré (Modèle:Langue), correspond au pas simple des grecs, et le pas (Modèle:Langue) correspond au pas double des grecsModèle:Sfn (le Modèle:Langue est surtout utilisé en trigonométrie et géodésie<ref name="Jed78">Modèle:Harvsp.</ref>).

L'unité de référence est le pied (Modèle:Langue)<ref name="Jed76">Modèle:Harvsp.</ref>, dont un étalon était conservé dans le temple de Junon Moneta, d'où l'appellation parfois de Modèle:Langue. Ce pied romain vaut environ Modèle:UnitéModèle:Sfn (la valeur exacte varie suivant les historiens<ref name="Jed342">Modèle:Harvsp.</ref>), il est possible que sa valeur ait légèrement diminué au cours du temps<ref>Selon Friedrich Hultsch, cité par Modèle:Harvsp, la valeur du pied romain évolue de Modèle:Unité au début de l'Empire à Modèle:Unité à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, voir Modèle:Ouvrage, p. 88-98.</ref>. Le pied romain se divise en 16 doigts, doigt (Modèle:Langue) qui est la plus petite unité<ref name="Jed76" />.

Le système traditionnel de mesures de longueur romaine est décrit dans le tableau suivant. On y trouve des relations liées à la fois à la base 2, à la base 12 et à la base 10Modèle:Sfn.

Mesures de longueur et équivalences en système métrique (pour un pied de Modèle:Unité)<ref>Modèle:Harvsp. Les équivalents dans le système métrique, repris de cette référence, sont calculés pour un pied de Modèle:Unité, avec quelques arrondis. L'auteur précise bien que d'autres valeurs (autour de Modèle:Unité) sont possibles Modèle:Harv. Les traductions proposées sont reprises de Modèle:Harvsp, sauf quand une autre référence est indiquée.</ref>
Unité romaine Traduction usuelle Relations Équivalence
Modèle:Langue doigt 1/16 pied ~Modèle:Unité
Modèle:Langue doigt et demi<ref>Modèle:Ouvrage</ref> 1,5 doigt ~Modèle:Unité
Modèle:Langue paumeModèle:Sfn, palme 4 doigts ~Modèle:Unité
Modèle:Langue puis aussi Modèle:Langue (fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) demi-pied Modèle:Unité ~Modèle:Unité
Modèle:Langue pied (4 palmes) ~Modèle:Unité
Modèle:Langue palmipes Modèle:Unité (Modèle:Unité et 1 palme) ~Modèle:Unité
Modèle:Langue coudée Modèle:Unité ~Modèle:Unité
Modèle:Langue gradeModèle:Sfn, degré (correspond à une enjambée) Modèle:Unité ~Modèle:Unité
Modèle:Langue auneModèle:Sfn, brasse Modèle:Unité ~Modèle:Unité
Modèle:Langue pas (correspond à deux enjambées) Modèle:Unité ~Modèle:Unité
Modèle:Langue (Modèle:Langue) perche Modèle:Unité ~Modèle:Unité
Modèle:Langue actus<ref group="n">mot intraduisible suivant Modèle:Harvsp.</ref>, acte 12 perches ~Modèle:Unité
Modèle:Langue stade 125 pas ~Modèle:Unité
Modèle:Langue (ou Modèle:Langue)Modèle:Sfn, Modèle:Langue mille Modèle:Unité pas ~Modèle:Unité

La précision des équivalents dans le système métrique du tableau ci-dessus ne doit pas faire illusion : on trouve d'autres valeurs (voisines) suivant les auteurs, par exemple pour le mille Modèle:Unité<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, Modèle:Unité<ref>Modèle:Harvsp, Charles Mugler selon Modèle:Harvsp.</ref>, Modèle:UnitéModèle:Sfn, …

La perche est généralement de dix pieds, mais, selon le recueil des Modèle:Langue (utilisateurs de la groma), les arpenteurs utilisent deux types de perche, la Modèle:Langue (littéralement « dix pieds »), perche de Modèle:Unité de 16 doigts, et la Modèle:Langue perche de douze pieds de 18 doigtsModèle:Sfn.

Autour du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les romains introduisent une division du pied calquée sur leur système monétaire dont le vocabulaire est repris, qui coexiste avec le système traditionnel. Le pied est pris comme équivalent de l'as, et se voit divisé comme celui-ci en 12 onces (Modèle:Langue, ~Modèle:Unité), ce qui permet d'introduire des unités de mesures que l'on n'obtient pas par le système précédent, comme le tiers (Modèle:Langue, 4 onces, 1/3 de pied)<ref name="Jed78"/>. Chacun des onze multiples de l'once inférieur au pied porte un nom, comme le Modèle:Langue de 9 onces (3/4 pied, environ Modèle:Unité) souvent traduit par empan.

