La commune a été la cible d'une importante attaque aérienne alliée pendant la Seconde Guerre mondiale qui la détruisit en quasi-totalité pendant la nuit du 18 avril au Modèle:Date-, faisant de nombreuses victimes. La reconstruction a duré plusieurs décennies.
La commune comprend une partie de son territoire, située au sud et à l'ouest (délimitée au nord et à l'ouest par la route départementale 116), se caractérisant par une physionomie inclinée ; localisée sur le versant nord du plateau de Romainville. Tandis qu'une deuxième partie, située au nord (jusqu'au canal de l'Ourcq) et à l'est, se caractérise par une physionomie plane.
Les travaux du canal de l'Ourcq furent entrepris en 1805 et la navigation fut ouverte en août 1813 entre Paris et Claye-Souilly. Le canal est propriété de la Ville de Paris depuis 1876 et traverse la commune sur Modèle:Nombre mètres. L’aqueduc de la Dhuis traverse la commune dans sa partie sud. Cet ouvrage a été construit par la Ville de Paris en 1862, pour la dérivation des sources situées dans les vallées de la Dhuis, du Verdon, du Surmelin, etc.
Une fontaine s'élevait au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sur la place Jeanne-d’Arc, près de la mairie, au milieu d’un refuge carré, avec un cippe circulaire en pierre, décoré, à sa base, d’un mufle de lion par lequel l’eau s’échappait. Des inscriptions rappelaient que la fontaine avait été érigée en 1849, sur les dessins de M. l’architecte Lequeux, M. Berger étant préfet de la Seine et M. Durin, maire de Noisy-le-Sec. Une statue de Jeanne d'Arc en bronze ornera la fontaine en 1910.
Lors de la création de la ligne de Chemins de fer Paris-Meaux, une gare avait été construite à Noisy-le-Sec. Devenue trop étroite, elle est remplacée par une nouvelle gare en 1910 (qui sera détruite pendant la Seconde Guerre mondiale). En 1913, cette gare accueillait Modèle:Unité (contre Modèle:Nombre en 1902).
C'est ainsi qu'autrefois, la commune était desservie et son territoire exploité par :
la ligne de Grande Ceinture dessert la gare de Noisy. Elle accueillit les voyageurs de 1882 à 1939 ;
À Noisy-le-Sec, la ligne s’insérera le long de la rue de Paris (ex-RN 3), entre le Pont de Metz et le Pont de Bondy. Quatre stations desserviront Noisy-le-Sec : École Hôtelière, Arts de la Rue, Bergère et Territoires de l’Ourcq.
Modèle:Article détaillé
Noisy-le-Sec est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération interdépartementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group="Note">La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Le nom de la localité est attesté pour la première fois en 832, sous la forme Nucitum Superiorem<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis Nucido en 842, Nuisiacum Siccum en 1094, Nucenum minus en 1096 (C'est-à-dire Noisy-le-Petit), Nuseium Siccum en 1119, Noysiacum en 1259 et Noisiaco Sicco en 1384.
Des traces d'occupation préhistorique ont été découvertes à Noisy-le-Sec, notamment en 1920 sous forme d'un ensemble de pierres disposées en foyer, ainsi que de tessons de poterie et d'ossements animaux, datant de l'âge du bronze. On a également retrouvé un biface du Paléolithique moyen. Un ensemble de 300 pièces romaines de l'Antiquité tardive, enfouies vers 270, a été retrouvé en 1911 dans l'emprise de la gare.
Noisy est une villa attestée en 832. En 842 l'empereur Lothaire abandonna aux religieux de Saint-Maur-des-Fossés, toutes les propriétés qu'il avait à Noisy-le-Sec. Ordonnance confirmée en 998, par le roi Robert.
En 1265, Isabelle de Romainville reconnaît tenir en fief de l’abbé de Saint-Denis des vignes sises au Clos du Châtelain, et la seigneurie de l’abbaye de Saint-Denis subsistera jusqu’à la Révolution. Les abbayes de Saint-Martin des Champs et de Livry possédaient également des terres et des droits féodaux à Noisy-le-Sec.
Sous Philippe le Bel, Enguerrand de Marigny aurait été seigneur de Noisy-le-Sec, mais cette localité ne figure pas dans son cartulaire normand. Fut-elle confondue avec Nogeon-le-Sec dont la graphie ancienne est très proche ? En tout cas, Noisy-le-Sec était en 1430 à Louis d'OrléansModèle:Lequel<ref>Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti</ref>.
Cette seigneurie sous Louis XI, passa à Nicolas Balue, frère du fameux cardinalde ce nom<ref>Essai sur les seigneurs de Villemomble</ref>.
En 1517 Étienne Cochu et Denise Thiphaisne, sa femme, curateurs des héritiers d’Étienne Damoiselet, déclarent au terrier de Jacques Charmoulue, seigneur de Noisy, leurs estables, maison, grange, bergerie, colombier, cour et jardin, enclos de murs, appelé la ferme du Cols, assis au dit Noisy au bout d’en bas, tenant d’une part à la rue quy conduit dudict bout d’en bas à la Magdeleine, aboutissant d’un bout au dit Cochu et consorts et d’autre bout à Jean David (à l’angle des rues actuelles de Saint-Denis et Denfert-Rochereau)<ref>SOURCE : Atlas du patrimoine de Seine-Saint-Denis</ref>. Charles IX y permit l'exercice de la religion réformée.
En 1709, le village comptait 250 feux (familles), puis 304 en 1788, à la veille de la Révolution. En 1775, des édits royaux mentionnent Noisy comme l'un des lieux où peut être exercé le culte protestant. Plusieurs moulins à vent existaient dans la commune, dont un, celui de la Petite tour, datant d'au moins 1517 (détruit en 1912) rue Jean-Jaurès, près de la gare. Un autre, au Londeau, le Moulin Hervy ou Harvy est attesté en 1618 et détruit avant 1740.
Lors du recensement de 1896, la commune comptait déjà 8 105 habitants qui habitaient 2 771 logements dans 1 108 maisons. À cette époque, il existait déjà de nombreux immeubles, puisque 68 constructions avaient 3 étages, 50 avaient 4 étages, 32 avaient 5 étages et il y avait 1 immeuble de 7 étages. À cela, il fallait ajouter 127 locaux servant de commerces ou d'ateliers.
La gare du chemin de fer de l’Est et les différents services qui en dépendaient occupaient déjà une superficie de Modèle:Unité à Noisy-le-Sec, avec notamment un dépôt de locomotives et une gare de triage. L'activité économique était, outre le Chemin de fer, constituée par Les plâtrières, situées rue du Goulet, Modèle:N°, qui fournissent environ Modèle:Unité cubes de plâtre par jour et occupaient 100 ouvriers environ<ref>NOTA : la société Poliet et Chausson cessera d'exploiter la carrière en 1948</ref>, ainsi que par d’importantes champignonnières occupant d’anciennes carrières.
Par ailleurs, avenue Marceau, il existait une fabrique de corsets qui employait 10 ouvrières environ, et une biscuiterie était en construction 70, boulevard de la République. Une fabrique de crayons Fabert, installée entre Bondy et Noisy, employait environ 30 ouvriers.
Néanmoins, l'activité agricole demeurait importante et occupait Modèle:Unité sur les 502 de la commune, avec une forte production maraîchère. La viticulture occupait encore Modèle:Unité, et Modèle:Unité étaient consacrés aux fruits rouges : framboisiers, cassissiers et groseilliers. L'atelier de Noisy-le-Sec est créé à partir de 1908 par la Compagnie des chemins de fer de l'Est et son importance économique transforme profondément Noisy-le-Sec, qui devient une ville cheminote. Une nouvelle gare, qui remplace celle de 1849, est construite en 1910. En 1914, les chemins de fer emploient 2.300 personnes (contre 600 en 1900).
Lors de la Première Guerre mondiale, la gare devient la plus importante gare régulatrice de France pour le transport des troupes militaires, et, lors de la première bataille de la Marne, des taxis parisiens réquisitionnés prennent en charge les unités d'infanteries de la Modèle:7e au fur et à mesure de leur débarquement des trains pour les transporter sur le front à Nanteuil-le-Haudouin.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la région parisienne a été relativement épargnée par les destructions ; néanmoins, en 1948, 58 communes étaient déclarées sinistrées (Gennevilliers, Saint-Maur-des-Fossés, Créteil, Maisons-Alfort…). La gare de triage de Noisy-le-Sec fut bombardée dans la nuit du 18 avril au 19 avril 1944 par des avions des forces alliées afin de désorganiser (pour un temps seulement) et surtout ralentir la logistique allemande, en prévision de l'Opération Overlord. L'offensive aérienne de la Royal Air Force, destinée à détruire l'important centre ferroviaire de l'Est parisien, avait été relayée par le message de la BBC « les haricots verts sont secs ». Elle fit 464 victimes civiles, 370 blessés graves, Modèle:Nombre sans logis : 20 minutes d'enfer pour une génération de Noiséens<ref>Film documentaire les haricots verts sont secs, produit par la Ville de Noisy-le-Sec en avril 2004 à l'occasion des 60 ans du bombardement - http://www.noisylesec.net/index.php?id_rub=histoire&id_article=1696</ref>.
La reconstruction et la cité expérimentale de Merlan
La reconstruction
Le projet d'aménagement de Noisy-le-Sec était lié au plan général d'aménagement de la région parisienne, qui accordait une large place aux chantiers expérimentaux. Ce projet est pris en considération en décembre 1945, accompagné d'une déclaration d'utilité publique. Deux chantiers d'expérience étaient envisagés à Noisy-le-Sec ; l'un dans le quartier du Merlan destiné à une cité de maisons préfabriquées, et l'autre sur la place de la Gare destiné à un immeuble d'État.
Début 1945, sous l'impulsion de Raoul Dautry et d'Henri Quatremaire, le ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme avait ordonné la création d'une cité d'expérience composée d'une cinquantaine de maisons prototypes, entourées de jardinets et séparées par des clôtures basses.
La reconstruction s'effectuait alors dans des conditions difficiles : insuffisance de charbon, pénurie de matériaux de construction traditionnels (ciment, briques, tuiles, carrelage…), insuffisance de matériel, manque de main-d'œuvre spécialisée et locale ; à cela, s'ajoutaient les prix élevés de la construction et l'urgence des besoins. Le ministère de la Reconstruction souhaitait donc mettre l'accent sur l'emploi de matériaux et de procédés de construction nouveaux, nécessitant le moins de matières premières ou le moins d'énergie possible pour leur transformation. Le chantier de la cité de Noisy-le-Sec permettait à des constructeurs français et étrangers de présenter différents procédés de construction mettant en œuvre les matériaux les plus divers : bois, métal, béton, béton armé, matériaux synthétiques… À côté des industriels français, étaient présentes des entreprises des États-Unis, du Canada, de la Suisse, de la Grande-Bretagne, de la Suède, de la Finlande… La recherche de prototypes concernait les infrastructures, mais aussi les équipements intérieurs des maisons : cuisines, salles de bain, mobilier. Faire appel à des constructeurs étrangers a nécessité un effort d'information auprès de la population locale ; en effet, elle n'était pas habituée à vivre dans des maisons en bois, ni à cuisiner dans des cuisines américaines ouvertes sur une salle commune. Les travaux commencèrent en septembre 1945, pour s'achever en 1953, date de livraison de la dernière maison. Les prototypes étaient testés au fur et à mesure de leur réalisation. Les maisons ont été attribuées à des sinistrés de la commune par l'intermédiaire d'une Commission de relogement des sinistrés mise en place par la municipalité. Elle était composée de fonctionnaires municipaux et de représentants des services du logement créés par le ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme.
Les chantiers expérimentaux ont été la pièce maîtresse de la politique d'industrialisation du bâtiment menée par le ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme. Fierté du ministère, des visites y étaient organisées. À Noisy-le-Sec, élus, architectes français et étrangers, étudiants, professeurs d'enseignement ménager, assistantes sociales… se sont succédé pour voir ces maisons, prototypes de préfabrication. À partir de 1948, le ministère entreprend de grands chantiers pour des ensembles plus vastes de logements, fort des premières tentatives des chantiers expérimentaux.
En 1958 sont livrés les 662 logements de La Pierre-Feuillère. Cette cité de l'office public d'H.L.M. de la Seine est conçue par les architectes Henri Bodecher, Robert Genermont, Julien Heulot et Yves Thibault. En 1961, la Municipalité engage la rénovation du centre-ville, et la SEMINO (Société d'économie mixte de Noisy le Sec) est créée le 18 juin 1962 à l'initiative de la municipalité et du Ministère de l'équipement pour mener à bien ce projet. La SEMINO, devenue Noisy-le-Sec Habitat en 2012, livrera ses premiers logements, rue Béthisy, le Modèle:1er mai 1966.
Merlan est un ancien fief qui était, au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, un hameau de Noisy-le-Sec de 322 habitants. En 1944, le quartier de la gare a été détruit par les bombardements alliés, et les sinistrés à reloger se comptent par centaines. Mais le défi est également technique. Le ministère de la reconstruction et de l'Urbanisme fait appel à des architectes et des entrepreneurs français et étrangers, le chantier est une étude comparée des différents matériaux, techniques de construction, aménagements intérieurs et équipements, ainsi qu'une vitrine. Jusqu'en 1951, les habitants ont l'obligation d'ouvrir leur maison aux visiteurs deux demi-journées par semaine.
À Merlan, de l'amiante, du bois, du ciment, de l'aluminium notamment seront utilisés. En pleine pénurie de matériaux de construction, le préfabriqué est la solution idéale, certaines maisons arriveront même en kit. « Ces maisons étaient très légères, les murs "sonnaient creux" et il y avait un jardin et un poulailler » rapporte un des premiers habitants.
Désormais ces pavillons sont inscrits au titre des monuments historiques. Pimpantes, délabrées ou carrément inoccupées, elles auront connu finalement des destinées différentes<ref>Le journal du conseil régional d'Île-de-France Modèle:N°.</ref>.
Elle faisait partie de 1793 à 1893 du canton de Pantin, année où elle devient le chef-lieu du canton de Noisy-le-Sec de la Seine, puis, en 1967, de la Seine-Saint-*Denis<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le Modèle:Date-, la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée<ref name="D2015-1212">Modèle:Légifrance, sur Légifrance</ref>.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date- (loi NOTRe) prévoit également la création le Modèle:Date- d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées
L'expérience aura été de courte durée. En effet, les machines à voter n'ont été utilisées que pour le Modèle:1er de scrutin présidentiel. Le nombre insuffisant de machines en service, et leur nouveauté, ont considérablement allongé l'attente des votants.
Plus d'un tiers des membres du conseil municipal ayant démissionné les 16<ref>élus du groupe des Verts</ref> et 30<ref>élus du groupe communiste et apparentés</ref> septembre 2010, des élections anticipées ont été convoquées les 5 et 12 décembre 2010. Au Modèle:2e de ces élections anticipées, la liste d'intérêt communal conduite par Laurent Rivoire (Nouveau Centre) rallié par Olivier Deleu (UMP, arrivé en Modèle:4e au Modèle:1er), bat avec 54,72 % des suffrages la liste conduite par le conseiller général du canton (PCF) Gilles Garnier alliée au maire sortant (PS) Alda Pereira-Lemaître dont la liste était arrivée en Modèle:3e du Modèle:1er<ref>Site officiel de la ville de Noisy-le-Sec - Lettre d'information publiée en octobre 2010</ref>.
Depuis la rentrée 2008-2009 le lycée Olympe-de-Gouges accueille une classe préparatoire aux concours des écoles de commerce voie économique, parrainée par la fondation égalité des chances d'HEC.
Sports
La ville comporte plusieurs installations sportives et clubs comme :
En 2013, la part des ménages fiscaux imposés était de 59,8 %<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref>.
Emploi
Le taux de chômage, en 2013, pour la commune s'élève à 21,6 %<ref name=":0" />, un chiffre supérieur à la moyenne départementale (18,5 %)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises et commerces
Noisy-le-Sec a reçu en 2002 et 2003, 2004, le label « Ville Internet », puis en 2005 le label internet 4 @@@@, la plaçant dans le groupe des 10 meilleurs sites du territoire. En décembre 2006, la Ville est à nouveau récompensée avec le label Ville-internet 4 @@@@ et obtient la mention Ville-libre pour son utilisation et son développement de logiciels libres. En décembre 2007, la ville est confirmée dans sa place de leader des villes-internet avec à nouveau 4 @@@@, le jury a particulièrement été sensible aux efforts de la municipalité pour l'installation d'internet dans les écoles élémentaires de la ville<ref>l'article sur ville-internet</ref>. En 2010, elle a également reçu le label Ville internet @@@@@, confirmant l'ancrage de la ville en matière de développement de l'internet citoyen.
L'église Saint-Étienne a été construite en 1823 par Auguste Guenepin sur l'emplacement d'édifices antérieurs. Elle conserve une clé de voute de l'église précédente du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, placée sur le porche de l'église. Une peinture d'Auguste-François Perrodin de 1886, consacré au martyre de saint Étienne, orne le chœur de l'église. Son clocher ayant été détruit à la suite du bombardement d'avril 1944, les 4 cloches, Éléonore, Étiennette, Marie-Annonciade et Antonine, datant de 1830 à 1866, sont déposées sur le tertre de gazon à côté de l'église.
La Corniche des forts : ce futur parc urbain de la région d'Île-de-France, inscrite au contrat de plan 2000-2006, prévoit l'aménagement d'un parc urbain de Modèle:Unité situé sur les communes de Pantin, Les Lilas, Noisy-le-Sec et principalement de Romainville. Situé sur d'anciennes carrières de gypse, ce projet proposera des activités de loisirs culturels et sportifs, et permettra notamment la création d'un cheminement est-ouest de Modèle:Unité destiné aux piétons et aux vélos, qui permettra un panorama sur Paris et deviendra la promenade principale de la base. Les abords du château de Romainville seront réaménagés, et la folie de Pantin, devrait être réhabilitée. Les jardins ouvriers seront déplacés. Une première phase devrait être ouverte au public fin 2009, comprenant Une partie du « Cheminement Est-Ouest », les abords du château de Romainville et 50 parcelles de jardins familiaux. Ce parc sera géré par un syndicat mixte regroupant le département et les villes concernées<ref>SOURCE : Seine-Saint-Denis, le magazine, revue officielle du département, Modèle:N°, février 2007.</ref>.
La Galerie, centre d'art contemporain, 1, rue Jean-Jaurès.
Médiathèque Roger-Gouhier, 3, rue Jean-Jaurès.
Théâtre des Bergeries, 5, rue Jean-Jaurès.
Ancien conservatoire agréé de Musique et de Danse, 63, rue Jean-Jaurès.
Conservatoire agréé de Musique et de Danse Lili et Nadia Boulanger, 41, rue Saint-Denis.
Cinéma Le Trianon, place Carnot à Romainville, racheté par les communes de Romainville et Noisy-le-Sec en 1984 et géré par un syndicat intercommunal, puis depuis le Modèle:1er janvier 2013 par la communauté d'agglomération Est Ensemble.
L'avocat Nicolas Tripier (1765-1840), conseiller juridique de Louis-Philippe, y possédait un château et des terres. Il a été maire de Noisy-le-Sec de 1819 à 1829.
Albin Lermusiaux (1874-1940), athlète spécialiste du demi-fond, médaillé aux premiers jeux olympiques modernes en 1896, est né à Noisy-le-Sec.
Jean Delphy (1887-1961), zoologiste, entomologiste et spécialiste de la faune marine française, est né à Noisy-le-Sec le 29 janvier 1887.
L'acteur Jean Daurand (L'inspecteur Dupuy des Cinq Dernières Minutes) résidait à Noisy le Sec.
Le sculpteur Achiam a vécu à Noisy-le-Sec de 1971 à 1980.
Le chanteur et acteur Eddy Mitchell a habité la ville chez sa mère avant son mariage avec Françoise Lavit en 1961.
L'ancienne ministre Élisabeth Guigou, ancienne adjointe au maire de Noisy-le-Sec (mandat 2008-2010).
Le président de Mondial Assistance Alain Demlssy
Le chanteur MC Solaar enregistre une cassette démo de trois titres dans le sous-sol d'un laboratoire de chimie à Noisy-le-Sec. Cette cassette contenant les premières moutures de Caroline, Quartier Nord et Bouge de là.