Irénée de Lyon

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Irénée de Lyon (en latin Modèle:Langue) ou Irénée de Smyrne, né vers 140 en Asie mineure, vraisemblablement à Smyrne et probablement mort à Lyon vers 200, est une personnalité du christianisme ancien.

Cet élève de Polycarpe de Smyrne migre vers la fin des années 170 en Occident, où il dirige la communauté chrétienne de Lyon, ville dont il est considéré par la tradition comme le deuxième évêque. Premier apologiste à réaliser une œuvre de théologie systématique en Occident, il est l'auteur d'une Réfutation de la prétendue gnose au nom menteur, aussi connue sous le nom de Contre les hérésies.

Irénée compte au nombre des Pères de l'Église et est déclaré « Docteur de l'Église » avec le titre de « Docteur de l'unité » (Doctor unitatis) par le pape François en 2022. Vénéré comme saint, il est fêté le 28 juin dans l'Église catholique et le 23 août dans l'Église orthodoxe.

Éléments biographiques

Sources

On connait peu de chose de la vie d'Irénée. Sa chronologie est mal établie, l'essentiel provenant de quelques éléments de ses œuvresModèle:Sfn et de ce qu'en dit Eusèbe de Césarée dans son Histoire de l'Église, datée des premières décennies du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècleModèle:Sfn.

Origines

Irénée (en grec ancien Modèle:Grec ancien : Eirênaĩos Modèle:Citation) est né en Asie mineure, vraisemblablement à Smyrne, entre les années 130 et 140, quoique les dates proposées peuvent se situer entre 115Modèle:Sfn et 145Modèle:Sfn. De langue et de culture grecques, Irénée affirme avoir entendu prêcher l'épiscope Polycarpe de Smyrne<ref>Modèle:Citation Contre les hérésies, III, 3, 4.</ref>, dirigeant de la communauté chrétienne d'une ville de la côté égéenne devenue un important foyer culturel et littéraire, mort âgé en martyre vers la fin des années 150<ref>La tradition rapporte que Polycarpe est martyrisé à l'âge de quatre-vingt-six ans le Modèle:Date, brûlé vif dans le cirque de Smyrne : cf. Modèle:Harvsp.</ref> ou 160<ref>Modèle:Chapitre</ref> et dont Irénée a peut-être été l'auditeur ou l'élève dans ses jeunes annéesModèle:Sfn.

D'après ce dernier, Polycarpe affirmait avoir connu l'apôtre JeanModèle:Sfn, ce qui confère aux deux hommes un lien avec les temps apostoliques<ref name=":0">Modèle:Chapitre</ref>. Cette succession apostolique est d'ailleurs un point central de la théologie irénéenne, considérant les épiscopes comme des « porte-paroles », des maîtres qui, à l'instar des écoles antiques de philosophie ou de médecine<ref name=":1">Modèle:Chapitre</ref>, prolongent l'enseignement des apôtres et non comme leurs successeurs dans l'autorité<ref name=":0" />.

Lyon

Vers le début des années 160Modèle:Sfn, Irénée émigre en Occident. Il réside peut-être dans un premier temps à Rome, qu'il semble bien connaîtreModèle:Sfn, pour poursuivre une formation de rhéteurModèle:Sfn. On le retrouve ensuite lié à la communauté chrétienne de Lyon, une ville qu'il ne cite jamais dans ses œuvres, mentionnant toutefois qu'il réside « chez les Celtes » dont il a appris le « dialecte barbare »<ref name=":1" />. Cette communauté chrétienne locale est en partie composée de migrants hellénophones, venus aussi d'Orient dans cette colonie romaine de langue latine implantée en territoire celte. C'est la capitale de la province de Gaule Lyonnaise, devenue la plus grande ville bâtie au nord des Alpes et un important centre économique, culturel et religieux<ref name=":1" />.

Il est vraisemblable que ce soit la nature de cette communauté chrétienne, culturellement et religieusement moins intégrée à la vie de la cité, qui suscite la méfiance voire le mépris de la population, contribuant à la sévère persécution locale dont elle est victime à la fin des années 170<ref name=":1" /> : une émeute populaire à leur encontre mène les autorités à se saisir des chrétiens et à en exécuter un certain nombre<ref name=":1" />, environ une cinquantaine, tous originaires d'Asie Mineure, tandis que leur vieux dirigeant Pothin, chargé de la « diaconie de l'épiscope » meurt lors de son incarcération<ref name=":2" />.

Épiscopat

C'est à l'occasion de cet évènement qu'Eusèbe de Césarée mentionne Irénée<ref>Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, V, 2.</ref>. On ignore par ailleurs comment il échappe à la persécution, un phénomène très local, aléatoire et fortuit<ref name=":2">Modèle:Chapitre</ref>. Selon Eusèbe qui se réfère au début d'une forme de « lettre de recommandations » adressée à l'épiscope de Rome Éleuthère par les chrétiens de Lyon et de Vienne en attente de leur exécution<ref>Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, V, 4, 1-2.</ref>, Irénée est mentionné comme « porteur » du message et accrédité comme « presbytre » de leur communauté<ref name=":2" />. Eusèbe explique que c'est vers la même époque, aux alentours des années 180, qu'Irénée reçoit la direction comme « épiscope » de la communauté de Lyon en succession de PothinModèle:Sfn, à une époque où les titres et fonctions au sein du christianisme ancien ne sont pas clairement établis.

Le seul évènement concret connu de son épiscopat est son intervention auprès de l'évêque de Rome Victor (189-198) au sujet d'une querelle qui divise les communautés chrétiennes autour de la célébration de la date de Pâques et de la durée du jeûne l'entourant : tout en s'accordant avec la position de Victor, Irénée l'invite toutefois à faire preuve de tolérance et de charité envers ses opposants<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. C'est aux alentours de 185<ref>Modèle:Chapitre</ref> qu'Irénée écrit son œuvre la plus connue — Réfutation de la prétendue gnose au nom menteur — qui semble témoigner de divisions et des courants qui traversent sa communauté, repris sous le vocable général de « gnosticisme », courants qu'il entend démasquer et combattre sur le mode typiquement antique de la refutatio<ref name=":2" />.

Bien qu'il n'y ait pas de preuve qu'Irénée ait vécu au-delà de la fin de l'épiscopat de VictorModèle:Sfn et que ni les circonstances ni la date de sa mort ne soient connues, Jérôme de Stridon attribue vers 410 le titre de martyr à Irénée<ref>Modèle:Chapitre</ref> dans une allusion fugace de son Commentaire sur İsaïe<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

C'est ensuite Grégoire de Tours (c.539-594) qui, le premier, rapporte l'histoire de son martyre qu'il situe au cours d'une persécution lors du règne de Septime Sévère (193-211)Modèle:Sfn ; Grégoire affirme en outre qu'Irénée a été enterré sous l’autel dans une crypte la basilique lyonnaise Saint-Jean, devenue plus tard l'église Saint-Irénée<ref>Modèle:Article</ref>. Depuis lors, les années situées vers 200<ref>Modèle:Ouvrage</ref>-202Modèle:Sfn sont souvent proposées comme dates traditionnelles de sa mort<ref name=":3">Modèle:Ouvrage</ref>.

Écrits

Modèle:Article détaillé

Fichier:POxy405.jpg
Fragments du papyrus d'Oxyrhynque Modèle:N° contenant une copie du Contre les hérésies datant de 200 environ. Bibliothèque de l'université de Cambridge.

Irénée est l'auteur d'une Réfutation de la prétendue gnose au nom menteur généralement connue sous le titre de Contre les hérésies (Modèle:Langue). Il y dénonce une « gnose au nom menteur », perversion de la « vraie gnose »<ref>Modèle:Ouvrage</ref> qui est la foi chrétienne qu'il défend, l'authentique connaissance de Dieu<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Il n'existe de cet ouvrage qu'une traduction latine, une traduction arménienne des livres IV et V, ainsi que des fragments en syriaque et en grec<ref name="DECA">Modèle:Harvsp.</ref>.

Traité destiné à réfuter Valentin d'Égypte et les gnostiques, usant de la calomnie et d'une certaine malveillance caractéristique du genre, la Réfutation a constitué la principale source historique sur ce courant gnostique jusqu'à la découverte de la bibliothèque de Nag HammadiModèle:Sfn. Mentionnant entre autres l'existence de l'évangile de Judas<ref>Modèle:Chapitre</ref>, la Réfutation dresse également la liste de succession des évêques de Rome<ref>Cf. Contre les hérésies, III, 3, 3 : Modèle:Citation.</ref> .

Irénée est aussi l'auteur de la Démonstration de la prédication apostolique (Demonstratio apostolicae praedicationis), postérieure à la Réfutation et dont l'existence n'a longtemps été connue que par une mention d'Eusèbe de Césarée<ref name=":6">Modèle:Ouvrage</ref>. L'original grec est perdu mais une version arménienne a été retrouvée en 1904 et publiée en 1907. Il s'agit d'un cours traité qui résume la foi chrétienne<ref name="DECA_1232">Modèle:Harvsp.</ref>, constituant une espèce de catéchisme destiné à un chrétien déjà baptisé, du nom de Marcianus <ref name=":6" />.

Eusèbe de Césarée cite également des extraits de deux lettres : À Florinus et Au pape Victor<ref name=DECA_1232/>.

On ne sait rien de fiable sur ses autres écrits<ref name=DECA_1232/>.

Théologie

L'histoire du salut

Fichier:Saint Irenaeus detail.jpg
Irénée de Lyon, icône orthodoxe.

Lors de la lutte antignostique, Irénée affirme qu'une histoire du salut est annoncée par les Écritures, commencée par Dieu et parachevée par le Christ. L'essentiel réside dans l'engendrement par Dieu d'un homme véritable qui est chair. La chair est l'image substantielle de Dieu, visible dans la chair glorieuse de Jésus. Elle est élevée à Dieu progressivement par la contemplation de Dieu. Cette vérité de l'esprit et de la chair, malgré le péché d'Adam, explique l'expression d'Irénée : Gloria (enim) Dei vivens homo, vita autem hominis visio Dei (« La gloire de Dieu est l'homme vivant, mais la vie de l'homme est la vision de Dieu<ref>Contre les hérésies, IV 20:7.</ref> »). L'œuvre de Dieu a pour but le salut de la chair admise à voir Dieu<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> : il n'y a qu'un seul et unique dessein de Dieu, le salut de l'homme dans toutes ses composantes, Modèle:Citation dans la personne du Christ.

Les Pères de l'Église du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ont éclipsé la synthèse théologique d'Irénée, mais elle n'en reste pas moins, de par son contact avec les origines du christianisme, l'un des moteurs du dynamisme évangélisateur du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La Tradition (paradosis) est désormais fondée<ref>Michel Rouche, Les Origines du christianisme : 30-451, Hachette, 2007.</ref>,<ref>Pierre Maraval (historien) et Simon Claude Mimouni, Le Christianisme des origines à Constantin, PUF, 2006.</ref>.

Église et tradition

Cette synthèse théologique vient d'une réaction à la doctrine gnostique. Modèle:Citation<ref name=DECA_1232/>.

Chez lui, l’autorité des Écritures est absolue : la Bible suffit pour connaître Dieu et son œuvre, toute spéculation supplémentaire étant vaine. Il affirme l’unité de la foi avec celle de l'Église, et soutient que l’Écriture révèle un plan de Dieu pour le salut des hommes.

Irénée est le premier à parler de la Modèle:Citation : contre les « hérétiques », il défend la tradition de l'Église, qui se veut fondée sur la Modèle:Citation qui est la foi. Face à ceux qui s'appuient sur une Modèle:Citation qui leur est propre et sélectionnent les Écritures, Irénée insiste sur l'Écriture dans sa globalité et sur la Tradition de l'Église. Il réfute les gnostiques en décrivant leurs doctrines à la lumière des Écritures.

Sa conception de l'herméneutique repose sur plusieurs principes<ref name=Margerie/>. En premier lieu, Irénée présente la vérité comme un corpus dont les différentes doctrines forment les membres : le Modèle:Citation permet de distinguer les vraies et les fausses interprétations de l'Écriture<ref name=Margerie/>. En dernier ressort, la Tradition permet de décider de la légitimité d'une doctrine<ref name=Margerie/>. Cette Tradition n'est autre que l'enseignement des évêques qui se sont succédé sans interruption depuis les apôtres, surtout dans l’Église de Rome fondée par Pierre<ref name=Margerie/>. Enfin, une interprétation a des chances d'être exacte si elle est en harmonie avec les autres textes de l’Écriture<ref name=Margerie>Modèle:Ouvrage</ref>.

Ce qui apparaît chez Irénée, c’est une théologie de l'Église : la transmission de l'enseignement des apôtres n'est pas laissée à l'initiative des « docteurs » privés (laïcs). Les apôtres eux-mêmes ont fondé les institutions par lesquelles ils ont voulu que leur enseignement soit transmis. Seules ces institutions garantissent la conformité d'une doctrine avec la révélation. De cela, Irénée voit une confirmation dans l'unité de l'enseignement des évêques. Autant les écoles gnostiques sont divisées et se contredisent, autant l'enseignement des évêques est un sur toute la surface de la terre<ref>Jean Daniélou, L'Église des premiers temps, des origines à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Paris, Seuil, coll. Modèle:Citation, 1985 Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.

Les quatre Évangiles

Modèle:Article connexe

Fichier:München-Obermenzing Schlosskapelle Blutenburg 751.JPG
Les Quatre Évangélistes avec leurs symboles (de g. à dr., Matthieu, Jean, Luc et Marc). Prédelle du maître-autel Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, chapelle du château de Blutenburg, Munich.

Irénée défend dès 170 l'idée qu'il n'existe que quatre Évangiles légitimes. Et seuls quatre Évangiles seront ultérieurement inscrits dans le canon du Nouveau Testament : les Évangiles selon Matthieu, selon Marc, selon Luc et selon Jean :

Modèle:Citation bloc

Par là, il s'oppose à Marcion, qui affirme que l'Évangile selon Luc est le seul et véritable Évangile<ref name=Davis>Glenn Davis, The Development of the Canon of the New Testament : Irenaeus of Lyons</ref>,<ref>Raymond Edward Brown An Introduction to the New Testament, Anchor Bible, Modèle:1re, 1997 Modèle:ISBN, Modèle:P.14.</ref>. Irénée est aussi le premier auteur connu à déclarer que l'Évangile selon Jean est l'œuvre de Jean l'apôtre<ref name=p368>Ibid, Modèle:P.368.</ref> et que l'Évangile selon Luc est celle de Luc, le compagnon de Paul<ref>Ibid, Modèle:P.267.</ref>.

Dans son Contre les hérésies III:1, il précise :

Modèle:Citation bloc

Vénération et postérité

Présent dès la première édition du Martyrologe romain à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, inspiré des martyrologes d'Usuard et de Florus qui au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, se fondant sur Grégoire de Tours, attribuent une date à son martyr<ref name=":4" />. En 1638, Claude Grolier, prieur de Saint-Irénée, obtient une partie importante du chef d’Irénée qu’il fait enchâsser dans un reliquaire en argent et l'offre à la dévotion des fidèles dans son église<ref name=":5">Modèle:Chapitre</ref>.

Localement, Irénée est initialement fêté le 28 juin mais la date tombant un jour de pénitence lié à la Vigile des saints apôtres Pierre et Paul, la solennité est déplacée au Modèle:Date pour mieux l’individualiser, puis, au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est fixée au dimanche qui suit cette date<ref>Modèle:Chapitre</ref>. Enfin, suivant le Rituel du diocèse de Lyon de l’archevêque Antoine de Malvin de Montazet (1788), la fête est à nouveau déplacée pour célébrer Irénée et « ses compagnons martyrs (...) le dimanche le plus prochain après le 29 [juin]»<ref>Modèle:Chapitre</ref>. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, à la suite des travaux de la recherche, Irénée est retiré du Martyrologe<ref name=":4">Modèle:Article</ref> mais, vénéré comme saint, il est fêté le 28 juin dans l'Église catholique et le 23 août dans l'Église orthodoxe<ref name=":3" />.

Sur un plan théologique, l'influence d'Irénée décroît rapidement à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et ses écrits tombent progressivement dans un certain oubli avant qu'Érasme publie une édition princeps du Adversus hæreses en 1526 et qu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les travaux du concile Vatican II réhabilite sa pensée théologique et le pose en modèle épiscopal à suivre<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. En 1685, l’archevêque de Lyon Camille de Neufville de Villeroy nomme Irénée patron et protecteur du diocèse et lui dédie le séminaire qu’il fait construire en 1663<ref name=":5" />.

En 2018, le cardinal Philippe Barbarin, [[Liste des évêques et archevêques de Lyon|Modèle:140e archevêque de Lyon]], sollicite auprès du pape François qu'il proclame son très ancien prédécesseur Irénée Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le décret faisant d'Irénée un Docteur de l'Église est publié par François le 21 janvier 2022<ref>Modèle:Lien web</ref> :

Modèle:Citation bloc

Notes et références

Modèle:Références nombreuses

Bibliographie

Ouvrages d'Irénée de Lyon

  • Contre les hérésies (188), trad. Adelin Rousseau et Louis Doutreleau, Cerf, coll. « Sources chrétiennes » ; Livre I, Modèle:N°, 2 vol., 1979 ; Livre II, Modèle:N°, 2 vol., 1982 ; Livre III, Modèle:N°, 2 vol. : 1974 ; Livre IV, Modèle:N°, 1965, 1008 p. ; Livre V, Modèle:N°, 2 vol., 1969.
    • Contre les hérésies. Dénonciation et réfutation de la gnose au nom menteur, trad. Adelin Rousseau, Cerf, coll. « Sagesses chrétiennes », Modèle:3e éd. 1991, 752 p.
  • Démonstrations de la prédication apostolique, trad. Léon Marie Froidevaux, Cerf, coll. « Sources chrétiennes » Modèle:N°, 1959 ; trad. Adelin Rousseau, Modèle:N°, 1995.
    • Démonstration de la prédication apostolique, trad. de l'arménien Jean-Pierre Mahé et Rose Varteni Chétanian : Premiers écrits chrétiens, Gallimard, coll. « La Pléiade », 2016, Modèle:P..

Ouvrages généraux

Études sur Irénée de Lyon

Voir aussi

Articles connexes

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Liens externes

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