L'once est parfois assimilée au doigt, ce qui produit des confusions, avec d'une part un pied de 16 doigts d'autre part un pied de 12 doigts, confusions qui perdurent au Moyen Âge<ref name="Jed78"/>.

Dans son Histoire naturelle, Pline l'Ancien utilise une unité d'un quart de doigt, la sicilique (Modèle:Langue), mais avec un doigt en fait d'une once (douzième de pied)<ref name="Jed78"/>.

D'autres mesures d'origine autochtone sont utilisées dans les provinces de l'Empire comme la lieue (Modèle:Langue ou Modèle:Langue) en Gaule et en Germanie (voir #La lieue gauloise).

La lieue gauloise

La lieue (Modèle:Langue ou Modèle:Langue) est une unité de mesure utilisée en Gaule et en Germanie : on la retrouve sur les bornes des voies romaines de ces régions de l'Empire, l'inscription y est en toutes lettres ou souvent abrégée LEVG ou L. La carte de Peutinger porte des indications de distances en lieues à partir de Lyon<ref name="Goudineau891"> Modèle:Lien web.</ref>, c'est-à-dire que deux mesures sont utilisées : le mille dans la province romaine, et la lieue au-delà de Lyon<ref name="1881mesnil52"> Modèle:Article. </ref>. Sur les bornes milliaires, la distinction est indiquée avec, précédant le chiffre du nombre de lieues, soit un « M » pour les milles, soit un « L » pour les lieues. De Caumont précise par ailleurs que la lieue gauloise est « désignée tantôt sous le nom de lieue, tantôt sous celui de mille, et que souvent le mot millia n'indique point des milles romaines, mais des lieues gauloises, lorsqu'il s'applique à la partie des Gaules où cette mesure était usitée »Modèle:Sfn.

La lieue apparaît également dans des écrits de Ammien Marcellin à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et de Jordanès à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, où ces auteurs lui donnent la valeur de Modèle:Unité ou Modèle:Unité, soit autour de Modèle:Unité (pour un mille pris de Modèle:Unité)<ref name="Goudineau891"/>. Aussi au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle le consensus se fait-il chez les spécialistes pour cette valeur de la lieue gallo-romaineModèle:Sfn. Des contestations apparaissent cependant dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, de la part souvent d'ingénieurs qui se fondent sur les relevés de terrains et les indications des bornes milliaires et tendent vers une lieue gauloise d'au moins Modèle:Unité. On voit ainsi Pistollet de Saint-Ferjeux donner une lieue de Modèle:Unité dès 1852<ref> Modèle:Ouvrage. Cité par Modèle:Harvsp. </ref>, suivi par Du Mesnil en 1881Modèle:Sfn. En 1864 Louis-Auguste Aurès donne une lieue de Modèle:Unité<ref> Modèle:Article. </ref>,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn, une valeur suivie par Lièvre qui en 1893 utilise lui aussi les cartes d'état-major au 1/Modèle:Unité pour déterminer ce nombreModèle:Sfn,Modèle:Note,Modèle:Note. Mais leurs conclusions sont longtemps rejetées, ou leurs thèses restent marginales.

En 1964, Clos-Arceduc introduit une méthode originale de rémanence topographique : l'espacement régulier de points remarquables peut avoir une correspondance avec une unité de distance antique. Il découvre de cette façon deux unités, l'une de Modèle:Unité et l'autre de Modèle:UnitéModèle:Sfn. La thèse d'une « grande » lieue gauloise acquiert finalement toute sa légitimité avec la parution en 1999 d'un article de Jacques Dassié (spécialiste d'archéologie aérienne) dans la revue Gallia, sans toutefois faire l'unanimité chez les archéologues<ref name="Goudineau893">Modèle:Harvsp.</ref>,<ref>Modèle:Article. Résumé en ligne sur le site de l'auteur : Modèle:Lien web. </ref>,Modèle:Note.

Selon Dassié, les peuples de la Gaule utilisent avant la conquête romaine une lieue dont la valeur fluctue entre Modèle:Unité et Modèle:Unité, fluctuations qui peuvent s'expliquer par la diversité des peuples gaulois : il n'existait pas en Gaule de pouvoir centralisateur comme à Rome qui aurait pu standardiser cette valeur ; mais aussi par les limitations techniques de l'époque<ref name="Dassie289">Modèle:Harvsp.</ref>. Cette lieue survit à la conquête romaine<ref group="n">Pour Dassié cette « lieue gauloise » pourrait être à l'origine de la définition du « pied du roi », ou « pied de Paris », dont la valeur correspond à celle d'une lieue gauloise de Modèle:Unité divisée par 7 500, le nombre de pieds romains dans 1,5 mille (Modèle:Harvsp).</ref>, mais l'empire romain, ne réussissant pas à l'éliminer, introduit une lieue romanisée de Modèle:Unité, soit environ Modèle:Unité, dont la valeur est relativement proche, mais qui s'intègre à leur propre système de mesures par son rapport simple avec le mille<ref name="Dassie300">Modèle:Harvsp.</ref>. Mais la lieue romanisée n'aurait remplacé que partiellement la lieue gauloise, et les deux lieues ont pu coexister<ref name="Dassie300"/>.

