Villebon-sur-Yvette
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Villebon-sur-Yvette (prononcé Modèle:MSAPI <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune française située dans le département de l’Essonne en région Île-de-France.
Village agricole jusqu’à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, situé à l’extrémité de la vallée de Chevreuse, Villebon-sur-Yvette a connu dès le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle une urbanisation de villégiature puis de résidence avec l’arrivée du chemin de fer, qui en fait aujourd’hui une commune pavillonnaire de l’unité urbaine de Paris.
Avantagée par la présence sur son territoire du parc d'activités de Courtabœuf, du Grand Dôme et de la zone commerciale de Villebon 2, c’est devenu une des communes les plus « riches » du département.
Ses habitants sont appelés les Villebonnais<ref>Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 18/05/2008.</ref>. Modèle:Sommaire
Géographie
Situation
Villebon-sur-Yvette se situe dans la région naturelle du Hurepoix au sud de la vallée de la rivière l’Yvette, aussi appelée vallée de Chevreuse, sur un terrain composé de meulière, sable et argile.
Un important site d’émission de radio et de télévision se trouvait à Villebon-sur-Yvette jusqu'en 2021. Il couvrait le sud-ouest de la région parisienne.
Villebon-sur-Yvette est située à vingt kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, dix-sept kilomètres au nord-ouest d’Évry, deux kilomètres au sud-ouest de Palaiseau, sept kilomètres au nord-ouest de Montlhéry, douze kilomètres au nord-ouest d’Arpajon, quatorze kilomètres au sud-est de Versailles, vingt-et-un kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes, vingt-cinq kilomètres au nord-est de Dourdan, vingt-six kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais, trente kilomètres au nord d’Étampes et trente-sept kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt<ref>Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.</ref>.
La commune de Villebon-sur-Yvette est située à quatre-vingt-deux kilomètres de son homonyme Villebon en Eure-et-Loir<ref>Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Villebon sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.</ref>.
Hydrographie
La commune est située sur la rive droite de l’Yvette qui fait office de limite entre Villebon-sur-Yvette et Palaiseau puis Champlan sur Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 06/2019</ref>.
Le débit moyen de la rivière, mesuré dans la station communale s’étage entre Modèle:Unité par seconde en septembre et Modèle:Unité cubes par seconde en février. Le débit maximal instantané mesuré à Modèle:Unité cubes par seconde intervint le Modèle:Date- lors d’une crue où la rivière atteint une hauteur de deux cent trente-trois centimètres<ref>Fiche de synthèse hydrique sur le site de la banque hydro. Consulté le 14/09/2008.</ref>.
Plusieurs ruisseaux parcourent le territoire de la commune. De l’amont à l’aval passent le ruisseau de la Butte Sainte-Catherine, le Vatancul, le Cretel, le ruisseau du Parc et à la limite avec Champlan le ruisseau de Paradis et la Boële, qui n'est pas un affluent de l'Yvette, mais une dérivation partielle, artificielle de l'Yvette et qui a été terminée en 1932.
Relief et géologie
Le relief de Villebon-sur-Yvette est caractérisé par sa situation dans la vallée de l’Yvette. En bas de la vallée, le point le plus bas se situe à quarante-trois mètres. Sur le plateau de Courtabœuf, le point le plus élevé est à cent soixante-quatre mètres. Entre ces deux points, la distance est parfois inférieure à un kilomètre. Les pentes sont donc relativement fortes, notamment dans le quartier Suisse. Sur le flanc est, entre le plateau et la rivière se trouve une grande plaine cultivée en pente douce nommée La Plesse. Un escalier de cent-soixante-deux marches sur cent-trente mètres permet de gravir la butte Sainte-Catherine dans la rue Daubigny.
La commune est située sur un terrain mêlant argile dans le fond de la vallée, sable et meulière sur les hauteurs<ref>%2FC140 Fiche géologique de Villebon-sur-Yvette sur le site du BRGM. Consulté le 12/08/2012.</ref>.
Communes limitrophes
Villebon-sur-Yvette est située sur la rive droite de l’Yvette, qui la sépare du nord-ouest au nord-est de Palaiseau et à l’est de Champlan. Sur la même rive, à l’ouest, le bois de la Grille Noire la sépare d’Orsay et au sud-est, la zone d’activité de La Prairie est limitrophe de Saulx-les-Chartreux. Sur le plateau de Courtabœuf, au sud se trouve Villejust et au sud-ouest Les Ulis qui chacune partagent leur territoires pour accueillir le parc d'activités de Courtabœuf.
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Climat
Modèle:Article connexe Villebon-sur-Yvette, située en Île-de-France, bénéficie d’un climat océanique dégradé.
Voies de communication et transports
Le territoire communal est traversé par plusieurs grands axes routiers. Le premier en importance est l’autoroute A10 qui traverse tout le territoire du nord au sud-ouest dans une tranchée séparant le centre-ville des espaces de culture. D’est en ouest, elle est traversée dans le bois des Gelles par l'ex-RN 188 qui reprend le tracé de l’ancienne voie ferrée de la ligne Paris - Chartres par Gallardon. Elle complète la route départementale 988, la route de Paris à Chartres qui traverse le nord-ouest sous l’appellation d’avenue du Général-de-Gaulle. Enfin, la route départementale 59 relie le plateau de Courtabœuf à Palaiseau par les champs sous l’appellation d’avenue de la Plesse. Au total, six ponts permettent la traversée de l’Yvette vers la commune voisine de Palaiseau.
Sous le plateau de Courtabœuf et les quartiers de Villiers et des Sablons passe le tunnel de Villejust de la LGV Atlantique, construit en 1985. Achevé en 1989, il aura nécessité l’extraction de Modèle:Unité de sable, la pose de Modèle:Unité et de Modèle:Unité de béton armé.
La commune ne dispose plus de gare sur son territoire depuis la fermeture de la gare de Villebon-État. Elle est aussi fortement liée à la ligne de Sceaux utilisée par la ligne B du RER d'Île-de-France sur le versant nord de la vallée avec la gare de Palaiseau - Villebon et la gare de Lozère. L’ancienne gare de Villebon-État, près du centre culturel, et certains ponts ou tunnels du quartier suisse sont les vestiges de la ligne Paris-Chartres par Gallardon. Une locomotive à vapeur est toujours exposée sur un tronçon de rail.
Ces deux gares sont d’ailleurs desservies par le service de transports en commun assuré par la ligne 19 du réseau de bus Paris-Saclay qui parcourt la commune de 6h00 à 20h00 et un service de transport à la demande qui est réservé aux personnes âgées, notamment vers les centres commerciaux et les marchés. S’ajoutent à cela la ligne de bus Noctilien N122 qui s’arrête à la station « Les Suisses-Lozère » entre 0h30 et 5h30 et les autobus du réseau de bus Paris-Saclay DM12 et du réseau de bus Cœur d'Essonne M153 depuis Massy-Palaiseau aux stations « La Bretêche » et « École de l’Île-de-France ».
L’aéroport de Paris-Orly, situé à dix kilomètres au nord-est, est accessible par l’Orlyval avec correspondance à Antony par le RER B direction Aéroport Charles-de-Gaulle 2 TGV, la commune se trouve d’ailleurs dans l’axe du couloir aérien des pistes 3 et 4 de l’aéroport. L’aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle situé à quarante-deux kilomètres au nord-est est accessible directement par le RER B direction Saint-Rémy-lès-Chevreuse. L’aviation d'affaires est orientée vers l’aéroport de Toussus-le-Noble à dix kilomètres au nord-ouest.
Urbanisme
Typologie
Villebon-sur-Yvette est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 4 840, alors qu'il était de 4 648 en 2013 et de 4 183 en 2008<ref name="LogCom" group="I"/>.
Parmi ces logements, 93,1 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 5,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 48,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 50,7 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.
La commune ne respecte pas ses obligations issues de la loi SRU de 2000, qui lui impose de disposer d'au moins 25 % de logements sociaux parmi ses résidences principales : Au nombre de 465 (11,6 %) en 2008, leur nombre s'est néanmoins augmenté pour atteindre 588 (13,0 %) en 2008<ref name="LogT7" group="I"/> en 2018. La commune a donc été astreinte au paiement d'une pénalité financière de Modèle:Unité cette même année<ref>Modèle:Article.</ref>
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villebon-sur-Yvette en 2018 en comparaison avec celle de l'Essonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 60,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (63 % en 2013), contre 58,7 % pour l'Essonne et 57,5 pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.
Typologie | Villebon-sur-Yvette<ref name="LogCom" group="I">Modèle:Lien web.</ref> | Essonne<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> | France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref> |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 93,1 | 91,9 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,4 | 1,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,5 | 6,5 | 8,2 |
Lieux-dits, quartiers et écarts
La commune se divise en trois ensembles séparés par des cultures ou le massif forestier. Ces ensembles disposent chacun de quartiers. Au nord-est, le site historique avec le Village, la Prairie, la Plesse, la Bretêche, le Regard et la Tournelle. Au sud-est, le hameau de Villiers et le parc d'activités de Courtabœuf cernés par les cultures. Enfin, du sud-ouest au nord, dans la vallée, la ville résidentielle et ses quartiers d’habitations historiques ou récents des Sablons, Maraîchers, la Roche, les Casseaux, les Foulons, le Quartier Suisse, Bel-Air, le Beau-Site, et Fourcherolles.
Occupation des sols
Modèle:Section à actualiser Le territoire de la commune se compose en 2017 de 35.53 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 11.64 % d'espaces ouverts artificialisés et 52.82 % d'espaces construits artificialisés<ref name="iau-idf">Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Villabona au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>dans le Cartulaire de l'Abbaye de Longpont-sur-Orge</ref>,<ref>Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.</ref>.
En 1922<ref name="Cassini"/> fut ajoutée la référence à la rivière pour distinguer la commune de son homonyme située en Eure-et-Loir.
Histoire
- Les origines
Modèle:Section à sourcer Des fouilles préventives effectuées aux Sablons pour le percement du tunnel du TGV en 1984 ont mis au jour près de trois cents pièces, outils façonnés et déchets de tailles, datant du Paléolithique supérieur.
Plus tard une Villa-Bona gallo-romaine donnera son nom à Villebon.
Une légende raconte qu’en 451, sainte Geneviève, après avoir protégé Paris de l’avancée des Huns s’arrêta pour se désaltérer dans une source qui porte son nom dans le parc actuel du château.
En 745, le roi Pépin le Bref fit don du fief de Palaiseau à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés. En 815, le recensement établit une population de deux cent quatre-vingt-trois personnes sur le territoire de Villebon. En 992, une bataille se déroula dans la plaine entre La Plesse et Villefeu. Les belligérants étaient Bouchard, comte de Corbeil et vassal de Hugues Capet et [[Eudes Ier de Blois|Eudes {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Blois]], soutenu par [[Richard Ier de Normandie|Richard {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Normandie]]. Villebon était alors à la frontière du domaine royal. Jusqu’en 1056, l’histoire de Villebon fut liée à celle de Palaiseau. À cette date, Fromand de Paris devint le premier seigneur de Villebon. C’est son fils, Aszo qui le premier prit le nom de Villabona en 1092, et fit construire une ferme fortifiée sur l’actuel site du château de Villebon-sur-Yvette. Gautier de Villebon fut également seigneur de Villabona, et Hugues, son fils, demanda dans son testament, qu'après la mort de son père, les moines détiendraient la dîme et les sépultures du village (les seigneurs laïques avaient un droit sur les cimetières)<ref>Jean Lebeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, contenant la suite des Paroisses du Doyenné de Châteaufort, Modèle:Vol9, 1757, Modèle:P.314 et 319</ref>.
- Villebon seigneurie et château
En 1474 le domaine de Villebon devint la propriété de la famille de Thou. En 1512, Augustin de Thou fit construire à la place de la demeure existante le petit Château de Villebon-sur-Yvette, de style Renaissance dont subsiste aujourd’hui le pavillon Henri IV. En 1563, Nicolas de Thou, seigneur de Villebon et évêque de Chartres, obtint du roi Charles IX l’établissement d’un marché tous les jeudis et deux foires, le 27 septembre et le 12 novembre, donnant ainsi à Villebon une certaine reconnaissance. En 1587, il fit bâtir une chapelle à Villebon sous l’invocation des saints Côme et Damien.
En 1611, un incendie ravagea le château. Jacques Auguste de Thou confia à Louis Métezeau, architecte du roi Henri IV sa reconstruction, qu’ils ne purent finir. Le domaine fut alors vendu en l’état en 1626 à [[Famille Potier|André {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} Potier de Novion]], président au parlement de Paris, qui acheva la restauration du château. Son fils, Nicolas Potier de Novion l’agrandit par deux ailes. Le Modèle:Date-, il obtint de l’archevêque de Paris d’ériger Villebon en paroisse, contre dédommagement au curé de Palaiseau. C’est aussi en 1648 que fut aménagé l’escalier de la rue Daubigny comptant cent soixante deux marches pour gravir la butte Sainte-Catherine<ref>Présentation de l’escalier de la Butte Sainte-Catherine sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.</ref>. Le Modèle:Date- s’ouvrit le registre paroissial.
- La Révolution française
Modèle:Section à sourcer Le Modèle:Date-, l’assemblée du tiers état rédige le cahier de doléances. Le Modèle:Date-, la population élit les membres du conseil général de la paroisse. En 1793, la cour d'appel de Paris décida que l’Yvette sépare les deux communautés de Villebon et de Palaiseau. En 1806, la propriété de Villebon revient au comte Alfred-Félix de Montesquiou-Fezensac qui fait construire le presbytère et l’orangerie du château.
- Les temps modernes et l’essor
Modèle:Section à sourcer Le domaine est rapidement revendu en 1832 au baron Laurent-Antoine-Isidore de Nivière, maire de la commune, qui laisse par testament dix mille francs pour en distribuer les intérêts aux familles nécessiteuses. Son fils, Louis, offre en 1855 le terrain qui accueille le nouveau cimetière. Élu maire à son tour, il accorde à quarante-huit familles de Villebon les soins médicaux gratuits. En 1846, Villebon fait l’acquisition d’une pompe à incendie. Le Modèle:Date- est inaugurée l’école-mairie, actuel conservatoire de musique<ref>Présentation de l’ancienne mairie sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.</ref>. En 1864 fut construit le Haras de Villebon et en 1889, la cloche de l’église fut bénie par le père Émile Lapchin, curé de Villebon.
En 1899, installation de l’éclairage au gaz dans les rues et à l’école, suivie en 1906, de l’installation de l’électricité pour l’éclairage et le chauffage privé puis, en 1907, de l’éclairage électrique public. 1912 voit l’attribution d’un facteur-receveur pour la commune de Villebon. L’arrivée des lignes de chemin de fer jusque Paris au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle permet à Villebon, comme ses voisines, de développer une activité de villégiature pour les Parisiens. De cette époque datent les quartiers Suisses, Bel-Air, Beau-Site et l’expansion de Villebon sur les coteaux de l’Yvette.
Le Modèle:Date-, la Société Immobilière de l’École de l’Île-de-France, représentée par M. Hawkins, ancien élève de Cambridge achète le château, ses dépendances et les cent hectares de bois et prés alentour pour un million de francs. L’internat, divisé en quatre pavillons regroupant chacun vingt-cinq à trente élèves de sept à dix-huit ans, et deux maîtres accueille les enfants d’officiers français et étrangers tués lors de la Première Guerre mondiale, pour un coût de dix mille francs par an. Ils disposaient de l’électricité, du chauffage central, de l’« hydrothérapie » et du téléphone.
Le Modèle:Date- est inauguré le monument aux morts<ref>Présentation du monument aux morts sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.</ref>. En 1927 est mise en service la gare de Villebon-État sur la ligne Paris - Chartres par Gallardon<ref>Présentation de la gare Villebon-État sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.</ref>. Le Modèle:Date-, un incendie ravage le pavillon Sully et les salles de cours. L’école ferme ses portes. Une nouvelle école, tenue par les frères lazaristes ouvre en 1967 et ferme l’année suivante pour laisser la place à un centre de retraites spirituelles. Aujourd’hui, ce centre partage le domaine avec un collège et lycée privé qui utilisent toujours le nom d’Île-de-France.
En 1922<ref name="Cassini"/>, à la suite de certaines confusions avec la commune de Villebon en Eure-et-Loir, la commune adopte le nom de Villebon-sur-Yvette, en référence à la rivière qui coule sur son territoire.
L’Entre-deux-guerres voit la ville se moderniser, généralisation de l’électricité, du gaz, de l’eau courante et du téléphone, modernisation de gare de Palaiseau - Villebon, construction du groupe scolaire des Casseaux (1931), construction de la chapelle Saint-Sébastien en 1938. Le Modèle:Date- à 18 h 30, la station d’émission de Villebon-sur-Yvette diffuse son premier programme, un concert<ref>Présentation de la station de radiodiffusion sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.</ref>.
Durant la Seconde Guerre mondiale, le château est occupé par les Allemands qui en font une kommandantur et un poste de la Waffen-SS. À quelques centaines de mètres de là, Jacques Duclos, dirigeant du PCF clandestin se cache de 1941 à 1944 dans la villa de l’Oasis au hameau de Villiers. Comme la région, la ville est libérée le Modèle:Date- par la division Leclerc. Durant cette période, deux villebonnaises se sont illustrées et ont été récompensées par le titre de Juste de France, Lucienne Reuter en 1995<ref>Fiche du dossier no 6891 sur le site du Comité français pour Yad Vashem. Consulté le 19/02/2008.</ref> et Julie Thelliez en 2002<ref>Fiche du dossier no 9702 sur le site du Comité français pour Yad Vashem. Consulté le 19/02/2008.</ref>.
En 1961, l’OAS sabote l’émetteur de Villebon mais il est remis en état et complété en 1965 d’une deuxième antenne. En 1969, la commune accueille le départ du prologue de la course cycliste Paris-Nice.
Cette modernisation de Villebon-sur-Yvette se poursuit après-guerre avec la construction du collège Jules-Verne, le développement des parcs d’activités de Courtabœuf et La Prairie, les grands travaux de 1988 avec l’inauguration de l’hôtel de ville par Charles Pasqua, du nouveau centre-ville avec l’école Andersen et de la résidence pour personnes âgées Alphonse-Daudet, du centre sportif Saint-Éxupéry, du centre culturel Jacques-Brel, du conservatoire Erik-Satie et plus récemment, Le Grand Dôme et la zone commercial de Villebon 2.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement de Palaiseau, après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Essonne
Elle faisait partie de 1801 à 1975 du canton de Palaiseau, année où elle devient chef-lieu du canton de Villebon-sur-Yvette<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton des Ulis.
La commune est rattachée à la juridiction d’instance de Palaiseau, de grande instance et de commerce d’Évry<ref>Organisation judiciaire en Essonne</ref>, à la cour d'appel de Paris.
Depuis Modèle:Date-, la commune est au cœur de l’opération d'Intérêt National de Massy Palaiseau Saclay Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines<ref>Rapport d’activité du préfet d’Île-de-France sur l’OIN. Consulté le 08/06/2008.</ref>.
Intercommunalité
La ville faisait partie de la communauté d'agglomération Europ'Essonne, créée fin 2006.
Dans le cadre de l'achèvement de la coopération intercommunale prévue par la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles, le schéma régional de coopération intercommunale arrêté par le préfet d'Île-de-France le 4 mars 2015 prévoit « la fusion de la communauté d'agglomération du Plateau de Saclay et de la communauté d'agglomération Europ'Essonne, et extension du périmètre du nouveau regroupement aux communes de Verrières-le-Buisson et Wissous ».
C'est dans ce cadre qu'est créée le Modèle:Date- la communauté d'agglomération Paris-Saclay<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont est désormais membre la commune.
En 2017, Villebon-sur-Yvette est également membre des syndicats de communes et syndicats mixtes suivants<ref>Données issues de l'outil de recherche de la base BANATIC, consultées le 23 décembre 2017</ref> :
- Syndicat intercommunal pour le gaz et l'électricité en Île-de-France (SIGEIF) ;
- syndicat mixte Courtabœuf Développement<ref>Villebon-sur-Yvette sur le site Courtabœuf Développement. Consulté le 01/06/2008.</ref> pour le développement coordonné de la zone d’emploi ;
- syndicat intercommunal pour l’enfance inadaptée<ref>Liste des communes sur le site du SIEI. Consulté le 03/08/2008.</ref> (SIEI) ;
- syndicat mixte pour l'aménagement hydraulique de la Vallée de l'Yvette<ref>Modèle:Lien brisé Consulté le 01/06/2008.</ref> (SIAHVY), pour l’aménagement de la rivière.
Tendances et résultats politiques
Modèle:Section à actualiser Une section du Parti socialiste et de l’Union pour un mouvement populaire sont présentes dans la commune.
La commune se caractérise par une ambivalence politique marquée, avec une reconduction depuis vingt-cinq ans du conseil municipal et du conseiller général de droite et une prédominance du vote de gauche aux élections supra-locales, se distinguant ainsi des autres communes du canton de Villebon-sur-Yvette ou du département dans sa globalité.
Ainsi lors de l’élection présidentielle de 2007, Ségolène Royal est arrivée en tête à Villebon-sur-Yvette avec 51,21 % des suffrages alors que le département choisissait Nicolas Sarkozy à 52,08 %<ref>Résultats de l’élection présidentielle 2007 en Essonne sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/08/2008.</ref>, de même la députée Nathalie Kosciusko-Morizet fut réélue à 56,09 % sur l’ensemble de la quatrième circonscription<ref>Résultats de l’élection législative 2007 sur la quatrième circonscription de l’Essonne sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/08/2008.</ref> alors que les électeurs villebonnais choisissaient le dissident Olivier Thomas (PS) à 50,01 % des voix. Cette tendance au vote à gauche s’est aussi manifesté en 2002 lors de l’élection présidentielle avec le rejet de l’extrême droite où Jean-Marie Le Pen n’a recueilli que 10,39 % contre 15,04 % en Essonne<ref>Résultats de l’élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/08/2008.</ref> et 14,43 % en Île-de-France<ref>Résultats de l’élection présidentielle 2002 en Île-de-France sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/08/2008.</ref>.
À l’inverse, le chiffre record de 58,54 % pour le Oui au Référendum de 2005 montre une nette divergence avec le reste du département qui rejetait le texte à 50,71 %<ref>Résultats du référendum 2005 en Essonne sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/08/2008.</ref>. L’analyse des élections municipales et cantonales de 2008, qui ont nettement accordées la majorité des voix à l’équipe sortante divers droite dès le premier tour (respectivement 56,33 % et 51,47 %) tend à montrer que les électeurs villebonnais distinguent les élections nationales des élections locales, favorisant une certaine continuité locale depuis maintenant vingt-cinq ans et au contraire choisissant la rupture ou la contestation aux échéances nationales.
- Élections présidentielles
Résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 89,61 % pour Jacques Chirac (RPR), 10,39 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 86,64 % de participation<ref>Résultats de l’élection présidentielle 2002 sur le site du Ministère de l’Intérieur.</ref>.
- Élection présidentielle de 2007 : 51,21 % pour Ségolène Royal (PS), 48,79 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 88,69 % de participation<ref>Résultats de l’élection présidentielle 2007 sur le site du Ministère de l’Intérieur.</ref>.
- Élection présidentielle de 2012 : 54,30 % pour François Hollande (PS), 45,70 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 84,73 % de participation<ref>Résultats de l’élection présidentielle 2012 sur le site du Ministère de l’Intérieur. Consulté le 07/05/2012.</ref>.
- Élection présidentielle de 2017 : 79,58 % pour Emmanuel Macron (EM), 20,42 % pour Marine Le Pen (FN), 85,09 % de participation<ref>Résultats de l’élection présidentielle 2017 sur le site du Ministère de l’Intérieur. Consulté le 17/04/2019.</ref>.
- Élections législatives
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 : 53,71 % pour Pierre-André Wiltzer (UMP), 46,29 % pour Marianne Louis (PS), 66,99 % de participation<ref>Résultats de l’élection législative 2002 sur le site du Ministère de l’Intérieur.</ref>.
- Élections législatives de 2007 : 50,01 % pour Olivier Thomas (PS), 49,99 % pour Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), 64,17 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du Ministère de l'Intérieur.</ref>.
- Élections législatives de 2012 : 52,58 % pour Olivier Thomas (PS), 47,42 % pour Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), 64,75 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du Ministère de l'Intérieur. Consulté le 24/06/2012</ref>.
- Élections législatives de 2017 : 59,63 % pour Marie-Pierre Rixain (REM), 40,37 % pour Agnès Evren (LR), 47,20 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2017 sur le site du Ministère de l'Intérieur. Consulté le 09/06/2019</ref>.
- Élections européennes
Résultats des deux meilleurs scores
- Élections européennes de 2004 : 30,56 % pour Harlem Désir (PS), 14,19 % pour Patrick Gaubert (UMP), 53,64 % de participation<ref>Résultats de l’élection européenne 2004 sur le site du Ministère de l’Intérieur.</ref>.
- Élections européennes de 2009 : 24,57 % pour Michel Barnier (UMP), 24,40 % pour Daniel Cohn-Bendit (Europe Écologie), 51,49 % de participation<ref>Résultats de l’élection européenne 2009 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 11/06/2009.</ref>.
- Élections européennes de 2014 : 18,69 % pour Alain Lamassoure (Pour la France, agir en Europe, LUMP), 16,37 % pour Pervenche Berès (Choisir notre Europe, LUG), 50,03 % de participation<ref>Résultats de l’élection européenne 2014 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 10/06/2019.</ref>.
- Élections européennes de 2019 : 28,66 % pour Nathalie Loiseau (Renaissance soutenue par la République en marche, le Modem et ses partenaires), 18,29 % pour Yannick Jadot (Europe Écologie), 57,55 % de participation<ref>Résultats de l’élection européenne 2019 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 10/06/2019.</ref>.
- Élections régionales
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 54,39 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 38,85 % pour Jean-François Copé (UMP), 72,24 % de participation<ref>Résultats de l’élection régionale 2004 sur le site du Ministère de l’Intérieur.</ref>.
- Élections régionales de 2010 : 59,54 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 40,46 % pour Valérie Pécresse (UMP), 55,81 % de participation<ref>Résultats de l’élection régionale 2010 sur le site du Ministère de l’Intérieur. Consulté le 22/03/2010.</ref>.
- Élections régionales de 2015 : 59,54 % pour Claude Bartolone (PS), 40,46 % pour Valérie Pécresse (LR), 61,09 % de participation.
- Élections cantonales et départementales
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2001 : données manquantes.
- Élections cantonales de 2008 : 51,47 % pour Dominique Fontenaille (DVD) élu au premier tour, 33,85 pour Thomas Chaumeil (PS), 65,66 % de participation<ref>Résultats de l’élection cantonale 2008 sur le site du Ministère de l’Intérieur. Consulté le 10/03/2008.</ref>.
- Élections départementales de 2015 : 53,20 % pour Dominique Fontenaille (DVD) et Françoise Marhuenda (SE), 46,80 % pour Jérôme Cauët et Maud Olivier (PS), 50,86 % de participation.
- Élections départementales de 2021 : 53,86 % pour Latifa Naji (DVG) et Olivier Thomas (DVG), 46,14 % pour Françoise Marhuenda (DVC) et MIgor Trickovski (DVG), 34,82 % de participation.
- Élections municipales
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections municipales de 2001 : 70,80 % pour Gérard Nevers (DVD) élu au premier tour, 29,20 % pour Pierre Gérard (PS), 69,47 % de participation<ref>Résultats de l'élection municipale de 2001 à Villebon-sur-Yvette sur le site du quotidien Le Figaro. Consulté le 29/12/2010.</ref>.
- Élections municipales de 2008 : 56,33 % pour Dominique Fontenaille (DVD) élu au premier tour, 33,41 % pour Thomas Chaumeil (DVG), 66,17 % de participation<ref>Résultats de l’élection municipale 2008 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 28/01/2013.</ref>.
- Élections municipales de 2014 : 70,71 % pour Dominique Fontenaille (Union de la Droite) élu au premier tour, 29,29 % pour Ophélie Guin (Union de la Gauche), 60,04 % de participation<ref>Résultats de l’élection municipale 2014 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 23/03/2014.</ref>.
- Élections municipales de 2020 : 62,08 % pour Dominique Fontenaille (DVD) élu au premier tour, 37,92 % pour Ophélie Guin (DVG), 40,38 % de participation.
- Référendums
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 74,40 % pour le Oui, 25,60 % pour le Non, 37,28 % de participation<ref>Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 09/05/2009.</ref>.
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l’Europe : 58,54 % pour le Oui, 41,46 % pour le Non, 78,44 % de participation<ref>Résultats du référendum 2005 sur le site du Ministère de l’Intérieur.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Source : Modèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin Modèle:Article connexe
Politique de développement durable
Le réseau d’eau potable de la commune est depuis 2008 certifié comme respectant les critères de la norme ISO 14001Modèle:Refnec.
La municipalité s’est engagée dans une politique de construction ou rénovation des bâtiments communaux selon les préconisations de la démarche HQEModèle:Refnec. Un projet de station d’épuration est en coursModèle:Quand,Modèle:Refnec.
Jumelages
Modèle:Début de carte[[Image:Modèle:Géolocalisation/Europe|200px|Localisation des villes jumelées avec Villebon-sur-Yvette]] Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:Fin de carte
Villebon-sur-Yvette a développé des associations de jumelage avec<ref name="Guide munucipal">Modèle:PdfGuide munucipal 2018-2019</ref> :
- Modèle:Jumelage, en espagnol Las Rozas de Madrid, située à 1 302 kilomètres ;
- Modèle:Jumelage, en allemand Liederbach am Taunus, située à Modèle:Unité ;
- Modèle:Jumelage, en letton Saldus, située à 1 620 kilomètres ;
- Modèle:Jumelage, en anglais Whitnash, située à Modèle:Unité.
Équipements et services publics
Enseignement
La commune est rattachée à l’académie de Versailles.
Plusieurs structures accueillent en 2010 les élèves de la ville, le jardin d’éveil Jacques-Brel, trois crèches, Joachim-du-Bellay, Les Casseaux et La Basse-Roche et la crèche familiale, trois écoles maternelles et élémentaires, La Roche, Les Casseaux, maternelle Charles-Perrault et élémentaire Andersen<ref>Annuaire des écoles de l’Essonne sut le site de l’inspection académique. Consulté le 01/09/2010.</ref>, le collège public Jules-Verne<ref>Cartographie des établissements du second degré en Essonne sur le site de l’inspection académique. Consulté le 01/06/2008.</ref>, qui dispose d’une section SEGPA et un collège et lycée privé catholique<ref>Fiche du collège et lycée de l'Île-de-France sur le site de la DDEC 91. Consulté le 13/06/2010.</ref> de l’Île-de-France<ref>Site officiel du collège et lycée de l'Île-de-France. Consulté le 13/06/2010.</ref>, le centre de loisirs au Bois des Gelles. L’association Interval vient en aide à la jeunesse en difficulté de la communeModèle:Refnec.
En 2008, la ville accueille aussi les locaux de l’École supérieure d'administration de l'Armement (ESAA)<ref>Liste des centres de formation sur le site de la DGA. Consulté le 01/06/2008.</ref> qui forme les officiers administratifs de la direction générale de l'Armement (DGA) et participe aux journées d’appel de préparation à la défense.
-
Le collège Jules-Verne.
-
Maison de l'enfance et de la famille.
Équipements culturels
En regard de sa taille modeste, la commune dispose de nombreuses infrastructures culturelles, parmi lesquelles, la ludothèque des Casseaux, la médiathèque des Maraîchers, le conservatoire Erik-Satie qui accueille six cents élèves, la MJC Boby-Lapointe<ref>Site officiel de la MJC Boby Lapointe</ref>, le Centre culturel Jacques-Brel, salle polyvalente de six cent cinquante places, la salle polyvalente Le Grand Dôme et trois salles de réunion à Villiers, aux Foulons et à la Boissière.
-
Le conservatoire de musique Erik-Satie.
-
Le Centre culturel Jacques-Brel et la statue monumentale de Don Quichotte par Alex Garcia.
Postes et télécommunications
En dehors des services et infrastructures dépendants de la mairie, la ville dispose, en 2010, d’un bureau de Poste<ref>Coordonnées de l'agence postale de Villebon-sur-Yvette sur le site du groupe La Poste. Consulté le 13/11/2010.</ref> et d’un centre de tri du courrier.
Santé
Modèle:Section à actualiser La commune ne dispose pas d’établissement de santé sur son territoire mais trois hôpitaux sont à proximité à Orsay, Longjumeau et Massy.
Elle a mis en place un centre communal d'action sociale et une résidence pour personnes âgées indépendantes offrant de multiples services. En 2008, quinze médecins<ref>Liste sur le Conseil de l’Ordre des Médecins</ref> et cinq chirurgiens-dentistes<ref>Annuaire des dentistes sur le site de l’Ordre national. Consulté le 01/06/2008.</ref> exercent sur la commune et trois pharmacies<ref>Annuaire des pharmacies sur le site de l’Ordre national. Consulté le 01/06/2008.</ref> sont implantées sur son territoire.
En outre, la Croix-Rouge et le Secours catholique possèdent des locaux sur la commune.
Justice, sécurité, secours et défense
En 2010, les casernes de pompiers<ref>Carte des centres de secours du département sur le site du SDIS91. Consulté le 13/11/2010.</ref> et de gendarmerie de Palaiseau<ref>Organisation des forces de l'ordre en Essonne sur le site de la Préfecture. Consulté le 13/11/2010.</ref> assurent la sécurité de Villebon-sur-Yvette.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Des débuts du recensement des personnes jusqu’au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le village rural a connu une relative stabilité du nombre d’habitants. À partir du deuxième quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l’engouement des parisiens pour le caractère champêtre de la commune entraîna un doublement de la population jusqu’au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Cependant, la commune perdit quatre-vingt-une personnes lors des combats de 1914-1918 et 1939-1945<ref>Memorialgenweb.org - Villebon-sur-Yvette : monument aux morts, consulté le 21/03/2009.</ref>. Les années 1960 et 1970 virent la construction de lotissements pavillonnaires puis d’immeubles collectifs par la municipalité de gauche.
L’évolution continua avec la création du nouveau centre-ville dans les années 1980 et de nouveaux logements dans les années 1990 pour se rapprocher du palier des dix mille habitants au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Toutefois, l’accroissement se fait moins rapidement, les terrains constructibles étant presque tous occupés.
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 37,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 22,2 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,13 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Sports
Villebon-sur-Yvette dispose de plusieurs installations sportives dont le centre sportif Saint-Exupéry, équipé de deux gymnases, un mur d'escalade, deux terrains de football, neuf courts de tennis, un centre de tir sportif et de tir à l'arc, un boulodrome, la piscine en association avec la commune de Palaiseau, un minigolf et un practice d’entraînement au golf à Villiers, un hippodrome de gazon.
Une École Municipale des Sports et vingt-cinq associations regroupant plus de trois mille licenciés forment les jeunes et moins jeunes Villebonais aux sports.
Le RC Villebon 91 (club de volleyball) s'est illustré à de nombreuses reprises en compétitions nationales et internationales<ref>Palmarès sur le site officiel du club. Consulté le 01/06/2008.</ref>. À la suite du dépôt de bilan du RC Villebon 91Modèle:Quand, une section volleyball a été crééeModèle:Quand au sein de l'ASV (Art et Sport Villebon).
La ville accueille un club d'escrime important au niveau régional, ainsi que, depuis juin 2009, le club de football américain des Quarks qui évolue en [[Championnat de France de football américain D3|Modèle:3e nationale]].
La ville a aussi accueilli les championnats du monde de twirling bâton en 2012.
Dans l'optique d'accueillir les Jeux de la Francophonie en 1994, le département a décidé la construction d'une salle polyvalente. Le site de Villebon-sur-Yvette est alors choisi pour ses facilités d’accès, l'espace disponible et la proximité du grand parc d’activités. Cette salle, la plus grande infrastructure omnisports de l'Essonne, de Modèle:Unité, deviendra Le Grand Dôme, qui était une propriété communale. Fermée depuis 2015 en raison de son coût de fonctionnement (entre 200 000 et Modèle:Unité annuels<ref>Modèle:Article.</ref>), elle est rachetée pour Modèle:Unité en février 2018 par la fédération française de judo, qui y avait organisé les championnats de France en 2014. Le nouveau propriétaire y tiendra ses compétitions, mais y accueillera également d'autres sports, ainsi que d'autres activités, telles que centre d’examen, salle de spectacle, ou plateau de télévision, afin de profiter de ses Modèle:Unité<ref>Modèle:Article.</ref>.
-
L'Hippodrome.
-
Le Grand Dôme.
Manifestations culturelles et festivités
Trois manifestations d’importances rythment la vie de la commune : les Puces de Villebon, un vide-greniers, qui se tiennent chaque année lors du week-end de Fête des Mères, les Guinguettes de l’Yvette, en association avec la commune de Palaiseau, traditionnellement les premiers samedi et dimanche de juin, l’occasion de retrouver l’ambiance des bords de la rivière du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et la fête des saints Côme et Damien, fête de la commune pour laquelle sont organisés un bal, un feu d'artifice et des rencontres avec les habitants des communes jumelées.
DouzeModèle:Quand associations dont le Lions Clubs et les Scouts et Guides de France animent la vie culturelle de Villebon-sur-Yvette. Une maison des arts et sports de Villebon et une maison des arts graphiques coordonnent les intervenantsModèle:Refnec.
Lieux de culte
La paroisse catholique de Villebon-sur-Yvette dépend du diocèse d’Évry-Corbeil-Essonnes et du doyenné de Palaiseau. Elle dispose de l’église dédiée aux saints-Côme-et-Damien et de la chapelle dédiée à saint-Sébastien<ref>Paroisse de Villebon-sur-Yvette sur le site du diocèse. Consulté le 01/06/2008.</ref>. De plus la commune accueille un institut bouddhiste vietnamien Truc Lâm.
-
L’église Saints-Côme-et-Damien.
-
La chapelle Saint-Sébastien.
-
L’institut bouddhique Trùc Lâm.
Médias
L’hebdomadaire Le Républicain diffuse une édition pour le Nord-Essonne qui traîte en partie des informations du secteur. La chaîne de télévision régionale Télif, qui a repris les programmes de Téléssonne, diffuse des informations locales sur le réseau satellite et ADSL. S’ajoute la chaîne France 3 Paris Île-de-France disponible dans tout le bassin parisien.
Économie
Modèle:Section à actualiser Villebon-sur-Yvette, intégrée au bassin d'emploi d’Orsay par l’Insee<ref>Présentation de la zone d’emploi d’Orsay sur le site de l’Insee. Consulté le 06/07/2008.</ref> qui rassemble en 2008 Modèle:Nombre, dispose d’un tissu économique riche grâce notamment aux zones d’activités de Courtabœuf et sa pépinière d'entreprises Apis Développement, qui occupe quatre-vingt-treize hectares sur le territoire de la commune, de La Prairie, la Bretêche et à la zone commerciale de Villebon 2. Avec mille salariés, Microsoft France est le premier employeur de la commune en 2008, suivi de près par JM Bruneau et ses huit cents salariés<ref>liste des grands établissements de la Communauté de communes Europ’Essonne sur le site de l’INSEE. Consulté le 18/05/2008.</ref>.
Elle accueille plus de Modèle:NombreModèle:Quand, dont cent un commerces, cinquante-sept professions libérales, vingt-deux artisans et soixante-seize associations représentant un total de Modèle:Nombre, bien supérieur aux Modèle:Nombre classées parmi la population activeModèle:Refnec.
La commune proposeModèle:Quand cinquante-trois chambres d’hôtel, principalement dédiées au tourisme d’affaire des zones d’activités.
La commune de Villebon-sur-Yvette abritait l’un des quatre émetteurs de la TNT en Île-de-France, mis en service en 1935, aujourd’hui démantelé.
Emplois, revenus et niveau de vie
Modèle:Section à actualiser Le taux de chômage était de 4,62 % en 2005, à comparer aux 6,7 % départemental. En 2004, le revenu moyen par habitant était de 25 094 € par an<ref>Données économiques sur Journal Du Net</ref>, 64,1 % des habitants sont propriétaires de leur logement<ref>Fiche d’identité sur le site de la commune</ref>.
Le revenu fiscal médian par ménage était en 2006 de 26 216 euros, ce qui plaçait Villebon-sur-Yvette au deux cent quatre-vingtième rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages en métropole et au vingt-huitième rang départemental<ref>Modèle:Lien brisé Consulté le 26/10/2009.</ref>.
Répartition des emplois par catégorie socioprofessionnelle en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Villebon-sur-Yvette | 0,5 % | 5,1 % | 26,1 % | 25,2 % | 27,3 % | 15,9 % |
Zone d’emploi d’Orsay | 0,2 % | 3,7 % | 36,2 % | 26,2 % | 21,4 % | 12,3 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteur d'activité en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Villebon-sur-Yvette | 2,1 % | 11,5 % | 6,7 % | 33,1 % | 22,8 % | 4,3 % |
Zone d’emploi d’Orsay | 1,0 % | 13,4 % | 3,8 % | 18,1 % | 30,5 % | 5,4 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee<ref>Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.</ref> |
Parc d’activité de Courtabœuf
En 1960 est décidée l’implantation d’un parc d’activité sur le plateau de Courtabœuf. La commune comme ses voisines doit céder des espaces de culture pour accueillir en 1967 la première structure : Atochem. Ce parc d’activité aujourd’huiModèle:Quand premier parc tertiaire d’Europe<ref>Récapitulatif des activités sur le site de Courtabœuf. Modèle:Lien archive.</ref> est connu sous le nom de Parc d'activités de Courtabœuf.
Centre commercial Villebon 2
Modèle:Article détaillé L’installation du centre commercial Villebon 2 a été entamée en 1988 par l’ouverture d’un hypermarché accompagné d’une galerie commerciale. À partir de 1998, des enseignes de hard-discount ont accru l’offre commerciale. En 2006, une nouvelle phase d’agrandissement et une réorganisation de l’offre ont permis l’installation d’enseignes milieu de gamme. Il était en couverture du Modèle:N°3135 de Télérama du Modèle:Date- avec pour titre Halte à la France moche !<ref>Couverture du Télérama Modèle:N° du 10 février 2010 sur le site saintpierre-express.fr Consulté le 10/02/2010.</ref>
Agriculture
En 2000, l’enquête du plan local d'urbanisme recensait cinq exploitations agricoles pour un total de soixante-dix neuf hectares, principalement tournées vers le maraîchage.
En 1999, l’agriculture occupait vingt-quatre villebonais, soit 0,5 % des actifs. Ces terrains sont aujourd’hui protégés par la municipalité et l’activité maintenue<ref>Plan local d’urbanisme de Villebon-sur-Yvette défini en 2006.</ref>.
En 2008, la commune est également associée au « Triangle Vert des villes maraîchères du Hurepoix » qui vise à promouvoir une agriculture péri-urbaine économiquement viable et garantissant un développement durable<ref>Site officiel du Triangle Vert. Consulté le 07/08/2008.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine environnemental
- Villebon-sur-Yvette bénéficie d’un cadre naturel préservé et mis en valeur. On trouve ainsi le parc de la Mairie, la promenade de l’Yvette, le minigolf de Villiers, un vaste espace forestier avec le bois des Gelles (seize hectares) et des étendues de maraîchage.
- Le bois des Gelles a été recensé au titre des espaces naturels sensibles par le conseil départemental de l'Essonne<ref>Carte des ENS de Villebon-sur-Yvette sur le site du conseil départemental de l’Essonne. Consulté le 09/2020.</ref>.
- Elle s’est vu décerner trois fleurs au concours des villes et villages fleuris<ref>http://www.villes-et-villages-fleuris.com/ : Palmarès du Concours des Villes et Villages fleuris</ref>.
Lieux et monuments
- Le château de Villebon-sur-Yvette de style Renaissance a été construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Château de Villebon-sur-Yvette sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.</ref>. Le lavoir du hameau de Villiers date de 1588 et fut restauré en 1865<ref>Présentation du lavoir de Villiers sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.</ref>.
- Plusieurs ponts ont été construits au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour permettre le passage de la ligne de chemin de fer, dont le pont à deux niveaux de la rue Muller<ref>Présentation du pont rue Muller sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.</ref> équipé d’un quai de déchargement et le pont de sept mètres<ref>Présentation du pont de sept mètres sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.</ref>, caractérisé par les sept de hauteur et de largeur de sa voûte.
- L'église Saints-Côme-et-Damien, datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est située à proximité du château<ref>Présentation de l’église Saint-Côme-et-Saint-Damien sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.</ref>. La chapelle Saint-Sébastien, dans le quartier des Casseaux, est de construction plus récente (1938) en brique rouge<ref>Présentation de l’église Saint-Sébastien sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.</ref>. L’Institut Bouddhique Trùc Lhâm est situé rue de Neuchâtel dans le quartier suisse.
- Les constructions récentes (hôtel de ville, centre culturel, centre sportif) ou réhabilitées (conservatoire, école de La Roche) présentent une unité dans l’utilisation de structures métalliques apparentes colorées.
- Le GR 655, ancien chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, passe par la commune en suivant les rives de l’Yvette.
Personnalités liées à la commune
Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Villebon-sur-Yvette :
- Augustin de Thou (?-1554), seigneur de Villebon ;
- Jacques Auguste de Thou (1553-1617), écrivain et premier président du Parlement de Paris, seigneur de Villebon du Modèle:Date- à 1617 ;
- Nicolas de Thou, (1528-1598), seigneur de Villebon, évêque de Chartres de 1573 à 1598, qui célébra en 1594 le sacre d’Henri IV dans la cathédrale Notre-Dame de Chartres ;
- Nicolas Potier de Novion (1618-1693), seigneur de Villebon, premier président du Parlement de Paris de 1677 à 1689, membre de l'Académie française ;
- Jacques Duclos (1896-1975), politicien et résistant, se cacha au hameau de Villiers de 1941 à 1944 ;
- Bernard Stiegler (1952-2020), philosophe, spécialiste du développement technologique et des technologies numériques. Il dirigea l'Institut de recherche et d'innovation (IRI) qu'il fonda en 2006.
- Jérôme Lorant (1961- ), footballeur, y fut licencié.
Héraldique et logotype
Villebon-sur-Yvette dans les arts et la culture
- Une légende raconte qu’en 451, sainte Geneviève, après avoir protégé Paris de l'avancée des Huns, s'arrêta pour se désaltérer dans une source qui porte son nom dans le parc actuel du château.
- Une autre légende raconte qu’au bord du plateau de Courtabœuf, dominant la vallée de l’Yvette à une altitude de cent cinquante-cinq mètres, s'élevait l'abbaye de Villefeu, propriété des religieux de Saint-Éloi. Cette abbaye apparaissait encore sur les cartes du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle mais disparut dans un cataclysme. Un historien rapportait en 1888 que « la nuit de Noël, au moment où sonne la messe de minuit, les âmes des anciens religieux reviennent »<ref>Le « mythique » Villefeu sur le site de la MJC Boby Lapointe</ref>.
- En 1941 furent tournées à Villebon-sur-Yvette des scènes du film Goupi Mains Rouges de Jacques Becker.
- La commune est surnommée le « Monaco essonnien » par le milieu politique du département du fait de l'importance de son budget et paradoxalement de la faiblesse de la taxation des résidents. De plus, le centre commercial Villebon 2 est surnommé le « Las Vegas villebonais » par les communes voisines importunées par la pollution lumineuse des enseignes<ref>Le Las Vegas villebonais sur le site de l’ASEVI</ref>.
- Le centre commercial de Villebon 2 apparaît dans le film Podium de Yann Moix sorti en 2004 lorsque Benoît Poelvoorde décide de se produire sur le parking plutôt que dans le restaurant trop petit et dans le film J'ai toujours rêvé d'être un gangster de Samuel Benchetrit sorti en 2008<ref>Liste des films tournés à Villebon-sur-Yvette sur le site L2TC.com Consulté le 05/12/2010.</ref>.
- Un étang, un lieu-dit et un quartier HLM sont nommés « Villebon » dans la commune altoséquanaise de Meudon, un hôtel-restaurant de la chaîne Mercure a pris le nom d’« Ermitage de Villebon »<ref>Site officiel de l’Hôtel-Restaurant Mercure l’Ermitage de Villebon.</ref>.
- Villebon-sur-Yvette est mentionnée dans le film Le Nom des gens de Michel Leclerc, comme lieu de naissance du personnage Arthur Martin (joué par Jacques Gamblin). Il symbolise un lieu perdu et méconnu.