Parallélogramme

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 20 mai 2023 à 10:04 par 2a01:e34:ec00:ce60:d57b:305:1da7:7a5d (discussion) (Au pluriel, la phrase devient fausse.)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Modèle:Voir homonymes Modèle:Méta bandeau d'avertissement{{#ifeq:

       |
       | {{#if:
           |
           |[[{{#ifexist:Catégorie:Article à recycler{{#if:mathématiques|/mathématiques}}|Catégorie:Article à recycler{{#if:mathématiques|/mathématiques}}|Catégorie:Article à recycler}}|Parallélogramme]]{{#if: décembre 2009||}}
         }}

}} En géométrie, un parallélogramme est un quadrilatère dont les segments diagonaux se coupent en leur milieu<ref name=C>M. Troyanov, Cours de géométrie, PPUR, 2002, p. 13.</ref>.

Fichier:Parallélogramme.svg
Un parallélogramme.

Définitions équivalentes

Fichier:Pllgm Geometry.png

En géométrie purement affine, un quadrilatère (ABCD) est un parallélogramme (au sens défini en introduction) si et seulement s'il satisfait l'une des propriétés équivalentes suivantes :

  • les vecteurs <math>\overrightarrow{AB}</math> et <math>\overrightarrow{DC}</math> sont égaux ;
  • les vecteurs <math>\overrightarrow{AD}</math> et <math>\overrightarrow{BC}</math> sont égaux.

Si de plus les quatre sommets sont trois à trois non alignés, ces propriétés sont aussi équivalentes à la suivante : les côtés opposés sont parallèles deux à deux, c'est-à-dire : (AB) // (CD) et (AD) // (BC)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

En géométrie euclidienne, sous cette même hypothèse, ces propriétés sont aussi équivalentes à :

  • le quadrilatère est non croisé et ses côtés opposés sont de même longueur deux à deux ;
  • il est convexe et ses angles opposés ont la même mesure deux à deux ;
  • ses angles consécutifs sont supplémentaires deux à deux ;
  • c'est un trapèze (non croisé) dont les bases ont même longueur.

Propriétés

  • Tout parallélogramme a un centre de symétrie : le point d'intersection de ses diagonales.
  • Dans tout parallélogramme ABCD, on a l'identité du parallélogramme : AC2 + BD2 = 2(AB2 + BC2).
  • Les angles d'un parallélogramme qui se suivent sont supplémentaires
  • Les angles opposés sont égaux

Cas particuliers

Aire

Fichier:ParallelogramArea.svg
L'aire d'un parallélogramme est égale à celle du rectangle de mêmes base et hauteur.

Soient <math>b</math> la longueur d'un côté du parallélogramme et <math>h</math> la longueur de la hauteur associée. L'aire <math>A</math> du parallélogramme vaut :

<math>A=b \times h.</math>

L'aire d'un parallélogramme est aussi donnée par un déterminant.

Antiparallélogramme

Fichier:Antipar.PNG
Un antiparallélogramme.

Modèle:Article détaillé Un antiparallélogramme est un quadrilatère croisé dont les côtés opposés ont la même longueur deux à deux.

Dans un antiparallélogramme, les angles opposés ont la même mesure en valeur absolue.

Équipollence et vecteurs

Modèle:AncreModèle:Ancre Modèle:Article détaillé

Fichier:Bipoints equipolents.png
(C,D) et (E,F) sont équipollents à (A,B).

Il est désormais classique de définir la notion de parallélogramme à partir de celle de vecteur Modèle:Supra mais on peut inversement, à partir de la notion de milieu, définir (comme en introduction) celle de parallélogramme, puis celle d'équipollence de deux bipoints, et enfin celle de vecteur :

  • on appelle bipoint tout couple de points (l'ordre des points a une importance) ;
  • deux bipoints (A, B) et (C, D) sont dits équipollents si ABDC est un parallélogramme ;
La relation d'équipollence est une relation d'équivalence.
  • on appelle vecteur <math>\overrightarrow{AB}</math> la classe d'équivalence du bipoint (A,B), c'est-à-dire l'ensemble des bipoints équipollents à (A,B).

On retrouve alors qu'un quadrilatère (ABCD) est un parallélogramme si et seulement si <math display="inline">\overrightarrow{AB} = \overrightarrow{DC}</math>.

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Notes et références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail