Emmanuel Ratier

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2 Emmanuel Ratier (prononcé Modèle:MSAPI), né le Modèle:Date de naissance à Avignon et mort le Modèle:Date de décès à Orgnac-l'Aven, est un éditeur, essayiste et journaliste français.

Classé à l'extrême droite, il fait ses débuts dans la presse écrite en 1981 avant de focaliser ses essais sur les milieux dirigeants ou influents, s'inscrivant dans la continuité des textes d'Henry Coston. Il publie la lettre confidentielle Faits et Documents ainsi que des ouvrages qualifiés de conspirationnistes par plusieurs analystes et chercheurs.

Modèle:Sommaire

Biographie

Études et premiers engagements

Fils d'un architecte, Jacques Ratier, et d'une ingénieur chimiste, Josette Aimé, il reçoit les prénoms d'Emmanuel, Jean, Michel<ref name="Bergeron_2015_08_21">Modèle:Article.</ref>.

Il commence à militer à l'extrême droite alors qu'il est encore lycéen<ref name=":1">Modèle:Lien web</ref>.

Étudiant à l'université de Rouen<ref name="reflexes">Biographie pastiche Portrait Emmanuel Ratier, REFLEXes, printemps 2002.</ref>, il commence par diriger le Front de la jeunesse (FJ) de Normandie, l'organisation de jeunesse des Comités faire front (succédant à Ordre nouveau), auquel il adhère en 1973, avant de rejoindre le Parti des forces nouvelles (PFN) lors de sa création à la fin de 1974Modèle:Refnec.

Il anime aussi, à partir de 1976, son organe de presse régional, Balder, de tendance nationaliste révolutionnaire<ref name="Mestre">Abel Mestre & Caroline Monnot, « Philippe Cohen, biographe de Le Pen, promeut son livre en eaux troubles », blog « Droites extrêmes » de journalistes au Monde, 10 janvier 2013</ref>.

Titulaire d'une licence en histoire obtenue à l'université de Rouen, il fréquente ensuite le Centre de formation des journalistes de Paris, dont il sort diplômé en 1979<ref>Fiche sur le site de l'annuaire des anciens élèves du CFJ.</ref>. Il intègre ensuite l'Institut d'études politiques de Paris<ref name="PleureJournaliste">Modèle:Lien web.</ref> (section Politique, économie et société)<ref>Modèle:Lien web.</ref> de 1980 à 1982. Il y est militant à l'Union des étudiants de droite, qu'il dote d'un organe, Réplique. Membre du GUD, il côtoie notamment Yves Bovero<ref name="reflexes" />.

Toujours à Science-po, il fréquente d’autres personnalités comme Patrice Henry Duchene, titulaire d’un DESS «Études de marché et d’opinion», ancien associé du journal mégretiste Le Français et ancien membre du CSA, Antoine Gabizon, également membre du GUD, Frédéric Sauvegrain, cadre du FN ou encore Jean-Bernard Bobin, haut fonctionnaire du ministère de l'Intérieur. Ces personnes autour d'Emmanuel Ratier se feront remarquer lors de la violente bagarre qui oppose en Modèle:Date- des militants de l’UED et du GUD à des militants de gauche.

Aux élections législatives de 1981, il est le suppléant du candidat UDF André Danet Modèle:Incise dans la Seine-Maritime. Il est présenté dans Paris Normandie comme un Modèle:Citation<ref name="reflexes" />.

Emmanuel Ratier, qui dit s'être Modèle:Citation en lisant Éléments, a par ailleurs appartenu au Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne (GRECE)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>Modèle:Refins.

Journalisme

Il travaille ensuite pour différents journaux. Après quelques papiers dans Le Figaro Magazine, il entre en 1983 à Valeurs actuelles, puis passe à Magazine hebdo<ref name="reflexes" />. Entre-temps, il s'infiltre à l'Anti-Defamation League, mais, repéré, il se fait rapidement licencier<ref name="reflexes" />.