Pour les opposants à cette thèse<ref group="n">Modèle:Harv cite Gerold Walser, spécialiste des bornes milliaires.</ref> —, la Gaule pré-romaine, ne connaissant pas d'autorité centrale, ne pouvait posséder une telle unité de mesure ; et même s'il existe des variantes, il n'y a pas à identifier deux lieues distinctes<ref group="n">Modèle:Harvsp cite un article de 1997 de Raymond Chevallier, qui a été d'un autre avis dans des articles antérieurs.</ref>.

Christian Goudineau envisage que le mille et demi ou les Modèle:Unité donnés pour la lieue par Ammien Marcellin et Jordanès n'indiquent qu'une méthode commode pour un calcul approximatif de la lieue, plutôt qu'une unité de mesure réellement utilisée<ref group="n">À l'instar des calculs des automobilistes du continent, habitués au système métrique, sur les routes de Grande-Bretagne Modèle:Harvsp.</ref>.

Mesures de surface

L'unité de surface de référence semble avoir été le jugère (Modèle:Langue) de 240 sur 120 pieds, dont les multiples portent des noms spécifiques, mais dont les sous-multiples portent le même nom que l'unité de longueur. Dans ce dernier cas le « carré » n'est pas précisé : les Romains parlent par exemple d'une aire de cent pieds pour une aire de cent pieds carrés, dix pieds sur dix pieds<ref name="Jed79">Modèle:Harvsp.</ref>.

Mesures de surface avec équivalences dans le système métrique
Unité romaine traduction usuelle Ratio Équivalence
Modèle:Langue pied carré 1/Modèle:Unité ~ Modèle:Unité
Modèle:Langue perche carrée 1/144 ~ Modèle:Unité
Modèle:Langue acte minime 1/30 ~ Modèle:Unité
Modèle:Langue porca 1/6 ~ Modèle:Unité
Modèle:Langue clima 1/4 ~ Modèle:Unité
Modèle:Langue acte carré<ref name="Jed80">Modèle:Harvsp.</ref> ou arpent<ref>Modèle:Harvsp.</ref> 1 ~ Modèle:Unité
Modèle:Langue jugère 2 ~ Modèle:Unité
Modèle:Langue Heredium 4 ~ Modèle:Unité
Modèle:Langue centurie 400 ~ Modèle:Unité
Modèle:Langue saltus Modèle:Unité ~ Modèle:Unité

Mesures de masse

Balance romaine : un plateau pend à un crochet et la mesure s'effectue en déplaçant un contrepoids le long d'un axe.
Balance romaine (Modèle:Langue) avec plateau et poids de pesée en forme de tête.

Le système des mesures pondérales utilise beaucoup la base 12. L'unité pondérale de référence est la livre (Modèle:Lang) qui se divise en douze onces (Modèle:Lang), sur le modèle de la division de l'asModèle:Sfn. L'as est d'ailleurs à l'origine une masse de cuivre d'une livre, mais sa valeur est réduite à 2 onces en -261, à 1 once en -197 et à 1/2 once en -191<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. L'once elle-même se divise en douze partiesModèle:Sfn.

Comme pour les mesures de longueur, des étalons sont conservés au CapitoleModèle:Sfn. La valeur de la livre romaine a été estimée à environ 327 grammes<ref>Modèle:Harvsp, la valeur de 327,187 g est reprise de Modèle:Harvsp.</ref>, 328,9 g<ref>Pour une livre romaine en usage en Grande-Bretagne, voir Modèle:Ouvrage.</ref>, entre 325 et 326 g, plus tardivement autour de 324 g<ref>Modèle:Ouvrage. En se cantonnant à des poids bien conservés, Hultsch estime que la valeur de la Modèle:Latin, d'abord entre 325 et 326 g, a pu évoluer jusqu'à Modèle:Unité à l'époque de Justinien.</ref>.

