Lac Tchad

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Le lac Tchad est un grand lac endoréique d'eau douce situé à la frontière entre le Niger (au nord-ouest), le Nigeria (au sud-ouest), le Cameroun (au sud) et le Tchad (à l'est). Le bassin hydrographique du lac couvre 7,8 % de la surface du continent, et alimente principalement le lac par le fleuve Chari, frontalier du Cameroun et du Tchad au sud-est.

Le lac abrite une grande diversité d'espèces, dont la prinia aquatique et l'alouette rousse, qui sont presque endémiques à la région. Au sud, la végétation bordant le bassin est majoritairement composée de papyrus, de Phragmites mauritianus et de Vossia cuspidata, tandis que le nord, légèrement plus salé, est bordé de roseau commun et de Typha australis. La salinité du lac reste basse, car les eaux chargées en sel quittent le lac par le sous-sol. Néanmoins, si l'apport hydrique du bassin nord reste faible, la salinité pourrait augmenter, et entraîner la disparition d'espèces.

De faible profondeur, le lac a vu sa superficie divisée par dix depuis 1960 en raison du déficit de pluviosité et de l'augmentation des prélèvements pour l'irrigation. Modèle:Refnec. Une telle situation pourrait se reproduire prochainement.

Dans ce contexte d'assèchement du lac, des projets de transfert d'eau depuis le bassin du Congo sont imaginés depuis les années 1930, sans avoir jamais abouti à ce jour. Les derniers projets envisagent un détournement d'une partie de la rivière Oubangui par un canal de plus d'un millier de kilomètres.

Géographie

Le lac Tchad est un grand lac endoréique d'Afrique (ses eaux ne rejoignent pas l'océan) dont les eaux sont douces, ce qui est rare pour ce type de lac<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le bassin hydrographique du lac a une surface de Modèle:Unité , couvrant 7,8 % de la surface du continent. Le bassin actif a une surface de Modèle:Unité.

Le principal apport en eau provient à 90 % du fleuve Chari et de son affluent, le Logone, tous deux ayant leur source dans les montagnes de la République centrafricaine. Le Komadougou Yobé, issu du Nigeria-est, a un débit amoindri par la présence de deux barrages qui ont fait chuter son débit de Modèle:Unité à Modèle:Unité par an. Bien qu'il ne participe que pour 10 % aux eaux du lac, c'est la séparation provoquée en deux bassins, nord et sud, qui rendit précaire l'alimentation du nord. La perte hydrique en aval des barrages a de plus été accentuée par un captage accru des puits<ref name="pnue-great lakes">PNUE, Afrika's Lakes, Atlas of Our Changing Environment, Modèle:P. ss.</ref>.

Jadis l'un des plus grands lacs du monde, le lac s'est réduit considérablement pendant les quatre dernières décennies. Dans les années 1960, il couvrait un secteur de plus de Modèle:Unité. En 2000, il était tombé à moins de Modèle:UnitéModèle:Refnec. Le déficit de pluviosité combiné à une plus grande utilisation des eaux du lac et des rivières pour l'irrigation – la population du bassin a doublé dans l'intervalle, et l'irrigation a quadruplé entre 1983 et 1994 – expliquent ce recul. Sa faible profondeur, qui est au maximum de Modèle:Unité, le rend fragile et très dépendant des fluctuations saisonnières. La navigation y est désormais impossible.

Fichier:Altitude of Lake Chad south pool and precipitations in 4 gauge stations.webp
En haut : Altitude expérimentale et modélisée de l'eau sur le bassin sud du lac Tchad. En bas : Précipitations annuelles à quatre stations de mesure dans le bassin du lac Tchad<ref name=PhamDuc2020/>.

À la suite du recul du lac dans les années 1970-1980, les nouvelles terres émergées, encore humides, ont permis d'entreprendre des cultures très productives surtout au sud du lac, côté tchadien. Les terres irriguées représentent Modèle:Unité, dont Modèle:Unité au Nigeria<ref name="pnue-great lakes"/>. La situation hydrologique, bien que fragile, semble stabilisée. Modèle:Citation<ref name=PhamDuc2020>Pham-Duc, B., Sylvestre, F., Papa, F. et al. The Lake Chad hydrology under current climate change. Sci Rep 10, 5498 (2020). https://doi.org/10.1038/s41598-020-62417-w</ref>

Même s'il demeure encore l'un des plus grands lac d'Afrique, le lac Tchad est dix fois plus petit qu'il y a cinquante ans : Modèle:Unité en 1964 contre Modèle:Unité en 2004<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Un projet de grande envergure, dénommé Transaqua, regroupant le Cameroun, le Nigeria, le Niger, le Tchad, la République centrafricaine et la Libye, doit opérer un transfert des eaux de l'Oubangui, qui prend sa source en République démocratique du Congo, vers le lac, via les fleuves Chari et son affluent Logone. L'opération nécessiterait le creusement d'un canal de Modèle:Unité en République centrafricaine. L'opération est loin de faire l'unanimité. Certains craignent ses impacts négatifs sur la biodiversité de l'Oubangui et du bassin du Congo. Par ailleurs, le mauvais état de l'Oubangui dont les eaux baissent dangereusement, plaide en faveur des opposants à Transaqua<ref>GEO no 403 de septembre 2012 Modèle:P..</ref>.

La NASA a financé une étude sur le lac Tchad dans le cadre de son système d'observation de la Terre. Les variations sont suivies par satellite artificiel, afin de prévenir les riverains des modifications attendues. L'agence américaine, qui a mené une étude de simulation climatique sur la région, prédit la disparition du lac à plus ou moins brève échéance<ref>Modèle:Article.</ref>.

Faune et flore

Le bassin versant du lac compte 179 espèces de poissons, le lac lui-même en compte 85.

Il y a de nombreuses îles flottantes sur le lac abritant une grande diversité d'espèces. Parmi ces espèces, se trouvent notamment des éléphants, des hippopotames, des crocodiles ainsi qu'une grande communauté d'oiseaux migrateurs comprenant des combattants variés et de nombreuses espèces de canards. Deux espèces d'oiseaux sont presque endémiques à la région, la prinia aquatique et l'alouette rousse<ref name=ww.org>Lake Chad flooded savanna World Wildlife.org.</ref>.

La végétation bordant le bassin du sud est majoritairement composée de papyrus, de Phragmites mauritianus et de Vossia cuspidata. Le bassin du nord, légèrement plus salé est bordé de roseau commun et de Typha australis<ref name=ww.org/>.

Évolution

Modèle:Article général

Fichier:Sahara avant le désert.jpg
Le Sahara avant l'actuelle phase désertique<ref>D'après Henri J. Hugot, Le Sahara avant le désert, éd. des Hespérides, Toulouse 1974 ; Gabriel Camps, « Tableau chronologique de la Préhistoire récente du Nord de l'Afrique : 2-e synthèse des datations obtenues par le carbone 14 » in : Bulletin de la Société préhistorique française vol. 71, n° 1, Paris 1974, p. 261-278 et Jean Gagnepain.</ref>
Fichier:Kanem-Bornu 1650.svg
Royaume du Kanem-Bornou vers 1650.
Fichier:CentralEastAfrica1750.png
Royaume du Kanem-Bornou et voisins en 1750.
Fichier:Borno in 1810-es.svg
Royaume du Kanem-Bornou en 1810.
Fichier:ShrinkingLakeChad-1973-1997-EO.jpg
Évolution du lac Tchad de 1973 à 2001 (NASA).

Durant les périodes postglaciaires, le Sahara bénéficia de conditions climatiques beaucoup plus clémentes qu'actuellement et le désert réel était très restreint. Le Sahara était en majeure partie couvert d'une végétation boisée de type méditerranéenne, particulièrement dans les massifs centraux avec autour d'eux de nombreux lacs et des prairies sèches, situation favorable à une faune giboyeuse.

Le lac Tchad est le reste d'une mer intérieure, le paléo-lac Tchad (ou paléo-Tchad). Modèle:Citation, il fut ainsi le plus grand des quatre paléo-lacs africains, plus grand que l'actuelle mer Caspienne et s'étendait probablement au nord jusqu'à une centaine de kilomètres de Faya-Largeau<ref>Modèle:Article</ref>. À ce moment, la rivière Mayo Kébi était l'exutoire du paléo-lac, le reliant au Niger et à l'océan Atlantique<ref name="leblanc">Modèle:Article</ref>. La présence de lamentins d'Afrique dans les affluents du lac témoigne de cette histoire. Modèle:Refnec

La récente diminution massive de la superficie du lac est principalement due à des pluies de plus en plus rares, des sécheresses dramatiques (1973, 1984, 2008) et le déboisement. Beaucoup de riverains sont défavorables à sa remise en eau, l'assèchement ayant mis à nu des terres fertiles dont ils tirent de bons revenus.

Climat

Le climat autour du lac est chaud et sec, avec des précipitations très variables – de 94 à Modèle:Unité annuels dont 90 % tombent entre juin et septembre. La rive sud est plus humide que le nord. Bien que l'évaporation soit importante, surtout durant la saison sèche, la salinité du lac n'augmente guère, les eaux les plus chargées en sel quittant le lac par le sous-sol<ref name="pnue-great lakes"/>.

Perspectives

La salinité du bassin nord pourrait augmenter si l'apport hydrique vers ce dernier reste faible, ce qui pourrait causer la disparition de nombreuses espèces végétales et animales, augmentant l'érosion par la suite. La pêche, qui est déjà passée de Modèle:Unité de 1970-1977 à Modèle:Unité en 1986-1989, pourrait encore diminuer, privant les riverains d'un revenu substantiel alors que les États du nord du Cameroun et du Nigeria comptent déjà parmi les plus pauvres de leurs pays respectifs. La raréfaction de l'eau potable pourrait enfin augmenter les cas de diarrhée, de choléra et de fièvre typhoïde<ref name="pnue-great lakes"/>. Toutefois, la perspective d'un classement du lac Tchad au patrimoine mondial de l'UNESCO<ref>Le Lac Tchad, source de conflits (décembre 2010)</ref> pourrait permettre la mise en œuvre d'une politique de préservation par l'ensemble des pays riverains.

Le lac Tchad est reconnu au titre de site Ramsar en 2001 dans ses parties nigérienne<ref>Modèle:Lien web</ref> et tchadienne<ref>Modèle:Lien web</ref>, et en 2008 dans ses parties nigériane<ref>Modèle:Lien web</ref> et camerounaise<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Projet de transfert d'eau depuis le bassin du Congo

Pour sauver le lac Tchad, un ancien projet a été réactualisé au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, celui du Transaqua. Il s'agit d'un projet de transfert d'eau interbassins, au départ de certains affluents du fleuve Congo vers le lac Tchad, et ce par un gigantesque canal qui utiliserait la vallée du fleuve Chari<ref name="Monde2018">Modèle:Lien web.</ref>.

Projet des années 1930

Face au risque d'assèchement du lac dès l'entre-deux-guerres, les autorités coloniales avaient commencé à échafauder un projet de raccordement depuis le Congo, projet baptisé à l'époque « Atlantropa ». Ce projet a finalement été abandonné après la seconde guerre mondiale et les décolonisations<ref name="Monde2018"/>.

Projet des années 1980

Modèle:Article détaillé Au début des années 1980, c'est une société italienne (Bonifica) qui propose un projet de transfert des eaux des fleuves Congo et Oubangui, par un canal de Modèle:Unité : le projet est baptisé Modèle:Citation<ref name="Monde2018"/>. Le projet, titanesque et peu fédérateur, ne verra finalement jamais le jour.

Projet des années 1990

Le projet d'origine formalisé au début des années 1990 prévoyait de barrer les cours de plusieurs rivières importantes du nord-est de la République démocratique du Congo au moyen de barrages de régulation, et de soustraire une partie de leurs débits pour les amener vers un lac artificiel construit sur l'Oubangui en amont de Bangui. De là un canal conduirait ces eaux vers la ligne de partage des eaux entre bassins du Congo et bassin du Chari, à environ Modèle:Unité d'altitude. Une fois franchi ce seuil, les débits seraient acheminés, toujours par canal, dans le lit du Chari, et finiraient par alimenter le lac Tchad et toute sa région. La longueur totale du canal aurait été d'environ Modèle:Unité dont à peu près la moitié dans le bassin du Chari. L'ensemble constituerait en outre une voie navigable internationale importante.

Le volume de prélèvement prévu dans ce premier projet était de l'ordre de 100 milliards de mètres cubes d'eau annuellement, c'est-à-dire environ Modèle:Unité par seconde.

Les travaux prévoyaient de barrer les tributaires de l'Oubangui, de l'Aruwimi, du Lindi et du Lowa, tous affluents de droite du Congo dans le quart nord-est du Congo-Kinshasa et le Sud de la Centrafrique.

État actuel du projet

Deux projets différents sont actuellement discutés, tous deux prévoyant le transfert d'une partie des eaux de l'Oubangui par un canal de Modèle:Unité.

Ces projets nécessitent en préalable l'accord de la République démocratique du Congo et de la République du Congo ; le cours d'eau à détourner (l'Oubangui) prenant sa source en République démocratique du Congo puis formant frontière avec la Centrafrique puis avec la République du Congo. La République du Congo donne son accord en 2005. En revanche, la République démocratique du Congo ne s'est pas encore prononcée officiellement en termes d'accord ou de désaccord vis-à-vis du projet puisque aucune demande officielle ne lui a été formulée concernant le transfert des eaux de l'Oubangui vers le lac Tchad ; elle n'a adhéré au projet qu'en tant qu'observateur en 1994 et en 2007<ref>Groupe l'Avenir (17 avril 2014), Irrigation et transfèrement des eaux de l’Oubangui vers le lac Tchad Bavon. Samputu apaise la colère des députés nationaux</ref>.

En mars 2008, le Nigeria, le Niger et le Tchad ont engagé le financement des études pour transférer une partie des eaux de l'Oubangui<ref>Modèle:Lien brisé {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} </ref>,<ref>Modèle:Lien brisé, novembre 2008.</ref>. L'étude de faisabilité, débutée en 2009, nécessite des moyens importants et le Nigeria, puissance pétrolière donc financière de la région, est prêt à y affecter cinq millions de dollars. Les quatre autres pays membre de la Commission du bassin du lac Tchad (CBLT), à savoir le Cameroun, la République centrafricaine, le Niger et le Tchad, contribueront ensemble à hauteur d'un million supplémentaire.

En 2010, un cabinet canadien est commandité par la Commission du bassin du lac Tchad pour réaliser une étude (jamais publiée) sur un scénario moins ambitieux d’un transfert de Modèle:Unité d’eau par an (contre Modèle:Unité/an pour Transaqua). Le coût évalué demeure exorbitant : 11 milliards d’euros, pour des bénéfices incertains<ref name="Monde2018"/>.

En 2014, Romano Prodi, envoyé spécial de l’Organisation des Nations unies pour le Sahel en 2012 et 2013, appelle les membres CBLT à ne plus attendre de nouvelles études. Les 4 et 5 avril 2014 à la conférence de Bologne pour le financement du sauvetage du lac Tchad, les acteurs se sont engagés à la création d'un comité de suivi et d'un comité de scientifique mondial<ref name=diplo>Modèle:Article</ref>.

Entretemps, des voix se sont élevées contre ce projet qui pourrait comporter des risques environnementaux et surtout sociaux, une population importante vivant désormais dans le lit de l'ancien lac<ref name="Monde2018"/>.

Rôle économique

Son rôle économique est très important, car il doit fournir l'eau à plus de Modèle:Nobr de personnes des quatre pays limitrophes : le Tchad, le Cameroun, le Niger et le Nigeria<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Annexes

Bibliographie

  • Henri Jacques-Félix, « La vie et la mort du lac Tchad : rapports avec l'agriculture et l'élevage », in Bulletin agronomique, no 3, 1947
  • Moustapha Abakar Malloumi, La Coopération sous-régionale et la gestion durable des eaux du lac Tchad.
  • Michel Alain Roche, Traçage naturel salin et isotopique des eaux du système hydrologique du lac Tchad.
  • Jean-Paul Lebeuf, Carte archéologique des abords du lac Tchad : Cameroun, Nigeria, Tchad.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Carmouze J.-P., Durand J.-R. & Lévêque C., Ed, 1983, Lake Chad, Ecology and productivity of a shallow tropical ecosystem. La Haye, Modèle:Dr W. Junk, Monographiae Biologicae vol. 53, 575 p.
  • Marina Bertoncin et Andrea Pase, Autour du lac Tchad. Enjeux et conflits pour le contrôle de l'eau, L'Harmattan, Paris, 2012, 360 p. Modèle:ISBN

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Modèle:Références

Modèle:Portail