Entré à Minute<ref>Marion Georges, « Le directeur de Minute contesté par l'actionnaire majoritaire du journal », Le Monde, Modèle:Date.</ref> en 1984, il devient le rédacteur en chef chargé des grandes enquêtes. Représentant syndical FO<ref>Modèle:Lien web</ref>, il soutient le rachat du titre par Yves Montenay, et est licencié par Patrick Buisson après un conflit interne entre Buisson et MontenayModèle:Sfn. Il collabore ensuite au Spectacle du monde, à National-Hebdo et au Crapouillot.

Il dirige ensuite Magazine hebdo, où il écrit avec Jean-Claude Valla et sous le pseudonyme de Gabriel Lindon, de 1989 à 1996. Il participe également, autour d'Alain de Benoist et Pascal Eysseric, à la rénovation d'Éléments, auquel il ne donne cependant qu'un seul article.

Travaux de documentation politique

Après la mort soudaine en 1990 de Yann Moncomble, il prend sa succession à la tête de la maison d'édition Faits et Documents, puis fonde en 1996, avec l'aide de François Brigneau, sa propre revue, un bimensuel de douze pages intitulé Faits et Documents et sous-titré Lettre d'informations confidentielles d'Emmanuel Ratier. Celle-ci devient, selon Dominique Albertini, journaliste à Libération, Modèle:Citation<ref name="MortLibé"/>. Les auteurs du livre-enquête Les Frères invisibles, Ghislaine Ottenheimer et Renaud Lecadre, estiment que Modèle:Citation Dominique Albertini souligne que la revue, qui accordait une attention particulière aux organisations juives et franc-maçonnes, tout en se caractérisant Modèle:Citation, Modèle:Citation<ref name="MortLibé"/>.

Il fonde également un réseau lui permettant de réunir des informations, le cercle du Dernier lundi<ref name=BalTragiqueGrandOrient/>, qui se réunit, comme son nom l'indique, le dernier lundi de chaque mois<ref name="reflexes"/>. Devenu un journaliste réputé dans les milieux d'extrême droite, il privilégie la discrétion à titre personnel et s'emploie, de son vivant, à éviter d'être photographié en public, allant jusqu'à exiger d'être filmé de dos ou dans le noir lors de ses quelques entretiens accordés à des webtélés. Ce n'est qu'après sa mort que des photos de lui sont diffusées dans la presse<ref name="PleureJournaliste"/>.

Son Encyclopédie politique française (1992) se place dans la filiation du Dictionnaire de la politique française d'Henry Coston. Ce dernier a déclaré que la méthode de travail d'Emmanuel Ratier était proche de la sienne, et qu'il pouvait être considéré comme son « héritier moral<ref>Interrogé par la revue identitaire Jeune Résistance (« Entretien avec Henry Coston », Jeune Résistance, Modèle:N°23, Modèle:Nobr) pour savoir si, « parmi les journalistes nationaux contemporains », il en considérait un « comme particulièrement proche de [sa] démarche passée et, d'une certaine manière, comme [son] héritier », il déclare : « Ce serait Emmanuel Ratier dans ce cas-là. Il peut être considéré comme mon héritier moral. Nous n’avons pas travaillé ensemble, mais il a repris ma formule qui consiste à publier des petites nouvelles. Il fait d’ailleurs une lettre qui est remarquablement réalisée. » Faits & Documents. Lettre d'informations confidentielles d'Emmanuel Ratier, Modèle:N°116, 1er-Modèle:Date, Modèle:P..</ref> ». Lui-même qualifie Henry Coston de Modèle:Citation ; ce dernier a par ailleurs été son témoin de mariage<ref name="MortMonde">Modèle:Lien web</ref>. Dans National-Hebdo, François Brigneau salue son Encyclopédie politique française comme l'indispensable complément du Dictionnaire de Coston<ref name="ChangerNom">Modèle:Ouvrage</ref>. La sociologue Nicole Lapierre, auteur en 1995 de Changer de nom, remarque que l'ouvrage Modèle:Citation, comme le faisait Coston avec les personnalités juives<ref name="ChangerNom"/>.

Il est également l'auteur de Mystères et secrets du B’naï B’rith (1993), consacré au B'nai B'rith. Guillaume Dasquié et Jean Guisnel indiquent que ce livre est Modèle:Citation et le considèrent comme une Modèle:Citation, dont l'arrivée Modèle:Citation. En 1995, il publie Les Guerriers d'Israël : enquête sur les milices sionistes, autre ouvrage consacré aux lobbys<ref name="PleureJournaliste"/>. En 1996, il publie le seul ouvrage consacré au club Le Siècle<ref>Modèle:Article</ref> : Au cœur du pouvoir, enquête sur le club le plus puissant de France : Le Siècle (1996, suivi de deux éditions mises à jour jusqu'en 2015). D'après Michel Eltchaninoff, ce livre vise à Modèle:Citation. En 2011, il révèle une liste des membres du Siècle<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>.

En 2014, il publie une biographie de Manuel Valls intitulée Le Vrai Visage de Manuel Valls. Celle-ci pointe pendant plusieurs semaines Modèle:Citation<ref name="VieilleRengaine">Modèle:Lien web</ref> et connaît un succès notoire en particulier à l'extrême droite<ref name="Sénécat_2014_05_06" />. Conspiracy Watch estime que ce Modèle:Citation est Modèle:Citation, et souligne qu'il Modèle:Citation<ref name="Institut"/>. Emmanuel Ratier y affirme notamment que Valls aurait changé d'avis au sujet du conflit israélo-palestinien à cause de sa deuxième épouse, Anne Gravoin, de confession juive, tout en reconnaissant n'avoir Modèle:Citation. Cette thèse, en vogue au sein de l'extrême droite depuis 2011, est relayée en particulier dans la mouvance constituée par Dieudonné et Alain Soral, ainsi que par l'hebdomadaire Rivarol<ref name="VieilleRengaine"/>.

Controverse sur les attentats du 11 septembre 2001

Après les attentats du 11 septembre 2001, Emmanuel Ratier présente une théorie du complot sur le crash du vol American Airlines 77 sur le Pentagone<ref>Voir notamment : Faits et Documents Modèle:N°130, Faits & Documents Modèle:N°, Faits & Documents Modèle:N°</ref>. D'après Guillaume Dasquié et Jean Guisnel, ses recherches sur le sujet sont concomitantes de celles de Thierry Meyssan pour L'Effroyable Imposture ; les deux journalistes considèrent également que Modèle:Citation dans son ouvrage. Ils soulignent que les deux hommes ont collaboré à ce sujet avec Stéphane Jah, Modèle:Citation. Emmanuel Ratier salue lui-même les travaux du Réseau Voltaire, précisant qu'il a pourtant Modèle:Citation<ref group=n>Les Chrétiens de gauche.</ref>,<ref name="EffroyableMensonge">Modèle:Ouvrage</ref>. Il ne partage cependant pas toutes les conclusions de Thierry Meyssan<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. Emmanuel Ratier accorde par ailleurs une interview exclusive à Thierry Meyssan en 2011, parue sur le site du Réseau Voltaire<ref name="Institut"/>.

Activité d'éditeur et de libraire

À la fin de 2005, il devient propriétaire de la librairie Facta dans le Modèle:9e arrondissement de Paris. Il s'agit de l'une des dernières librairies d'extrême droite à Paris<ref name="Mestre"/>.

Selon Michel Eltchaninoff, cette librairie vend Modèle:Citation<ref name="Eltchaninoff">Michel Eltchaninoff, « À la recherche du nouvel ennemi », Philosophie Magazine, Modèle:N°79, mai 2014, Modèle:P.48</ref>,<ref name="Guégan_2014_10_08">Modèle:Lien web.</ref>.

La librairie Facta est vandalisée à deux reprises, les Modèle:Date- et Modèle:Date-<ref name="MeilleuresLibrairies">Modèle:Lien web.</ref>. L’appartement d’Emmanuel Ratier sera quant à lui cambriolé<ref name="Galic_2015_08_21">Modèle:Lien web.</ref>. Après la mort de Ratier, une partie du stock de sa librairie est rachetée par La Nouvelle Librairie de François Bousquet, tandis qu'une autre partie est vendue à la Librairie Vincent, tenue par Vincent Moysan, proche d'Égalité et Réconciliation<ref name=":1" />.