Unités de masses avec équivalences dans le système métrique<ref>Voir Modèle:Harvsp, les valeurs sont calculées pour une livre de Modèle:Unité.</ref>
Unité romaine Traduction Équivalent Équivalent métrique
Modèle:Langue livre ~Modèle:Unité
Modèle:Langue once 1/12 livre ~Modèle:Unité
Modèle:Langue demi-once 1/2 once ~Modèle:Unité
Modèle:Langue duella 1/3 once ~Modèle:Unité
Modèle:Langue sicilique 1/4 once ~Modèle:Unité
Modèle:Langue sextule 1/6 once ~Modèle:Unité
Modèle:Langue denier 1/7 once ~Modèle:Unité
Modèle:Langue demi-sicilique 1/8 once ~Modèle:Unité
Modèle:Langue ou Modèle:Langue Modèle:Page h' 1/12 once ~Modèle:Unité
Modèle:Langue ou Modèle:Langue
(Modèle:Langue en latin ecclesiastique)
scrupule 1/2 drachme ~Modèle:Unité
Modèle:Langue<ref group=n name=obulus&chalcus>Unité grecque, à sourcer comme unité de masse romaine.</ref> obole 1/6 drachme ~Modèle:Unité
Modèle:Langue silique 1/12 drachme ~Modèle:Unité
Modèle:Langue<ref group=n name=obulus&chalcus /> chalque 1/8 obole, soit 1/48 drachme ~Modèle:Unité

Les noms des multiples de l'once romaine sont repris du vocabulaire monétaire, la livre correspondant à l'asModèle:Sfn : Modèle:Colonnes

Mesures de volume

Modèle:Section à sourcer

Liquides

Haute amphore du type Dressel.
Une amphore vinaire du type Dressel 1B d'une contenance d'environ 26 litres.

Le setier (Modèle:Langue ; en français ancien : « sextier » ou parfois « septier ») est la sixième part du conge. Ce dernier est la huitième part de l'amphore quadrantal, c'est-à-dire du pied romain cube. L'amphore correspondait exactement à la capacité d'un Modèle:Langue cube.

Le setier romain, à base de Modèle:Unité / pes, donnerait ~ 54,249 cl (+ 0,46 %).

Mesures de volume (liquides) avec équivalences dans le système métrique
Unité romaine Nom latin Setiers Pouces cubes Équivalence
Une cuillerée Mitigula 1/48 ¾ ~ 1,12 cl
Une coupette Modèle:Langue 1/12 3 ~ 4,5 cl
Un sixième de setier Modèle:Langue 1/6 6 ~ 9 cl
Un tiers de setier Modèle:Langue 1/3 12 ~ 18 cl
Une hémine Modèle:Langue 1/2 18 ~ 27 cl
Un double tiers de setier Modèle:Langue 2/3 24 ~ 36 cl
Un setier Modèle:Langue 1 36 ~ 54 cl
Un conge Modèle:Langue 6 216 ~ 3,25 l<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>
Une urne Modèle:Langue 24 864 ~ 13 l
Une amphore Modèle:Langue ou Modèle:Langue 48 Modèle:Unité ~ 26 l
Une outre Modèle:Langue 960 Modèle:Unité ~ 520 l

Matières sèches (grains)

Mosaïque romaine représentant un boisseau à grain, c.-à-d. un récipient de forme cylindrique.
Boisseau pour le grain et racloir pour égaliser, époque romaine impériale, mosaïque de la place des Corporations.
Un muid, c.-à-d. un récipient de forme cylindrique.
Un muid (Modèle:Langue) du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Le boisseau romain est le Modèle:Langue cube. Le muid (lat. Modèle:Langue, c.-à-d. « la mesure ») est le tiers du boisseau romain. Le quadrantal est également la capacité d'un pied romain cube.

Le muid romain, à base de Modèle:Unité / pes, donnerait ~ 8,680 l (+ 0,15 %)

Mesures de volume (matières sèches) avec équivalences dans le système métrique
Unité romaine Nom latin Muids Pouces cubes Équivalence
Une gobelette Modèle:Langue 1/128 ~ 6,75 cl
Un quart de setier Modèle:Langue 1/64 ~ 13,5 cl
Une hémine Modèle:Langue 1/32 9 ~ 27 cl
Un setier Modèle:Langue 1/16 18 ~ 54 cl
Une gallone Modèle:Langue 1/2 288 ~ 4,33 l
Un muid ou boisseau Modèle:Langue 1 576 ~ 8,67 l
Un quadrantal Modèle:Langue 3 Modèle:Unité ~ 26 l

Mesures du temps

La mesure du temps n'était pas la même selon les saisons.

Les Modèle:Langue

Le recueil des Modèle:Langue<ref group="n">Le texte latin a été édité au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Karl Lachmann, voir Modèle:Ouvrage. Certains des livres du recueil, traduits en français et édités en version bilingue, sont disponibles sur le site de l'ISTA, université de Franche-Comté.</ref> (qui signifie : les anciens utilisateurs de la groma, c'est-à-dire arpenteurs) est une compilation réalisée à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ou au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de textes dont les plus anciens remontent au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; elle représente une somme sur les connaissances des arpenteurs romains<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

L'un des textes du recueil décrit les mesures de longueur, d'aire et de poidsModèle:Sfn.

Latin Traduction en français
<poem>Modèle:Langue</poem> <poem>Modèle:Langue</poem>

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail