Empathie

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La plupart des êtres humains, dès l'enfance, sont doués d'empathie, notamment face à la douleur physique ou morale éprouvée par autrui.

L'empathie<ref>Du grec ancien ἐν, « dans, à l'intérieur », et πάθoς, « souffrance, ce qui est éprouvé ».</ref> est la reconnaissance et la compréhension des sentiments et des émotions d'un autre individu. Dans un sens plus général, elle représente la reconnaissance de Modèle:Qui états non-émotionnels, tels que ses propres croyances. Dans ce dernier cas, il est plus spécifiquement question de l'empathie cognitive<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Dans le langage courant, le phénomène d'empathie est souvent illustré par l'expression Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Cette compréhension se produit par une décentration de la personne (ou de l'animal) et peut mener à des actions liées à la survie du sujet visé par l'empathie<ref>Modèle:Lien web : Modèle:Citation bloc</ref>, indépendamment, et parfois même au détriment des intérêts du sujet ressentant l'empathie.

Dans l'étude des relations interindividuelles, l'empathie est donc différente des notions de sympathie, de compassion, d'altruisme ou de contagion émotionnelle, qui peuvent lui être associées.

Apports théoriques : histoire et chercheurs

Le terme empathie (en allemand Modèle:Lang)<ref>Modèle:Lien web.</ref> est créé par le philosophe Robert Vischer en 1873 dans sa thèse de doctorat Modèle:Lang<ref>R. Vischer, Über das optische Formgefühl, ein Beitrag zur Ästhetik [« Le sentiment optique de la forme, Contribution à l’esthétique »], Julius Oscar Galler, 1873. Traduction française, Maurice Elie, Aux origines de l’Empathie, Éditions Ovadia, 2009, Modèle:P.57-100.</ref> pour désigner l'empathie esthétique, soit le mode de relation qu'un sujet entretient avec une œuvre d'art permettant d'accéder à son sens.

Le mot « empathie » est par la suite réutilisé en philosophie de l'esprit par Théodore Lipps (une influence reconnue de Sigmund Freud et des phénoménologues) pour désigner, dans ses premiers écrits, le processus par lequel Modèle:Citation. Plus tard, Lipps introduit la dimension affective dont hérite le conception moderne : l'Modèle:Lang caractériserait par exemple le mécanisme par lequel l'expression corporelle d'un individu dans un état émotionnel donné déclencherait de façon automatique ce même état émotionnel chez un observateur. D'autres sources attribuent la première utilisation du terme à Vitalis en 1798, dont C. G. Jung s'est inspiré.

Le terme est ensuite repris par Karl Jaspers puis par Sigmund Freud en 1905 dans Modèle:Lang<ref>Sigmund Freud, Modèle:Lang (« Le Mot d’esprit et ses relations avec l’inconscient »), Deuticke, 1905.</ref>,<ref>Modèle:Article, sur Cairn.info.</ref>.

Dès 1907, on trouve le terme en français dans L'activité psychique et la vie de Vladimir Mikhailovich Bekhterev<ref>Vladimir Mikhailovich Bekhterev (trad. Paul Kéraval), {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5489825j/f52.image%7C{{ #if: bpt6k5489825j/f52.image |{{ #if: L'activité psychique et la vie | L'activité psychique et la vie | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}, Modèle:P..</ref>.

En 1909, le terme anglais est inséré par Modèle:Lien] dans un essai de traduction du mot allemand Modèle:Langue, en relation avec l'analyse de Theodor Lipps. Plus tard, il est rétrotraduit en allemand par Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

C'est dans la traduction des écrits de Lipps par Titchener que le mot Modèle:Lang est introduit en langue anglaise puis en français, d'abord sous la forme intropathie (notamment chez les traducteurs de Husserl), avant que le terme empathie ne s'impose<ref>Modèle:Lien web. 2004.</ref>.

Dans une perspective différente, Wilhelm Dilthey fit usage du vocable Modèle:Langue (Modèle:Citation, traduit en empathie) désignant une capacité intellectuelle de transposition, sous-jacente dans sa théorie à la capacité de compréhension du monde<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Mais Dilthey lui-même n'utilisa pratiquement pas le terme Einfühlung, dont il voyait des connexions certes, mais peu claires avec son concept de transposition.

Le livre de Geoffrey Miller Modèle:Langue défend le point de vue selon lequel l'empathie se serait développée parce que « se mettre à la place de l'autre » pour savoir comment il pense et va peut-être réagir constitue un important facteur de survie dans un monde où l'homme est sans cesse en compétition avec l'homme. L'auteur explique ensuite que le processus darwinien n'a pu que la renforcer du fait qu'il influait sur la survie et qu'au fil du temps s'est dégagée une espèce humaine qui attribuait une personnalité à à peu près tout ce qui l'entourait. Il voit là une origine probable de l'animisme et plus tard du panthéisme, donc à l'apparition des premières formes de religions.

Au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le concept d'empathie se répandit dans les sciences humaines. Cette notion fit l'objet de nombreuses réflexions en psychiatrie ou en psychanalyse avec les théories de Heinz Kohut<ref>Modèle:Article.</ref> et de la part de théoriciens et praticiens de la relation, notamment Carl Rogers.

Des travaux ayant montré que des déficits dans l’intelligence sociale pouvaient survenir indépendamment des déficits dans les autres secteurs de la cognition, des philosophes, à la fin des années 1970, nommèrent théorie de l'esprit la capacité à partager et à ressentir tous les types d'états mentaux, capacité qui peut entraîner ce déficit quand elle est insuffisante.

Depuis, les recherches sur l’empathie, cas particulier de la théorie de l'esprit, se développent<ref>Modèle:Article.</ref>.

Conceptions contemporaines

Selon les contextes, l'empathie désigne aujourd'hui à la fois une aptitude psychologique et les mécanismes qui permettent la compréhension des ressentis d'autrui.

Ainsi, en psychologie de la personnalité, différents questionnaires permettent de mesurer la disposition empathique d'un individu (en l'interrogeant sur des situations imaginaires) et divers protocoles expérimentaux ont été proposés pour mettre en évidence et analyser la réponse empathique réelle d'un individu dans des situations concrètes.

Empathie émotionnelle et empathie cognitive

Les recherches récentes ont amené à distinguer le concept d'empathie émotionnelle, qui désigne la capacité à ressentir les états affectifs d'autrui, du concept d'empathie cognitive, c'est-à-dire la capacité à comprendre les états mentaux d'autrui, utilisé en théorie de l'esprit.

Pour Jean Decety de l'université de Chicago, l’empathie, capacité à partager les émotions avec autrui, sans confusion entre soi et l’autre, est un puissant moyen de communication interindividuelle et l’un des éléments clés dans la relation thérapeutique<ref>Decety, J. (2002). Naturaliser l’empathie [Empathy naturalized]. L’Encéphale, 28, 9-20.</ref>. Cet auteur propose un modèle multidimensionnel de l’empathie dont la résonance affective, la souplesse mentale pour adopter le point de vue subjectif d’autrui, la régulation des émotions constituent les composantes de base<ref>Decety, J., & Jackson, P.L. (2004). The functional architecture of human empathy. Behavioral and Cognitive Neuroscience Reviews, 3, 71-100.</ref>. Ces composantes sont modulées par des processus motivationnels et attentionnels et sont sous-tendues par des systèmes neuro-cognitifs distribués et dissociables. On peut, à partir de ce modèle fonctionnel, prédire des troubles de l’intersubjectivité et de l’empathie distincts selon que l’un ou l’autre des composants est endommagé, ou non opérationnel<ref>Decety, J. (2005). Modèle:Citation. Revue de Psychiatrie, Sciences Humaines et Neurosciences, 3, 16-24.</ref>,<ref>Decety, J., & Jackson, P.L. (2006). A social neuroscience perspective of empathy. Current Directions in Psychological Science, 15, 54-58.</ref>.

L'empathie est parfois distinguée de la sympathie, de la compassion et de la contagion émotionnelle par le fait que la réponse empathique aux états affectifs d'autrui se produit sans que l'on ressente soi-même la même émotion, ou même une émotion quelle qu'elle soit.

Empathie et sympathie

Les théories modernes distinguent également l'empathie de la sympathie.

Cette dernière consiste aussi à comprendre les affections d'une autre personne, mais elle comporte une dimension affective supplémentaire : alors que l'empathie repose sur une capacité de représentation de l'état mental d'autrui indépendamment de tout jugement de valeur, la sympathie est une réponse motivationnelle qui repose sur une proximité affective avec la personne qui en est l'objet, et vise donc à améliorer son bien-être. Dans l'interprétation de Lauren Wispé, Modèle:Citation<ref>Wispé, L. 1986. The distinction between sympathy and empathy: To call forth a concept, a word is needed. Journal of Personality and Social Psychology, 50, 2: 314-321</ref>.

Toujours selon Wispé, Modèle:Citation<ref>ibid, p. 318. Cité par Bérangère Thirioux Modèle:Lien brisé.</ref>.

Les définitions de l'empathie recouvrent ainsi un large spectre car cette capacité a plusieurs composantes qui font appel à des mécanismes neurologiques distincts mais complémentaires : la première composante, inconsciente et assez répandue dans le monde animal (mammifères, oiseaux), est la capacité à partager les émotions et les intentions des autres ; la deuxième est l'envie d'aider, de consoler, qui s'est développée chez les espèces animales, notamment dans la relation mère-enfant ; la troisième, plus consciente, consiste non plus seulement à se mettre à la place de l'autre, mais à l'imaginer et s'imaginer soi-même de l'extérieur<ref>Modèle:Article.</ref>.

Lamoureux distingue ainsi la sympathie de l'empathie. La sympathie fait ressentir l'émotion que ressent l’autre, partager sa souffrance et devenir préoccupé, car on s’imagine vivre la situation. Ainsi, on augmente son propre niveau de stress. L'empathie, met dans la peau de l’autre et fait comprendre qu’il vit une émotion sans toutefois que l'on s’approprie la situation de l’autre. Ainsi, on garde une distance psychologique et on préserve sa propre santé<ref>Modèle:Article.</ref>.

Neurosciences

L'empathie a récemment fait l’objet de nombreuses investigations neurophysiologiques chez l’adulte et l’enfant, principalement en utilisant les techniques d’imagerie cérébrale fonctionnelle. Par exemple, les recherches de Jean Decety indiquent que lorsque nous percevons autrui dans des situations douloureuses dont la cause est accidentelle (par exemple se couper en cuisinant), certaines régions impliquées dans le traitement de la douleur physique sont actifs chez l’observateur. Le physicien Pierre Papon explique ainsi : Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web, entretien avec Pierre Papon, RDT info, n°50, août 2006</ref>. Lorsqu'on présente à des personnes des images qui suggèrent qu'une autre personne a mal, un tiers des personnes ressentent une douleur au même endroit de leur corps (empathie sensorielle), deux tiers sont perturbées mais ne ressentent pas elles-mêmes la douleur (empathie affective)<ref>Modèle:Article</ref>.

Ce circuit neuronal inclut le cortex insulaire, le cortex somatosensoriel, le cortex cingulaire antérieur et la substance grise périaqueducale<ref>Cheng, Y., Yang, C.Y., Lin, C.P., Lee, P.R., & Decety, J. (2008). The perception of pain in others suppresses somatosensory oscillations: a magnetoencephalography study. NeuroImage, 40, 1833-1840.</ref>,<ref>Lamm, C., Batson, C.D., & Decety, J. (2007). The neural substrate of human empathy: effects of perspective-taking and cognitive appraisal, Journal of Cognitive Neuroscience, 19, 42-58.</ref>,<ref>Morrison, I., Lloyd, D., di Pellegrino, G., & Roberts, N. (2004). Vicarious responses to pain in anterior cingulate cortex: is empathy a multisensory issue? Cognitive and Affective Behavioral Neuroscience, 4, 270-278.</ref>,<ref>Singer, T., Seymour, B., O’Doherty, J., Kaube, H., Dolan, R. J., & Frith, C.D. (2004). Empathy for pain involves the affective but not the sensory components of pain. Science, 303, p.1157-1161.</ref>.

Ce mécanisme de résonance sensori-somatique entre autrui et soi, relativement primitif sur les plans évolutif et ontogénétique (il semblerait en place dès la naissance), joue un rôle crucial dans le développement de l’empathie et du raisonnement moral, en nous permettant de partager la détresse des autres et de déclencher une inhibition des comportements agressifs<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Decety, J., & Meyer, M. (2008). « From emotion resonance to empathic understanding: A social developmental neuroscience account. » dans Development and Psychopathology, 20, 1053-1080.</ref>. Dans le cas de la douleur, il semblerait que nous soyons prédisposés à ressentir la détresse des autres comme un stimulus aversif, et que nous apprenions à éviter les actions associées à cette détresse<ref>Decety, J., Michalska, K.J., & Akitsuki, Y. (2008). Who caused the pain? A functional MRI investigation of empathy and intentionality in children. Neuropsychologia, 46, 2607-2614.</ref>.

Ceci est le cas pour de nombreuses espèces de mammifères, incluant les rongeurs. Par exemple, un rat qui a appris à appuyer sur un levier pour obtenir de la nourriture arrêtera de s’alimenter s’il perçoit que son action (appuyer sur le levier) est associée à la délivrance d’un choc électrique à un autre rat<ref>Church, R. M. (1959) Emotional reactions of rats to the pain of others. Journal of Comparative and Physiological Psychology, 52, 132-34.</ref>. Ce mécanisme de partage de la détresse de l’autre est modulé non consciemment (il peut être inhibé ou augmenté) par divers facteurs sociaux, comme les relations interpersonnelles ou l’appartenance à un groupe (ethnique, politique, religieux). Il ne serait en effet pas adaptatif d’éprouver la détresse d’un ennemi de la même façon que pour un individu qui appartient au même groupe.

Selon une autre piste, les neurones miroirs agissent de la même manière lors de l'observation que lors de la production (par exemple d'un mouvement), et ils semblent fortement impliqués dans les processus d'apprentissage dans lesquels l'importance du rôle émotionnel est connue<ref>Modèle:Article</ref>. En fait, cette association entre perception et action est considérée importante quant à la formation de la sensibilité interpersonnelle d'un individu<ref>Gutsell, J. N., & Inzlicht, M. Empathy constrained: Prejudice predicts reduced mental simulation of actions during obser- vation of outgroups. Journal of Experimental Social Psychology (2010), doi:10.1016/j.jesp.2010.03.011</ref>.

Cette forme d'empathie « de l'immédiateté » pourrait expliquer la communication avec les malades d'Alzheimer car l'aire de Broca, aire principale des neurones miroirs, est fort éloignée de l'hippocampe où débute la maladie<ref>Polydor J-P, Alzheimer, mode d'emploi, le livre des aidants, préfacé par Madeleine Chapsal, prix Femina, L'esprit du temps Édition, 2009, Modèle:ISBN.</ref>.

Le degré d'activation des zones cérébrales liées à l'empathie est un indicateur de la force avec laquelle l'empathie est ressentie. Ce degré d'activation peut être déterminé grâce à l'imagerie fonctionnelle (IRMf) et permet de produire des cartes du réseau neuronal de l'empathie<ref>Modèle:Article.</ref>.

Une étude sur le cortex insulaire a montré que l'activation du cortex insulaire antérieur des participants, qu'ils soient atteints d'un TSA ou non, était proportionnelle à leur degré d'alexithymie. En d’autres termes, plus ils arrivaient à comprendre leurs propres émotions, plus ils étaient capables de comprendre celles des autres<ref>Modèle:Article.</ref>.

Éthologie et empathie interspécifique

Après une période où la « science » a mis en avant l'instinct animal, Konrad Lorenz a expérimentalement montré comment des animaux tels que les oiseaux sont marqués après la naissance par l'imitation du Modèle:Citation ou de ce qui en tient lieu. D'autres auteurs ont ensuite estimé que l'empathie vient naturellement aux humains mais aussi à des animaux dits Modèle:Citation (mammifères sociaux tels que les éléphants, chimpanzés, bonobos, singes capucins, mais aussi des mammifères marins tels que les dauphins, les baleines) qui, selon de nombreux témoignages, peuvent s'entraider voire se mobiliser pour sauver la vie de congénères. C'est ce que Frans de Waal<ref>Frans de Waal est docteur en biologie, directeur du Living Links Center à Atlanta et professeur de psychologie à l'université Emory.</ref> évoque dans un livre intitulé L'âge de l'empathie : leçons de la nature pour une société solidaire, qui montre que le combat de la vie, souvent mis en exergue pour expliquer l'éthologie, peut aussi se traduire par des comportements de solidarité qui semblent parfois mettre en jeu l'empathie<ref>Frans de Waal, L'Âge de l'empathie : leçons de la nature pour une société solidaire, 2010, éd. Les Liens qui Libèrent, 392 pages.</ref>.

Par ailleurs, les humains peuvent également être en empathie pour d'autres espèces. Une étude de Miralles Modèle:Et al. en 2019 montre que plus les espèces sont phylogénétiquement proches de nous, plus nous sommes enclins à être en empathie (et à ressentir de la compassion) à leurs égards<ref>Modèle:Article.</ref>.

Empathie en psychologie

Par opposition, la définition de Geoffrey Miller dans The Mating Mind identifie l'empathie comme une pratique volontaire de l'identification à l'autre. Selon cet auteur, l'empathie se serait développée parce que Modèle:Citation pour savoir comment il pense et va peut-être réagir constitue un important facteur de survie dans un monde où l'homme est sans cesse en compétition avec l'homme<ref>Modèle:Lien brisé, auteur de The Mating Mind.</ref>.

En dehors des approches liées à la psychologie

Une notion différente de l'empathie est développée dans l'ouvrage Pratique de la médiation de Jean-Louis Lascoux, avec le néologisme alterocentrage<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>,<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>.

Enseignement

Le Danemark est le seul pays au monde où des cours d'empathie sont obligatoires, pour les enfants de 6 à 16 ans, à raison d'une heure par semaine<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="RTBF">Modèle:Lien web.</ref>. Cette pratique a été codifiée dans la loi danoise de 1993 relative à l’éducation<ref name="RTBF"/>.

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Modèle:Colonne

Sources et bibliographie

  • Kohut, H., Analyse et guérison, éd. Presses universitaires de France, collection Le fil rouge, Paris, 1991
  • Modèle:Article
  • Modèle:Article
  • Berthoz, A., Jorland, G., L’empathie, éds. Odile Jacob, Paris, 2004
  • Horacio Etchegoyen, Fondements de la technique psychanalytique, éd. Hermann, 2005 Modèle:ISBN
  • Decety, J., & Ickes, W., The Social neuroscience of empathy, éd. Cambridge: MIT Press, 2009
  • de Waal Franz.B.M. (2010) L'âge de l'empathie ; Leçons de la nature pour une société solidaire, éd. Les Liens qui Libèrent, 392 pages, 2010
  • de Waal F.B.M (2012) The Antiquity of Empathy; Science 18 May 2012: Vol. 336 no. 6083 pp. 874-876 ; DOI: 10.1126/science.1220999 (Modèle:Lien web).
  • Jean-Philippe Faure & Céline Girardet, L’empathie ou Le pouvoir de l’accueil, Éditions Jouvence, 2004
  • Hochmann J (2012 ), Une histoire de l'empathie, éds. Odile Jacob, Modèle:ISBN
  • Modèle:Article
  • Seyfartha RM & Cheney D.L (2013) Affiliation, empathy, and the origins of theory of mind ; Proc. Natl. Acad. Sci. USA 18 June 2013: 10349-10356 (Modèle:Lien web).
  • Modèle:Ouvrage
  • Serge Tisseron, Empathie et manipulations : Les pièges de la compassion, Paris, Albin Michel, 2017, 177 p. Modèle:ISBN
  • Modèle:Article

Liens externes

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