Vitteaux
Modèle:Homophone Modèle:Infobox Commune de France
Vitteaux est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Ses habitants sont les Vitteliens et Vitteliennes.
Géographie
Vitteaux, traversé par la Brenne, est une commune du canton de Semur-en-Auxois, peuplé par plus de Modèle:Nombre. Situé à une altitude de Modèle:Unité et sur une surface de 2 070 hectares, Vitteaux est sous la bonne garde du plateau de Myard. Sur un territoire vallonné, agriculture et prairies d'élevage occupent la majorité des sols, les hauteurs sont généralement boisées. La commune est à Modèle:Unité au nord-ouest de Dijon, en rejoignant l'A 38 ; l'A6 / E15 passe au sud-ouest de la commune. Un itinéraire cycliste, reprenant en partie le tracé d'une ancienne ligne de chemin de fer, rejoint Posanges au nord, et des circuits pédestres ont été aménagés autour des centres d'intérêt (éperon barré de Miard, roches de Saffres).
-
Vitteaux, en arrière-plan Cessey-lès-Vitteaux, montagnes de Chardon à gauche et de Come-Chaloir à droite (vue depuis la côte de Vesvres).
Hydrographie
La Brenne a formé une plaine (310–320 m d'altitude) dans laquelle se sont installées les agglomérations de Vitteaux et de Cessey-lès-Vitteaux. De chaque côté le relief remonte vers des plateaux largement boisés (à plus de 500 m d'altitude), au sud-ouest la montagne de Miard, au nord-est le plateau de Dampierre-en-Montagne (montagnes de Chardon, de Come-Chaloir). Plusieurs sources apparaissent dans les versants et alimentent des ruisseaux (ruisseaux de Miard, du Pontot, de la Fiolle, de Roche-d'Hys, de la Batarde…) qui participent toutes au débit de la Brenne. La source du Pas est captée pour la distribution d'eau. La Brenne fait partie du bassin versant de la Seine par l'Armançon et l'Yonne, elle entraînait autrefois plusieurs moulins (Moulin Blanc, moulin du Foulon, Moulin-Brûlé, Moulin du seigneur (Moulin mousseron)…).
Hameaux, écarts, lieux-dits
- Le village de Vic-de-Chassenay comprend le quartier de Come-Paris.
- Hameaux détachés du village : Cessey-lès-Vitteaux et son quartier Beauregard.
- habitat ou bâti écarté : fermes de Saint-Joseph, de Miard, du Moulin-Brûlé, bergeries Saint-Pierre, de Bellevue.
- lieux-dits d'intérêt local : montagne de Miard (ou Myard, ancien éperon barré), côte de la Justice, moulin du Foulon, le Moulin Blanc.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Vitteaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Un projet de 70 à 90 logements sur trois hectare est en réflexion. Il figure au palmarès projet ruraux de l'appel à projet national écoquartiers 2009 du Ministère chargé de l'écologie et du développement durable<ref>Saint Germain, palmarès projets ruraux, Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,8 %), terres arables (32,7 %), forêts (13,4 %), zones urbanisées (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Préhistoire
Le site du Camp Myard atteste d'une occupation humaine au Néolithique moyen. À cette époque, l'avancée naturelle de la partie nord de la montagne de Myard a été aménagée en éperon barré par la construction au sud du site d'un rempart de Modèle:Unité de long délimitant ainsi une enceinte de Modèle:Unité. Le rempart ne comporte aucune porte. Compte tenu des éboulements de pierres retrouvés, sa hauteur initiale est estimée à environ Modèle:Unité pour une largeur de Modèle:Unité à Modèle:Unité. La pierre utilisée a été en partie extraite sur place. Chaque face est constituée d'un parement de blocs ajustés, l'intérieur du mur étant constitué de pierraille. Certaines habitations (Modèle:Unité à Modèle:Unité de large) ont été adossées directement contre le rempart. Les murs sont en pierre, parfois enduits d'argile, et les charpentes en bois. Certaines habitations pourraient avoir disposé d'un plancher surélevé<ref name="Guilaine">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Le matériel archéologique retrouvé a été daté du Bronze final : des datations au carbone 14 indiquent une période comprise entre -3225 (plus ou moins 135 ans) et -2400 (plus ou moins 130 ans) av. J.C<ref name="Vitteaux">Modèle:Article.</ref>.
Le site fut détruit par un incendie vers le milieu du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:| }} }} millénaire<ref name="Guilaine"/>. Il est classé Monument Historique depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Antiquité
De même, de nombreux objets retrouvés aux environs attestent de la présence de l'homme durant la période gallo-romaine.
Moyen Age et Temps modernes
La seigneurie de Vitteaux (cf. <ref>Modèle:Lien web.</ref>, et Vitteaux sur GeneaWiki) relevaient des ducs de Bourgogne ; Marguerite de Bourgogne († après 1300) l'apporta à Jean Ier de Chalon-Arlay lors de leur mariage vers 1280. Parmi leurs descendants, Jean de Chalon, fils cadet du prince d'Orange Jean III de Chalon-Arlay, était baron de Vitteaux, de Lormes et de L'Isle, et il épousa en 1424 Jeanne de La Trémoïlle, héritière d'Uchon, Bourbon-Lancy, et de Joigny.
Leur fils Charles de Chalon, comte de Joigny, eut pour fille héritière Charlotte de Chalon-Joigny, mariée 1° à Adrien de Sainte-Maure-Montgauger (vers 1465-1507), comte de Nesle (d'où la suite des comtes de Nesle et de Joigny), et 2° à François de Tourzel d'Alègre, vicomte d'Arques et de Beaumont-le-Roger, Grand-maître des Eaux et Forêts de France, † 1512 à Ravenne : d'où Anne de Tourzel d'Alègre, dame de Précy et de Vitteaux, femme en 1527 d'Antoine III (ou IV) Du Prat (1503-† vers 1553/1557), seigneur de Nantouillet, baron de Thiers et de Thoury-sur-Allier (à Neuvy), fils aîné du chancelier Duprat.
La succession de Vitteaux continua chez les Duprat jusqu'à la Révolution, d'abord par leur fils cadet Guillaume du Prat (infatigable bretteur et ennemi juré de ses cousins d'Alègre, tué en duel le Modèle:Date- derrière les Chartreux de Paris ; sans alliance ni postérité légitime), puis dans la postérité de leurs autres fils François du Prat (baron de Thiers, tué en duel en Modèle:Date- : Postérité) et Antoine IV du Prat († 1589 ; sire de Nantouillet, Précy et Toury-sur-Allier, prévôt de Paris, chambellan de Charles IX, mari en 1527 d'Anne de Barbençon-Canny : Postérité)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Époque contemporaine
En 1861, Vitteaux a absorbé la commune de Cessey-lès-Vitteaux.
Une gare ferroviaire a fonctionné pour les voyageurs sur la commune de 1891 à 1953 située sur la ligne d'Épinac-les-Mines à Pouillenay. La ligne est entièrement déclassée le 14 février 1992.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux, monuments et curiosités
Au cœur de l’Auxois, traversée par les eaux de la Brenne, la petite ville de Vitteaux conserve des vestiges de fortifications, témoins d’un passé belliqueux, et de belles maisons médiévales et Renaissance, groupées autour des halles du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. La maison Bellime, visible depuis la place, offre un très bel exemple d’architecture médiévale avec ses fenêtres géminées et sa cheminée massive. Toute aussi charmante, la maison à pans de bois sur la place accueille l’office de tourisme. Il faut quitter la grande rue et ne pas hésiter à s’engager dans les ruelles ou à flâner le long de la Brenne pour s’imprégner du charme de ce bourg. Son caractère doit aussi beaucoup au paysage vallonné qui l’entoure de toutes parts.
-
Maison médiévale.
-
Monument aux morts.
-
Monument B.M.V. 1914-1918.
-
Souvenir de la guerre 40-44 à Cessey-lès-Vitteaux.
En 2015, la commune compte Modèle:Nombre inscrits à l'inventaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, Modèle:Nombre répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, Modèle:Nombre répertoriés à l'inventaire des objets historiques<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> et Modèle:Nombre répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
En se baladant au fil des ruelles de Vitteaux, il est possible de découvrir les monuments et curiosités suivantes :
- le patrimoine religieux :
- l'église Saint-Germain, fondée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par les bénédictins de Flavigny-sur-Ozerain, puis reconstruite en 1180 par Mathilde de Courtenay. Elle possède un portail du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, avec des vantaux gothiques du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle figurant les apôtres. À l'intérieur, un triptyque peint par Nicolas de Hoey en 1592 représentant la Trinité, entourée des instruments de la Passion, qui ornait autrefois la chapelle de la Trinité construite par Guillaume Drouas de Boussey. (Modèle:Classé MH)<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>. Remarquer son clocher vrillé appelé clocher tors, ainsi que sa tribune d'orgues en bois sculpté du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (Modèle:Classé MH)<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ou son Christ en buis de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. À voir aussi la crypte funéraire de Claude Languet et de ses deux épouses, remarquable par ses fresques.
-
Portail (Modèle:Classé MH)<ref name="PA00112734">Modèle:Base Mérimée.</ref>.
-
Statue de saint Germain sur le tympan.
-
Saint Germain (Modèle:Classé MH)<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
-
Saint Georges terrassant le dragon (Modèle:Classé MH)<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
-
Saint Germain d'Auxerre, en gouverneur (gauche) et en évêque (droite).
-
Quatre blasons - détails des vitraux.
- le couvent de la Providence (également appelé couvent des Minimes), racheté par l'hôpital situé à côté en 1963. Construit en 1651, il fut utilisé pour de nombreuses affectations au fil des siècles. Il possède encore son guichet pour les mendiants.
- Chapelle de l'hôpital avec un petit clocher à dôme en bois.
-
Couvent de la Providence...
-
devenu dépendance de l'hôpital.
-
Chapelle de l'hôpital.
- chapelle de la Trinité en rive de la Brenne dans la ruelle Ferrand. Elle a été offerte aux habitants du quartier par Guillaume Drouas, seigneur de la Plante à Boussey et son épouse née Marcelline Pivert afin de soulager les habitants de la ville basse se rendant à la messe, notamment lors d'hivers rudes, leur évitant de grimper dans la ville haute sur le pavé gelé.
- Chapelle Sainte-Anne de la Croix-Voisin dite chapelle Voisin, petit bâtiment rectangulaire à contreforts précédé d'un portique en bois (en sortie de ville à l'est). Un texte gravé sur la clé de voûte du cintre au-dessus de la porte ("MR. TH BERTHIER 1621") rappelle son origine : bâtie par Thomas Berthier en 1621.
-
Façade de la chapelle de la Trinité.
-
Escalier d'accès à la rivière.
-
Alignement dans la ruelle.
-
Chapelle Voisin.
-
Marques de l'origine de la chapelle.
- Église Saint-Bénigne de Cessey-lès-Vitteaux, typique petit bâtiment à plan en croix latine dans un enclos.
-
Église Saint-Bénigne.
-
L'église dans son enclos.
- un grand nombre de maisons et d'hôtels particuliers :
- l'office de tourisme, maison à pans de bois dits en "écharpes de Saint-André" caractéristiques du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La cour du bâtiment, entièrement restaurée, est remarquable avec son passage en galerie et son escalier extérieur. Les salles de l'office de tourisme accueillent toute l'année diverses expositions.
- la maison Decailly (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) où l'on peut notamment distinguer sur la porte l'inscription suivante en lettres enclavées : "in domino confido".
- la maison Bélime, édifiée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Mathilde de Courtenay, châtelaine de Vitteaux. Remarquable pour ses fenêtres géminées à tympans trilobés (Modèle:Classé MH)<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- l'hôtel Ferrand (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) dont on peut remarquer les poutres sculptées de têtes (Modèle:Classé MH)<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- l'Hôtel Piget, hôtel particulier dont les bâtiments sont ordonnés autour d'une cour. Sur la rue, galerie à pan de bois et escalier en encorbellement. Le plafond peint du premier étage du corps de logis (remanié au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) est également remarquable.
Modèle:Classé MH : L'Hôtel Piget fait l'objet d'une inscription au titre des Monuments historiques depuis le Modèle:Date- (pour le corps de logis, la galerie à pan de bois et les communs) et d'un classement au titre des Monuments historiques depuis le Modèle:Date- (pour la galerie en totalité, y compris l'escalier en encorbellement sur la rue et le plafond peint du premier étage du corps de logis)<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. - la tour octogonale située place du 8-Mai.
-
Maison aux piliers.
-
Maison de l'office de tourisme.
-
Maison Bélime.
-
Hôtel Ferrand.
-
Hotel Piget.
-
Tour octogonale.
- le site de l'ancien château
- la tour de Guet, construite sur une ancienne tour du château (tour de la prison), elle offre un superbe panorama sur Vitteaux et l’éperon barré de Myard.
- le puits, où se réfugierait selon la légende la vouivre.
- les fossés du château creusés dans le roc qui peuvent faire jusqu'à Modèle:Unité de profondeur.
- l'ancienne entrée du château dont ne subsiste plus que les soubassements des deux tours rondes qui encadraient un pont-levis.
- l'ancienne chapelle du château, seule la façade en est visible, le reste du bâtiment a été réhabilité.
- les fortifications du village : on peut encore croiser plusieurs tours des anciennes fortifications du village. La tour la plus remarquable était la tour-porche qui enjambe la rivière.
-
Tour de guet de l'ancien château.
-
Ancienne chapelle du château.
-
Rempart du bourg médiéval,
-
le long du ru de la Batarde...
-
qui passe sous la tour-porche.
- le patrimoine civil
- les halles datant des Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elles ont été partiellement reconstruites au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. On y organisait encore de grands banquets au début du siècle. Elles servent de nos jours d'entrepôt (Modèle:Classé MH)<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- l'hôpital Saint-Nicolas et sa chapelle, construit en 1750 et financé par le don de Claude de Baudenet (Modèle:Classé MH)<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- L'hippodrome de Marcilly (installé sur les communes de Vitteaux et de Marcilly-et-Dracy) créé par Gilbert Mathieu, ancien député-maire, des courses nationales y ont lieu chaque été<ref>Site des courses hippiques, rubrique Vitteaux</ref>.
- les lavoirs, dont un à impluvium.
- le four, décoré par les enfants des écoles, édifié pour la cuisson d'une brioche géante.
- Le colombier à toit de lave et muni d'une radière (et non d'un larmier) destinée à empêcher les rongeurs d'accéder aux boulins.
-
Halles.
-
Hippodrome de Marcilly.
-
Colombier.
-
Sculpture dans la cour de l'hôtel de ville.
- Art
- le parcours d'ombres nocturne dans les ruelles de Vitteaux est un circuit ombres et lumières avec le théâtre d’ombres par Christian Boltanski réalisé en 2004: les maisons s’animent de silhouettes fugitives dans le centre de Vitteaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- la soucoupe volante, de Sylvie Fleury dans le parc de la ville inauguré en 2007<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Hubert Languet, diplomate français protestant né en 1518 dans l'actuelle maison Bélime.
- Raymond Breton (1609-1679), missionnaire et linguiste dominicain, auteur du premier dictionnaire français-caribe, né à Vitteaux<ref>Modèle:Article</ref>.
- François Simon-Grandchamps (1746-1807), général français de la Révolution et de l’Empire, né à Vitteaux.
- Jean Ponsard (1747-1814), général français de la Révolution et de l’Empire, né à Vitteaux.
- Marc-Antoine Sirugue, dit Sirugue-Maret, (Modèle:Date - Vitteaux ✝ Modèle:Date - Rouen), Docteur en médecine, maire de Vitteaux (1783-1791), député à la Convention nationale (1795), colonel de gendarmerie, député de la Côte-d'Or au Corps législatif (1808-1814), chevalier Sirugue et de l'Empire (1808), [[baron de l'Empire|Modèle:1er Sirugue et de l'Empire]] (1814). Il était le beau-frère d'Hugues-Bernard Maret, duc de Bassano.
- Louis Daniel Champy (1763-1831), maître de forges en Alsace né à Vitteaux. À la tête d'une fortune considérable, il investira notamment dans le vignoble de Côte-d'Or.
- Maurice Noirot (1849-1930), maire de Reims.
- Étienne-Maxime Vallée (1853-1881), artiste peintre rattaché à l’école de Barbizon, y est né.
- Georges Dumoulin (1882-1959), peintre et artiste verrier, y est né.
- Gilbert Mathieu (Modèle:Date - Modèle:Date), notaire de Vitteaux, il fut également maire, conseiller général et député de Modèle:4e de la Côte-d'Or de 1968 à 1993.
- François Sauvadet, ancien ministre de la fonction publique (gouvernement François Fillon), ancien maire de Vitteaux, et porte-parole national du Nouveau Centre. François Sauvadet a passé sa scolarité au lycée Montchapet de Dijon.