À la radio

En 2006, il entre à Radio Courtoisie pour y animer la première partie du Libre Journal de Claude Giraud. À l'automne 2007, il est l'un des fondateurs du « bulletin de réinformation » de la radio. À partir de Modèle:Date-, à la suite du licenciement de Martin Peltier, il commence à animer sa propre émission, le Libre journal de la résistance française<ref group=n>Ainsi nommé en hommage à Serge de Beketch, qui avait pour gimmick, au début de ses émissions, de dire Modèle:Citation.</ref>, un mercredi soir par mois<ref>Archives audio d'Emmanuel Ratier sur Radio Courtoisie</ref>. Sa première édition a pour thème Modèle:Citation ; Jean-Paul Chayrigues de Olmetta et les journalistes Camille Galic (Rivarol) et Alain Sanders (Présent) y interviennent notamment.

À sa mort, Martin Peltier le remplace à la tête de son Libre journal<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Activité de documentaliste et d'archiviste

Emmanuel Ratier a rassemblé et entretenu une documentation sur de nombreuses personnalités, appartenant à l'ensemble du spectre politique. En Modèle:Date-, des journalistes du Figaro affirment qu'il était une Modèle:Citation<ref name="MeilleuresLibrairies"/>.

Peu avant sa mort, il lance le projet, avec notamment Philippe Asselin<ref name="BalTragiqueGrandOrient"/>, Francis Bergeron, Anne Brassié et Éric Delcroix, d’un Modèle:Citation<ref name="Bergeron_2015_08_21" />, sous l'égide d'une association, Les archives associatives du Vexin. D'après StreetPress, le projet s'apparente plutôt à un fonds documentaire visant à conserver les archives de Ratier<ref name=":1" />.

Après sa mort, sa famille s'engage à poursuivre ce projet. Celui-ci annonce par ailleurs que le nouveau nom de l'association sera « institut Emmanuel-Ratier ». Éric Delcroix en devient le président. L'institut est inauguré en octobre 2017 à Niherne et bénéficie d'un partenariat avec Présent<ref name="Institut">Modèle:Lien web.</ref>. Il se situe dans un l'ancien dortoir de l'école privée Saint-Michel, dirigée par la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X<ref>Modèle:Lien web</ref>. Marguerite Ratier, fille d'Emmanuel Ratier, prend la présidence de l'association la même année<ref name=":1" />.

Vie privée

Marié, Emmanuel Ratier a trois filles<ref name="Bergeron_2015_08_21" />,<ref name="Galic_2015_08_21" />.

Parmi ses loisirs, il pratique, à titre d'amateur, l'apiculture et le soufflage du verre.

D'après Marc Laudelout, il est aussi un admirateur de l'œuvre de Louis-Ferdinand Céline, à qui il consacre plusieurs longues émissions sur Radio Courtoisie et une promenade littéraire à Montmartre.

Franc-maçonnerie

Selon Jean-Moïse Braitberg, rédacteur en chef du bimestriel Franc-maçonnerie magazine, Emmanuel Ratier aurait été membre d'une loge maçonnique se rattachant à l'obédience de la Grande Loge nationale française, versée dans l'ésotérisme tendance René Guénon, et qui n'existerait plus<ref name=FMM27>Modèle:Article.</ref>. Dans son ouvrage Un État dans l'État. Le contre-pouvoir maçonnique, la journaliste Sophie Coignard dévoile la correspondance de Philippe Guglielmi, alors grand-maître du Grand Orient de France, avec l'un de ses membres ; selon ce premier, Emmanuel Ratier aurait été membre de la loge « La Nef de Saint-Jean » à La Garenne-Colombes, ce qu'il a démenti<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Mort

Le Modèle:Date-, alors qu'il pratique la spéléologie<ref name="Bergeron_2015_08_21" />,<ref name="Galic_2015_08_21" /> avec sa famille à l'aven d'Orgnac, dans les gorges de l'Ardèche, il meurt d'une crise cardiaque à l'âge de Modèle:Unité<ref name="MortLibé">Modèle:Lien web.</ref>.

Sa mort est annoncée sur le compte Twitter du quotidien Présent<ref name="MortMonde"/>. De nombreuses figures de l'extrême droite française, dont Jean-Marie Le Pen, saluent sa mémoire<ref name="MortLibé" />. Ces réactions sont plus rares au sein du Front national<ref name="MortMonde"/>.

Les obsèques d'Emmanuel Ratier ont lieu le Modèle:Date- au columbarium du Père-Lachaise. De nombreuses personnalités d'extrême droite, comme Aymeric Chauprade, Frédéric Chatillon, Jean-Marie Le Pen, Henry de Lesquen, Alain Soral et Pierre Vial y assistent<ref name=BalTragiqueGrandOrient>Bal tragique au Grand Orient : 1 ratier, REFLEXEs, 28 août 2015</ref>. D'après StreetPress, Modèle:Citation, et seule l'une de ses filles prend la parole à la tribune, le visage masqué<ref name=":1" />.

Réception de son œuvre

Accusations de complotisme

Les textes d'Emmanuel Ratier relatifs aux milieux politiques, industriels et financiers ont suscité plusieurs critiques. Ainsi, Pierre-André Taguieff le présente comme Modèle:Citation<ref>Pierre-André Taguieff, Sur la Nouvelle Droite. Jalons d'une analyse critique, Descartes et Cie, 1994.</ref>, et comme un Modèle:Citation<ref>Pierre-André Taguieff, La Foire aux illuminés. Ésotérisme, théorie du complot et extrémisme, Paris, Mille et une nuits, 2005.</ref>. StreetPress le qualifie d'« antisémite et conspirationniste »<ref name=":0" />.

Caroline Fourest et Fiammetta Venner le présentent comme un Modèle:Citation En revanche, l'historien Nicolas Lebourg voit en lui Modèle:Citation

L'historien Olivier Dard rapproche les textes de Ratier de ceux d'Augustin Hamon, Francis Delaisi, Henry Coston, Yann Moncomble et Emmanuel Beau de Loménie, Modèle:Citation

Jean-Yves Camus, politologue spécialiste de l'extrême droite, estime qu'il Modèle:Citation

REFLEXes indique Modèle:Citation<ref name=BalTragiqueGrandOrient/>.

Pour sa part, l'intéressé écarte la théorie du complot absolue sans pour autant remettre en cause l'existence de groupes cherchant à accumuler le pouvoir : Modèle:Citation bloc

Une figure d'extrême droite

Abel Mestre et Caroline Monnot, journalistes au Monde, le qualifient de Modèle:Citation<ref>Abel Mestre & Caroline Monnot, « L’identité de « Gustavo », l’homme qui dit avoir tué Pierre Goldman, révélée », blog « Droites extrêmes » de journalistes au Monde, 22 mai 2012</ref>, Guillaume Dasquié et Jean Guisnel d'Modèle:Citation en précisant qu'il est Modèle:Citation<ref name="EffroyableMensonge"/>. Jean-Paul Gautier, Michel Briganti et André Déchot le présentent comme un Modèle:Citation et Modèle:Citation. StreetPress le décrit comme Modèle:Citation<ref>Johan Weisz, « Le pire de la presse d'extrême droite en avril », StreetPress, 2 mai 2014</ref>. L'Express le dit proche des milieux nationalistes<ref name="Sénécat_2014_05_06">Modèle:Lien web.</ref>.

Durant ses dernières années, il se rapproche d'Alain Soral, dont Le Point note qu'il est son ami<ref name="Guégan_2014_10_08" />, en participant notamment à alimenter le site de son association, Égalité et Réconciliation<ref name="MortLibé"/>. Il aurait désigné cette dernière comme son héritière, demandant notamment aux soraliens de l’aider à archiver ses documents à partir de Modèle:Date-<ref name="StreetPress2016">Modèle:Lien web.</ref>. Contribuant également de manière occulte à la ligne éditoriale des éditions Kontre Kulture<ref>Modèle:Lien web</ref>, il est à l'instigation de la réédition des Modérés d'Abel Bonnard.

Publications

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Annexes

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Liens externes

Modèle:Liens

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