Étienne Blanc

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique

Étienne Blanc, né le Modèle:Date de naissance à Givors (Rhône), est un homme politique français. Membre des Républicains (LR), il est maire de Divonne-les-Bains de 1991 à 2019, député de la [[Troisième circonscription de l'Ain|Modèle:3e circonscription]] de l'Ain de 2002 à 2016, 1er vice-président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes de 2016 à 2020 et candidat à la mairie de Lyon lors des élections municipales de 2020. Il est élu sénateur du Rhône le Modèle:Date.

Biographie

Situation personnelle

Né le Modèle:Date- à Givors (Rhône), père de deux enfants, il vit une grande partie de son enfance entre Vienne, Lyon, le département de l'Ain et Givors, où sa famille est propriétaire d'une chapellerie<ref>Modèle:Article</ref>.

Il fait des études de droit à Lyon III, avant de prêter serment à la cour d’appel de Lyon et de continuer à y plaider. Il est titulaire d'un diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS) de droit judiciaire privé et du certificat d'aptitude à la profession d'avocat<ref>Modèle:Article</ref>.

Parcours politique

Député

Il est élu député le Modèle:Date, dans la [[Troisième circonscription de l'Ain|Modèle:3e de l'Ain]]. Membre du groupe UMP, il rapporte trois lois depuis le début de son mandat, dont deux lois sur la simplification administrative (sujet qu’il considère comme central dans l’amélioration du fonctionnement des échelons institutionnels en France et la baisse de la dépense publique) et une loi sur le statut des membres de la Cour des comptes. Il a de plus été membre de la commission d'enquête sur l'affaire dite d'Outreau. Le Modèle:Date-, il est réélu député au second tour, après avoir manqué sa réélection dès le premier tour de trois voix. Lors de son second mandat, il est rapporteur de la mission d'information sur l'exécution des décisions de justice pénale concernant les personnes majeures, rapporteur de la proposition de loi créant de nouveaux droits pour les victimes et améliorant l'exécution des peines et rapporteur de la loi de protection des sources journalistiques. En Modèle:Date-, il est également rédacteur d'un projet de loi de simplification du permis de chasse et exprime son désaccord sur la mise en place des carnets de battue<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>. Il obtient un troisième mandat de député lors des élections législatives de 2012, obtenant 55,2 % des voix au second tour face au socialiste Jean-Marc Fognini<ref>Ministère de l'intérieur.</ref>. Il démissionne de l’Assemblée nationale le Modèle:Date- en raison de l'interdiction du cumul des mandats et privilégie sa fonction de maire<ref>Étienne Blanc démissionne de l’Assemblée nationale.</ref>.

En tant que député, il s'implique à partir de 2011 pour trouver un nom aux habitants du département de l'Ain<ref>Modèle:Article</ref>. Pour lui, cette particularité nuit en effet au développement économique de ce département<ref>Modèle:Article</ref>. Depuis Modèle:Date-, à la suite d'une consultation en ligne, les habitants de l’Ain sont désignés par le gentilé « Aindinois » et « Aindinoise »<ref>Modèle:Article</ref>.

Il est candidat aux primaires de l'UMP pour la désignation de la tête de liste pour les élections régionales de 2010 en Rhône-Alpes, mais est battu par Françoise Grossetête<ref>Modèle:Article.</ref>.

En 2013, il poursuit en justice le Syndicat de la magistrature après avoir été épinglé sur le « mur des cons »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il se déclare hostile au mariage homosexuel. En 2012, il signe un appel à la protection de l'enfance et promet, en tant qu'élu local, de ne pas marier des couples de même sexe<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il s'engage en 2014 aux côtés de La Manif pour tous à soutenir aux élections sénatoriales des candidats souhaitant abroger la loi ouvrant le mariage aux couples homosexuels<ref>Modèle:Article</ref>.

Politique locale

En Modèle:Date-, il est élu premier vice-président du conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes délégué aux finances, à l'administration générale, aux économies budgétaires et aux politiques transfrontalières. Il s’implique dans le sauvetage du musée des Tissus et des Arts décoratifs, à l'époque condamné à la fermeture, par le refus de la ville et la métropole de Lyon de participer au financement<ref>Modèle:Article.</ref>.

Chargé des finances, il conduit le plan d'économie sur le fonctionnement de la région, atteignant en trois ans l'objectif de 300 millions d'euros de réduction des dépenses de fonctionnement<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Candidat à la mairie de Lyon aux élections municipales de 2020, sa liste obtient 17 % des voix au premier tour et termine à la deuxième place. Elle fusionne entre les deux tours avec celle de La République en marche, menée par Yann Cucherat, qui est largement battue par la liste d'union d'Europe Écologie Les Verts et de la gauche dirigée par Grégory Doucet<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>.

Il soutient Michel Barnier au congrès des Républicains de 2021 en vue de l'élection présidentielle de 2022. Toutefois, son positionnement ambigu vis-à-vis du polémiste Éric Zemmour et de ses propos sur le régime de Vichy le conduisent à quitter la présidence du groupe LR au conseil municipal de Lyon début novembre 2021<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il dément finalement avoir l’intention de rejoindre Eric Zemmour, contrairement à son ancien directeur adjoint<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Sénateur

Il présente une liste LR dissidente pour les élections sénatoriales dans le Rhône du Modèle:Date-. Elle obtient 16,27 % des voix des grands électeurs, ce qui permet à Étienne Blanc d'être élu sénateur.

Détail des mandats et fonctions

Notes et références

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Liens

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